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Bataille de Frenchman's Creek

La bataille de Frenchman's Creek est un engagement entre les forces armées des États-Unis et les forces armées britanniques lors de la guerre anglo-américaine de 1812 qui se déroule le 28 novembre 1812 dans la colonie de la Couronne du Haut-Canada à proximité de la rivière Niagara.

Bataille de Frenchman's Creek
Description de cette image, également commentée ci-après
Le brigadier général Alexander Smyth, organisateur de l'invasion.
Informations générales
Date 28 novembre 1812
Lieu Frenchman’s Creek, Ontario, Canada
Issue Victoire américaine.
Commandants
Drapeau des États-Unis Alexander SmythDrapeau du Royaume-Uni Cecil Bisshopp
Forces en présence
Drapeau des États-Unis 770 soldats[1] - [2]Drapeau du Royaume-Uni 650 soldats[3]
Pertes
24 morts
55 blessés
39 prisonniers[4] - [5] - [6]
13 morts
44 blessés
34 prisonniers[7] - [8]

Guerre anglo-américaine de 1812

Batailles

Batailles de la campagne du Niagara :

CoordonnĂ©es 42° 56′ 32″ nord, 78° 55′ 35″ ouest
GĂ©olocalisation sur la carte : Canada
(Voir situation sur carte : Canada)
Bataille de Frenchman's Creek
GĂ©olocalisation sur la carte : Ontario
(Voir situation sur carte : Ontario)
Bataille de Frenchman's Creek

L'opération est conçue comme un raid pour préparer le terrain à une plus grande invasion américaine. Les Américains réussissent à traverser la Niagara et à débarquer sur leurs deux sites d'attaque. Ils atteignent l'un de leurs deux objectifs avant de se retirer, mais l'invasion est ensuite annulée, rendant caduque cette première partie de l'opération. L'engagement est nommées « bataille de Frenchman's Creek » par les Canadiens, d'après l'emplacement des combats les plus durs[9]. Pour les Américains, il est connu comme « the Affair opposite Black Rock »[4].

Le lieu de la bataille est désigné lieu historique national du Canada en 1921[10].

Contexte

Sir George Prévost, commandant en chef britannique.

Après la dĂ©faite amĂ©ricaine Ă  la bataille de Queenston Heights, le commandement de l'armĂ©e amĂ©ricaine du Centre[11] Ă  la frontière du Niagara (en) passe du major gĂ©nĂ©ral Stephen Van Rensselaer de la milice de New York (en) Ă  son commandant en second, le brigadier gĂ©nĂ©ral Alexander Smyth de l'armĂ©e amĂ©ricaine rĂ©gulière. Smyth vit profondĂ©ment mal d'ĂŞtre subordonnĂ© Ă  un officier de la milice et c'est l'opportunitĂ© qu'il attendait[12]. Ce dernier prĂ©voit immĂ©diatement d'envahir le Canada avec 3 000 soldats. RĂ©unissant ses forces Ă  Buffalo, il organise une attaque en deux volets avant son invasion principale. Le capitaine William King, avec 220 hommes, doit traverser le Niagara et faire exploser les batteries Ă  Red House, près de Fort Erie, afin de permettre Ă  la principale force d'invasion de Smyth de dĂ©barquer sans faire face Ă  des tirs d'artillerie. En mĂŞme temps, le lieutenant-colonel Charles Boerstler, avec 200 hommes, doit dĂ©barquer au Canada entre Fort Erie et Chippawa (en) et dĂ©truire le pont sur Frenchman's Creek afin d'empĂŞcher l'arrivĂ©e de renforts britanniques qui pourraient s'opposer au dĂ©barquement principal de Smyth[13].

Le commandant en chef britannique en Amérique du Nord, le lieutenant-général Sir George Prévost, a interdit toute action offensive sur la frontière du Niagara. Les forces britanniques locales sont donc contraintes à attendre que les Américains fassent le premier pas afin de contrer toute tentative d'invasion. Les troupes régulières sont réparties entre les avant-postes défensifs et complétées par des milices et des forces amérindiennes[14].

Dans une proclamation publiée le et adressée aux « Hommes de New York », Smyth écrit que « dans quelques jours, les troupes sous mon commandement planteront l'étendard américain au Canada[n. 1] » et il exhorte les New-yorkais à ne pas rester les bras croisés et regardez cette lutte de loin mais à venir apporter leur concours. La déclaration d'intention de Smyth ne semble avoir attiré aucune attention particulière de la part de ses adversaires de l'autre côté de la frontière[15].

Forces en présence

La force d'invasion amĂ©ricaine est composĂ©e de deux groupes d'attaque. Le capitaine William King du 13e rĂ©giment d'infanterie amĂ©ricain[16] est chargĂ© d'attaquer « Red House » avec 150 soldats et 70 marins de l'United States Navy sous le commandement du lieutenant Samuel Angus[1]. La force de King est composĂ©e de la compagnie du capitaine Willoughby Morgan du 12e rĂ©giment d'infanterie des États-Unis[17] - [18] - [19] et des compagnies des capitaines John Sproull et John E. Wool du 13e rĂ©giment des États-Unis[20] - [18] - [19]. Le lieutenant-colonel Charles Boerstler qui a pour objectif « Frenchman's Creek » dispose de 200 hommes du 14e rĂ©giment d'infanterie des États-Unis[21]. Le colonel William H. Winder (en), commandant du 14e rĂ©giment demeure en rĂ©serve, avec 350 hommes[2] - [22] - [23].

Le commandant local britannique, le lieutenant-colonel Cecil Bisshopp, est stationnĂ© Ă  Chippawa, avec une compagnie du 1er bataillon, du 41e rĂ©giment de fantassins, deux compagnies d'infanterie de la 5e milice de Lincoln et un petit dĂ©tachement d'artillerie de la milice de Lincoln. D'autres unitĂ©s de la 5e milice de Lincoln sous le commandement du Major Richard Hatt sont Ă©galement postĂ©s Ă  proximitĂ©. Dans la zone qui doit faire face Ă  l'attaque, Bisshopp dispose de plusieurs dĂ©tachements diffĂ©rents sous son commandement gĂ©nĂ©ral. Ă€ Fort Erie, il y a 80 hommes du 49e rĂ©giment de fantassins (en) sous les ordres du major Ormsby et 50 hommes du Royal Newfoundland Regiment sous le commandement du capitaine Whelan. Ă€ Black Rock Ferry se trouvent deux compagnies de la milice de Norfolk sous le commandement du capitaine John Bostwick. Ă€ Red House, Ă  km de Fort Erie, sur la route de Chippawa, se trouvent 38 hommes du 49e rĂ©giment sous le commandement du lieutenant Thomas Lamont et quelques hommes du rĂ©giment royal d'artillerie sous le commandement du lieutenant King et quelques artilleurs de la milice. La batterie de Lamont est composĂ©e de deux canons : un de 18 livres et un de 24 livres ; tandis que la batterie de King dispose d'un canon de 6 livres et un de 3 livres. Plus loin, le long de la route de Chippawa, Ă  environ km de Fort Erie, se trouve le poste de Frenchman's Creek avec une garnison composĂ©e de 38 soldats du 49e rĂ©giment sous le lieutenant J. Bartley. Non loin se trouvent Ă©galement 70 soldats de la compagnie d'infanterie lĂ©gère du 41e rĂ©giment sous le lieutenant Angus McIntyre[3].

Bataille

L'attaque de King

Seule une partie de la force du capitaine King, dont 35 des 70 marins du lieutenant Angus, rĂ©ussit Ă  dĂ©barquer Ă  Red House[5]. Sous le feu des dĂ©fenseurs, les AmĂ©ricains chargent le dĂ©tachement du lieutenant Lamont du 49e rĂ©giment. Les marins, armĂ©s de piques et d'Ă©pĂ©es, avancent pour se battre au corps Ă  corps[24]. Les troupes de Lamont repoussent les assaillants trois fois, mais King fait un quatrième assaut qui frappe le flanc gauche britannique et qui rĂ©ussit Ă  les submergĂ©s ; capturant Lamont et tuant, prenant ou dispersant tous ses hommes[25].

Les AmĂ©ricains victorieux mettent le feu au poste, font exploser les canons et repartent vers leur point de dĂ©barquement, oĂą ils s'attendent Ă  ce que leurs bateaux soient prĂŞts pour les Ă©vacuer. Cependant, dans une obscuritĂ© sans lune, la force de King se disperse et se divise en deux groupes : l'un dirigĂ© par King et l'autre par le lieutenant Angus. Angus arrive en premier au point d'embarquement et ne trouve que quatre des dix bateaux du groupe. Ignorant que les six bateaux manquants n'ont pas dĂ©barquĂ©, Angus suppose que King est dĂ©jĂ  parti, et il re-traverse la rivière dans les bateaux restants. Lorsque le groupe de King atteint le point de dĂ©barquement, il se retrouve coincĂ©[26]. Une recherche en aval permet de trouver deux bateaux britanniques sans surveillance[27] dans lesquels King envoie sur le Niagara la moitiĂ© de ses hommes et les prisonniers qu'il a capturĂ©s alors qu'il attend avec ses 30 hommes restants que d'autres bateaux viennent de Buffalo le rĂ©cupĂ©rer[28].

L'attaque de Boerstler

Le lieutenant-colonel Boerstler embarque pour Frenchman's Creek mais quatre de ses onze bateaux trompĂ©s par l'obscuritĂ© de la nuit et des rameurs inexpĂ©rimentĂ©s sont incapables de remonter Ă  travers le courant sont repoussĂ©s en aval près du pont de Frenchman's Creek et doivent abandonner. NĂ©anmoins, les sept autres bateaux de Boerstler rĂ©ussissent Ă  dĂ©barquer difficilement, contrĂ© par le lieutenant Bartley et ses 37 hommes du 49e rĂ©giment. Boerstler mène l'attaque, tuant avec son pistolet sur un soldat britannique qui est sur le point de le frapper avec sa baĂŻonnette. Les forces de Bartley dĂ©passĂ©es en nombre se retirent, poursuivies au pont de Frenchman's Creek par les AmĂ©ricains, qui font deux prisonniers[29]. Les hommes de Boerstler sont ensuite attaquĂ©s par les deux compagnies du capitaine Bostwick de la milice de Norfolk, qui ont manĹ“uvrĂ© depuis Black Rock Ferry. Après un Ă©change de tirs dans lequel la force de Bostwick subit 3 morts, 15 blessĂ©s et 6 capturĂ©s, les Canadiens se retirent[30].

Boerstler se retrouve confronté alors à un autre problème : plusieurs des axes prévus pour la destruction du pont Frenchman's Creek passent par les quatre bateaux qui ont fait demi tour ou passe par les sept bateaux restants qui ont été abandonnés lorsque les Américains se sont frayé un chemin. Boerstler dépêche huit hommes sous le commandement du lieutenant John Waring pour détruire le pont par tous les moyens possibles[31]. Waring a arraché environ un tiers des planches sur le pont quand les Américains apprennent d'un prisonnier que toutes les forces de Fort Erie descendent sur leur position. Boerstler embarque rapidement avec ses hommes présents et rame en direction de Buffalo, laissant derrière Waring et son groupe sur le pont[32].

La réponse britannique

Le colonel William H. Winder (en), dont le commandement sera par la suite controversé à la Bataille de Bladensburg (en).

En rĂ©ponse Ă  l'attaque, le major Ormsby s'avance depuis Fort Erie vers Frenchman's Creek avec ses 80 hommes du 49e rĂ©giment, oĂą il est rejoint par les 70 fantassins du lieutenant McIntyre, la milice de Lincoln du Major Hatt et quelques amĂ©rindiens alliĂ©s du Major Givins. Constatant que les troupes de Boerstler sont dĂ©jĂ  partis, et ne pouvant pas de dĂ©terminer la prĂ©sence d'autres ennemis dans l'obscuritĂ©, les 300 hommes d'Ormsby restent en place jusqu'au lever du jour, lorsque le lieutenant-colonel Bisshopp arrive de Fort Erie. Bisshopp conduit la force Ă  Red House, oĂą ils trouvent le capitaine King et ses hommes attendant toujours d'ĂŞtre Ă©vacuĂ©s. DĂ©passer en nombre Ă  dix contre un, King est contraint de se rendre[33].

Quand la nouvelles arrive Ă  Buffalo que King a dĂ©truit les batteries de Red House, le gĂ©nĂ©ral Smyth est fou de joie. « Huzza ! », il s'exclame : « Le Canada est Ă  nous ! Le Canada est Ă  nous ! Le Canada est Ă  nous ! Ce sera un jour glorieux pour les États-Unis ![n. 2] » et il dĂ©pĂŞche le colonel Winder avec ses 350 hommes Ă  travers la rivière pour Ă©vacuer King et le reste de sa force[34]. Winder recueille le lieutenant Waring et son groupe avant de dĂ©barquer[35]. Cependant, il n'a encore dĂ©barquĂ© qu'une partie de ses forces quand les 300 hommes de Bisshopp apparaissent. Winder ordonne Ă  ses hommes de retourner Ă  leurs bateaux et de partir pour Buffalo, mais ils sont soumis Ă  un feu sĂ©vère alors qu'ils rament, lui coĂ»tant 28 victimes[2].

En détruisant les canons de la batterie de Red House, les Américains ont atteint le plus important de leurs deux objectifs : une force d'invasion peut maintenant débarquer entre Chippawa et Fort Erie sans faire face à des tirs d'artillerie. Cependant, les événements ultérieurs vont rendre cette action inutile[36].

Pertes humaines

Le rapport officiel des victimes britanniques donne 15 morts, 46 blessés et 30 disparus. Comme les Britanniques le font souvent dans leurs rapports au sujet des pertes parmi les officiers, ce qu'ils ne font pas au sujet des hommes enrôlés, le Lieutenant King de l'Artillerie Royale et le Lieutenant Lamont du 49e sont inclus dans la catégorie « blessés » bien qu'ils sont également prisonniers[7]. Les Américains font 34 prisonniers, dont Lamont et King, ce qui indique que deux des hommes enrôlés qui auraient été tués ont été capturés. Cela donne une perte britannique révisée avec Lamont et King comptés parmi les prisonniers plutôt que parmi les blessés, de 13 morts, 44 blessés et 34 capturés[8].

Eaton indique que le commandement du capitaine King a subi 8 morts et 9 blessés ; que le détachement du colonel Winder décompte 6 morts et 22 blessés, mais que les pertes du détachement du lieutenant-colonel Boerstler sont inconnues, étant nulle part déclaré dans les archives[4]. La New York Gazette du signale que des 35 marins du lieutenant Angus qui ont attaqué Red House, 28 ont été tués ou blessés, 2 ont été capturés et seulement 5 s'en sont sortis indemnes[5]. Le capitaine King a légèrement été blessé au pied[19] et 38 autres prisonniers ont été pris par les Britanniques[6]. Les Britanniques rapportent que le détachement de King et Angus a laissé 12 morts derrière eux à Red House[37] (dont quatre qui sont vraisemblablement du détachement naval d'Angus) et que 18 morts américains ont été retrouvés[6]. Étant donné que seuls 30 prisonniers se sont rendus avec King[19] et que le détachement de Winder ne s'est pas retrouvé sous le feu avant de réembarquer pour Buffalo, il semble que six des morts laissés sur le champ de bataille et huit des prisonniers appartiennent au commandement de Boerstler. Le bilan des victimes américaines connues (qui comprennent les tués et les prisonniers mais pas les blessés du détachement de Boerstler) semblent avoir été de 24 tuées, 55 blessées et 39 prisonniers.

Conséquences

Sir Roger Hale Sheaffe (en).

Avec les batteries de Red House hors d'action, Smyth veut poursuivre immĂ©diatement ses plans d'invasion. Cependant, les tentatives d'embarquer ses 3 000 hommes se terminent dans le chaos avec seulement 1 200 hommes parvenant Ă  monter Ă  bord en raison d'une pĂ©nurie de bateaux et de l'artillerie occupant une quantitĂ© inattendue d'espace Ă  bord. Au milieu de pluies torrentielles et d'un froid glacial, un conseil de guerre dirigĂ© par Smyth dĂ©cide de reporter l'invasion en attendant des prĂ©paratifs plus approfondis qui permettent l'embarquement de la totalitĂ© de la force amĂ©ricaine d'invasion[36]. Le , Smyth renouvelle sa tentative, ordonnant Ă  ses hommes de s'embarquer deux heures avant l'aube afin d'Ă©viter les tirs ennemis. Cette fois, l'embarquement est si lent que, deux heures après les premières lumière du jour, seuls 1 500 hommes sont Ă  bord. PlutĂ´t que de tenter une opĂ©ration amphibie en plein jour, Smyth reporte une fois de plus l'invasion. Ă€ ce moment-lĂ , le moral des troupes de Smyth s'effondre, toute discipline a disparu et le camp est dans le chaos. Cette Ă©tat de fait persuade un second conseil de guerre appelĂ© par Smyth de suspendre toutes les opĂ©rations offensives jusqu'Ă  ce que l'armĂ©e soit renforcĂ©e[36].

L'armée du Centre entre finalement dans ses quartiers d'hiver sans tenter d'autres opérations offensives et le général Smyth demande l'autorisation de rendre visite à sa famille en Virginie. Trois mois plus tard, sans que Smyth ne démissionne de sa commission ou ne comparaisse devant une cour martiale, son nom est retiré de listes de l'United States Army par le président James Madison[11].

Ignorant les intentions américaines, les Britanniques et les Canadiens pensent que l'action de King, Boerstler et Winder a été conçus comme la première vague d'invasion de Smyth plutôt que comme un raid préparatoire. La presse canadienne fait l'éloge de l'action des défenseurs en repoussant apparemment les Américains et Bisshopp reçoit des félicitations particulières[38]. Dans son rapport à Prevost, le major-général Sir Roger Hale Sheaffe (en), commandant britannique dans le Haut-Canada, écrit que « le lieutenant-colonel Bisshopp mérite une haute distinction pour l'esprit et l'activité qu'il a déployés, et les officiers et les hommes qui ont agi sous ses ordres méritent un grand crédit[n. 3] »[39]. Bisshopp est tué l'été suivant alors qu'il mène le Raid sur Black Rock (en)[40].

Notes et références

Notes

  1. Citation originale : « in a few days the troops under my command will plant the American standard in Canada »[15].
  2. Citation originale : « Canada is ours! Canada is ours! Canada is ours! This will be a glorious day for the United States! »[34].
  3. Citation originale : « Lieut.-Colonel Bisshopp deserves high commendation for the spirit and activity he displayed, and great credit is due the officers and men who acted under his orders »[39].

Références

  1. Cruikshank 1971, p. 260 pour la composition des forces. Cruikshank, Index, p. i, pour le prénom d'Angus.
  2. Cruikshank 1971, p. 288.
  3. James 1818, p. 110, pour les unités, les commandants et les dispositions. Cruikshank 1971, p. Index, pp. ii, xi,pour les prénoms de Bartley, Bostwick et Lamont. Malcomson 2003, p. 163, pour le prénom de McIntyre et l'orthographe correcte de son nom de famille.
  4. Eaton 2000, p. 6.
  5. Cruikshank 1971, p. 285.
  6. Cruikshank 1971, p. 280.
  7. Cruikshank 1971, p. 230.
  8. Cruikshank 1971, p. 268.
  9. Zaslow 1964, p. 229.
  10. (en) « Frenchman's Creek National Historic Site of Canada », Parks Canada (consulté le ).
  11. Quimby 1997, p. 78.
  12. Zaslow 1964, p. 26.
  13. Quimby 1997, p. 76, pour le plan de Smyth. Quimby donne à tort le prénom de « Samson » au capitaine King. Le vrai prénom de King se trouve dans son rapport au général Smyth, donné dans Cruikshank 1971, p. 245.
  14. Malcomson 2003, p. 47.
  15. Cruikshank 1971, p. 193-194.
  16. Cruikshank 1971, p. 291.
  17. Heitman, 1965, vol. 1, p. 726.
  18. Heitman, 1965, vol. 2, p. 391.
  19. Cruikshank 1971, p. 245.
  20. Heitman, 1965, vol. 1, p. 913 et 1059.
  21. Cruikshank 1971, p. 237.
  22. Cruikshank 1971, p. 259.
  23. Heitman, 1965, vol. 1, p. 1049.
  24. Cruikshank 1971, p. 304.
  25. James 1818, p. 112.
  26. Cruikshank 1971, p. 260-261.
  27. Cruikshank 1971, p. 319.
  28. Quimby 1997, p. 76.
  29. Cruikshank 1971, p. 261.
  30. James 1818, p. 114.
  31. Heitman, 1965, vol. 1, p. 1002.
  32. Cruikshank 1971, p. 261-262.
  33. Cruikshank 1971, p. 254-255.
  34. Cruikshank 1971, p. 312.
  35. Cruikshank 1971, p. 263.
  36. Quimby 1997, p. 77.
  37. James 1818, p. 113.
  38. Cruikshank 1971, p. 279-280.
  39. Cruikshank 1971, p. 253.
  40. Quimby 1997, p. 302.

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • (en) Ernest Cruikshank, The Documentary History of the Campaigns upon the Niagara Frontier in the Year 1812. Part II, New York, Arno Press Inc., (ISBN 0-405-02838-5). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • (en) Joseph H. Eaton, Returns of Killed and Wounded in Battles or Engagements with Indians and British and Mexican Troops, 1790-1848, Compiled by Lt. Col J. H. Eaton (Eaton’s Compilation), Washington, D.C., National Archives and Records Administration Microfilm Publications, . Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • (en) Francis B. Heitman, Historical Register and Dictionary of the United States Army, from its Organization, September 29, 1789, to March 2, 1903. (Two volumes), Urbana, IL, University of Illinois Press, (1re Ă©d. 1903). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
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  • (en) Morris Zaslow, The Defended Border : Upper Canada and the War of 1812, Toronto, The Macmillan Company of Canada Limited, (ISBN 0-7705-1242-9). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article

Voir aussi

Articles connexes

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