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Avolsheim

Avolsheim [avɔlsaim], Àvelse en alsacien, est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Avolsheim
Avolsheim
Ancien baptistère, dit chapelle Saint-Ulrich,
et la maison Audéoud.
Blason de Avolsheim
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Molsheim
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Molsheim-Mutzig
Maire
Mandat
Pascal Gehin
2020-2026
Code postal 67120
Code commune 67016
DĂ©mographie
Gentilé Avolsheimois
Population
municipale
788 hab. (2020 en augmentation de 6,92 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 431 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 33′ 44″ nord, 7° 30′ 07″ est
Altitude Min. 164 m
Max. 362 m
Superficie 1,83 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Molsheim
(banlieue)
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Molsheim
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Avolsheim
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Avolsheim

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    GĂ©ographie

    Avolsheim est une commune française, située dans le département du Bas-Rhin et la région Alsace.

    Localisation

    Elle est situĂ©e Ă  1,6 km de Wolxheim, 1,8 km de Soultz-les-Bains, 2,5 km de Dachstein, 2,8 km d'Ergersheim-sur-Bruche, km de Molsheim et 31 km de Strasbourg.

    GĂ©ologie et relief

    Avolsheim a une superficie de 1,83 km2 et une densitĂ© de 403 habitants/km2.

    Système d’information pour la gestion de l’Aquifère rhénan : Carte géologique.

    ForĂŞts communales de Dorlisheim et d'Altorf.

    Sismicité

    Commune située dans une zone de sismicité de niveau 3 modérée[1].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau traversant la commune :

    Climat

    Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[4].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap.
    Carte topographique.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Avolsheim
    Soultz-les-Bains Wolxheim
    Avolsheim
    Molsheim

    Urbanisme

    Typologie

    Avolsheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [5] - [6] - [7]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Molsheim, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 10 communes[8] et 26 925 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9] - [10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11] - [12].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (31,6 %), zones agricoles hétérogènes (27,1 %), forêts (20,4 %), zones urbanisées (16,4 %), terres arables (3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

    La commune relève à la fois du plan local d'urbanisme (PLU) d'Avolsheim et du PLUi de Niederbronn-les-Bains[15].

    Intercommunalité

    Commune membre de la communauté de communes de la Région de Molsheim-Mutzig.

    Voies routières

    • D 422 vers Marlenheim, Molsheim[16].
    • D 127 vers Dachstein.
    • D 727 vers Wolxheim.

    Transports en commun

    SNCF
    Transports aériens

    Toponymie

    La première trace écrite du nom du village se situant sur le ban actuel date de l'an 788 et est Hunzolfesheim. On le retrouve en 1051 orthographié Avelsheim, puis en 1350 Afelsheim, d'où sa forme dialectale Âfelse. En 1496, on l'écrivait Afeltzheim et en 1589 à nouveau Avelssheim, avec deux « s ». Depuis lors le village porte son nom actuel et son orthographe n'a plus évolué.

    Le préfixe « offe » (de l'allemand « offen » = ouvert) serait à l'origine du nom Avolsheim et signifierait par conséquent « Bourg ouvert ». Il est possible que cette dénomination fut attribuée au village dans la mesure où celui-ci était dépourvu de remparts, ce qui au Moyen Âge était relativement rare.

    Par ailleurs, un vieux dicton en dialecte : « Es steht offe wie Âfelse » (« C'est ouvert comme Avolsheim ») laisse entendre qu'à une certaine époque le clocher d'Avolsheim était resté si longtemps en ruine, donc « à ciel ouvert », que cette situation serait à l'origine de son nom. Cette thèse, comme la précédente, serait confirmée par l'expression populaire : « Fescht wie Landau un offe wie Âfelse » = « fort (ou fortifié) comme Landau et ouvert comme Avolsheim ».

    Histoire

    Jusqu'Ă  la RĂ©volution

    Avolsheim est située sur la voie gallo-romaine reliant Molsheim à Saverne[18] ; de nombreux objets datés de cette période y ont été mis au jour en 1930.

    La localité aurait été composée au Xe siècle de deux hameaux distincts : Avelsheim d'une part, correspondant grosso modo au village actuel, et Tumpfieter, Dompieter ou Domphietenheim d'autre part, un bourg constitué d'un groupe de quelques fermes et d'un moulin situés près d'une église : le Dompeter.

    Les dernières mentions de ce hameau datent du XVIe siècle. Il a probablement disparu en tant que village avec la fin de ce même siècle. Pour certains historiens un doute subsiste : ils situent sa disparition au XVIIe siècle, sa destruction faisant suite au siège de Dachstein par les armées de Turenne.

    Selon la bulle du pape Léon IX en 1051, Avolsheim, dont l'abbaye de Hohenbourg était propriétaire, faisait partie des possessions de l'évêché de Strasbourg.

    Elle fut mise en vasselage aux comtes d'Ostoffen, puis aux von Murnhart en 1384, enfin resta aux von Beger jusqu'en 1521. Depuis 1534 et jusqu'à la Révolution la localité fut le fief des hauts dignitaires de l'évêché.

    Depuis la RĂ©volution

    Depuis la Révolution, le village est rattaché à la sous-préfecture de Molsheim.

    Avolsheim était jadis sur la ligne Sélestat - Saverne avant la dépose du tronçon Molsheim - Saverne en 1967 qui a été remplacé par une piste cyclable.

    HĂ©raldique

    Blason d'Avolsheim

    Les armes d'Avolsheim se blasonnent ainsi :
    « D'azur à la roue de huit rais d'or, couronnée du même, le moyeu et les rais défaillants en chef. »[19].

    Politique et administration

    Budget et fiscalité 2020

    Mairie.

    En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[20] :

    • total des produits de fonctionnement : 453 000 â‚¬, soit 624 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 351 000 â‚¬, soit 482 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 77 000 â‚¬, soit 105 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 72 000 â‚¬, soit 99 â‚¬ par habitant ;
    • endettement : 906 000 â‚¬, soit 1 246 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 19,83 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 11,83 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 41,85 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 45,11 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 20,24 %.

    Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2019 : mĂ©diane en 2019 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 24 950 â‚¬[21].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2008 mars 2014 GĂ©rard Gendre[22]
    mars 2014 mai 2020 Françoise Hauss DVD Cadre supérieur
    mai 2020 En cours Pasal GĂ©hin [23]

    Économie

    Agriculture

    • Élevage de chevaux et d'autres Ă©quidĂ©s,
    • Culture de cĂ©rĂ©ales, de lĂ©gumineuses et de graines olĂ©agineuses,
    • Culture de la vigne.

    Tourisme

    Commerces

    • Commerces de proximitĂ© Ă  Mutzig, Molsheim.
    • Poterie CĂ©ramique contemporaine[26].

    Population et société

    Évolution démographique

    Les habitants sont appelés les Avolsheimois[27]. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

    En 2020, la commune comptait 788 habitants[Note 3], en augmentation de 6,92 % par rapport Ă  2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    416412486533609700661703695
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    688696742679650632668668610
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    569562561522542519502474441
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    478487513513567657698746728
    2015 2020 - - - - - - -
    743788-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Église du Dompeter

    Une des plus anciennes églises d'Alsace. Cette église est située au centre du triangle Molsheim-Dachstein-Avolsheim. Dédiée à saint Pierre par Materne, son âge exact n'est pas connu mais il est certain que le pape Léon IX a consacré le Dompeter vers 1050. Le nom de ce lieu vient du latin Domus Petri (maison de pierre) bien qu'il n'y ait pas de trace de sanctuaire primitif qui selon la légende remonterait au début du christianisme. Des fouilles de 1914 révèlent que les fondations sur lesquelles est fait le Dompeter datent de l'époque mérovingienne. Les diverses modifications qu'elle a subies ont tout de même préservé à chaque fois une trace de l'époque de ces modifications. C'est une richesse architecturale qui permet d'observer les styles des différentes époques en un même lieu ; son clocher en est le parfait exemple. En 1767 à la suite d'un incendie, le clocher fut partiellement détruit. La partie détruite fut remplacée par un étage octogonal prolongé d'une flèche.

    Après l'abandon du bâtiment entre les deux guerres, les scouts ont fait des travaux afin d'assurer sa sauvegarde. Sur les plaques ornant les lambris du chœur sont gravés tous les noms des scouts d'Alsace morts pendant la Seconde Guerre mondiale.

    La chapelle ottonienne Saint-Ulrich

    • Chapelle Saint-Ulrich.
      Chapelle Saint-Ulrich.
    • Église Saint-Materne.
      Église Saint-Materne.
    • Église du Dompeter.
      Église du Dompeter.
    • Église Saint-Materne.
      Église Saint-Materne.
    • Église Saint-Materne - chevet.
      Église Saint-Materne - chevet.
    • Chapelle Saint-Ulrich et Ă©glise Saint-Materne.
      Chapelle Saint-Ulrich et Ă©glise Saint-Materne.
    • Chapelle Saint-Ulrich - fresque.
      Chapelle Saint-Ulrich - fresque.
    • Grotte de Lourdes  près du Dompeter.
      Grotte de Lourdes près du Dompeter.

    Le bâtiment initial remonterait au XIe ou à la fin du Xe siècle. Dite baptistère[32], elle est classée aux monuments historiques. En 1774 la chapelle fut transformée pour devenir la nouvelle église, adoptant ainsi le visage que l'on lui connaît aujourd'hui. Cette chapelle constituée d'un trétraconque d'origine constitue le plus ancien sanctuaire encore existant d'Alsace se trouvant au bord de l'ancienne voie romaine du piémont des Vosges. Adoptant la forme d'un trèfle à quatre feuilles couverte d'une coupole, la chapelle se voit surmontée d'un clocher roman octogonal. En 1774, une église fut bâtie contre la chapelle pour remplacer le Dompeter trop éloigné et fut finalement détruit en 1911 car l'église St Ulrich était devenue trop petite pour l'effectif du village. La coupole centrale et le tambour révélèrent des peintures murales en 1968 une fois que la couche de badigeon fut enlevée.

    L'Ă©glise Saint-Materne

    L'église Saint-Materne[33] fut construite en 1911 par l'architecte Johann Knauth responsable de la cathédrale de Strasbourg. Cet édifice est l'église actuelle d'Avolsheim qui ne fut consacrée qu'en 1936. Elle est de style néo-roman et se compose d'une nef à bas-côtés donnant sur un chœur voûté en berceau. Le clocher, surmontant la sacristie, est équipé de trois cloches fondues pour l'ancienne église paroissiale[34] - [35]. En 2012, pour fêter le centenaire de la construction de l'église, 2 nouvelles cloches furent fondues par l'artisan Voegele et bénie l'une en l'honneur de St Materne (patron de la paroisse) et à Ste Thérèse-Bénédicte de la Croix (patronne de la communauté de paroisses), l'autre en l'honneur de St Pierre (patron de l'église du Dompeter) et sa fille Ste Pétronille, vénérée à la source éponyme. Lorsque la construction fut achevée, l'orgue datant de 1867 qui avait été installé au Dompeter par Joseph Stiehr fut transféré en l'église Saint-Materne[36] - [37].

    La source Sainte-PĂ©tronille

    Située à proximité de l'église du Dompeter, la source Sainte-Pétronille tient son nom d'un sarcophage qui aurait servi de sépulture à sainte Pétronille, fille spirituelle de l'apôtre Pierre, et qui se trouvait autrefois à Dompeter. Dès le XVIIIe siècle, le sarcophage fut reconnu en réalité comme celui d'une romaine : Terentia Augustula[38].

    La grotte Notre-Dame de Lourdes

    Grotte de Lourdes[39] - [40].

    Banc reposoir

    Banc-reposoir d'Alsace (daté 1854)[41].

    Le barrage d'Avolsheim

    Ou « petites et grandes vannes » fut érigé en 1682 sur le canal artificiel de la Bruche construit par Vauban. Ce canal devait permettre le transport jusqu'à Strasbourg des blocs de grès venant des carrières de Soultz-les-Bains et Wolxheim nécessaires pour la construction de la citadelle de Strasbourg. Ce barrage devait ainsi permettre de garder le niveau de l'eau suffisamment élevé pour alimenter le canal situé un peu plus loin.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Avolsheim au fil du temps : entre Bruche et Mossig, CarrĂ© blanc, Strasbourg, 2003, 96 p. (ISBN 2-84488-053-3)
    • Marc Grandadam, L'ensemble roman d'Avolsheim : Ă©glise du Dompeter, chapelle Saint Ulrich, M. Grandadam, 1989, 20 p.
    • (de) Sigrid Metken, Dompeter in Avolsheim, Schnell u. Steiner Verlag, Munich, Zurich, 1968, 23 p.
    • François Reiner, Notice sur l'ancienne Ă©glise d'Avolsheim, Levrault F. G, Strasbourg, 1827, 39 p.
    • Louis Schlaefli, « Avolsheim : petites histoires de la grande histoire », in Annuaire de la SociĂ©tĂ© d'histoire et d'archĂ©ologie de Molsheim et environs, 1996, p. 5-24
    • Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La NuĂ©e Bleue, , 662 p. (ISBN 2-7165-0250-1)
      Avolsheim, p. 38
    • Voir aussi : Les Pierres vivantes du Dompeter, Serge Haag, Edition 2013, 79 pages. Bibliothèque Nationale Universitaire de Strasbourg
    • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
    • Chiffres clĂ©s publiĂ©s par l'institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques (INSEE). Dossier complet

    Articles connexes

    Liens externes

    Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Didacticiel de la réglementation parasismique
    2. La Bruche
    3. La Mossig
    4. Table climatique
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Molsheim », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. PLU et PLUi, sur GĂ©oportail
    16. IVoies routières
    17. Auto'Com
    18. Circuit de Bacchus – Trotele
    19. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
    20. Les comptes de la commune
    21. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    22. [PDF] Liste des maires au 1 avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
    23. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    24. Restauration et hébergement
    25. Domaine des Hirondelles
    26. Poterie Pot d'Anne
    27. « Bas-Rhin », sur habitants.fr (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Base Mérimée : Chapelle Saint-Ulrich dite baptistère
    33. Base Mérimée : église paroissiale Saint-Materne
    34. Notice no IM67009640, base Palissy, ministère français de la Culturecloche
    35. Notice no IM67009639, base Palissy, ministère français de la Culture2 cloches
    36. Notice no IM67009638, base Palissy, ministère français de la Cultureorgue de l'église paroissiale Saint-Materne
    37. Inventaire de l'orgue
    38. Site de la commune - La source Ste PĂ©tronille
    39. Liste de répliques de la grotte de Lourdes
    40. Les grottes de Lourdes en Alsace. La grotte Notre-Dame de Lourdes : Avolsheim
    41. « Banc-reposoir R.D. 121 », notice no MHR42_2008670160050, base Mémoire, ministère français de la Culture
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