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Avenue de Fontainebleau (Le Kremlin-BicĂȘtre)

L'avenue de Fontainebleau est un axe majeur du Kremlin-BicĂȘtre[1]. Elle suit le tracĂ© de la route nationale 7[2].

Avenue de Fontainebleau
Image illustrative de l’article Avenue de Fontainebleau (Le Kremlin-BicĂȘtre)
L'avenue en octobre 2021.
Situation
CoordonnĂ©es 48° 48â€Č 40″ nord, 2° 21â€Č 43″ est
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Île-de-France
Ville Le Kremlin-BicĂȘtre
DĂ©but Avenue de la Porte-d'Italie Ă  Paris
Fin Avenue de Paris Ă  Villejuif
Morphologie
Type Avenue
Histoire
Anciens noms Route de Fontainebleau
GĂ©olocalisation sur la carte : Val-de-Marne
(Voir situation sur carte : Val-de-Marne)
Avenue de Fontainebleau
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris et de la petite couronne
(Voir situation sur carte : Paris et de la petite couronne)
Avenue de Fontainebleau
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Avenue de Fontainebleau

Situation et accĂšs

Grande route de Fontainebleau par Villejuif, plan de Roussel, 1731.

Cette avenue est desservie par la station de mĂ©tro Le Kremlin-BicĂȘtre de la ligne 7 du mĂ©tro de Paris.

Sur son parcours, elle rencontre notamment la rue Pasteur, la rue du Général-Leclerc et la rue de la Convention.

Origine du nom

Plaque de l'avenue.

L'avenue de Fontainebleau est l'ancien chemin qui mĂšne Ă  la ville de Fontainebleau. Anciennement appelĂ©e route de Fontainebleau, c'est grĂące Ă  la dĂ©libĂ©ration du 31 mars 1913 qu'elle devient une avenue. L'annĂ©e 1947 lui donne cependant la dĂ©nomination d'avenue Paul-Vaillant-Couturier, qu'elle perd en 1962 pour redevenir l’avenue de Fontainebleau.

Historique

Chemin de Fontainebleau sur le plan de Nicolas de Fer, 1717.

Au XVIIIe siĂšcle, les moulins Ă  vent Ă©taient trĂšs nombreux le long de ce chemin, et certains fonctionneront jusqu'au XIXe siĂšcle[3].

C'est sur cette route qu'en 1813 un vĂ©tĂ©ran de la campagne de Russie ouvrit un cabaret Ă  l'enseigne « Au sergent du Kremlin », Ă  proximitĂ© de l'hospice de BicĂȘtre oĂč Ă©taient soignĂ©s les soldats blessĂ©s[4] - [5]. De lĂ  vient le nom de la ville[6]. On murmura sous la Restauration que ce cabaret recevait encore les vieux soldats fidĂšles Ă  l'empereur et mĂȘme facilitait l'Ă©vasion, par les carriĂšres souterraines, des captifs de la prison attenante Ă  l'hospice[7], oĂč Ă©tait enfermĂ©e la chiourme en attente de dĂ©part pour le bagne.

Bùtiments remarquables et lieux de mémoire

Immeuble au no 51.

Notes et références

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