Amos GitaĂŻ
Amos GitaĂŻ est un artiste et rĂ©alisateur nĂ© le Ă HaĂŻfa en IsraĂ«l. Ses films ont Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©s dans plusieurs rĂ©trospectives notamment au Centre Pompidou Ă Paris, au Museum of Modern Art (MoMA) de New York, au Lincoln Center de New York et au British Film Institute de Londres. Ă ce jour, Amos Gitai a crĂ©Ă© plus de 90 Ćuvres pour le cinĂ©ma, le thĂ©Ăątre, ainsi que des installations et des livres dâartiste.
Naissance |
Haïfa, Israël |
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Nationalité | Israélienne |
Profession | RĂ©alisateur |
Films notables |
Kadosh Kippour Kedma Free Zone Ana Arabia (voir filmographie) |
Site internet | https://www.amosgitai.net/ |
Onze de ses films ont Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©s en compĂ©tition au Festival du film de Cannes pour la Palme d'Or ainsi qu'au Festival international du film de Venise pour le Lion d'or.Il a travaillĂ© avec Natalie Portman, Hana Laszlo, Yael Abecassis, Rosamund Pike, Jeanne Moreau, Juliette Binoche, Samuel Fuller, Hanna Schygulla, Annie Lennox, Barbara Hendricks, LĂ©a Seydoux, Valeria Bruni Tedeschi, Mathieu Amalric, Pippo Delbono, IrĂšne Jacob, Natalie Dessay, Henri Alekan, Renato Berta, Nurith Aviv, Ăric Gautier, et bien dâautres. Depuis 2000, il collabore avec la scĂ©nariste française Marie-JosĂ© Sanselme.
Il a reçu plusieurs prix prestigieux, tels que le prix Roberto Rossellini (2005), le LĂ©opard d'honneur au Festival international du film de Locarno (2008), le prix Robert Bresson (2013), le prix Paradjanov (2014), le prix Lucchino Visconti (2021). Il est officier des Arts et Lettres et chevalier de la LĂ©gion dâhonneur (2017). En 2018, Amos Gitai a Ă©tĂ© Ă©lu professeur Ă la chaire de crĂ©ation artistique du CollĂšge de France, avec une sĂ©rie de 9 cours sur le cinĂ©ma, suivis dâun colloque.
Biographie
Ćuvre cinĂ©matographique
House (Bait)
Cinéaste bùtisseur de films
Kippour
LâexpĂ©rience vĂ©cue durant la guerre de Kippour en 1973, dans laquelle il frĂŽle la mort Ă l'Ăąge de 23 ans, influencera toute son Ćuvre Ă venir. LâĂ©vĂ©nement est notamment au centre dâune sĂ©rie de courts mĂ©trages expĂ©rimentaux, tournĂ©s pendant et immĂ©diatement aprĂšs la guerre, puis dâun documentaire (Kippour, Souvenirs de guerre, 1997), avant la grande forme du film de fiction Kippour qui, en 2000, consacre dĂ©finitivement la place de Gitai parmi les grands noms du cinĂ©ma mondial aprĂšs lâaccueil positif du film au Festival de Cannes. Cette Ă©vocation de la guerre et de ses consĂ©quences se poursuit dans dâautres films, comme une blessure jamais refermĂ©e, un rappel de la violence de sa rĂ©alitĂ©, un appel Ă la paix.
Le Dernier jour dâYitzhak Rabin
« âSi lâon considĂšre lâ« oeuvre Rabin » dans son ensemble, ces croisements multiples entre la rĂ©flexion sur lâHistoire, lâessai sur lâactualitĂ© politique, le journal intime, lâeffervescence des genres, le recours aux archives et les traverses vers la scĂšne ou la musĂ©ographie en font un noyau de lâoeuvre dâAmos Gitai, son emblĂšme mĂȘme.â »
â Antoine de Baecque, Gitai Rabin,Chroniques dâun assassinat, Gallimard/BNF, 2021.
pas ĂȘtre illustratif. Je voulais faire un film de tendresse au milieu de cet enfer. C'est ce contraste qui m'intĂ©ressait. Avec Tsili, je clĂŽture un cycle de quatre films trĂšs intimes : Carmel, basĂ© sur la correspondance de ma mĂšre ; Lullaby to my father, dĂ©diĂ© Ă mon pĂšre, un architecte du Bauhaus chassĂ© d'Europe par les nazis ; Ana Arabia, qui Ă©voque une communautĂ© de Juifs et d'Arabes Ă Jaffa. AprĂšs Kadosh et Kippour, j'avais besoin d'aller vers un langage cinĂ©matographique plus radical, pour Ă©viter les conventions du cinĂ©ma." ââAmos GitaĂŻ (propos recueillis par Alexandra Schwarzbrod), LibĂ©ration, 12 aoĂ»t 2015) - [1].
Ćuvre thĂ©Ăątrale
Expositions/Installations
Amos GitaĂŻ conçoit rĂ©guliĂšrement, depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000, des expositions/installations multimĂ©dias associant projection vidĂ©os, photos, sons, performances thĂ©Ăątrales et musicales, souvent conçues en fonction des lieux et de leur histoire : Centre Pompidou (Paris), Kunstwerke (Berlin), base sous-marine (Bordeaux), Palais de Tokyo (Paris), MusĂ©e du CinĂ©ma (Turin), Bauhaus (Dessau), Ein Harod Museum of Art (IsraĂ«l) ; MusĂ©e MAXXI (Rome), MusĂ©e Bozar (Bruxelles), Collection Lambert (Avignon), galerie Thaddaeus Ropac (Paris), BibliothĂšque nationale de France (Paris), Museum of Modern Art (New York). En 2022 (fĂ©vrier-avril), Ă lâinvitation de la Ville de Florence, Amos Gitai investit la Sala dâArme du Palazzo Vecchio dans une installation intitulĂ©e Promised Lands. Il y Ă©voque, Ă partir de fragments de son Ćuvre thĂ©Ăątrale et cinĂ©matographique, les migrants et leurs destins, lâHistoire et le prĂ©sent, en diverses langues parlĂ©es autour de la MĂ©diterranĂ©e.
En 2008-2009, la Pinakothek der Moderne de Munich consacre Ă Amos Gitai et Ă son pĂšre Munio Weinraub Gitai une grande exposition intitulĂ©e « Architektur und Cinema in Israel », qui est prĂ©sentĂ©e lâannĂ©e suivante au Tel Aviv Museum of Modern Art.
En 2014, le MusĂ©e Reina Sofia (Madrid) lui consacre une grande exposition « Amos Gitai biografĂas ». La mĂȘme annĂ©e, la CinĂ©mathĂšque française prĂ©sente ses archives cinĂ©matographiques dans une exposition intitulĂ©e « Amos Gitai, architecte de la mĂ©moire ».
Archives
Les films dâAmos Gitai sont conservĂ©s dans plusieurs cinĂ©mathĂšques dans le monde : CinĂ©mathĂšque française, CinĂ©mathĂšque suisse, CinĂ©mathĂšque de JĂ©rusalem, entre autres. En outre, le cinĂ©aste a dĂ©posĂ© les archives papier de plusieurs films Ă la CinĂ©mathĂšque française en 2014.
En 2017, lâUniversitĂ© de Stanford (Stanford Librariesâ Department of Special Collections a acquis les archives numĂ©riques de huit films dâAmos Gitai (la trilogie House, Plus tard tu comprendras, Tsili, la trilogie des frontiĂšres (Terre promise, Free Zone, DĂ©sengagement), soit un 19 disques durs, avec 10,5 terabytes de donnĂ©es.
En 2018, Amos Gitai a donnĂ© Ă la BibliothĂšque nationale de France lâensemble des matĂ©riaux documentaires rĂ©unis ou produits depuis 1994 autour dâYitzhak Rabin : recherches, rushes, photographies, scĂ©narios, Ă©tapes de montage, soit 30 000 documents et 150 000 fichiers concernant sept films, documentaires et fiction : Donnons une chance Ă la paix (1994), LâArĂšne du meurtre (1996), Le Dernier Jour dâYitzhak Rabin (2015). Principalement numĂ©riques, ces documents font lâobjet dâun programme de recherche et de dĂ©veloppement pionnier sur les nouvelles archives du cinĂ©ma, en lien avec lâUniversitĂ© de Stanford. En Ă©cho Ă lâexposition conçue par Amos Gitai prĂ©sentĂ©e Ă cette occasion Ă la BnF (mai-novembre 2021), les Ă©ditions Gallimard publient un ouvrage, Amos Gitai/Yitzhak Rabin, qui propose rĂ©flexions et analyses sur les archives Rabin dĂ©posĂ©es Ă la BnF, ainsi que deux longs poĂšmes composĂ©s par Gitai.
« Le choix dâun don Ă la BibliothĂšque a aussi Ă©tĂ© dictĂ© par la volontĂ© de mettre Ă lâabri cet ensemble trĂšs symbolique dans un pays, la France, dont il a pu Ă©prouver les qualitĂ©s dâaccueil et de soutien Ă la crĂ©ation lors de ses annĂ©es dâexil loin dâIsraĂ«l ». (www.bnf.fr)
Conférences et enseignement
Amos Gitai enseigne et participe réguliÚrement à des conférences dans le monde entier.
En 2017, Gitaï est professeur invité à l'Université de Californie, Berkeley, pour une série de cours et de conférences intitulée : « House, City, Border: Poetics and Politics of Israel ».
En 2018-2019, Amos Gitai est Ă©lu professeur au CollĂšge de France sur la chaire de CrĂ©ation artistique, devenant ainsi le premier cinĂ©aste Ă entrer au CollĂšge de France. Sous lâintitulĂ© « Traverser les frontiĂšres », il prĂ©sente une sĂ©rie de neuf cours, disponibles en ligne, mettant en avant les spĂ©cificitĂ©s dâune pratique radicale du cinĂ©ma : « le documentaire comme mĂ©taphore ; « Ce nâest pas moi qui politise mes films, ce sont mes films qui mâont politisĂ© » ; « filmer la guerre » ; « espace et structure, cinĂ©ma et architecture » ; « cinĂ©ma et histoire ; « le cinĂ©ma est-il plus autoritaire que la littĂ©rature ? » ; « mythologies et mĂ©moires collectives » ; « chronique d'un assassinat ». Sa leçon inaugurale prononcĂ©e le 16 octobre 2018 a Ă©tĂ© publiĂ©e sous le titre La camĂ©ra est une sorte de fĂ©tiche (CollĂšge de France/Fayard, 2019). Ă la suite de ces leçons, a Ă©tĂ© organisĂ© les 6 et 7 juin, toujours au CollĂšge de France, un colloque international intitulĂ© « Le processus de crĂ©ation : contradictions, Ă©thique, (rĂ©)interprĂ©tations », Amos Gitai et lâenjeu des archives - CollĂšge de France (openedition.org)
« Filmer, câest prendre une sĂ©rie de dĂ©cisions qui dĂ©terminent non seulement ce qui sera inclus dans le cadre mais aussi ce qui nây sera pas. Cela signifie que nos choix comprennent une part de mise Ă distance et de marginalisation. La camĂ©ra, comme le cinĂ©ma, produit un document subjectif. Elle exprime un point de vue particulier. Amos Gitai, La camĂ©ra est une sorte de fĂ©tiche (CollĂšge de France/Fayard, 2019).
Amos Gitai a Ă©tĂ© Ă©galement professeur invitĂ© en 2018 Ă Columbia University ; en 2021 Ă lâUniversitĂ© de Tel-Aviv et en 2021-2022 au Van Leer Institute, JĂ©rusalem, pour une sĂ©rie de confĂ©rences sous le titre : « Transition, Crossing, Border ».
Architecture
En 2014, la CitĂ© de lâArchitecture et du patrimoine (Paris), organise huit rencontres dâAmos Gitai avec divers invitĂ©s, basĂ©es sur sa sĂ©rie documentaire « Architecture en IsraĂ«l/Conversations avec Amos Gitai » (2012), composĂ©e de 16 films de 23 minutes. Dans cette sĂ©rie, Gitai rencontre des architectes, des sociologues, des archĂ©ologues, des chercheurs, des Ă©crivains, des thĂ©ologiens, et converse avec eux, Ă partir de lâhistoire et de lâactualitĂ© de la Palestine et dâIsraĂ«l â pĂ©riode ottomane, mandat britannique, habitat bĂ©douin, architecture Ă©clectique, brutaliste, moderneâŠâ sur des thĂ©matiques architecturales et urbanistiques. Dans chaque Ă©pisode, des matĂ©riaux dâarchives â photos, plans, dessins dâarchitecture, etc. illustrent ces conversations. Lors des rencontres organisĂ©es par la CitĂ© de lâArchitecture et du Patrimoine, des invitĂ©s confrontent leurs points de vue sur une discipline qui reste, sous bien des aspects, un tropisme essentiel du rĂ©alisateur.
Dans les annĂ©es 2010, Amos Gitai crĂ©e Ă HaĂŻfa, en collaboration avec la municipalitĂ© de HaĂŻfa et la SociĂ©tĂ© des musĂ©es de HaĂŻfa, le Munio Weinraub Gitai Architecture Museum dans lâancien atelier dâarchitecte de son pĂšre. Chaque annĂ©e, le musĂ©e accueille des expositions temporaires sur l'architecture israĂ©lienne et internationale, et organise des rencontres avec des architectes et des artistes qui sâintĂ©ressent Ă l'architecture et Ă lâurbanisme. Les expositions, thĂ©matiques ou monographiques, visent Ă provoquer des discussions et des Ă©changes concernant l'architecture et sa place dans la sociĂ©tĂ©.
Filmographie
Longs métrages
- 2020 : Laila in Haifa
- 2019 : Un tramway Ă JĂ©rusalem
- 2019 : Lettre Ă un ami de Gaza
- 2017 : Ă l'ouest du Jourdain
- 2015 : Le Dernier Jour d'Yitzhak Rabin
- 2014 : Tsili
- 2013 : Ana Arabia
- 2011 : Lullaby to my Father (en)
- 2011 : Roses à crédit
- 2010 : La Guerre des fils de lumiÚre contre les fils des ténÚbres
- 2009 : Carmel (it)
- 2008 : Plus tard tu comprendras
- 2007 : DĂ©sengagement
- 2005 : Free Zone
- 2004 : Terre promise
- 2003 : Alila
- 2002 : Kedma
- 2001 : Eden
- 2000 : Kippour
- 1999 : Kadosh
- 1998 : Yom Yom
- 1995 : Devarim
- 1993 : Golem, le jardin pétrifié
- 1992 : Golem, l'esprit de l'exil
- 1991 : Naissance d'un Golem
- 1989 : Berlin-JĂ©rusalem
- 1985 : Esther
Courts métrages
- 1972
- Arts and Crafts and Technology
- Details of Architecture
- Black is White
- Textures
- La GĂ©ographie selon l'homme moderne et le contrĂŽle de l'environnement
- Souk / Dialogues de Femmes
- Vagues (Galim / The Sea)
- Windows in David Pinsky No 5
- Souvenirs d'un camarade de la 2e Aliya
- 1973
- Images de Guerre 1, 2, 3
- Fire is Paper, Paper is Fire
- Ahare
- Talking about Ecology
- 1974
- Images d'AprĂšs-Guerre
- Shosh
- Arlington U.S.A.
- MaĂŻm (Water)
- Memphis U.S.A. (Faces)
- Memphis U.S.A. (suite)
- Pictures in the Exhibition
- The International Orthodontist Congress
- 1975
- Blowing Glass
- Lucie
- Ma mĂšre au bord de la mer
- 1976
- Charisma
- 1977
- Dimitri
- La FrontiĂšre
- Political Myths
- Shikun
- Singing in Afula
- Under the Water
- 1978
- Architectura
- Wadi Rushima
- 1979
- Carter en visite en Israël
- Cultural Celebrities
- 1994
- Munio Weinraub Gitai Architect (1909- 1970)
- 2001
- Surgeon Generalâs Warning
- 2002
- 11'09"01 - September 11 (segment)
- 2007
- Le Dibbouk de HaĂŻfa
- 2014
- The Book Of Amos (segment)
Documentaires
- 1980 : Bait (House)
- 1980 : In Search of Identity
- 1981 : American Mythologies
- 1981 : Wadi
- 1982 : Journal de campagne (Field Diary, Yoman Sade ŚŚŚŚ Ś©ŚŚ)
- 1984 : Ananas
- 1984 : Bangkok Bahrain
- 1984 : Reagan : Image for Sale
- 1987 : Brand New Day
- 1991 : Wadi, dix ans aprĂšs
- 1992 : Gibellina, MĂ©tamorphose dâune mĂ©lodie
- 1993 : La Guerre des Fils de LumiĂšre contre les Fils des TĂ©nĂšbres
- 1993 : Kippour, souvenirs de guerre
- 1993 : Dans la vallée de la Wupper (In the Valley of the Wupper)
- 1993 : Au nom du Duce (In the Name of the Duce)
- 1994 : Queen Mary â87
- 1994 : Donnons une chance Ă la paix
- Parcours politique
- Paroles dâĂ©crivains
- Théùtre pour la vie
- Au pays des oranges
- 1996 : L'ArĂšne du meurtre
- 1996 : Milim/Mots
- 1997 : Guerre et Paix Ă Vesoul (avec Elia Suleiman)
- 1998 : Une Maison Ă JĂ©rusalem
- 1998 : Tapuz
- 1998 : Zion, Auto-Emancipation
- 2001 : Wadi Grand Canyon 2001
- 2005 : News from Home / News from House
- 2012 : Architecture en Israël / Conversations avec Amos Gitai
Expositions
- Promised Lands, Palazzo Vecchio, Sala d'Arme, Florence, Italy, 2022
- Champs de mémoire, Théùtre de la Ville, Paris, France, 2019
- The Law of the Pursuer, SAVVY Contemporary, Berlin, Allemagne, 2017
- Yitzahk Rabin: Chronique d'un assassinat annoncé, , MAXXI, Rome, Italie, 2016; Bozar-Centre for Fine Arts, Bruxelles, Belgique, 2016; Collection Lambert, Avignon, France, 2016; Galerie 75 Faubourg, Paris, France, 2017
- Amos Gitai Before and After, Galerie Thaddaeus Ropac, Salzbourg, Villa Kast, Autriche, 2015[2]
- Ways/Strade, Palazzo Reale, Milan, 2014-2015.
- Amos Gitai Architecte de la mĂ©moire, CinĂ©mathĂšque française, Paris, France, 2014; MusĂ©e de lâĂlysĂ©e, Lausanne, Suisse, 2015; CinĂ©ma Galeries, Bruxelles, Belgique, 2015
- Amos Gitai Strade | Ways Talking to Gabriele â Carpet â Lullaby to my Father, Palazzo Reale, Salle des Cariatides, Milan, Italie, 2014â1
- Amos Gitai Army Days Horizontal. Army Days Vertical, Galerie Thaddeus Ropac, Espace de Pantin, France, 201
- Las biografĂas de Amos Gitai, Museo Nacional Centro de Arte Reina SofĂa, Madrid, Spain, 201
- Before and After, Galerie Thaddeus Ropac, Espace de Pantin, France, 2014; Villa Kast, Salzbourg, Austria 201
- Disaster â The End of Days, Galerie Thaddeus Ropac, Espace de Pantin, France, 201
- Amos Gitai Architecture de la mĂ©moire, Ăglise des FrĂšres-PrĂȘcheurs, Rencontres photographiques de Arles, France, 2012
- Amos Gitai Architetture della memoria, Mole Antonelliana, Museo Nazionale del Cinema, Turin, Italie, 2011- 2012
- Traces. Lullaby to My Father, Museum of Art, EĂŻn-Harod, Israel, 2011; Meisterhaus Vassily Kandinsky/Paul Klee â Dining room, Bauhaus, Dessau, Germany, 2011
- Traces. Efratiaâs Correspondence, Museum of Art, EĂŻn-Harod, Israel, 2011
- Traces - Munio Gitai Weinraub, Museum of Art, EĂŻn-Harod, Israel, 2011
- Amos Gitai Traces, Palais de Tokyo, Paris, France, 2011[3]
- Lullaby for my father, a video presentation in Kibbutz Kfar Masaryk, Israel, 2010
- Amos Gitai Citations, Biennale Evento, Base sous-marine, Bordeaux, France, 2009
- Munio Weinraub, Amos Gitai Architektur und Film in Israel, Pinakothek der Moderne-Architektur Museum, Munich, Germany, 2009; Musée des beaux-arts de Tel Aviv, Israel, 2009[4]
- Amos Gitai: Non-Fiction, MoMA, New York, 2008[5]
- Amos Gitai News From House News From Home, Kunst-Werke (en), Berlin, Germany, 2006; Centre chorégraphique national, Montpellier, France, 2006
- In memory of Munio Gitai Weinraub, Centre Pompidou, Paris, France, 2006
- Amos Gitai Parcours, Centre Pompidou, Paris, France, 2003
- Public Housing, Museum of Art, EĂŻn-Harod, Israel; Herzliya museum of contemporary art (en), Herzliya, Israel; Saitama Museum of Modern Art, Saitama, Japan, 2000; Jerusalem Museum, Israel, 1994
- Opening Chen Zhen, Helena Rubinstein Pavillon, Tel Aviv, Israel, 1998
- Recycling Exhibition, Israel Museum, Jerusalem, Israel, 1975
Théùtre
- Yitzhak Rabin: Chronicle of an Assassination, Théùtre de la Ville, Paris, France, 2021; Coronet Theater of London, UK, 2021; Philharmonie de Paris, France, 2018; John Anson Ford Theater, Los Angeles, USA, 2017; Lincoln Center Festival, New York, USA, 2017; Festival d'Avignon, France, 2016[6]
- Exile Intérieur, Théùtre de la Ville, Paris, France, 2020
- Lettre à un ami de Gaza, Théùtre de la Ville, Paris, France', 2019; Coronet Theater of London, Londres', Grande-Bretagne, 2019
- Otello, Teatro di San Carlo, Naples, Italy, 2016
- Lecture Efratia Gitai Correspondance, OdĂ©on-ThĂ©Ăątre de lâEurope, Paris, France, 2010;Coronet Theater of London, UK, 2019; MoMa, New York, USA, 2020
- La Guerre des fils de lumiĂšre contre les fils des tĂ©nĂšbres, OdĂ©on-ThĂ©Ăątre de lâEurope, Paris, France 2010; Festival d'Avignon, France, 2009; Fortress Rumeli Hisari, Istanbul, Turkey, 2009; Biennale de Venise, Italy, 1993[7] - [8]
- Lecture de la correspondance dâEfratia Gitai par Jeanne Moreau, thĂ©Ăątre de l'OdĂ©on, , diffusĂ©e sur France Culture (9 Ă©pisodes, ); Cornoet Theater of London, Londres, Grande-Bretagne, 2019; MoMA, New York, USA, 2020
- MĂ©tamorphose dâune mĂ©lodie, Biennale de Venise, 1993; Gibellina, Sicily, Italy, 1992[9]
- House, 2023, Théùtre national de la Colline, adaptation de la série documentaire House commencée en 1980
Publications
- Amos Gitai / Yitzhak Rabin Chroniques d'un assassinat, Antoine de Baeque, Patrick Boucheron, Ouzi Elyada, Amos Gitai, Marie-JosĂ© Sanselme, Ăditions Gallimard / BibliothĂšque nationale de France, Paris, 2021
- Efratia Gitai Correspondence, Rivka Markovizky (ed.), CPL Editions (Memoirs & Biographies) Centro Primo Levi, New York, 2018 â (ISBN 1941046258); (In Hebrew) Yediot Aharonot, Tel-Aviv, 2011
- Efratia Gitai, Correspondance (1929â1994), Rivka Markovizky (dir.), Ăditions Gallimard, Paris, 2010
- GenĂšses, Jean-Michel Frodon, Amos Gitai, Marie-JosĂ© Sanselme, Ăditions Gallimard, Paris, 2009
- Munio Weinraub / Amos Gitai â Architektur und Film in Israel, Architektur Museum - Pinakothek der Moderne, Munich, 2008
- News from Home, Amos Gitai, Walther König, Köln, 2006
- Monte Carmelo, Amos Gitai, Bompiani, Milano, 2004
- Mont Carmel, Amos Gitai, Ăditions Gallimard, 2003
- Parcours, Amos Gitai, Centre Pompidou, Paris, 2003
- Kippour (scénario), Amos Gitai, Marie-José Sanselme, Arte Editions / 00h00.com, Paris, 2003
- The War of the Sons of Light Against the Sons of Darkness, Amos Gitai, Mazzotta, Milano, 1993
Publication sur le travail de Amos Gitai
- Amos Gitai et l'enjeu des archives, Jean-Michel Frodon (dir.), préface de Patrick Boucheron, éditions Sébastien Moreu, Paris, 2021
- Amos Gitai, Galerie Enrico Navarra, Ă©ditions SĂ©bastien Moreu, Paris, 2016
- Amos Gitai architecte de la mĂ©moire, Serge Toubiana, Paul Willemen, Jean-Michel Frodon, Hans Ulrich Obrist, Annette Michelson, Marie-JosĂ© Sanselme, Mathieu OrlĂ©an, Ăditions Gallimard/CinĂ©mathĂšque française, Paris, 2014
- GenĂšses, Jean-Michel Frodon, Amos Gitai, Marie-JosĂ© Sanselme, Ăditions Gallimard, Paris, 2009.
- Cinema di Amos Gitai: Frontiere e territori (Il), Serge Toubiana, Bruno Mondadori, Torino, 2006
- Amos Gitai: News from Home, Walther König, Köln, 2006
- The Cinema of Amos Gitai, Serge Toubiana, Baptiste Piégay, Lincoln Center / Cahiers du cinéma, Paris, 2005
- Amos Gitai, Serge Toubiana, Mostra internacional de cinema / Cosac Naify, SĂŁo Paulo, 2004
- Exilios y territories, el cine de Amos Gitai, Serge Toubiana, Baptiste Piégay, Semana Internacional de Cine, Valladolid, 2004
- Exils et territoires: le cinéma d'Amos Gitai, Serge Toubiana, Baptiste Piégay, Arte Editions / Cahiers du cinéma, Paris, 2003
- Amos Gitai, Cinema, Politics, Aesthetics, Irma Klein, KM, Tel Aviv, 2003
- Amos Gitai, Cinema forza di pace, Edited by Daniela Turco, Le Mani, Genova, 2002
- Munio Gitai Weinraub, Bauhaus architect in Israel, Richard Ingersoll, Electa, Milano, 1994
- The Films of Amos Gitai, a Montage, Edited by Paul Willemen, BFI Publishing, London, 1993
- Amos Gitai, Edited by Alberto Farassino, Mostra Internazionale Riminicinema, Rimini, 1989
Distinctions
Prix
- 1989 : Prix Filmcritica "Bastone Bianco" - Mention spéciale à la Mostra de Venise pour Berlin-Jérusalem
- 1998 : Prix Wolgin au Festival de JĂ©rusalem pour Yom Yom
- 1998 : Meilleur scénario israélien au Festival de Jérusalem pour Yom Yom
- 1999 : Prix UNESCO Ă la Mostra de Venise pour Zion, Auto-Ămancipation
- 2000 : BAFTA du meilleur film Ă©tranger pour Kadosh
- 2000 : Prix François-Chalais au Festival de Cannes pour Kippour
- 2002 : Prix UNESCO Ă la Mostra de Venise pour 11'09"01 - September 11
- 2004 : Prix CinemaAvvenire Ă la Mostra de Venise pour Terre promise
- 2005 : Prix Roberto Rossellini au Festival de Cannes
- 2008 : LĂ©opard d'honneur du 61e festival de Locarno pour l'ensemble de son Ćuvre
- 2013 : Prix Robert Bresson Ă la Mostra de Venise
- 2013 : Green Drop Award Ă la Mostra de Venise pour Ana Arabia
- 2013 : Prix SIGNIS - Mention honorable Ă la Mostra de Venise pour Ana Arabia
- 2014 : Prix Paradjanov
- 2015 : Mousse dâOr Ă la Mostra de Venise pour Le Dernier Jour d'Yitzhak Rabin
- 2015 : Human Rights Film Network Award Ă la Mostra de Venise pour Le Dernier Jour d'Yitzhak Rabin
- 2018 : Prix UNIMED Ă la Mostra de Venise pour Un tramway Ă JĂ©rusalem
- 2018 : Human Rights Film Network Award Ă la Mostra de Venise pour Lettre Ă un ami de Gaza
Nominations et sélections
- Pour Berlin-JĂ©rusalem
- 1989 : Lion dâor Ă la 46e Mostra de Venise
- Pour Yom Yom
- Pour Kadosh :
- 1999 : Palme d'or au 52e Festival de Cannes
- 1999 : Grand Prix au 52e Festival de Cannes
- 1999 : Prix du jury au 52e Festival de Cannes
- 1999 : Prix de la mise en scĂšne au 52e Festival de Cannes
- 1999 : Ophir du meilleur réalisateur et Ophir du meilleur scénario (avec Eliette Abecassis)
- Pour Kippour :
- 2000 : Palme d'or au 53e Festival de Cannes
- 2000 : Grand Prix au 53e Festival de Cannes
- 2000 : Prix du jury au 53e Festival de Cannes
- 2000 : Prix de la mise en scĂšne au 53e Festival de Cannes
- 2000 : Mention spéciale pour l'ensemble des acteurs au 53e Festival de Cannes
- 2000 : Ophir du meilleur réalisateur
- Pour Eden :
- 2001 : Lion dâor Ă la 58e Mostra de Venise
- Pour Kedma :
- 2002 : Palme d'or au 55e Festival de Cannes
- 2002 : Grand Prix au 55e Festival de Cannes
- 2002 : Prix du jury au 55e Festival de Cannes
- 2002 : Prix de la mise en scĂšne au 55e Festival de Cannes
- Pour 11'09"01 - September 11 :
- Pour Alila :
- 2003 : Lion dâor Ă la 60e Mostra de Venise
- Pour Terre promise :
- 2004 : Lion dâor Ă la 61e Mostra de Venise
- Pour Free Zone
- 2005 : Palme d'or au 58e Festival de Cannes
- 2005 : Grand Prix au 58e Festival de Cannes
- 2005 : Prix du jury au 58e Festival de Cannes
- 2005 : Prix de la mise en scĂšne au 58e Festival de Cannes
- 2005 : Prix de l'Ăducation nationale au 58e Festival de Cannes
- Pour Ana Arabia :
- 2013 : Lion dâor Ă la 70e Mostra de Venise
- 2013 : Grand prix du jury Ă la 70e Mostra de Venise
- 2013 : Prix FIPRESCI Ă la 70e Mostra de Venise
- 2013 : Prix spécial du jury à la 70e Mostra de Venise
- Pour Le Dernier Jour d'Yitzhak Rabin :
- 2015 : Lion dâor Ă la 72e Mostra de Venise
- 2015 : Prix du meilleur scénario à la 72e Mostra de Venise
- 2015 : Green Drop Award Ă la 72e Mostra de Venise
- Pour Ă l'ouest du Jourdain :
- 2017 : Ćil d'or au 70e Festival de Cannes
- Pour Laila in Haifa :
- 2020 : Lion dâor Ă la 77e Mostra de Venise
- 2020 : Queer Lion Ă la 77e Mostra de Venise
Livres sur le travail d'Amos GitaĂŻ
- Amos Gitai et l'enjeu des archives, sous la direction de Jean-Michel Frodon, Ă©ditions SĂ©bastien Moreu/CollĂšge de France, Paris, 2021
- Amos Gitai, Galerie Enrico Navarra, Ă©ditions SĂ©bastien Moreu, Paris, 2016
- Amos Gitai architecte de la mĂ©moire (par Serge Toubiana, Paul Willemen, Jean-Michel Frodon, Hans Ulrich Obrist, Annette Michelson, Marie-JosĂ© Sanselme, Mathieu OrlĂ©an), Paris, Ăditions Gallimard/CinĂ©mathĂšque française, 2014
- GenĂšses, Jean-Michel Frodon, Amos Gitai, Marie-JosĂ© Sanselme, Ăditions Gallimard, Paris, 2009.
- Cinema di Amos Gitai: Frontiere e territori (Il), Serge Toubiana, Bruno Mondadori, Torino, 2006
- Amos Gitai: News from Home, Walther König, Köln, 2006
- The Cinema of Amos Gitai, Serge Toubiana, Baptiste Piégay, Lincoln Center / Cahiers du cinéma, Paris, 2005
- Amos Gitai, Serge Toubiana, Mostra internacional de cinema / Cosac Naify, SĂŁo Paulo, 2004
- Exilios y territories, el cine de Amos Gitai, Serge Toubiana, Baptiste Piégay, Semana Internacional de Cine, Valladolid, 2004
- Exils et territoires: le cinéma d'Amos Gitai, Serge Toubiana, Baptiste Piégay, Arte Editions / Cahiers du cinéma, Paris, 2003
- Amos Gitai, Cinema, Politics, Aesthetics, Irma Klein, KM, Tel Aviv, 2003
- Amos Gitai, Cinema forza di pace, Edited by Daniela Turco, Le Mani, Genova, 2002
- The Films of Amos Gitai, a Montage, Edited by Paul Willemen, BFI Publishing, London, 1993
- Amos Gitai, Edited by Alberto Farassino, Mostra Internazionale Riminicinema, Rimini, 1989
Films sur le travail d'Amos GitaĂŻ
Le travail d'Amos Gitaï est le sujet de trois films documentaires réalisés par Laurent Roth :
- Amos Gitai, la Violence et l'histoire (production INA - 75' - 2020)
- Amos Gitai, Yitzhak Rabin, Gestes de mémoire (production INA - 60' - 2020)
Ces deux films sont conçus comme une visite d'atelier oĂč Amos Gitai et Laurent Roth commentent des extraits de films, de dessins, des photos projetĂ©s sur grand Ă©cran. Ils reviennent sur les dĂ©buts et les influences du cinĂ©aste israĂ©lien, puis sur ses Ćuvres dĂ©diĂ©es Ă Yitzakh Rabin, qui dĂ©noncent les dĂ©rives sectaires de la sociĂ©tĂ© israĂ©lienne[11]. La version de 60' est exclusivement consacrĂ©e au corpus sur Yitzakh Rabin, Ă l'occasion du 25e anniversaire de son assassinat[12].
- HaĂŻfa, la Rouge (production INA - 15' - 2020)
Amos GitaĂŻ dessine trois cartes de gĂ©ographie de sa ville natale: les lieux oĂč son pĂšre (l'architecte Munio GitaĂŻ Weinraub) a construit, les lieux oĂč il a grandi et les lieux oĂč il a tournĂ©.
Notes et références
- https://www.lemonde.fr/cinema/article/2017/10/11/a-l-ouest-du-jourdain-images-rapides-d-un-conflit-sans-fin_5199144_3476.html
- « Amos Gitaï »
- Nirit Anderman, « Amos Gitai exhibit on father opens in Paris - Haaretz Daily Newspaper | Israel News » [archive du ], Haaretz.com (consulté le )
- « Architekturmuseum der TU MĂŒnchen [Exhibitions] » [archive du ], Architekturmuseum.de (consultĂ© le )
- « MoMA | MoMA Presents: Amos Gitai's News from Home/News from House » [archive du ], Google.co.il (consulté le )
- http://www.festival-avignon.com/fr/.html
- « Amos Gitai Finds Inspiration in Josephus »,
- http://greekfestival.gr/festival_events/%e2%80%8bamos-gitai-2009/?lang=en
- « Metamorphosis of a Melody | the Films of Amos Gitai »
- DĂ©cret du 14 avril 2017 portant promotion et nomination
- « Fiche du film sur film-documentaire.fr », sur film-documentaire.fr
- Julien Welter, « Amos GitaĂŻ : Yitzhak Rabin, gestes de mĂ©moire », TĂ©lĂ©rama,â (lire en ligne)
Voir aussi
Bibliographie
- Amos Gitai et l'enjeu des archives, sous la direction de Jean-Michel Frodon, Ă©ditions SĂ©bastien Moreu/CollĂšge de France, Paris, 2021
- Amos Gitai, Galerie Enrico Navarra, Ă©ditions SĂ©bastien Moreu, Paris, 2016.
- Amos Gitai architecte de la mĂ©moire (par Serge Toubiana, Paul Willemen, Jean-Michel Frodon, Hans Ulrich Obrist, Annette Michelson, Marie-JosĂ© Sanselme, Mathieu OrlĂ©an), Paris, Ăditions Gallimard/CinĂ©mathĂšque française, 2014.
- Jean-Michel Frodon, Amos Gitai et Marie-José Sanselme, Amos Gitai : genÚses, Paris, Gallimard, , 397 p. (ISBN 978-2-07-077141-7, OCLC 470880898).
- (en) Efratia Gitai â letters, Yediot books, Israel, 2011.
- Efratia Gitai, Correspondance (1929â1994), Gallimard, Paris, 2010.
- GenĂšses, Jean-Michel Frodon, Amos Gitai, Marie-JosĂ© Sanselme, Ăditions Gallimard, Paris, 2009.
- (en) Amos Gitai : News from Home, Walther König, Köln, 2006.
- (it) Cinema di Amos Gitai : Frontiere e territori (Il), Serge Toubiana, Bruno Mondadori, Torino, 2006.
- (en) The Cinema of Amos Gitai, Serge Toubiana, Baptiste Piégay, Lincoln Center / Cahiers du cinéma, Paris, 2005.
- (it) Monte Carmelo, Amos Gitai, Bompiani, Milano, 2004.
- Amos Gitai, par Serge Toubiana, Mostra internacional de cinema / Cosac Naify, SĂŁo Paulo, 2004.
- (es) Exilios y territories, el cine de Amos Gitai, Serge Toubiana, Baptiste Piégay, Semana Internacional de Cine, Valladolid, 2004.
- Parcours, Amos Gitai, Centre Pompidou, Paris, 2003.
- Mont Carmel, Amos Gitai, Gallimard, 2003.
- Exils et territoires : le cinĂ©ma d'Amos Gitai, Serge Toubiana, Baptiste PiĂ©gay, Arte Ăditions / Cahiers du cinĂ©ma, Paris, 2003.
- (en) Amos Gitai, Cinema, Politics, Aesthetics, par Irma Klein, HaKibboutz Hameuhad, Tel Aviv, 2003.
- (it) Amos Gitai, Cinema forza di pace, édité par Daniela Turco, Le Mani, Genova, 2002.
- Ariel Schweitzer, « Esther ou le Pourim-Shpil dâAmos GitaĂŻ », in Trafic, no 40, 2001.
- (en) Munio Gitai Weinraub, Bauhaus architect in Israel, Richard Ingersoll, Electa, Milano, 1994.
- (en) The War of the Sons of Light Against the Sons of Darkness, Amos Gitai, Mazzotta, Milano, 1993.
- (en) The Films of Amos Gitai : A Montage, Paul Willemen (Ed.), BFI Publishing, London, 1993.
- Amos Gitai, Alberto Farassino (Ed), Mostra Internazionale Riminicinema, Rimini, 1989.
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives Ă l'audiovisuel :
- Africultures
- Allociné
- Ciné-Ressources
- Unifrance
- (en) AllMovie
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