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1516 en santé et médecine

Fondation

  • À Pézenas en Languedoc, réunion de la maladrerie, de deux maisons de charité et d'un établissement attesté dès , pour former un « hôpital des pauvres » qui sera reconstruit en sous le nom d'hôpital Saint-Jacques et qui restera en activité jusqu’au XXe siècle[1].

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Références

  1. « Hôpital Saint-Jacques de Pézenas », Archives départementales de l'Hérault, Montpellier, 2009 [lire en ligne (page consultée le 13 février 2021)].
  2. Guy Durand et al., Histoire de l’éthique médicale et infirmière : Contexte socioculturel et scientifique, Montréal, Presses de l’Université de Montréal, (ISBN 979-10-365-1363-3, lire en ligne), chap. 3 : « La Renaissance (XVe et XVIe siècles) », [§ 115 en ligne].
  3. (es) Alonso de Santa Cruz et Juan de Mata Carriazo (es) (éd.), Crónica de los Reyes Católicos, t. 2 : 1505-1516, Séville, Escuela de Estudios Hispano Americanos, .
  4. Flora Ramires, « Le Poison chez les Trastamare », Cahiers de recherches médiévales, vol. 17, , p. 53-69, [§ 15 et n. 15 en ligne] (lire en ligne, consulté le ).
  5. Jean-Eugène Dezeimeris, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, t. 1, Béchet jeune, (lire en ligne).
  6. (la) Symphorien Champier, Symphonia Platonis cum Aristotele et Galeni cum Hippocrate, D. Symphoriani Champerij. Hippocratica philosophia eiusdem. Platonica medicina de duplici mundo cum eiusdem scholijs. Speculum medicinale platonicum, et apologia literarum humaniorum, Paris, Iodoco Badio, , 1re éd., 172 p. (lire en ligne sur Gallica).
  7. Philippe Bonnichon, Marine Fontaine et Jacqueline Vons, « La Chirurgie françoise de Jacques Dalechamps, commentateur de Paul d'Egine », Histoire des sciences médicales, vol. 70, no 1, , p. 94 (lire en ligne).
  8. (la) Jean de Vigo, Practica in arte chirurgica copiosa Joannis de Vigo Julii II Pon[tifici] max[imi] contin[e]ns nove[m libros infrascriptos [etc.], [Lyon], Vincent de Portonaris, [1516] (lire en ligne).
  9. (de) Eduard K. Fueter, « Konrad Gesner », dans Neue Deutsche Biographie, vol. 6 : Gaál-Brasmann, Berlin, Duncker & Humblot, , XV-784 p. (lire en ligne), p. 342-345.
  10. (it) Alessandro Pastore, « Grataroli, Guglielmo », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 58, Istituto Treccani, (lire en ligne).
  11. Jean Starobinski, « La Découverte de la psychologie », dans L'Époque de la Renaissance, t. 4 : Crises et essors nouveaux (1560-1610), Amsterdam et Philadelphia, John Benjamins Publishing Company, coll. « Histoire comparée des littératures de langues européennes », (ISBN 90-272-3446-9, lire en ligne), p. 335.
  12. Sz. Jónás Ilona (hu), « Le Déchaînement de la violence et ses répercussions littéraires », dans L' Époque de la Renaissance, t. 4 : Crises et essors nouveaux (1560-1610), Amsterdam et Philadelphia, John Benjamins Publishing Company, coll. « Histoire comparée des littératures de langues européennes », (ISBN 90-272-3446-9, lire en ligne), p. 41.
  13. Thibaut Maus de Rolley, « La Part du diable : Jean Wier et la Fabrique de l’illusion diabolique », Tracés : Revue de sciences humaines, vol. 8, , p. 29-46 (lire en ligne).
  14. « Colombo, Realdo », Base biographique, Bibliothèque interuniversitaire de santé, université de Paris, s. d. [lire en ligne (page consultée le 12 février 2021)].
  15. (it) Carlo Colombero, « Colombo, Realdo », dans Dizionario biografico degli Italiani, vol. 27, Istituto Treccani, (lire en ligne).
  16. Pierre Le Clercq, « René Martineau, médecin à Auxerre au XVIe siècle : Essai de biographie », Cahiers généalogiques de l'Yonne, vol. 12, , p. 42 (lire en ligne).
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