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Too Much Pussy!

Too Much Pussy! (sous-titré Feminist Sluts, A Queer X Show) est un documentaire d'Émilie Jouvet sorti en 2010. Une version « hard », intitulée Much More Pussy!, est sortie en 2011.

Too Much Pussy!
Feminist Sluts, A Queer X Show

Réalisation Émilie Jouvet
Pays de production Drapeau de la France France
Genre Documentaire, road-movie
Durée 80 minutes
Sortie 2010

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Synopsis

Un road-movie documentaire sur la tournĂ©e de femmes artistes queers nord-amĂ©ricaines et europĂ©ennes, entre les discussions pendant les trajets en minibus, les haltes dans des squats Ă  roulottes allemands et les performances burlesques et feministes pro-sexe (le « queer X show Â») sur des scènes des villes europĂ©ennes en Ă©tĂ© 2009.

Fiche technique

Distribution

Dj Metzgereischnitzlbaumer / Ena LindDrapeau de l'Allemagne Allemagne
Judy MinxDrapeau de la France France
Mad Kate / Kathryn FischerDrapeau de l'Allemagne Allemagne / Drapeau des États-Unis États-Unis
Madison YoungDrapeau des États-Unis États-Unis
Sadie LuneDrapeau des États-Unis États-Unis
Wendy DelormeDrapeau de la France France
  • Alexandra
  • Audacia Ray
  • Bird La Bird
  • Chriss Lag
  • Christine Guun
  • Christiana Pena
  • Elvis
  • Flozif
  • GG
  • InĂŞs Lamim
  • James Velo
  • Jessica Batut
  • Jules Fogarty
  • Julia Ostertag
  • Mademoiselle Kla
  • Mathilda M.
  • Miss S. Purple
  • Mister Mister
  • Monsieur Katia
  • Pouch

Lieux des représentations

  • Las Ninas, Metro Annessens, Bruxelles
  • A Glitter Circus, Le Tango, Paris
  • Cabaret Zoo, Chez RĂ©gine, Paris
  • Les Souffleurs, Paris
  • Kingdom of Cologne, Tsunami Club, Cologne
  • L.U.X. Club, Berlin
  • Barbie Deinhoffs, Berlin
  • BKA Theater, Berlin
  • Monster Ronsons, Berlin
  • Schwarzer Kanal, Berlin
  • Skin, The Pussy Edition, Salt Club, Copenhague
  • Art Rebels Gallery, Copenhague
  • Institutet, D'NYE, Malmö
  • Queer all stars, Kolingsborg, Stockholm

Bande originale

  • Actor Slash Model : Dealings and such
  • Atone&Me : Respect my Sin
  • Axelle Roch : Slapping Dancing, Something Stupid
  • Black Humos : Undancing in the Dirt
  • Charlene Darling & Oso El Roto : La petite fille drague le vieux
  • Chose Chaton : Summer Love
  • Di Di Mao : Untitled, Baritone
  • Electrosexual : Voices from Under the Ground Feat. Mad Kate
  • Flaming Pussy : The Driver
  • Full Moon Partisan : Untitled
  • Huh-Uh : Castles
  • Juan de ChamiĂ© : Step Jazz
  • Khan : Strip down, On the run
  • Le Tigre : Deceptacon
  • Lorena & the Bobbits ! We're queer
  • Mirror Mirror : New Horizons
  • Monsieur K. & Antoine Bernollin : Pour quelques sous
  • Mz Sunday Luv : Flowers
  • Mz Sunday Luv & The Piano Follie : Prince of Birds
  • Nad Mika : Girlfriend
  • Nico Lippolis & Giorgio from Sardenia : Maranzani
  • Noblesse oblige : Bitch, Caligula
  • Petra Flurr : Mildred Kemp
  • Sabrina Chap : Never been a bad girl
  • Scream Club & The Shoes : Keep that control
  • Softserve : Fauxnk, PrĂ©cipitation, Porcelainfold, Untitled 10
  • The Graves Brothers Deluxe : Drinking at the Sea Star

Accueil critique

  • « VoilĂ  la version docu et lesbienne de TournĂ©e, de Mathieu Amalric ! [...] Au-delĂ  de son postulat sympathique, ce documentaire manque d'un point de vue. [...] Une succession de moments in et off, de vraies-fausses saynètes un brin inutiles et beaucoup (trop) de provoc vaine suscitent un vague intĂ©rĂŞt pour ce monde vibrionnant et inconnu, sans jamais le maintenir tout Ă  fait. Â» d'après Isabelle Danel dans Première[3]
  • « Road trip haut en couleurs de performeuses lesbiennes influencĂ©es par les grandes figures du fĂ©minisme queer et post porn. Ou quand le sexe faible fait très fort ! Â» d'après SĂ©bastien Mauge dans aVoir-aLire [4]
  • « Emilie Jouvet met les formes : son film est soignĂ© et la bande originale dĂ©tonne. Mais les « performeuses » ne convainquent pas. On aurait envie de comprendre comment, au-delĂ  de l'exhibition, elles utilisent leur sexualitĂ© comme instrument de libertĂ©, d'indĂ©pendance et mĂŞme de discours politique. Mais elles ne nous disent guère plus que leur dĂ©sir d'assumer leurs fantasmes et de jouir comme elles veulent. On ne peut qu'approuver, bien sĂ»r, sans avoir forcĂ©ment besoin, ni envie, d'en ĂŞtre les tĂ©moins. Too much pussy, indeed. Â» d'après Juliette BĂ©nabent dans TĂ©lĂ©rama [5]
  • « Magnifique ode Ă  la femme sous toutes ses formes, dont on ressort inĂ©vitablement plein d'une Ă©nergie solaire, Too Much Pussy ! est une invitation Ă  jouir sans entrave, Ă  ne pas se sentir confinĂ© dans des genres prĂ©dĂ©finis pour se construire sa propre identitĂ© sans se soucier des normes et surtout Ă  s'intĂ©resser de plus près Ă  cet univers si particuliers. Un très bel hymne queer et rock, qui ne devrait pas tarder Ă  devenir culte. Â» d'après Flavia GuĂ©hĂ©neuc dans Tout le CinĂ© [6]

Notes et références

Liens externes

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