Timimoun
Timimoun (en arabe : ŰȘÙÙ ÙÙ ÙÙ) est une commune de la wilaya de Timimoun en AlgĂ©rie. SituĂ©e entre le Grand Erg Occidental, au Nord, et le plateau du TademaĂŻt, au Sud, elle est la principale oasis de la rĂ©gion du Gourara.
Timimoun | |
Entrée de Timimoun | |
Noms | |
---|---|
Nom arabe | ŰȘÙÙ ÙÙ ÙÙ |
Nom amazigh | â”â”â”â”â”â”â” |
Administration | |
Pays | Algérie |
Wilaya | Timimoun |
DaĂŻra | Timimoun |
Président de l'APC Mandat |
Mohamed Salem Nekkar (MSP) 2007-2012 |
Code postal | 01001 |
Code ONS | 0109 |
Indicatif | 049 |
DĂ©mographie | |
Population | 33 060 hab. (2008[1]) |
Densité | 3,3 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 29° 15âČ nord, 0° 15âČ est |
Altitude | 700 m |
Superficie | 9 936 km2 |
Localisation | |
Localisation de la commune dans l'ancienne wilaya d'Adrar. | |
Liens | |
Site de la commune | www.apc-timimoun.com |
GĂ©ographie
Situation
Le territoire de la commune de Timimoun se situe dans la wilaya de Timimoun. Son chef-lieu est situé à 162 km à vol d'oiseau au nord-est d'Adrar et à 1 216 km par la route au sud d'Alger[2], à 553 km de Béchar, à 360 km d'El Menia et à 630 km de Ghardaïa[3].
Timimoun a une situation centrale dans le Gourara, Ă la limite est du Grand erg occidental[4].
Relief, géologie, hydrographie
Timimoun est située à l'ouest du plateau de Tademaït[2]. La ville domine une sebkha qui porte également le nom de Timimoun et qui était selon des écrits anciens, navigable[5].
Le paysage est le mĂȘme que les autres oasis du Gourara : un village qui surplombe la palmeraie et qui ouvre sur le bassin sĂ©dimentaire de la Sebkha, offrant un panorama sur la partie mĂ©ridionale du Grand Erg Occidental.
- Paysages de Timimoun.
- Paysages de Timimoun.
- Ksar en ruines de Timimoun.
- Paysages de Timimoun.
Dans le Gourara, l'eau provient d'ouvrages souterrains, les foggaras pouvant atteindre unitairement plusieurs dizaines de kilomĂštres[6].
- SystĂšme d'irrigation traditionnel dans la palmeraie de Timimoun,1971.
- SystĂšme d'irrigation traditionnel dans la palmeraie de Timimoun,1971.
- SystĂšme d'irrigation traditionnel dans la palmeraie de Timimoun,1971.
- SystĂšme d'irrigation traditionnel dans la palmeraie de Timimoun,1971.
Transports
Timimoun est desservie par un aéroport situé à 4 km au sud-est de la ville.
Localités de la commune
En 1984, la commune de Timimoun est constituée à partir des localités suivantes[7] :
- Timimoun
- Tala
- Tinoumeur
- Bouyahia
- Ouled Nouh
- Zaouiet Sidi Hadj Belkacem
- BĂ©ni Mahlal
- BĂ©ni Mellouk
- Ouajda
- Taoursit
- Messahel
- Temana
- Azekour
- Tarouaya Alamellal
- Aghiat Macine El Barka Ouamemi Amakbour
- Amezgar
- Kef Elkasbah
- Kef Elksar
- BĂ©ni Guentour Lahmer
- Samjane
- Taounza
- Hiha
- Yakou
- El Kort
- Tilaghmine
- Timazlane
- BĂ©ni AĂŻssi Sidi Mansour Tganet
- Timimoun, l'oasis.
- Timimoun, l'oasis, la sebkha et les premiers cordons dunaires du Grand Erg Occidental à la tombée du jour.
- Un vieux Ksar, dans la sebkhra de Timimoun.
- Bois pétrifié, région de Timimoun.
Histoire
Des Ćuvres rupestres tĂ©moignent d'une occupation humaine de la rĂ©gion dĂšs la prĂ©histoire[2]. Selon les rĂ©cits oraux, la fondation de la ville de Timimoun remonterait au XIIIe siĂšcle. Selon ces rĂ©cits, c'est l'un des saints personnages de la rĂ©gion, Sidi Musa U-Lmesaud, qui aurait rassemblĂ© les habitations dispersĂ©es sur le site pour en faire un ksar, protĂ©gĂ© par des murailles[5].
Timimoun était le centre commercial le plus actif du Gourara, une région particuliÚrement favorable au commerce entre les nomades des Hautes plaines steppiques oranaises et d'El Menia. Dans cette région, les dattes et les produits des palmeraies étaient échangés contre du blé, du thé, du sucre et du beurre[8].
Toponymie
Selon une tradition, Timimoun porterait le nom d'un de ses anciens habitants que la tradition donne comme israélite Mimoun, Timimoun signifiant tin Mimoun, « celle de Mimoun ». Mais Timimoun est sans doute la forme berbérisée d'un mot arabe, maymun, « heureux », et signifierait « l'Heureuse »[5]. Timimoun désigne également un ensemble de petites oasis, situées le long de la sebkha[9].
Administration
Timimoun fait cependant figure de capitale administrative du Gourara depuis le début du XXe siÚcle, et la décision du gouvernement algérien de l'ériger en chef-lieu de daïra a confirmé cette prééminence[10]. En 2015, elle a été érigée en chef-lieu de wilaya déléguée[11]. En 2019, le gouvernement a annoncé la promotion des wilayas déléguées du Sud, en dix nouvelles wilayas[12].
Populations
DĂ©mographie
Selon le recensement général de la population et de l'habitat de 2008, la population de la commune de Timimoun est évaluée à 33 060 habitants contre 28 595 habitants en 1998, dont 22 086 habitants dans l'agglomération chef-lieu[13]. Les agglomérations secondaires et les petits ksour ont perdu de la population entre 1998 et 2008[4].
La population de Timimoun a sextuplĂ© au cours des cinquante derniĂšres annĂ©es passant, elle Ă©tait 3 000 habitants en 1954. LâagglomĂ©ration a connu une croissance dĂ©mographique importante de 1966 Ă 1987. La croissance annuelle moyenne est passĂ©e de 4,3 % pour la dĂ©cennie 66-77 Ă 5,3 % pour la suivante. Le taux dâaccroissement a diminuĂ© aux cours des vingt derniĂšres annĂ©e[4].
Société
La rĂ©gion de Gourara, est caractĂ©risĂ©e par une coexistence de diffĂ©rentes communautĂ©s linguistiques et culturelles. La ville moderne de Timimoun est arabophone, tandis que l'ancien ksar est habitĂ© par des ZĂ©nĂštes berbĂ©rophones[2]. Le village « arabe » datant de la pĂ©riode coloniale, fut dĂšs son origine peuplĂ© par des « Ătrangers» au pays : Chorfa de Metlili, militaires (principalement des mĂ©haristes ChĂąamba du Grand Erg occidental), habitants de l'Ouest oranais[10].
Dans la sociĂ©tĂ© traditionnelle de Gourara, certaines communautĂ©s occupent des positions dominantes par rapport Ă d'autres. Les Chorfas sont considĂ©rĂ©s comme la communautĂ© la plus puissante, tandis que les Mourabitoune sont propriĂ©taires de vergers et de domaines. Les Arabes et les ZĂ©nĂštes, quant Ă eux, sont principalement impliquĂ©s dans le commerce et le pastoralisme. Les Haratins, en revanche, sont considĂ©rĂ©s comme une main-d'Ćuvre servile et vassale, principalement occupĂ©e Ă des tĂąches de force tels que l'entretien des jardins[4].
Les premiers habitants des oasis de Gourara étaient vraisemblablement des populations noires, qui ont progressivement été soumis à la domination de populations berbÚres ZénÚtes sédentarisées à partir des IVe et Ve siÚcles. En parallÚle à cette population berbÚre, il y avait également une population juive[4]. à partir du XIIe siÚcle, des populations arabes s'installent dans les oasis. Plus récemment, des populations nomades issues de l'Oued Righ, du pays Chùamba et des zones steppiques algéro-oranaises, ainsi que des réfugiés du nord maghrébin, se sont installées dans le Gourara. Leur arrivée a modifié la structure sociale de dominance ZénÚte existante[4].
AprĂšs l'indĂ©pendance, la sociĂ©tĂ© gourari, est en voie d'uniformisation, le travail sur les chantiers, les emplois de bureau, l'Ă©migration ont favorisĂ© l'Ă©galitĂ© ; mais dans cette course Ă l'emploi salariĂ©, les Haratin ont Ă©tĂ© les plus ardents, certains ont acquis de solides postes dans l'Administration, les SociĂ©tĂ©s pĂ©troliĂšres; la catĂ©gorie mĂȘme est en voie d'extinction[10]. LâagglomĂ©ration de Timimoun a connu des mutations des hiĂ©rarchies sociales, lâouverture et le dĂ©veloppement du salariat et la rĂ©duction du travail agricole[4].
Urbanisme
L'agglomĂ©ration de Timimoun prĂ©sente deux types de morphologies urbaines distinctes. La partie est de la ville est caractĂ©risĂ©e par des habitations modernes construites durant la pĂ©riode coloniale et qui ont Ă©tĂ© poursuivies de maniĂšre importante aprĂšs lâindĂ©pendance. La partie ouest, quant Ă elle, est formĂ©e par l'ancien ksar, de forme carrĂ©e[2]. Ces deux parties historiques de lâagglomĂ©ration sont sĂ©parĂ©es par lâaxe central de la ville qui est un lieu constant dâanimation et de circulation oĂč les restaurants cĂŽtoient les bĂątiments administratifs, les hĂŽtels et toute sorte de petits commerces. De plus, la palmeraie sâĂ©tend vers lâouest, en gagnant la sebkha[4].
Timimoun a connu une urbanisation rapide depuis les annĂ©es 1950, passant d'une petite bourgade saharienne Ă une agglomĂ©ration urbaine Ă part entiĂšre, suivant un processus gĂ©nĂ©ralisĂ© au Sahara algĂ©rien[4]. Lâextension urbaine s'est faite de part et dâautre des principaux axes routiers suivant une trame orthogonale dĂ©veloppĂ©e Ă partir des annĂ©es 1920. Cependant, la plus grande part de lâurbanisation visible aujourdâhui est due aux extensions rĂ©alisĂ©es aprĂšs l'indĂ©pendance[4]. Le dynamisme urbain se dĂ©place vers la pĂ©riphĂ©rie dans la mesure oĂč de nouveaux quartiers s'Ă©difient en couronne autour du Village, mĂȘlĂ©s Ă ces bĂątiments administratifs[10].
Timmimoub avait un mode dâorganisation classique de lâoasis composĂ©e du ksar, de la palmeraie et de la foggara. L'oasis de Timunon a connu de nombreuses mutations urbaines depuis les annĂ©es 1950. La dominante rurale de lâoasis sâest progressivement rĂ©duite au profit de nouvelles activitĂ©s Ă©conomiques[4]. La promotion administrative sâest traduit par un afflux dĂ©mographique important et une extension spatiale Ă©clatĂ©e le long des axes routiers menant vers Adrar, BĂ©char, Ă El Menia ou encore reliant les ksour qui ceinturent la sebkha[4]. La partie rĂ©cente de lâagglomĂ©ration a concentrĂ© progressivement les principaux Ă©quipements. Cependant, le ksar conserve une vitalitĂ© sociale et Ă©conomique, tout autant quâune valeur symbolique importante[4]. X'est aussi celui oĂč l'on se rend Ă l'occasion des grandes fĂȘtes pour y Ă©couter les ahellil. Le ksar connaĂźt une extension et des mutations, notamment une modification interne des maisons[10].
Le ksar sâest en partie recomposĂ© sur lui-mĂȘme. Ă la diffĂ©rence de nombreux ksour algĂ©riens, le ksar de Timimoun est toujours vivant, habitĂ© et pratiquĂ©[4]. Les maisons traditionnelles sont implantĂ©es de maniĂšre serrĂ©e et contigĂŒe, sĂ©parĂ©es par des ruelles Ă©troites qui se terminent souvent en impasses ou dĂ©bouchent sur des places, Rahba, lieu de rencontre et de sociabilitĂ© pour les habitants du ksar[4]. La palmeraie reprĂ©sente toujours une composante essentielle de l'oasis de Timimoun, elle est actuellement confrontĂ©e au rabattement de la nappe phrĂ©atique et Ă lâextension de la sebkha[4].
Santé
L'hÎpital Mohamed Hachemi de Timimoun est une structure sanitaire, sise dans la commune de Timimoun, qui dépend du centre hospitalier universitaire d'Oran, et qui relÚve de la Direction de la Santé et de la Population (DSP) de la wilaya de Timimoun.
Culture et Patrimoine
Patrimoine
Timimoun est surnommée « l'oasis rouge », connue pour sa couleur ocre, due à l'utilisation de l'argile dans la construction de ses bùtiments. Elle est également réputée pour ses palmiers et sa palmeraie, qui entrent dans la composition de ses bùtiments avec l'utilisation de la paille et du tronc de palmier[3].
La ville abrite un vieux ksar, enfermĂ© dans ses murailles. Au contact du ksar, une ville moderne prĂ©sente une forte animation, et quelques monuments de style « soudanais » comme la porte du Soudan et l'hĂŽtel de l'Oasis Rouge[3]. Timimoun fait partie des « villes rouges » de la rĂ©gion avec Adrar et In Salah, qui sont toutes construites d'argile et dans le mĂȘme style architectural[2].
Lâarchitecture des maisons, nĂ©o-soudanaise, date du dĂ©but du xxe siĂšcle. Elles sont dĂ©corĂ©es dâinscriptions Ă la chaux. La grande rue de Timimoun est longue dâune centaine de mĂštres. On y voit des portiques de style soudanais, un petit kiosque, un chameau dâargile servant de fontaine[6].
L'hÎtel Gourara, construit en 1976 par l'architecte français Fernand Pouillon, est le plus important de la ville et se situe en lisiÚre de celle-ci, au-dessus de l'oasis[8].
Culture
Le patrimoine culturel immatĂ©riel tient une place importante Ă Timimoun[8]. Dans lâesprit des habitants, Timimoun dĂ©signe le plus souvent le groupe dâoasis qui vont de Massine au nord Ă BĂ©ni Mehlal au sud, soit une douzaine de ksour. Câest Ă ce titre que les noms de plusieurs saints lui sont associĂ©s, dont deux des plus importants de la rĂ©gion : SĂźdĂź âUthmĂąn et SĂźdĂź MĂ»sĂą, un saint local et un saint rĂ©gional[9]. SĂźdĂź âUthmĂąn, est associĂ©e lâhistoire de la plus grande et de la plus vieille foggara de Timimoun, est considĂ©rĂ© comme le premier saint patron du ksar. SĂźdĂź MĂ»sĂą est considĂ©rĂ© comme le saint co-patron de Timimoun[9].
Timimoun organise chaque annĂ©e, le septiĂšme jour aprĂšs lâanniversaire du prophĂšte le SbuĂą. Cette fĂȘte dure sept jours et sept nuits. Au bout des sept jours de fĂȘte, les diffĂ©rentes zaouĂŻas, ou confrĂ©ries, se rĂ©unissent, prĂ©cĂ©dĂ©es de leur drapeau, Ă El-Hafra prĂšs du mausolĂ©e de Sidi El-Hadj Belkacem[6]. Cette fĂȘte religieuse est inscrite au patrimoine culturel immatĂ©riel de l'humanitĂ© depuis 2015[14].
Timimoun organise Ă©galement au printemps la fĂȘte du Gourara[6]. Il existe aussi de nombreux rites ancestraux pratiquĂ©s tel que le rituel de la fĂ©condation du palmier dattier ou encore le cĂ©rĂ©monial du thĂ© Ă la menthe[8].
Musique
La musique du Gourara reflÚte la diversité de la population, ainsi le karkabou est d'influence soudanaise, l'ahellil est le chant des ZénÚtes[2], cette musique a été inscrite en 2008 sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité[15].
Il existe Ă©galement les chants de chaulage, ces chants sont interprĂ©tĂ©s par la communautĂ© et les descendants du saint lors du chaulage du sanctuaire. Pendant cette cĂ©rĂ©monie seront interprĂ©tĂ©es par lâensemble : bismi llah, bismi llah, alafdhĂąyal allah dĂąyam bismi llah. Pendant tout le chaulage, le Coran est lu par un autre groupe. Le chaulage se termine par une distribution de dattes et de pain et parfois du couscous[16].
Artisanat
L'artisanat local est principalement reprĂ©sentĂ© par des tentures brodĂ©es et des tapis rouges et verts agrĂ©mentĂ©s de symboles zĂ©nĂštes. Mais câest surtout le travail du cuir qui est important : chaussures et bottes, babouches multicolores, sacs, ceintures et selles de chevaux et de chameaux, des housses de coussins et des fourreaux[6]. En outre, il existe une variĂ©tĂ© de produits artisanaux en laine, poterie, coton, fibre de palmier, bois, sable, vannerie et poils de bĂȘtes. Chaque Ksar est spĂ©cialisĂ© dans la fabrication d'un ou deux produits artisanaux en particulier[8].
- Colorants naturels
- Cuisson de la laine avec les colorants
- Laine teinte
- Tisserande au travail
- Tapis achevé
Notes et références
- [PDF]Recensement 2008 de la population algérienne, wilaya d'Adrar, sur le site de l'ONS.
- Achour Cheurfi, Dictionnaire des localités algériennes : villes, villages, hameaux, ksars et douars, mechtas et lieux-dits, Casbah-Editions, impr. 2011, ©2011 (ISBN 978-9961-64-336-5 et 9961-64-336-4, OCLC 947843177, lire en ligne), p. 1127-1128
- Marc CÎte, Guide d'Algérie : paysages et patrimoine, Algérie, Média-Plus, , 319 p. (ISBN 9961-9-2200-X), p. 279
- Tayeb Otmane et YaĂ«l Kouzmine, « Timimoun, Ă©volution et enjeux actuels dâune oasis saharienne algĂ©rienne », Insaniyat / Ű„Ù۳ۧÙÙۧŰȘ. Revue algĂ©rienne d'anthropologie et de sciences sociales, nos 51-52,â , p. 165â183 (ISSN 1111-2050, DOI 10.4000/insaniyat.12686, lire en ligne, consultĂ© le )
- Mohand-Akli Haddadou, Dictionnaire toponymique et historique de l'AlgĂ©rie, Tizi Ouzou, Ăditions Achab, (ISBN 978-9947-9-7225-0), p. 529-530
- Daniel Babo, AlgĂ©rie, Ăditions le Sureau, coll. « Des hommes et des lieux », (ISBN 978-2-911328-25-1), p. 147-148
- Journal officiel de la République Algérienne, 19 décembre 1984. Décret n° 84-365, fixant la composition, la consistance et les limites territoriale des communes. Wilaya d'Adrar, page 1473.
- Dominique Crozat, Le touriste et l'habitant, Editions Publibook, (ISBN 978-2-7539-0559-7, lire en ligne), p. 259
- Abderrahmane Moussaoui, « Chapitre VII. La gĂ©ographie du sacrĂ© », dans Espace et sacrĂ© au Sahara : Ksour et oasis du sud-ouest algĂ©rien, CNRS Ăditions, coll. « CNRS Anthropologie », (ISBN 978-2-271-07854-4, lire en ligne), p. 165â182
- BISSON Jean, « Les villes sahariennes. Politique volontariste et particularismes régionaux », Maghreb - Machrek, 1983/2 (N° 100), p. 36-41.
- Badreddine Yousfi, « Les territoires sahariens en AlgĂ©rie. Gouvernance, acteurs et recomposition territoriale », LâAnnĂ©e du Maghreb [Online], 16 | 2017, Online since 05 July 2017, connection on 16 March 2020. URL : http://journals.openedition.org/anneemaghreb/2951 ; DOI : https://doi.org/10.4000/anneemaghreb.2951
- « Conseil de la nation: adoption du projet de loi relative à l'organisation territoriale du pays »
- « Timimoun (Commune, Adrar, Algeria) - Population Statistics, Charts, Map and Location », sur www.citypopulation.de (consulté le )
- « UNESCO - Le sbuù, pÚlerinage annuel à la zawiya Sidi El Hadj Belkacem, Gourara », sur ich.unesco.org (consulté le )
- « UNESCO - LâAhellil du Gourara », sur ich.unesco.org (consultĂ© le )
- Maya SAIDANI, Musiques et danses traditionnelles du patrimoine algérien, http://www.cnrpah.org/pci-bnd/images/livre.pdf, CNRPAH, (lire en ligne), p. 67