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Tiberium

Le tiberium est un matériau cristallin fictif utilisé dans la série de jeux vidéo Command and Conquer. Il existe sous deux formes différentes, caractérisées par leur couleur : verte ou bleue. La verte est majoritaire.

Description

Reconnaissable par sa couleur verte typique, le tiberium est un solide cristallin, nommé ainsi d'après le lieu de sa première découverte, la rivière Tibre en Italie, à la fin du XXe siècle (bien que Kane, le leader du NOD, affirme l'avoir nommé le premier d'après l'empereur romain Tiberius).

Le Tiberium vinifera est la variante volatile et bleutée. Sa structure cristalline diffère de celle du tiberium vert, ce qui est confirmé par sa fragilité.

La création du tiberium a été inspirée du film de série B américain The Monolith Monsters.

DĂ©couverte

Le tiberium est apparu sur Terre après le crash d'un vaisseau Scrin[1] pendant les années 1990.

Les premiers échantillons ont été découverts par le Dr Ignatio Moebius (découverte disputée par Kane) au bord de la rivière Tibre en Italie, et a depuis proliféré sur la planète entière.

Croissance

Le tiberium apparaît tout d'abord comme des blocs de roche, en se nucléant à partir d'autres cristaux de tiberium, même sous forme de poussière. Au fur et à mesure que ces roches s'étendent, la partie supérieure des roches laisse apparaître des cristaux immatures en expansion. Les cristaux mûrissent en même temps que le champ s'étend. Un cristal de tiberium mature mesure entre un et deux mètres de long.

Le mûrissement du tiberium crée un gaz inodore. Bien que le tiberium ait été considéré sans danger au début, le gaz du tiberium est un poison extrêmement toxique pour tout être vivant à proximité, sans parler de ses propriétés cancérigènes et mutagènes.

La couleur des cristaux dépend de la concentration des minéraux présents dans le sol où le tiberium croît.

Il semble que le tiberium ait besoin de chaleur et d'humidité pour croître, puisqu'il se développe difficilement dans les déserts et aux pôles.

Prolifération

Par ces propriétés de croissance, le tiberium peut se répandre littéralement à peu près n'importe où, son taux de cristallisation étant influencé par la nature du sol et la température ambiante, seules les régions polaires et les zones extrêmement sèches et pauvres en minéraux lourds sont impropres à son développement.

Le tiberium peut se dupliquer rapidement et recouvrir plusieurs hectares. Le procédé reste encore inexpliqué mais il semble que les cristaux de tiberium se développent en sous-sol dans plusieurs directions en incorporant les minéraux environnants dans sa structure, et refleurissent ensuite en surface. De cette façon, la quantité de tiberium croît de façon exponentielle.

Il est à noter que la prolifération du tiberium peut aussi se faire par transport de cristaux, entre autres par la flore et la faune.

La méthode la plus étrange observée est quand, dans la zone affectée, sont présents des arbres ou des buissons. À travers un procédé mutagène inexplicable, le tiberium altère ces arbres en arbres graines, ou Tiberium ripariuses. Ces arbres, dont la texture semble faite de chair, possèdent un bulbe au sommet. Ce bulbe se contracte régulièrement, relâchant de microscopiques cristaux de tiberium dans l'atmosphère. Aussi longtemps qu'un arbre graine est présent, le tiberium repousse inévitablement dans la zone. Toutes les tentatives pour détruire un arbre graine se sont révélées inefficaces à ce jour.

Le Tiberium vinifera possède sa propre forme de dissémination. Lorsqu'une surface de Tiberium vinifera atteint la maturité, les cristaux se fondent en un cristal massif bleu d'une dizaine de mètres de hauteur. Ces larges masses se comportent comme un arbre à graine (le mécanisme est encore inconnu) mais plus lentement. Ces cristaux sont extrêmement fragiles et explosent si l'on tente de les détruire. L'explosion dissémine alors le tiberium sous forme de particules cristallines sur une large zone.

Des particules microscopiques de tiberium peuvent aussi se déposer dans les poumons d'être vivants, et enclencher le processus de nucléation en convertissant la matière organique en tiberium.

Depuis les annĂ©es du troisième conflit, il est frĂ©quent de croiser dans les zones dites « rouges Â» des glaciers du tiberium. Ces structures cristallines profondĂ©ment enfoncĂ©es dans le sol peuvent dĂ©passer de plusieurs dizaines de mètres de la surface et forment un mur infranchissable, tel un monolithe radioactif.

Conséquences

En l'an 2040, 30 % de la surface du globe (zone appelée « zone rouge ») est devenue inhospitalière pour les formes de vie carbonées.

Les zones rouges sont des zones inhabitables et stérilisées par le tiberium, et sont parcourues par des tempêtes ioniques dévastatrices. Le vent peut y souffler jusqu'à 800 km/h. Les zones rouges sont semblables à l’atmosphère d’une planète extraterrestre. Le tiberium s'y trouve sous forme de champs, de cristaux monumentaux voire de glaciers de tiberium, voire de nervures, déposées par les eaux de ruissellement dans les anfractuosités du sol.

La moitié du globe est sévèrement pollué par le tiberium, et abrite tout de même 80 % de la population terrestre. Ces zones jaunes, partiellement habitables, forment la moitié de la surface du globe. La majorité de la population mondiale vit sur ces terres ravagées par la guerre et dévastées par de nombreuses catastrophes écologiques. La plupart des habitations n'ont pas d'eau courante, ni d'électricité. Les structures médicales sont quasiment détruites. Bien entendu, ces zones sont souvent sous la coupe de chefs de guerre, voire du Nod. Les conditions environnementales sont très dures : cycles d'inondations et de sécheresses, ouragans de catégorie 6, voire tempêtes ioniques venant des zones rouges.

Les 20 % restants (zone appelée « zone bleue ») réunissent les régions encore très peu touchées. Ce sont essentiellement des villes de haute technologie et des champs, sous la protection du GDI.

Répartition approximative dans les années 2040

« GĂ©nĂ©ralisĂ©e Â» est une vision Ă  nuancer. PrĂ©sent sur tous les continents, Ă  l'exception des terres australes, le tiberium ne se dĂ©veloppe que difficilement dans les terrains stĂ©riles que sont les dĂ©serts semblables au Sahara. Mais il est notable que le cristal se dĂ©veloppe dans le dĂ©sert australien par exemple. N'ayant pas les moyens de faire une cartographie prĂ©cise, il est possible d'affirmer[2] selon le dĂ©coupage suivant que :

  • L'Europe: berceau officiel de l'infection planĂ©taire. L'Italie est une vaste zone rouge, la partie infĂ©rieure de la France, une majeure partie de l'Europe de l'Est, l'Allemagne et de la pĂ©ninsule ibĂ©rique sont des zones jaunes, Ă  l'exception d'une zone plus grande que le Portugal, Ă©tant une zone bleue. La partie nord de la France (de la Bretagne Ă  la frontière belge) et le Benelux ainsi que l'Angleterre, l'Irlande, la Scandinavie et le la cĂ´te de la Mer Baltique Ă©tant aussi zone bleue.

Cas de l'Islande : zone bleue, territoire isolĂ©, zone stratĂ©gique du GDI, s'y trouvant un des bunkers de commandement principal et une partie de l'administration (Redjavik) et une des principales usine de production du Mammouth MK III après la fermeture de la chaine de production du MK II Ă  San Pedro.

Cas de l'Europe de l'Est : la rĂ©gion de l'ex-Yougoslavie est une zone jaune qui demeure un foyer du NOD depuis l'implantation d'un des premiers temples du NOD Ă  Sarajevo).


  • L'Afrique, fragilisĂ©e politiquement et socialement lors de l'arrivĂ©e du cristal vert Ă  la fin du XXe siècle, revĂŞt un grand intĂ©rĂŞt pour Kane dès les premiers conflits. La prolifĂ©ration du tibĂ©rium y est rapide et stimule les volontaires pour la ConfrĂ©rie du NOD. NĂ©anmoins la prĂ©sence du GDI recouvre les zones et villes bleues, les plus cĂ©lèbres Ă©tant l'Afrique du Sud et Le Caire avec Ă©galement une partie de la cĂ´te ouest et Madagascar. L'essentiel du continent est sous l'influence du cristal et une zone rouge s'y dĂ©veloppe en son centre vers le dĂ©but des annĂ©es 2030.
  • L'AmĂ©rique du Nord : rĂ©partition relativement concentrique du tiberium, le cĹ“ur des anciens USA Ă©tant une zone rouge, le nord de la cĂ´te Est (contenant Washington, un des centre de commandement militaire du GDI) et la Californie des zones bleues, le reste Ă©tant des zones jaunes.
  • L'Australie : vaste zone jaune avec une zone rouge en son cĹ“ur, lĂ©gèrement dĂ©calĂ© vers la cote Ouest, la cĂ´te Est et de grandes villes (Sydney) Ă©tant des zones bleues.
  • Japon: Zone bleue

Le dĂ©coupage « politique Â» de ces zones n'est guère viable, on ne peut automatiquement attribuer l'ensemble des zones jaunes Ă  tel ou tel camp. MĂŞme si la majoritĂ© est sous l'influence du NOD, son emprise n'empĂŞche en rien l'implantation frĂ©quente de bases du GDI ou ses entreprises de restructuration du milieu. De plus, des zones jaunes accueillent des petites zones bleues matĂ©rialisĂ©es par des villes (Cologne par exemple ou Le Caire mĂŞme en zone rouge).

Étant fiction, ce découpage est source de légers décalages d'une version à une autre, il s’agit d’une représentation approximative.

Effet mutagène

Une exposition à long terme aux gaz libérés lors de la maturation du tiberium engendre des maladies variées sur toutes les formes de vies terrestres. Les effets mutagènes du tiberium et ses implications exactes sur l'ADN terrestre restent totalement inconnus : le traitement se limite généralement à diminuer les symptômes plutôt que de s'attaquer à la maladie même. Une victime d'un empoisonnement au tiberium voit donc sa santé se dégrader avec le temps avant de, parfois, en mourir. Une recherche fut effectuée par le GDI lors de la première guerre du tiberium, et les résultats furent très peu encourageants.

Les humains et les animaux exposés au tiberium ont subi de fortes modifications génétiques, impliquant des modifications physiologiques comme l'immunité à l'empoisonnement du tiberium, des cristaux de tiberium incrusté dans la chair, et même ironiquement une accélération de la régénération cellulaire en présence de tiberium. Les « Oubliés » ou « Shiners » sont un groupe de ces humains exposés.

Exposés à de très fortes radiations de tiberium, les effets mutagènes sur un être vivant peuvent être observés de façon rapide et violente.

Certains organismes mutants sont connus sous le nom de viscéroïdes. Ces amibes géantes, ayant tendance à exsuder des fluides gazeux ou liquides, se nourrissent à proximité du tiberium et digèrent les formes de vie carbonées qui passent à leur portée. Leur taux de régénération grâce au tiberium est aussi extrêmement élevé, les rendant pratiquement invincibles dans un champ de tiberium.

Effet Terraformateur

La théorie la plus développée (autant dans le jeu que par la communauté des joueurs) reste que la nature première du tiberium est un agent de terraformation extraterrestre.

L'apparition des Scrins dans la troisième Guerre du tiberium semble confirmer cette hypothèse.

L'effet de transformation de l'environnement se fait également ressentir sur le plan géologique: dans les zones anciennement infestées, la prolifération en sous sol de ramifications de tiberium entraine des mouvements de terrains suffisant pour provoquer des dénivelés créant des falaises ou des canyons de tailles parfois remarquables, transformant sur le long terme (quelques décennies) la topographie du terrain.

Historique de la lutte contre le tiberium

  • Les premiers efforts dĂ©veloppĂ©s fin XXe-dĂ©but XXIe siècle portent essentiellement sur la lutte contre les effets du tiberium et de ses « spores Â» sur l'organisme humain. Les effets de cette matière inconnue Ă  l'Ă©poque alarment les autoritĂ©s sanitaires, motivant les recherches (de la part du GDI comme du NOD) pour soigner et limiter les atteintes aux niveaux des systèmes respiratoire, immunitaire, reproductif, digestif et contre les brĂ»lures et mutations provoquĂ©es par les radiations[3].
  • L'avancĂ©e rapide d'un agent rendant de larges zones dangereuses pour l'homme ne laisse que l'exil pour cause Ă©cologique aux habitants des zones concernĂ©es. Mais les guerres et le manque de moyens de certains États, gĂ©nĂ©ralement du tiers monde au dĂ©but mais Ă©galement des anciens pays dit « riches Â» avec l'avancĂ©e du minerai et l'affaiblissement de leur gouvernement face au NOD dans certaines de leur rĂ©gions, laissent sans aide une majeure partie de la population dans les trois premières dĂ©cennies du XXIe siècle. Une bonne part de cette population, soumise aux mutations et Ă  une profonde rĂ©organisation sociale, formera une part de la gente humaine mutante qui tentera de s'organiser en une Nation mutante[4] parallèlement au dĂ©veloppement de l'intĂ©gration des humains « oubliĂ©s Â» dans l'esprit populaire.
  • NĂ©anmoins, la politique du GDI (Ă  l'origine militaire mais qui devient Ă©galement administrative et sociale avec l'affaiblissement des États hĂ©ritĂ©s du XXe siècle) s'oriente vers une lutte franche contre le cristal vert et se voit dotĂ©e de moyens efficaces durant la mĂŞme pĂ©riode puisque des dĂ©couvertes mettent au jour la grande vulnĂ©rabilitĂ© du tiberium face aux vagues d'ondes soniques adĂ©quates (dĂ©couvertes Ă  dater entre la deuxième et la troisième guerre du tiberium): ces ondes permettent de stopper la progression et mieux, de fragmenter les cristaux. La rĂ©colte (dans un but Ă©conomique) s'amĂ©liore tout comme les techniques d'extraction du tiberium enfouie dans le sol: apparait ainsi des tours de tiberium, grands complexes ponctuant le paysage de leur haute et frĂŞle silhouette chargĂ©es d'extraire et de traiter le tiberium souterrain.
  • L'ensemble de ces techniques permet dans les annĂ©es 2030 et 2040 un processus contrĂ´lĂ© et efficace de « terraformation inversĂ©e Â» par l'homme qui recycle des zones « jaunes Â» en zones « bleues Â» viables et saines comme Ă  l'origine. C'est ainsi que les villes de Berne et de Cologne furent reconstruites alors qu'elles Ă©taient en pleine zone jaune, jusqu'Ă  leur destruction lors de l'invasion Scrin des annĂ©es 2040[2]. Les limites de cette terraformation inversĂ©e sont le besoin en bras et en matĂ©riel permettant l'extraction en surface et en profondeur du tiberium, processus Ă©talĂ© dans le temps afin de provoquer une diminution suffisante des spores et donc des risques de rĂ©surgences de tiberium dans la zone traitĂ©e. Ă€ cela s'ajoute le fait que les quantitĂ©s de tiberium extraites dĂ©passent souvent les capacitĂ©s de traitement et les demandes Ă©nergĂ©tiques: ainsi, le cristal vert extrait doit donc ĂŞtre traitĂ© et conditionnĂ© dans des silos adaptĂ©s dans l'attente d'un besoin ultĂ©rieur. Ces structures sont efficaces mais hĂ©las très vulnĂ©rables Ă  une attaque terroriste du NOD: le cristal condensĂ©, Ă  dĂ©faut d'ĂŞtre explosif comme le tiberium bleu, peut se sublimer si soumis Ă  une Ă©nergie suffisante, provoquant la contamination et l'irradiation de la zone concernĂ©e.
  • L'autre volet de la lutte contre le tiberium, après la santĂ© et l'environnement, est la protection contre les tempĂŞtes ioniques. Quasi-continuelles dans les zones rouges, ces tempĂŞtes orageuses peuvent dĂ©border sur les limites des zones bleues. Source de foudre, de vents violents et dangereux pour les appareils Ă©lectroniques non protĂ©gĂ©s, elles ne sont qu'un faible moyen de propagation du tiberium par rapport Ă  la lente mais continuelle avancĂ©e naturelle du cristal et de ses spores. De larges murs anti-tempĂŞtes cerclent les villes Ă  proximitĂ© des zones Ă  risques (comme pour Le Caire, Sydney, Cologne, Berne ou Stuttgart) et des abris ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©s et installĂ©s dans les zones habitĂ©es soumises Ă  ce genre d'Ă©vènement[2].

Intérêt économique

Par sa nature cristalline, le tiberium peut littĂ©ralement « pousser Â» en absorbant les mĂ©taux et les minĂ©raux lourds du sol, les concentrant en cristaux qui fleurissent Ă  la surface, permettant une collecte et un raffinage Ă  moindre coĂ»t.

Par ces propriĂ©tĂ©s, le tiberium est très intĂ©ressant pour l'exploitation minière, Ă  condition de savoir le traiter afin de rĂ©cupĂ©rer les minĂ©raux d'intĂ©rĂŞt après destruction du cristal et raffinage. Comme les cristaux de tiberium poussent littĂ©ralement Ă  la surface, il suffit de le « rĂ©colter Â», Ă  l'aide d'un vĂ©hicule d'extraction semblable Ă  une moissonneuse, un peu comme la rĂ©colte de champs de cĂ©rĂ©ales. Le tiberium bleu, par sa relative fragilitĂ©, est plus facile Ă  raffiner. Il est en outre bien plus intĂ©ressant Ă©conomiquement car plus concentrĂ© en minĂ©raux.

Dans les jeux, le tiberium est utilisé comme ressource, et est même la source de revenu principale.

Politiques vis-Ă -vis du tiberium

Les efforts du GDI sont focalisés sur la transformation des zones jaunes en zones bleues, et la stérilisation des zones rouges, afin d'empêcher le tiberium de progresser.

La confrérie du Nod a toujours voulu répandre le tiberium, et veut le maîtriser afin de s'en servir comme source d'énergie, voire de facteur d'évolution.

L'explosion provoquée par le GDI en détruisant le dépôt de tiberium situé sous le temple prime de Sarajevo a provoqué l'invasion des scrins. Ceux-ci sont dépendants du tiberium, puisqu'il alimente leur armement, voire coule littéralement dans leurs veines. Le tiberium étant une appellation d'origine terrestre, ces derniers parlent d'Ichor pour désigner le tiberium[5].

Références culturelles dans les jeux vidéo

Dans Les Sims 3 : Destination Aventure, il est possible de trouver du Tibérium, rendant le Sim malade. Il est taillable en taille flèche.

Dans SimCity 4, un des bâtiments qui se trouvent dans les zones industrielles se nomme Tiberium Kane.

Culture populaire

Cet élément apparait dans la composition du poison de Lady Gaga dans son clip Telephone avec Beyoncé.

Notes et références

  1. Interview Michael Verdu - « On sait tous que le Tiberium vient d'un vaisseau extraterrestre qui s'est Ă©crasĂ© sur Terre Â»
  2. Command and Conquer : les guerres du Tiberium
  3. Command and Conquer 1995
  4. Command and conquer 1995 et Command and conquer: Soleil du Tiberium et Mission Hydre
  5. Scene d'introduction de la campagne des scrins

Liens externes

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