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Taille du pénis chez l'homme

La taille du pĂ©nis chez l'homme varie chez un mĂȘme individu et entre les individus. La longueur se mesure depuis l'angle formĂ© par le pubis et la face supĂ©rieure du pĂ©nis, jusqu'au gland[1].

Au repos, le pĂ©nis d'un homme adulte mesure en moyenne cm de long, et 13 cm en Ă©rection. Une Ă©tude menĂ©e sur 1 661 hommes a donnĂ© que les deux tiers d'entre eux possĂ©daient un pĂ©nis mesurant entre 11,7 et 15,2 cm, en prenant les valeurs extrĂȘmes, 95 % en possĂ©daient un allant de 9,7 Ă  17,3 cm, ces deux tailles pouvant ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme les bornes des tailles sexuelles humaines[2]. La circonfĂ©rence du pĂ©nis, toujours en moyenne, passe de 9,31 cm au repos Ă  11,66 cm en Ă©rection.

Le micropĂ©nis est dĂ©fini Ă  l'Ăąge adulte par une taille de pĂ©nis en Ă©rection infĂ©rieure Ă  cm[3]. À la naissance, le pĂ©nis mesure cm en moyenne[4].

Variabilité

Distribution de la taille du pĂ©nis en Ă©rection en fonction de l’ñge selon MĂ€nnermedizin[4].
Distribution de la population en fonction de la taille du pĂ©nis selon l’étude menĂ©e par LifeStyles[5].

Variabilité intra-individuelle

Chez un mĂȘme individu, la taille du pĂ©nis est variable entre le repos et l'Ă©rection mais aussi entre deux situations diffĂ©rentes de repos.

L’excitation sexuelle favorise le passage de l'Ă©tat de repos Ă  l'Ă©rection, au cours duquel la taille du pĂ©nis augmente, aussi bien en longueur qu'en circonfĂ©rence. Entre ces deux Ă©tats extrĂȘmes, le degrĂ© d'excitation conditionne la taille du pĂ©nis. Par ailleurs, la taille au repos ne prĂ©juge pas de la taille en Ă©rection.

La taille au repos peut varier en fonction de certains facteurs comme une température basse ou l'anxiété qui favorisent la rétractation du pénis, par contraction involontaire des fibres musculaires lisses des corps caverneux[6], a contrario une température élevée, une érection récente ou une éjaculation récente favorisent une dilatation du pénis flaccide.

Variabilité inter-individuelle

En , la revue d'urologie spĂ©cialisĂ©e BJU International (en) a publiĂ© une Ă©tude intitulĂ©e « Suis-je normal » (Am I normal?)[7] basĂ©e sur 20 Ă©tudes englobant plus de 15 500 hommes dont le pĂ©nis avait Ă©tĂ© mesurĂ© selon une procĂ©dure standardisĂ©e par des professionnels de santĂ©. Selon l'Ă©tude, la longueur d'un pĂ©nis au repos est en moyenne de 9,16 cm, et de 13,24 cm si on l'Ă©tire au repos. En Ă©rection, sa longueur moyenne est 13,12 cm. La circonfĂ©rence du pĂ©nis, toujours en moyenne, passe de 9,31 cm au repos Ă  11,66 cm en Ă©rection. Par ailleurs, il y a une "assez faible" corrĂ©lation entre la longueur du pĂ©nis en Ă©rection et la taille du sujet, selon les auteurs[8]. D'autres corrĂ©lations physiques ont Ă©tĂ© avancĂ©es par la croyance populaire afin de deviner la taille du pĂ©nis. Cette derniĂšre serait, par exemple, relative Ă  la taille des pieds, des mains ou Ă©gale Ă  la distance comprise entre les bouts du pouce et de l'index. En rĂ©alitĂ©, aucune Ă©tude n'est venue valider ces idĂ©es, qui semblent devoir ĂȘtre relĂ©guĂ©es au rang des lĂ©gendes urbaines[9]. Seule l'obĂ©sitĂ©, notamment lorsqu'elle survient durant l'enfance, serait un indicateur physique sur la taille du pĂ©nis, qu'elle rendrait anormalement petit[10].

En , une Ă©tude menĂ©e sur 1 661 hommes amĂ©ricains par l'universitĂ© de l'Indiana pour The Journal of Sexual Medicine (en) a dĂ©montrĂ© que la longueur moyenne du pĂ©nis humain en Ă©rection serait d'environ 14,15 cm, et la circonfĂ©rence moyenne d'environ 12,23 cm[11] - [12].

Il existe de rares hommes dotĂ©s de pĂ©nis dont la longueur dĂ©passe vingt centimĂštres en Ă©rection. Le cas est notamment frĂ©quent parmi les acteurs pornographiques, chez qui cette caractĂ©ristique est trĂšs recherchĂ©e :

Corrélation avec le groupe ethnique

Certaines croyances rapportent des diffĂ©rences de taille du pĂ©nis entre certains groupes ethniques. En Occident, la croyance dominante est que les Noirs africains auraient un sexe plus grand que la norme, tandis que les asiatiques auraient un sexe de taille infĂ©rieure Ă  la norme[21]. Cette croyance en un sexe supĂ©rieurement grand des Noirs est relayĂ©e par des articles sans fondement scientifique notamment publiĂ©s sur Internet. Bien que parfois initialement publiĂ©s par des chercheurs, ceux-ci sont controversĂ©s[22]. La mĂ©thodologie de ces Ă©tudes est contestable car elles compilent des Ă©tudes universitaires avec des Ă©tudes dĂ©claratives, or ces derniĂšres sont faussĂ©es car elles se basent sur des dĂ©clarations d'hommes ayant mesurĂ© eux-mĂȘmes leur pĂ©nis, sans vĂ©rification par des scientifiques[21] - [22], et il est constatĂ© que lors de ces mesures les hommes ont tendance Ă  surestimer la longueur de leur pĂ©nis[23].

Dans l'imaginaire occidental, l'hypersexualisation du corps noir date de la fin du XVIIIe siĂšcle. Les Ă©tudes anthropomĂ©triques veulent dĂ©montrer que le Noir est proche des grands singes. L'homme noir est Ă  la fois dĂ©valorisĂ© comme une race infĂ©rieure mais aussi considĂ©rĂ© comme un ĂȘtre viril proche de l'animal, Ă  la sexualitĂ© instinctive et luxuriante ; la taille de son sexe Ă©tant alors fantasmĂ©e et agrandie dans l'imaginaire collectif. Dans le but de dĂ©mocratiser cette thĂ©orie, son corps est montrĂ© nu dans les zoos humains jusqu'au milieu du XXe siĂšcle[24]. Au XXIe siĂšcle, ces thĂ©ories se perpĂ©tuent par exemple par l'Ă©tude biaisĂ©e d'un chercheur britannique de l’universitĂ© d’Ulster (Irlande), Richard Lynn — « connu pour ses idĂ©es eugĂ©nistes et racistes », selon Quentin Girard de LibĂ©ration[22].

RestĂ©e fixĂ©e dans les lĂ©gendes urbaines, cette croyance est pourtant dĂ©mentie scientifiquement Ă  partir de la premiĂšre moitiĂ© du XXe siĂšcle. Ainsi, en 1942, Gustave Lefrou, mĂ©decin en chef de la 1re classe des troupes coloniales françaises, Ă©nonçait : « Les anciens auteurs ont toujours parlĂ© d'une grandeur dĂ©mesurĂ©e du pĂ©nis chez les NĂšgres. Cette opinion a Ă©tĂ© considĂ©rĂ©e ensuite comme erronĂ©e. »[25] Une autre idĂ©e concernant le pĂ©nis des Noirs, y compris partagĂ©e par des savants, est que ce dernier serait « incapable d'une Ă©rection complĂšte »[26]. Une Ă©tude menĂ©e en Tanzanie sur deux cent cinquante-trois hommes a dĂ©montrĂ© que la taille moyenne du pĂ©nis Ă©tirĂ© y Ă©tait de 11 cm[27] - [28]. Une autre, menĂ©e au NigĂ©ria, pays le plus peuplĂ© d'Afrique, a trouvĂ© une moyenne de 13,37 cm[29]. La taille lĂ©gendaire du pĂ©nis africain, fort diffĂ©rente de la rĂ©alitĂ©, tiendrait au fait que, « plus volumineux Ă  l'Ă©tat de flacciditĂ© que chez les EuropĂ©ens, le pĂ©nis des NĂšgres l'est proportionnellement moins lors de l'Ă©rection »[30].

Au XXIe siĂšcle, en occident, le corps noir suscite toujours une fascination sexuelle Ă  travers sa virilitĂ© et sa puissance jugĂ©e exotique (il s'agit alors de nĂ©grophilie) et, Ă  l'inverse, une rĂ©pulsion sexuelle Ă  travers sa brutalitĂ© et son animalitĂ© (il s'agit alors de nĂ©grophobie). Dans les deux cas, l'homme noir est rĂ©duit Ă  l'Ă©tat de bĂȘte sexuelle et est dĂ©sindividualisĂ© et fĂ©tichisĂ©, la taille fantasmĂ©e de son sexe Ă©tant un facteur important ce phĂ©nomĂšne[24]. Ainsi, le prĂ©jugĂ© suivant lequel les Noirs auraient un sexe nettement plus grand qu'il ne l'est en rĂ©alitĂ© est maintenu par l'industrie du cinĂ©ma pornographique, oĂč de nombreux acteurs noirs recourent Ă  la chirurgie plastique, Ă  la pompe pĂ©nienne, voire aux prothĂšses, afin de montrer un sexe bien plus grand qu'initialement. Dans un mĂȘme temps, la communautĂ© masculine noire occidentalisĂ©e s'est appropriĂ© cette croyance et peut parfois l'instrumentaliser dans le but d'humilier les hommes n'Ă©tant pas d'origine africaine[31], les Noirs subissant Ă  leur tour l'humiliation de dĂ©cevoir les femmes convaincues par cette croyance et attirĂ©es par eux du fait de ce prĂ©jugĂ©[32] - [33] - [34] - [35] - [36].

Perception sociale

La taille du pénis chez des hommes fait l'objet de nombreux fantasmes, dont le contenu varie selon le lieu et l'époque.

  • Durant l'AntiquitĂ©, c'est la petite taille du pĂ©nis qui Ă©tait valorisĂ©e, alors que dans la pĂ©riode actuelle c'est plutĂŽt la grande taille qui se trouve ĂȘtre prisĂ©e. Pour les Grecs de l’AntiquitĂ©, un homme viril devait ĂȘtre dotĂ© d’un petit sexe. Ainsi, pour Aristote, un pĂ©nis trop long Ă©tait signe de stĂ©rilitĂ©. Les travaux notamment de l’historien Thierry Eloi ont montrĂ© que durant la Rome antique la grosse taille d'un pĂ©nis Ă©tait considĂ©rĂ©e comme Ă  la fois une vulgaritĂ© au niveau social et une disharmonie au niveau esthĂ©tique.
  • Aujourd’hui encore, dans certaines tribus amĂ©rindiennes, le statut social est dictĂ© par la taille du sexe masculin, seuls les hommes ayant un petit pĂ©nis sont amenĂ©s Ă  occuper les places les plus hautes de la structure sociale.
  • Dans la sociĂ©tĂ© indienne, entre le VIe et le VIIe siĂšcle, le Kamasutra dĂ©finit diffĂ©rentes tailles gĂ©nitales des hommes et des femmes. Il divise les hommes en trois classes selon la dimension de leur linga (pĂ©nis)[note 1], et de mĂȘme les femmes en trois classes selon la dimension de leur yoni (vagin)[note 2]. Il y a, selon l'ouvrage, trois unions Ă©gales (entre classes qui se correspondent) et six inĂ©gales (qui ne se correspondent pas). Parmi les unions inĂ©gales, on distingue les hautes unions, les basses unions, la trĂšs haute union et la trĂšs basse union[note 3]. Le Kamasutra les classe ainsi : les unions Ă©gales sont les meilleures ; les trĂšs haute et trĂšs basse unions sont les pires ; les autres sont de moyenne qualitĂ©, et parmi celles-ci les hautes sont meilleures que les basses[37].
  • Dans de nombreuses sociĂ©tĂ©s occidentales actuelles, lorsque la taille du pĂ©nis est infĂ©rieure Ă  la moyenne, elle peut ĂȘtre source de difficultĂ©s psychologiques voire sociales, pouvant aller jusqu'Ă  compromettre parfois la sexualitĂ©. En revanche, un pĂ©nis de taille supĂ©rieure Ă  la moyenne pourrait ĂȘtre un facteur de difficultĂ© pour les relations sexuelles, en entraĂźnant des rapports plus douloureux ou difficiles. Certains hommes percevant leur pĂ©nis comme trop petit utilisent des accessoires ou des techniques chirurgicales pour tenter d'augmenter sa longueur ou son diamĂštre. Des Ă©tudes statistiques montrent cependant que la plupart des hommes recourant Ă  ces mĂ©thodes ont un pĂ©nis de taille normale[7].

Perception selon le sexe

À partir d'une enquĂȘte rĂ©alisĂ©e en 2006 sur Internet[note 4], Lever et al. montrent que 85 % des femmes sont satisfaites de la taille du pĂ©nis de leur partenaire, alors que seuls 55 % des hommes sont satisfaits de la taille de leur pĂ©nis[38]. Dans une Ă©tude de 2001, seules 15 % des femmes dĂ©clarent que la taille du pĂ©nis en Ă©rection est importante, et elles estiment gĂ©nĂ©ralement que la circonfĂ©rence du pĂ©nis en Ă©rection est plus importante que sa longueur[39].

Selon une Ă©tude (2014) faite en Chine : anatomiquement parlant et du point de vue histomorphologique, le point G, si on estime qu'il correspond bien Ă  une zone neuro vasculaire spĂ©cifique[40] oĂč les nerfs et microvaisseaux sont les plus denses, n'est positionnĂ© qu'au tiers distal de la paroi vaginale antĂ©rieure. Si on estime qu'il est particuliĂšrement stimulĂ© par le gland du pĂ©nis, alors les pĂ©nis trĂšs longs n'ont pas plus de chance de l'atteindre que ceux de taille moyenne voire relativement petits[41]. D'autres Ă©tudes ne trouvent pas de zone significativement plus innervĂ©e dans la paroi antĂ©rieure du vagin[42] - [43] - [44] ou considĂšre le point G comme un mythe[45], ou suggĂšrent plus de recherche Ă  ce sujet.

Notes et références

Notes

  1. 1 : le liĂšvre, 2 : le taureau, 3 : l'Ă©talon.
  2. 1 : la gazelle, 2 : la cavale, 3 : l'éléphant.
  3. Les unions 2-1 (taureau-gazelle) et 3-2 (étalon-cavale) sont qualifiées de hautes unions, l'union 3-1 (étalon-gazelle) de trÚs haute, les unions 1-2 (liÚvre-cavale) et 2-3 (taureau-éléphant) de basses unions et l'union 1-3 (liÚvre-éléphant) de trÚs basse.
  4. questionnaires pour 52 031 hommes et femmes hĂ©tĂ©rosexuels.

Références

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Voir aussi

Bibliographie

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Articles connexes

Liens externes

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