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Slackware

Slackware est une distribution GNU/Linux qui, à la différence d'autres distributions populaires, a longtemps été maintenue par une seule personne. Elle est connue pour suivre au mieux la « philosophie Unix » et rechercher la stabilité des applications[1].

Slackware
Logo
Slackware 15.0 avec le bureau KDE Plasma 5.
Slackware 15.0 avec le bureau KDE Plasma 5.

Famille GNU/Linux
Type de noyau Monolithique
État du projet en développement
Plates-formes X86 et x86_64
Entreprise /
Fondateur
Patrick Volkerding
Licence GNU GPL
États des sources Logiciel libre
Première version
Dernière version stable 15.0 ()
Dernière version avancée 15.0 rc1 ()
MĂ©thode de mise Ă  jour slackpkg
Environnement de bureau KDE, XFCE
Gestionnaire de paquets pkgtool
Site web slackware.com

Slackware est un jeu de mots avec software, slack[2] signifiant relâché dans le sens mou ou molasson ici mis en regard de soft signifiant mou ou doux. Slackware devient par là même une sorte d'objet de « glanderie ». À noter : software était déjà un jeu de mots avec hardware.

Philosophie et développement

La Slackware se veut être une distribution légère, rapide, et sans fioritures. Elle se démarque par une procédure d'installation en mode semi-graphique, un système de paquetages logiciels composé simplement d'archives tarballs sans gestion des dépendances, ainsi que par un processus de démarrage reposant sur un ensemble de scripts aisément modifiables « à la main » (elle ne dispose d'ailleurs pas d'un logiciel de configuration centralisée). De par ces caractéristiques, elle est fort appréciée sur les serveurs.

Contrairement à Mint ou Ubuntu, c'est une distribution plutôt réservée aux « initiés », la simplicité d'utilisation n'est pas le premier objectif de Slackware.

Slackware utilise une procédure d'initialisation proche de celle des BSD, mais compatible avec celle de System V[3].

Mascotte

C'est également la plus vieille distribution encore en activité, ayant été pendant bien longtemps l'œuvre de Patrick J. Volkerding. Au fil des années, il accepta l'aide de quelques contributeurs (Robby Workman[4], Eric Hameleers[5], Piter Punk[6], Stuart Winter[7], David Cantrell[8], Chris Lumens[8]) afin de l'aider dans le développement (aussi à cause d'une maladie qui l'empêcha de contribuer pleinement à Slackware durant l'année 2005). Bien que longtemps maintenue par une seule personne, la distribution est toujours mise à jour et largement utilisée aujourd'hui, et a servi de base à plusieurs projets dérivés.

La slackware-current est la version courante, c’est-à-dire la version disponible entre la version stable déjà publiée et celle à venir. Elle n'est donc pas recommandée pour la production.

Gestionnaire de paquets

Slackware inclut son propre gestionnaire de paquets: pkgtool, permettant d'installer, désinstaller, mettre à jour, extraire dans le répertoire courant et créer des paquets. Chacune de ces fonctions est remplie par un script bash utilisable par l'interpréteur de commandes. Le gestionnaire pkgtool fournit également un environnement en mode texte pour effectuer ces opérations. Les paquets sont de simples archives tar compressées avec gzip, bzip2 ou xz. Depuis le , les paquets distribués officiellement sont compressés avec xz[9].

Historique

La première version, la 1.00, est sortie le , Patrick J. Volkerding en est l'auteur[11]. Slackware a célébré son dixième anniversaire le . Elle a été historiquement une des premières permettant de faire tourner Linux in situ depuis un CD-ROM, dès 1995.

En 1999, Slackware est passée de la version 4 à la version 7 directement. À cette époque, la plupart des autres distributions Linux avaient des numéros de versions proches de 6. Pour éviter que les nouveaux utilisateurs puissent croire que Slackware avait trois versions de retard sur le reste du monde Linux et ne posent constamment la question dans les forums, Patrick Volkerding a décidé d'augmenter artificiellement le numéro de version[12].

L'environnement de bureau GNOME a été retiré de la distribution le lors du développement de Slackware 10.2[13]. La préparation et l'empaquetage de GNOME nécessite en effet plus d'efforts que pour d'autres environnements de bureau comme KDE ou Xfce. De plus, il existait déjà des projets fournissant GNOME pour Slackware qui étaient plus complets que ce que fournissait la distribution officielle. Patrick Volkerding conclut cette annonce en espérant que ce changement améliore Slackware ainsi que la qualité et la quantité des possibilités d'installation de GNOME pour Slackware. Depuis sont apparues plusieurs distributions de GNOME disponibles : GNOME SlackBuild, dropline GNOME, GWARE[14], Gslacky[15], buildbot[16].

Slackware n'a définitivement adopté la série 2.6 du noyau Linux que très tardivement. Bien qu'un noyau 2.6 soit fourni depuis la publication de Slackware 10.0[17] en 2004, celui-ci ne sera le noyau par défaut (et exclusif) qu'à partir de Slackware 12.0[18] en 2007.

Le apparaît la branche officielle de développement pour architecture x86-64. La version stable 13.0 est la première à supporter officiellement cette architecture[19]. D'autres distributions fondées sur Slackware avaient auparavant été créées avec pour but de fournir aux utilisateurs une Slackware supportant les jeux d'instruction 64 bits.

Au , la version stable est la 13.0 ; elle comporte GCC 4.3.3, le noyau Linux 2.6.29, KDE 4.2.4, Xfce 4.6.1, Xorg 7.3.0+, SeaMonkey 1.1.13 et tous les utilitaires habituels. La version 13.37 est sortie le . La version 14.0 est sortie le avec notamment le noyau Linux 3.2.29 et Firefox 15.0.1.

Mode de distribution

Slackware est distribuée sur six CD ou un DVD. Les trois premiers CD contiennent les paquets et les trois derniers contiennent les sources qui ont permis de les construire. Le DVD contient l'ensemble de la distribution. Ils sont disponibles sur le magasin en ligne de Slackware[20] ainsi qu'au téléchargement sur plusieurs miroirs[21] et par bittorrent[22]. Les versions vendues et téléchargées sont identiques.

Liste de distributions et projets basés sur la Slackware

Dérivées pour Intel (x86)

  • Absolute Linux (en) - Distribution Allemande destinĂ©e aux vieux PC.
  • Blin - Distribution ukrainienne.
  • Burapha Gnu/Linux - Distribution thaĂŻlandaise dĂ©veloppĂ©e par une Ă©quipe de l'universitĂ© de Burapha.
  • CEMF - Distribution brĂ©silienne qui opère directement de dedans une partition ou installation Windows.
  • College - Distribution suisse qui prĂ©tend se fonder sur Debian, mais dont le management des paquets est en .tgz ; la distribution est devenue un LiveCkD.
  • Cytrun - Distribution brĂ©silienne dĂ©veloppĂ©e afin d'augmenter les niveaux de sĂ©curitĂ© des serveurs.
  • Darkstar - Distribution roumaine.
  • HostGIS - Distribution amĂ©ricaine, spĂ©cialement dĂ©veloppĂ©e pour opĂ©rer des serveurs web cartographiques GIS.
  • iWhaX - Distribution amĂ©ricaine orientĂ©e vers la sĂ©curitĂ© et les rĂ©seaux ; c'est l'ancienne WhaX.
  • JoLinux - Distribution brĂ©silienne compilĂ©e avec le noyau Linux de la branche 2.6 par dĂ©faut.
  • KateOS (en) - Distribution polonaise dĂ©veloppĂ©e par Damian Rakowski.
  • Kinux - Distribution brĂ©silienne.
  • NetSecL - Distribution axĂ©e sur la sĂ©curitĂ©.
  • NimbleX - Distribution roumaine dĂ©veloppĂ©e par Bogdan Radulescu.
  • OpenLAB - Distribution sud-africaine, destinĂ©e Ă  l'enseignement dans les Ă©coles et les facultĂ©s ; en dehors de l'Afrique du Sud, elle est adoptĂ©e en Namibie et en Allemagne ; c'est la distribution pour laquelle les logiciels EduKar, OpenBook et ZybaCafe ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©s ; il y a aussi un LiveCD qui peut ĂŞtre tĂ©lĂ©chargĂ© librement, mais l'ensemble de 4 CD / 1 DVD et les logiciels externes sont chargĂ©s.
  • Platypux - Distribution GNU/Linux d'origine française, appartenant Ă  la famille Slackware. Il s'installe Ă  partir du Live-DVD.
  • Polux (anciennement P!tux) - Distribution française pouvant ĂŞtre installĂ©e sur des vieux ordinateurs, c'est l'ancien Drinou Linux.
  • PC Master - Distribution brĂ©silienne.
  • Plamo - Distribution japonaise en langue japonaise pour faciliter le « slackage » des utilisateurs japonais.
  • pQui - Distribution brĂ©silienne pour les ordinateurs de bureau.
  • Revanche - Distribution brĂ©silienne dĂ©rivĂ©e simultanĂ©ment de Slackware et de Fedora.
  • RFS - Distribution brĂ©silienne.
  • RIP (Recovery Is Possible) - Distribution amĂ©ricaine implĂ©mentĂ©e pour la rĂ©cupĂ©ration de donnĂ©es.
  • Root - Distribution suĂ©doise dĂ©veloppĂ©e par John Eriksson.
  • RUNT (ResNet USB Network Tester) - Distribution Linux amĂ©ricaine dĂ©veloppĂ©e par une Ă©quipe de l'universitĂ© de Caroline du Nord pour ĂŞtre installĂ©e dans des clĂ©s USB ainsi que sur des disquettes qui interagiront ensemble ; la distribution est orientĂ©e vers les tests de rĂ©seaux et de portails USB.
  • Salix - Distribution plutĂ´t europĂ©enne, 100 % compatible Slackware.
  • SauverOS - Distribution indienne dĂ©veloppĂ©e par Maulik Gordhandas.
  • Tukaani - Distribution finlandaise dont le point fort est la gestion de paquets Ă  travers son installeur pkgtools et de son compacteur et dĂ©marreur LZMA : ils compatibilisent des paquets aux formats .tgz, .tbz, .tlz et .tar.
  • VectorLinux (en) - Distribution canadienne dĂ©veloppĂ©e par Robert S. Lange ; elle se prĂ©sente comme une excellente alternative pour donner de nouveaux usages Ă  de vieux PC.
  • Volta[23] - Distribution italienne 100 % compatibilisĂ©e de double gestion de paquets : pkgtool de Slackware pour le système et pkgsrc de NetBSD pour les applications ; en d'autres termes, avec Volta Linux, on a pratiquement une Slackware et un NetBSD fonctionnant dans un mĂŞme système d'exploitation.
  • ZenServer - Distribution française pour les serveurs, basĂ©e sur Zenwalk.
  • Zenwalk - Distribution française dĂ©veloppĂ©e par Jean-Philippe Guillemin, elle contient des amĂ©liorations telles qu'un noyau 2.6 et le support de Reiser4. Cette distribution est optimisĂ©e pour le multimĂ©dia, le dĂ©veloppement et la bureautique ; c'est l'ancienne MiniSlack.

Dérivées pour AMD64

  • Salix - Distribution plutĂ´t europĂ©enne, 100 % compatible Slackware.
  • VectorLinux (en) - Distribution canadienne dĂ©veloppĂ©e par Robert S. Lange ; elle se prĂ©sente comme une excellente alternative pour donner de nouveaux usages Ă  de vieux PC.
  • Slackware64 - Distribution officielle, depuis la version 13.0 (en date du ) un portage officiel sur l'architectures X86_64 est disponible.
  • Slamd64 - Distribution britannique, portage sur l'architecture AMD 64 bits (AMD64 ; x86 64).
  • Bluewhite64 - Distribution roumaine, portage sur l'architecture AMD 64 bits (AMD64 ; x86 64) ; disposĂ©e en forme de LiveCD installable et de DVD d'installation.

Dérivées pour ARM

  • Slackware ARM, anciennement nommĂ©e ARMedslack - Distribution amĂ©ricaine portĂ©e sur l'architecture ARM.

Dérivées pour IBM S/390

  • Slack/390 - Distribution amĂ©ricaine, portage sur l'architecture IBM S/390.

Dérivées pour PowerPC (Macintosh)

Dérivées pour SPARC

Distribution textuelle

  • Slackermedia (anglophone) est une documentation donnant toutes les informations nĂ©cessaires pour qu'un utilisateur puise crĂ©er un studio multimĂ©dia complet sur la base d'une Slackware. InspirĂ© par Linux From Scratch, c'est une « distro textuelle ».

LiveCD

  • 4Bak - canadien pour la rĂ©cupĂ©ration de contenu dĂ©veloppĂ© par Sylvie Migneault ; c'est l'ancien DDbackup.
  • AliXe - Francisation et personnalisation de SlaX ; CD autonome canadien dĂ©veloppĂ© par une MontrĂ©alaise qui s'identifie avec l'alias « Alisou », mais qui sur le site du 4Bak reconnait ĂŞtre Sylvie Migneault elle-mĂŞme ; le CD autonome vise Ă  promouvoir Slackware et SlaX auprès des utilisateurs francophones.
  • Arudius - utilisĂ© pour tester la sĂ©curitĂ© informatique, fondĂ© sur Slackware et Zenwalk.
  • Austrumi[24] - dĂ©marrant par dĂ©faut en LiveCD ; dĂ©veloppĂ© par Andreijs Meinerts et d'autres programmeurs de la rĂ©gion de Latgale en Lettonie.
  • BackTrack - distribution suisse fondĂ©e sur Slackware et SlaX rĂ©sultant de la fusion entre Auditor Security Linux et WHAX ; orientĂ©e sĂ©curitĂ©. BasĂ©e sur Ubuntu depuis la version 4.
  • College - distribution suisse qui allègue se fonder sur Debian, mais dont la gestion des paquets est en .tgz. AbandonnĂ©e[25].
  • DNALinux - argentin fondĂ© sur SlaX.
  • eMoviX - italien orientĂ© vers le multimĂ©dia. Voir MoviX.
  • GoblinX - brĂ©silien qui, installĂ© sur un disque dur, converti les paquets .tgz de Slackware en modules .mo.
  • KlaX - allemand clone de SlaX pour la prĂ©sentation et la promotion de KDE.
  • LiveCD Router - argentin destinĂ© Ă  l'exploitation de rĂ©seaux et connexions internet.
  • LG3d live-cd - CD autonome de Sun visant Ă  prĂ©senter le projet looking glass, basĂ© sur Slax.
  • MoviX - italien orientĂ© vers la crĂ©ation de matĂ©riel multimĂ©dia.
  • MoviX2 - italien orientĂ© vers le multimĂ©dia (exĂ©cution).
  • MutageniX - Suite de CD autonomes amĂ©ricains.
  • Privare - canadien, c'est l'ancien eLearnix, avant FreeLoader Linux ; c'est pratiquement un cours Linux en forme de système opĂ©rationnel fondĂ© sur Slackware.
  • Puppy Linux - australien basĂ© et compatible avec Slackware 12, lĂ©ger, pouvant s'installer sur la plupart des mĂ©dias connectables. Importantes Ă©quipes de contributeurs et logiciels spĂ©cifiques.
  • Salix Live - basĂ© sur Salix.
  • SlAmpp - hollandais fondĂ© sur SlaX mais avec les paquets de Slackware ; indiquĂ© comme une solution simple pour des serveurs personnels.
  • SlaX - tchèque fondĂ© sur Slackware et KDE dĂ©veloppĂ© par Tomas Matejicek ; installĂ© sur un disque dur ou une clĂ© USB, il convertit les paquets .tgz de Slackware en modules .lzm.
  • STuX - italien.
  • TererĂ© - brĂ©silien projetĂ© pour les systèmes d'authentification de fournisseurs et de rĂ©seaux Ă  la maison de type LAN.
  • Wolvix - norvĂ©gien basĂ© sur SlaX.
  • ZenLive - français basĂ© sur Zenwalk.

Distributions et LiveCD non désactivés

  • DDbackup - devenu 4Bak.
  • Drinou - devenu P!tux.
  • eLearnix - devenu Privare.
  • FreeLoader Linux - devenu Privare.
  • MiniSlack - devenu Zenwalk.
  • WhaX - devenu iWhaX.

Distributions et LiveCD semi désactivés

  • Litrix Linux - distribution brĂ©silienne qui continue Ă  ĂŞtre active, mais qui Ă  partir de sa version 3.0 a changĂ© Slackware pour Gentoo comme base ; elle est dĂ©veloppĂ©e par Vagner Rodrigues.

Distributions et LiveCD désactivés

  • BearOps Desktop - distribution canadienne, abandonnĂ©e en 2001.
  • Buffalo - distribution amĂ©ricaine, abandonnĂ©e en 2005.
  • Definity - distribution brĂ©silienne dĂ©veloppĂ©e par une entreprise Ă  Curitiba, PR ; abandonnĂ©e en 2003.
  • Evil Entity - distribution amĂ©ricaine orientĂ©e vers l'Ă©dition de multimĂ©dia ; abandonnĂ©e en 2004, on ne sait pas si son successeur annoncĂ©, Arcano Linux, a Ă©tĂ© activĂ©.
  • gNox - LiveCD britannique dont la gestion en modules permettrait joindre des modules directement aux images .iso ; distribution abandonnĂ©e en 2005.
  • NetwosiX - distribution italienne orientĂ©e vers la sĂ©curitĂ© de rĂ©seaux ; abandonnĂ©e en 2006.
  • SentiniX - distribution suĂ©doise orientĂ©e vers la sĂ©curitĂ© et Ă  la monitoration de rĂ©seaux ; abandonnĂ©e en 2003.
  • Ultima - LiveCD amĂ©ricain qui Ă©tait dĂ©veloppĂ© par Martin Ultima, abandonnĂ© en 2005.

Autres distributions et LiveCD à la philosophie slackée

  • Aegean - distribution belge fondĂ©e sur Arch Linux.
  • Arch Linux - distribution canadienne dĂ©veloppĂ©e par Judd Vinet, inspirĂ©e de Crux Linux.
  • Archie - LiveCD malaisien basĂ©e sur Arch Linux.
  • Crux Linux - distribution suĂ©doise par Per LidĂ©n et autres, avec un système de Ports Ă  la FreeBSD.
  • DeLi Linux (en) - distribution allemande dĂ©veloppĂ©e par Henry Jensen pour des Ă©quipements extrĂŞmement anciens, avec le système de Ports Ă  la FreeBSD de Crux Linux et qui encore le met Ă  disposition sous mĂ©sure pour Slackware.
  • Dragora GNU/Linux-libre - distribution entièrement libre recommandĂ©e par la Fondation pour le logiciel libre.
  • GoboLinux - distribution brĂ©silienne installable et simultanĂ©ment LiveCD - selon ce qu'on digite - qui possède un arbre hiĂ©rarchique bien Ă  elle.
  • Frugalware - Distribution hongroise dĂ©veloppĂ©e par Miklos Vajna.
  • Underground Desktop - Distribution Linux italienne.

Notes et références

  1. (en) « General Information - The Slackware Philosophy », slackware.com
  2. (en) « slackhttps:/www.wordreference.com/definition/slack - WordReference.com Dictionary of English », sur www.wordreference.com (consulté le )
  3. (en) « Configuration Help », sur www.slackware.com
  4. (en) « Site web de Robby Workman », sur rlworkman.net
  5. (en) « blog de Eric Hameleers », sur alien.slackbook.org/blog/
  6. (en) « Site web de Piter Punk », sur piterpunk.unitednerds.org
  7. (en) « Site web de Stuart Winter », sur www.interlude.org.uk
  8. (en) « Site web de Slackware, page About », sur slackware.com
  9. (en) « voir entrée du 8 mai 2009 », sur slackware.osuosl.org
  10. (en) « Toutes les informations de distrowatch sur slackware », distrowtach
  11. L'annonce originale de Slackware v1.0
  12. (en) « The Slackware Linux Project: Frequently Asked Questions », sur slackware.com
  13. (en) « voir entrée du 26 mars 2005 », sur slackware.com
  14. GWARE
  15. Gslacky
  16. buildbot
  17. (en) « Annonce de la sortie de Slackware 10.0 », sur slackware.com
  18. (en) « Annonce de la sortie de Slackware 12.0 », sur slackware.com
  19. (en) « voir entrée du 19 mai 2009 », sur slackware.osuosl.org
  20. magasin en ligne store.slackware.com​.
  21. plusieurs miroirs de téléchargement
  22. bittorrent
  23. (en) « site officiel de Volta Linux », sur voltalinux.sicurezzarete.com
  24. « AUSTRUMI », sur latgola.lv (consulté le ).
  25. D'après distrowatch.com

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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