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Saint-Victor-de-Chrétienville

Saint-Victor-de-Chrétienville est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Saint-Victor-de-Chrétienville
Saint-Victor-de-Chrétienville
L'ancien presbytère.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Intercom Bernay Terres de Normandie
Maire
Mandat
Georges Mézière
2020-2026
Code postal 27300
Code commune 27608
Démographie
Gentilé Christovictoriens
Population
municipale
444 hab. (2020 en diminution de 1,77 % par rapport à 2014)
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 28″ nord, 0° 31′ 04″ est
Altitude Min. 160 m
Max. 187 m
Superficie 5,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bernay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bernay
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Victor-de-Chrétienville
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Saint-Victor-de-Chrétienville

    Les habitants de cette commune sont appelés les Christovictoriens et les Christovictoriennes.

    Géographie

    Entourée par les communes de Plainville, Grand-Camp et Caorches-Saint-Nicolas, Saint-Victor-de-Chrétienville est située à km de Bernay, et à 22 km au sud-est de Lisieux, la plus grande ville aux alentours.

    Situé à 170 m d'altitude, le village de Saint-Victor-de-Chrétienville a pour coordonnées géographiques 49° 4' 25 nord, 0° 30' 54 est.

    La commune est proche du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande à environ 31 km.

    La commune de Saint Victor, est composée de 16 hameaux :

    • la Mare Auger
    • la Londe
    • l'Epineraie
    • la Vallée Hareng
    • le Haucard
    • la Gruelle
    • le Tuillet
    • les Quatre Vents
    • la Censerie
    • le Bourg
    • les Vallots
    • Chrétienville
    • Montenay
    • le Bosc-l'Abbé
    • la Henrière
    • la Frovillière

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 845 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Menneval », sur la commune de Menneval, mise en service en 1962[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 780,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à 45 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Victor-de-Chrétienville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bernay, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,7 %), prairies (32,1 %), forêts (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    C'est dans une charte donnée en 1262, en faveur du prieuré Saint-Nicolas de Maupas situé à Capelle-les-Grands, que l'on rencontre la plus ancienne mention parrochia Sancti Victoris de Christianivilla. On trouve par la suite, en 1327, dans le cartulaire de l'abbaye de Saint-Taurin d'Évreux Saint Victor de Crestienville, puis Saint Victor de Crétienville au XVIIe siècle (note de la Chambre des comptes)[21].

    Saint-Victor est un hagiotoponyme, le saint patron du lieu est saint Victeur (ou Victor ou Victoire, en latin Victurius), évêque du Mans à la fin du Ve siècle[22].

    Avant la construction de l'Église Saint-Victor, le bourg primitif du village se trouvait au hameau de Chrétienville.

    Chrétienville (« ville de Chrétien ») est devenu le nom d’un simple hameau éponyme de Saint-Victor-de-Chrétienville. Une famille y porte encore ce nom dans les années 1980[23].

    Histoire

    Lors de la Révolution française, le village est renommé « Victor de Chrétienville » par vote du conseil municipal, retirant la particule de « Saint », symbole de la religion.

    En août 1944, un convoi de véhicules allemands chargé de munitions rejoignait le front, et fut bombardé entre Saint-Victor et Capelles-les-Grands, par l'aviation anglaise.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    novembre 1794 ? Jean-Baptiste Douis
    28 janvier 1849 1858 François Déménages Cultivateur
    1858 1870 Victor Peulvey Industriel en rubanerie
    1870 1873 François Desménages Cultivateur
    1873 1899 Eugène-Adrien Hébert Industriel en rubanerie
    1899 1919 Pierre-Adrien Hébert Industriel en rubanerie
    1919 1925 Michel Chanet Cultivateur
    1925 1938 Jules-Léon Mabire Cultivateur
    1938 1944 Fernand Delapille Cultivateur
    1944 1958 Henri Thuret Cultivateur
    1977 1989 Bernard Faisant Instituteur
    mars 1989 En cours Georges Mézière UDI Retraité ingénieur agricole
    Les données manquantes sont à compléter.

    Liste des curés de Saint-Victor

    Portrait du chanoine Lecoq, sur l'un des vitraux de l'église.
    • 1461 - ???? abbé Robert Roussel.
    • 1780 - 1808 abbé Gilles Fleury.
    • 1808 - 1827 abbé Trinité.
    • 1827 - 1832 abbé Bénard.
    • 1832 - 1876 abbé Victor Hypolite Lavaley.
    • 1876 - 1913 chanoine Pierre Lecoq.
    • 1914 - 1949 abbé Henri Lecœur.
    • 1949 - 1952 abbé Léon Catelin.
    • 1952 - 1960 abbé André Jouvin.
    • 1960 - 1970 abbé Jean Faict.
    • 1970 - 1983 abbé Raymond Bardel.
    • 1983 - 1993 abbé Michel Bigot.
    • 1993 - 2009 abbé Jacques Castel.
    • 2009 - en cours abbé Jean-Pierre Délogé.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

    En 2020, la commune comptait 444 habitants[Note 8], en diminution de 1,77 % par rapport à 2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    546535601531531489513507477
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    446421373345354359333301283
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    278271253229202195186201215
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    200189220300346376409415447
    2014 2019 2020 - - - - - -
    452446444------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La commune connaît depuis 2017 une très forte augmentation de sa population.

    Lieux et monuments

    Église Saint-Victor

    Église Saint-Victor.

    Datant de la fin du XIe siècle ou du XIIe siècle, l'église a été remaniée au XIIIe siècle puis complétée par deux chapelles à la fin du XVe siècle, un porche en bois au XVIe siècle et une sacristie au XVIIIe siècle. À partir du début du XIXe siècle, elle subit de nombreuses restaurations, comme la réfections des autels en 1826, la refonte d'une cloche en 1846, et l'achat d'un orgue du facteur Georges Luce, à Lisieux en 1858. La voûte fut rénovée en 1866, avec les plâtres des murs et les boiseries. En 1900, le mauvais état du clocher nécessite d'importants travaux, qui furent les derniers de grandes ampleurs.

    Ancien presbytère

    Appartenant à la commune depuis 1905, il fut construit vers 1850. Le dernier prêtre y ayant vécu est l'abbé Bardel. Il est resté fermé jusqu'à ce que la commune le restaure et le propose à la location en 1985.

    La salle des « Charitons »

    Bâtiment en colombage construit entre le XVIIIe et XIXe siècles, il abrite jusqu'au 20 juillet 1902 la mairie de la commune. Elle fut donnée en concession à perpétuité à la confrérie des Charitons (d'où son nom) pour la somme de 1 000 francs. Après la disparition de la confrérie dans les années 1950, elle servit de cantine pour les enfants de l'école.

    École communale

    Le bâtiment actuel de l'école publique de Saint-Victor fut reconstruit en 1852. Sa fondation est bien plus ancienne et il regroupait à l’origine les enfants des villages de Saint-Nicolas-du-Bosc-l'Abbé, de Plainville, de Grand-Camp et de Caorches.

    Calvaire

    Situé au croisement de la route de Broglie et de la route d'Orbec, il fut édifié en 1908, à l'occasion d'une mission. L'on dit que de mémoire d'homme il y eut toujours un calvaire en cet endroit, autrefois de petite dimension. Il fut restauré après la Grande Guerre, par la famille Pierre Hébert, et repeint en 1933 aux frais de la famille Alphonse Thibout. La dernière restauration date de 2010, lors des travaux du carrefour.

    Statue de la Vierge

    Statue de la Vierge, le 12 mars 2013.

    Se trouvant aux bords de la route de Broglie, elle appartient à la famille Delapille. Elle fut érigée après la Seconde Guerre mondiale, après un vœu de guérison fait à Notre-Dame de Lourdes. La statue de la Vierge a été volée il y a quelques années, mais fut remplacée par Mme Delapille, doyenne de la commune.

    Manoirs et fermes

    • Manoir de la Mare-Auger, construit au XVIIe siècle. Il se compose d'une cour, d'une étable, d'une remise, d'un pressoir à cidre et d'un colombier (aujourd'hui détruit).
    • Un second manoir au lieu-dit de la Mare-Auger, lui aussi construit au XVIIe siècle. Il se compose d'une remise, d'un puits et de divers autres bâtiments.
    • Une ferme au lieu-dit de la Mare-Auger, datant de la seconde moitié XVIIIe siècle.
    • Le manoir du Haucard, construit durant la seconde moitié du XVIIe siècle. Il se compose d'une cour, d'un colombier, d'un pressoir à cidre et d'une grange.
    • Un ensemble d'une quinzaine de fermes et de maisons sur toute la commune, s'étalant sur les XVIIIe et XIXe siècles. Ces bâtiments se composent de fours à pain, de poulaillers, pressoirs à cidre, de granges et étables, de puits et de remises.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean de Beaumais était, en 1390, patron de Saint-Victor-de-Chrétienville.
    • La famille Le Neuf de Sourdeval, était avant la Révolution française, patron de Saint-Victor, Chrétienville, et Montenay.
    • Messire Louis Bernardin Le Neuf, chevalier, comte de Sourdeval, le Saussay, Le Freine, Poret, Montenay, et d'autres lieux, ancien enseigne de vaisseau du Roy et chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint Louis, et sa femme Marie Jeanne Le Neuf, étaient seigneurs et patrons de Saint-Victor-de-Chrétienville, à la fin du XVIIIe siècle.
    • Messire Louis Bonaventure Joseph, comte du Herbe, président de la fabrique, et parrain de la cloche en 1846.
    • Louise Alexandrine Deshayes de Cassard, marraine de la cloche en 1846.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Menneval - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Victor-de-Chrétienville et Menneval », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Menneval - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Victor-de-Chrétienville et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 208.
    22. [Maneuvrier 2005] Christophe Maneuvrier, « Le récit de la translation des reliques de saint Regnobert : histoire d’une éphémère fondation monastique effectuée aux portes de Lisieux sous l’épiscopat de Fréculf », Tabularia, no 5 « Études », , p. 1-11 (lire en ligne [sur journals.openedition.org]), paragr. 9.
    23. [Beaurepaire 1981] François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, , sur books.google.fr (lire en ligne), p. 191.
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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