Saint-Christophe-en-Brionnais
Saint-Christophe-en-Brionnais est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Saint-Christophe-en-Brionnais | |||||
L'église Saint-Christophe. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Saône-et-Loire | ||||
Arrondissement | Charolles | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Canton de Semur-en-Brionnais (siège) |
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Maire Mandat |
Jean-François Soulard 2020-2026 |
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Code postal | 71800 | ||||
Code commune | 71399 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
532 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 35 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 17′ 24″ nord, 4° 10′ 44″ est | ||||
Altitude | Min. 335 m Max. 508 m |
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Superficie | 15,07 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Chauffailles | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Géographie
Situation
Saint-Christophe-en-Brionnais est un village situé dans le sud de la Saône-et-Loire, à 11 km (à vol d'oiseau) du nord du département de la Loire. Comme son nom l'indique, il fait partie du Brionnais.
La commune de Saint-Christophe-en-Brionnais est située dans le département de Saône-et-Loire, l'arrondissement de Charolles et depuis 2015 dans le nouveau canton de Chauffailles considérablement agrandi. Elle relevait jusqu'alors du canton de Semur-en-Brionnais aujourd'hui supprimé.
Mâcon est à 70 km à l'est, Lyon à 111 km au sud-est et Roanne (Loire) à 38 km au sud. Plus proches, La Clayette est à 12 km à l'est et Paray-le-Monial à 23 km au nord[1].
Description
La forme générale de son territoire serait approximativement quadratique sans une excroissance qui l'élargit dans sa partie nord-est[1].
Communes limitrophes
Avec deux de ses voisines, Saint-Christophe confine sur d'importantes distances : notamment avec Vauban à l'est et au sud-est sur 8,36 km mais aussi avec Briant à l'ouest et au nord-ouest sur 6,38 km. La limite avec Oyé au nord est longue de 3,4 km. Ailleurs le contact est beaucoup plus réduit : 1,45 km au nord-est avec Vareilles, 1,2 km au sud avec Ligny-en-Brionnais, 0,5 km au sud-ouest avec Saint-Julien-de-Jonzy[2].
Oyé | Vareilles | |||
Briant | N | Vauban | ||
O Saint-Christophe-en-Brionnais E | ||||
S | ||||
Saint-Julien-de-Jonzy | Ligny-en-Brionnais |
Hameaux, écarts et lieux-dits
Le Brionnais est par excellence un pays de bocage et le territoire municipal de Saint-Christophe en présente toutes les caractéristiques : prédominance des herbages, parcelles de forme irrégulière et de taille inégale encloses de haies vives, habitat dispersé et réseau serré de chemins ruraux. Dans ce type de paysage la répartition de la population multiple les écarts - une quarantaine dans la commune - et les fermes isolées.
Répartis selon les différents secteurs de la commune les lieuxdits sont les suivants :
- dans le bassin de la Belaine, la Noirie, le Grand Moulin, l'Orme de Lys, le Bois Bouton, Valtin, les Bains (nom qui évoque la source thermale autrefois exploitée) , Seuilly, le Mont, Noyer, Solin, Ronzières, les Cadoux, Loury, la Chaise.
- sur les hauteurs qui marquent la limite entre les versants, le Grand Bois, l'Homme Mort, les Beuclets, la Journalière.
- dans le bassin du Bezo, Trélu, Bigotte, la Chepaille, Sernier, les Echets, les Bassets, le Grand Chemin, Naurin, les Brures, Fougère, Loury, Foumoux, la Chaise.
- quartiers périphériques du bourg, l'Orangerie, Montsac, le Porteau, la Chaie, les Ébaulais, l'Allée, Ponay.
Des noms s'attachent d'autre part à des garennes herbeuses ou boisées non habitées telles la Condemine, les Bourbes, En Mémont, les Grands Prés, les Crots sur le versant de la Belaine, Brosse Sauceron, Molaize, Pré de Chétat, Pré Ardent, les Mottes sur la ligne de partage des eaux, Prés de Bigotte, les Bodis, Fond Noir, Prés des Rios, les Cruseilles, le Crusey, les Mottières, les Franchises, le Bois des Faons sur le verant du Bezo.
Relief
Les limites de la commune sont totalement artificielles. Aussi bien son territoire coiffe-t-il le bombement du Brionnais, non pas d'ailleurs dans sa partie la plus élevée, les altitudes culminantes n'étant atteintes que plus à l'ouest sur Sainte-Foy et Saint-Julien-de-Jonzy. À Saint-Christophe les altitudes sur le plateau central se maintiennent généralement au-dessus de 450 m. frôlant parfois les 500 m au nord comme au sud et les dépassant exceptionnellement à la limite de Ligny, où se de trouve le point culminant de la commune à 508 m[2].
L'altitude moyenne de l'espace communal s'établit à 422 m.
Hydrographie
La surface du plateau s'incline de deux façons opposées, partagée entre les bassins versants au nord-ouest de l'Arconce et au sud-est du Sornin. La ligne de partage des eaux traverse la commune, laissant au bénéfice de l'Arconce les 5,6 km2 que draine son tributaire la Belaine et 9,4 km2 au profit du Sornin par l'intermédiaire de son affluent le Bezo[2].
Belaine et Bezo prennent leur source sur la commune de Saint-Christophe, que la première parcourt sur 1,9 km et le second sur 5,5 km[2].
Le Bezo naît dans les parages des Bodis vers 469 m d'altitude, coule selon une direction nord-sud selon l'orientation du bombement brionnais et quitte la commune à 389 m. Sa pente moyenne est ainsi plutôt faible soit 15 m/km et il accomplit d'ailleurs une série de petits méandres dans la partie aval de son cours dans la commune. Tout son bassin versant participe de cette faible pente[2].
La Belaine naît sous le bourg de la commune à la Fontaine Saint-Martin à 402 m d'altitude et quitte le territoire de Saint-Christophe à une altitude de 333 m. En moins de 2 km d'un cours orienté nord-est-sud-ouest son talweg s'abaisse de 69 m. Cette dénivelé correspond donc à une pente forte de 36 m/km. Ainsi se creuse dans le nord-ouest de la commune une zone déprimée organisée autour du sillon de la Belaine, dont la direction est due à l'orientation générale du bombement brionnais, zone où les altitudes s'abaissent au-dessous de 350 m et qui fait contraste avec l'aspect de plateau que revêt le sud-est du territoire communal[2].
Géologie
Le substrat géologique du territoire communal est formé de terrains secondaires calcaires, marnes, grès, schistes mais qui n'apparaissent que là où l'érosion fluvatile les a dégagés, essentiellement dans le sillon de la Belaine, là où elle a été le plus active et a atteint même le cristallin du socle. Ailleurs le plateau est recouvert de larges épandages de formations d'altération ou résiduelles, qui plus à l'ouest dans le Brionnais intéressent de vastes surfaces.
À l'instar des communes de la partie orientale du bombement brionnais, St-Christophe présente un faible taux de boisement - 3,29 % - quoique supérieur à celui de certaines de ses voisines (Baudemont 1,81 %, St-Laurent-en-Brionnais 1,39 %) mais très éloigné des taux de la proche montagne beaujolaise (Ranchal 67 %) ou de l'ouest brionnais (Semur 45 %). Les qualités pédologiques des sols sédimentaires, la modestie des altitudes et l'absence de rigueurs hivernales se sont conjuguées pour occasionner un défrichement précoce de ce territoire. Les secteurs boisés couvrant au total 50 ha, constitués dans l'ensemble de feuillus, se rencontrent à l'extrême sud de la commune où le seul Bois des Faons en représente les 3/4.
Voies de communication
Tandis que certaines communes brionnaises ne sont reliées à leurs environs que par une seule route départementale (Saint-Laurent-en-Brionnais, Vauban), Saint-Christophe est bien desservie par le réseau routier. Trois routes sillonnent en effet son territoire dont la fréquentation est d'ailleurs bien différente. La plus passante est la D 989 qui intéresse la commune sur 6 km voie essentielle à l'échelle régionale qui relie d'est en ouest La Clayette à Marcigny sans traverser à proprement parler le bourg de la commune. Venant se greffer transversalement sur la D 989 une autre départementale D 20 dont un tronçon sert d'abord sur 500 m de rue centrale du bourg sous le nom de Grande Allée de Tenay (ancienne allée menant au château) et se dirige ensuite vers le nord en direction de Paray-le-Monial. La circulation est plus réduite sur le tronçon sud de la D 20 qui depuis la sortie occidentale du bourg se dirige cap au sud vers Ligny-en-Brionnais en parcourant 2 km sur la commune. Enfin prenant naissance elle aussi sur la D 989 mais à l'est du bourg une troisième voie départementale prend la direction du sud vers Saint-Maurice-lès-Châteauneuf quittant la commune au bout de 2,7 km.. Au total c'est donc 13 km de routes qui desservent le territoire de Saint-Christophe où le rapport route départementale/superficie est de 860 m/km2. (330 m. dans le cas de la commune voisine de Vauban, 15 m. à Saint-Laurent-en-Brionnais). Comme dans d'autres localités rurales certains grands chemins communaux remplissent les fonctions de route. Ainsi en va t-il pour un chemin rectiligne de 2 km reliant le bourg au hameau de Sernier corde de l'arc sur le trajet vers Saint-Maurice-lès-Châteauneuf qu'il raccourcit de près d'un kilomètre puisqu'il rejoint dans ce hameau la D 113.
Pour avoir accès aux chemins de fer, on doit se rendre à la gare de La-Clayette-Baudemont qui se trouve à 11 km. Plusieurs trains circulant dans les deux sens s'arrêtent chaque jour dans cette gare.
La ligne TGV de Paris à Marseille peut être rejointe en direction de Lyon à la gare de Mâcon-Loché distante de 66 km de Saint-Christophe ou en direction de Paris à la gare de Montchanin-Le Creusot à 71 km.
L'aéroport le plus proche, celui de Lyon-Saint-Exupéry, se trouve à 137 km de la commune.
Urbanisme
Typologie
Saint-Christophe-en-Brionnais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. La commune est en outre hors attraction des villes[6] - [7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (91,4 %), forêts (3,3 %), zones urbanisées (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Histoire
Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Bel-Air-les-Foires[10].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[15].
En 2020, la commune comptait 532 habitants[Note 2], en augmentation de 3,1 % par rapport à 2014 (Saône-et-Loire : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Lieux et monuments
Sont à voir sur le territoire de la commune :
- L'église, dédiée à saint Christophe. Reconstruit au cours du XIXe siècle (transept en 1870, abside en 1890), l'édifice se compose de deux parties différentes de style correspondant à deux étapes de construction : une partie néo-classique se rapportant à la nef basilicale plafonnée, longue de cinq travées, que des piles quadrangulaires séparent des bas-côtés, et une partie néo-gothique englobant le transept saillant (croisillons voûtés d’arêtes et croisée voûtée d’ogives) et le chœur semi-circulaire, voûté d’ogives, éclairé par cinq baies en plein cintre. À droite du portail d'entrée : dalle funéraire de dom Claude Brunet (1767-1854), qui fut bénédictin de l'abbaye de Cluny puis curé de Saint-Christophe (dalle portant la mention : « Il a fait aimer la religion »)[18].
- Le marché aux bovins.
- La tour d'entrée de l'ancien château fort.
- L'ancienne école du Montsac (ouverte dans les dernières années du XIXe siècle par les sœurs de la congrégation de Saint-Joseph de Lyon), siège du Centre d'études des patrimoines (CEP) du Charolais-Brionnais[19].
La commune est le siège d'une association consacrée à l'histoire et au patrimoine, et qui rayonne sur le Brionnais : Mémoire brionnaise, fondée au printemps 1998, qui s'est fixée pour but « de défendre et promouvoir le patrimoine culturel brionnais (partie intégrante du Charolais et de la Bourgogne du Sud) sous toutes ses formes et par tous moyens appropriés en particulier la publication périodique d'ouvrages comportant des articles de synthèse et de vulgarisation des diverses disciplines ». Elle publie depuis 1999 une revue portant le même nom que l'association, éditée chaque semestre (47e numéro en juillet 2022).
Vie locale
- Le marché aux bovins
Le marché aux bovins de Saint-Christophe-en-Brionnais a une existence qui remonte à la fin du XVe siècle. Il résulte des trois foires qui furent instituées et établies à perpétuité à Saint-Christophe-en-Brionnais par le roi Charles VIII, par décision d'avril 1488 faisant suite aux « remontrances et supplications de messire Jean de Tenay, écuyer, seigneur comte de Saint-Christophe ». Un édit de Louis XIII du fixe au mercredi le marché hebdomadaire[20]. Par ordonnance de Louis XVIII, du , les douze foires annuelles sont fixées au troisième jeudi de chaque mois.
Le marché aux bovins a été rénové en 2009. Son toit est entièrement recouvert de panneaux photovoltaïques, soit près d'un hectare[21].
Malgré une régression démographique, Saint-Christophe-en-Brionnais reste néanmoins une ville importante du Brionnais et du Charolais, grâce à ce marché réunissant chaque mercredi tous les éleveurs de la région[22].
Le marché comprend deux espaces :
- un marché traditionnel, « de gré à gré » ;
- un marché au cadran, créé en 2009[23].
Personnalités liées à la commune
- Édouard Bonnefoy, (1899-1945), haut fonctionnaire et résistant.
- Robert Dugas-Vialis, (1883-1965), artiste peintre, petit-fils de Adrien et Marguerite Meaudre, ancien propriétaire du château de Saint-Christophe-en-Brionnais (établissement thermal). Quelques-unes de ses toiles et croquis ont pour sujet le village de Saint-Christophe.
Images
Tour d'entrée de l'ancien château fort. Marché aux bovins : veaux, vaches et chevillards. Mur d'argent du marché, où s’échangeait l'argent des transactions entre vendeurs et acheteurs. Vaches charolaises. - La Belaine près de sa source à Saint-Christophe-en-Brionnais.
Rue principale. Château de Saint-Christophe-en-Brionnais, ex-établissement thermal.
Pour approfondir
Bibliographie
- Jacques Charmont, Foires et marchés du Brionnais : Saint-Christophe-en-Brionnais, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 18 (), pp. 23–26.
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Saint-Christophe-en-Brionnais, carte », sur google.fr/maps.
- « Saint-Christophe-en-Brionnais, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Christophe-en-Brionnais », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Charlotte Rebet, « Jean-François Soulard est le nouveau maire de Saint-Christophe-en-Brionnais », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne)
- Marie Lévêque, « Saint-Christophe-en-Brionnais. Le maire démissionne », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne)
- Fabienne Croze, « Un nouveau maire et ses trois adjoints ont été élus », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Brochure de présentation de l'église Saint-Christophe éditée par la pastorale diocésaine du tourisme.
- « Saint-Christophe-en-Brionnais : une nouvelle vie pour le bâtiment-école du Montsac », article d'Yvonne Bosché paru dans la revue Images de Saône-et-Loire no 206 (juin 2021), pages 6 et 7.
- Dominique Fayard, Le marché aux bestiaux de Saint-christophe en -Brionnais, Saint-Christophe-en-Brionnais, Les éditions du Centre d'études des patrimoines, Pays charolais-Brionnais, , 52 p., p. 8.
- « Une centrale photovoltaïque pour le nouveau marché aux bovins de Saint Christophe en Brionnais », sur enviscope.com, .
- Le marché aux bestiaux et l'histoire de Saint-Christophe-en-Brionnais
- Marché au cadran de Saint-Christophe-en-Brionnais.