Sablon (Bruxelles)
Le Sablon[1](en néerlandais : Zavel ; en brusseleer : Zoûvel[2]) est un quartier situé dans le centre historique de Bruxelles qui comprend le Petit Sablon et son square, l'église Notre-Dame du Sablon, la place du Grand Sablon ainsi que les rues avoisinantes.
Noms locaux |
(mis) Zoûvel, (nl) Zavel, Sablon |
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Pays | |
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Région | |
Arrondissement administratif | |
Grande ville | |
Coordonnées |
50° 50′ 24″ N, 4° 21′ 22″ E |
Historique du quartier
À proximité du Quartier des Arts, le Sablon se situait non loin des remparts de la première enceinte. L'Hôpital Saint Jean qui possédait le terrain en fit un cimetière en 1299 puis en céda une partie en 1304 à une guilde d'arbalétriers qui entreprit d'y bâtir une chapelle, la future Église Notre-Dame du Sablon[3]. La renommée de ce modeste oratoire grandit, lorsque, selon la tradition, une statue miraculeuse de la Vierge y fut transportée d'Anvers en 1348[4]. Au XVe siècle, les arbalétriers en firent l'église que l'on peut admirer de nos jours.
La faveur que les princes de la maison de Bourgogne et de la maison de Habsbourg témoignèrent à l'église, fit la fortune du quartier. Aux XVIe et XVIIe siècles, de nombreuses familles aristocratiques vinrent s'installer aux abords du sanctuaire. Parmi les plus célèbres figuraient les Tours et Taxis, dont l'hôtel de maître tomba sous la pioche des démolisseurs lors du percement de la rue de la Régence, et la famille d'Egmont, dont le palais, situé au-dessus du Petit Sablon, offre actuellement la meilleure idée de ce que le quartier fut au temps de sa splendeur. La rue aux Laines était le prolongement du Sablon : on y trouve encore du côté impair les hôtels de Lannoy et de Mérode-Westerloo. Dans la rue des Petits Carmes, de l'autre côté du palais d'Egmont, se trouvait au XVIe siècle l'hôtel de Culembourg, où fut rédigé en 1566 le Compromis des Nobles. Pour supprimer toute trace de cet acte séditieux contre le roi, le duc d'Albe fit raser l'hôtel en 1568 et édifier à son emplacement une colonne expiatoire.
Le voisinage du cimetière de l'Hôpital Saint-Jean incommodait déjà ses aristocratiques voisins en 1554, mais ce n'est qu'un siècle et demi plus tard que l'administration bruxelloise reconnut que la situation était devenue intolérable, rapportant que les corps « ...estoient souvent négligés et mis dans les fosses à moitié couverts, dont les chiens avoient plusieurs fois tiré des pièces et couru en plein jour avec les bras et les jambes... »[5]. En 1704, il fut donc décidé de transférer le cimetière vers les Marolles.
Ce vieux quartier fut remodelé au XIXe siècle par le percement de la rue de la Régence entre la Place Royale et le Palais de Justice. Cette artère "Marie Thérésienne" ( dans l'esprit et la continuité de la rue Royale) débute en 1827 et se poursuit en 1872, longe l'église et en dégage les perspectives. Les espaces situés de part et d'autre du bâtiment furent réaménagés par la même occasion et les maisons accolées à l'église détruites à partir de 1872[6].
La composition sociologique du quartier se modifia au fil du temps. Au XIXe siècle, il fut progressivement délaissé par l'aristocratie au profit de nouveaux quartiers huppés, tels que le quartier Léopold. Au XXe siècle, la place du Grand Sablon était occupée par une population plus modeste et on trouvait à l'intérieur des îlots des petits ateliers et des entrepôts. À la fin des années 1960, on assista à une nouvelle mutation résidentielle et commerciale : plusieurs antiquaires vinrent s'installer dans le quartier à la suite des démolitions dans le quartier du Mont des Arts[7]. Le Sablon redevint peu à peu un quartier tellement couru, qu'il donnera lieu à la création d'un néologisme : la « sablonisation », version locale de la gentrification.
Place du Petit Sablon
Dans le haut, à l'emplacement de l'ancien cimetière, la place du Petit Sablon s'étend en pente jusqu'au Palais d'Egmont.
Au Moyen Âge, le Zavelbeek (ruisseau du Sablon en néerlandais) prenait sa source dans le haut du Petit Sablon et dévalait la pente raide de la vallée de la Senne pour aller se jeter dans cette dernière aux environs de l'actuelle place Fontainas. Ce ruisseau contribua à façonner la topographie des rues du quartier : le côté sud du Petit Sablon, la rue des Sablons, le côté sud du Grand Sablon, la rue de Rollebeek ainsi que la rue des Alexiens et des Bogards correspondent à son cours à peu près rectiligne[8].
Au milieu de la place actuelle se trouve un jardin exceptionnel, le square du Petit Sablon, aménagé par l'architecte Henri Beyaert et inauguré en 1890.
Il est entouré d'une balustrade en fer forgé inspirée de celle qui ornait jadis les bailles de l'ancien palais du Coudenberg, à l'instar de la place de la Gare de Binche. De nombreux sculpteurs de l'époque y contribuèrent par la représentation en bronze de l'un ou l'autre des quarante-huit métiers d'autrefois qui l'entourent. Pour assurer la cohérence du projet, Beyaert avait demandé au peintre Xavier Mellery de dessiner les quarante-huit statues. Chaque pilier de pierre supportant les statues s'orne d'un décor original et ces piliers eux-mêmes sont reliés par des grilles aux motifs tous différents. Un régal pour les admirateurs du savoir-faire d'autrefois.
- Les métiers et leurs attributs[9]
- Les Quatre couronnés (c'était la réunion en un seul corps de métier des maçons, des tailleurs de pierre, des sculpteurs et des ardoisiers) (un compas, un plan déroulé, aux pieds un élément de sculpture et des outils de maçon et d'ardoisier), par Godefroid Van den Kerckhove.
- Les Boulangers (pelle à enfourner), par Émile Namur
- Les Brasseurs (arbre), par Jean-françois Van den Kerckhove
- Les tapissiers (bobine avec du fil), par Albert Desenfans
- Les Bouchers (coutelas et trousse à la ceinture), par Edmond Lefever
- Les Marchands de poisson salé (poissons et petit tonneau), par Charles Geefs
- Les Meuniers (roue de moulin et moulin), par Guillaume Charlier
- Les Doreurs (palette, pinceau et godet au mordant), par Louis Van Biesbroeck
- Les Gantiers (gants en main et ciseaux à la ceinture), par Louis Van Biesbroeck
- Les Graissiers (oie et un flacon), par Polydore Comein (1848-1907)
- Les Orfèvres (châsse et vase), par Émile Namur
- Les Passementiers (cordelière et floche), par Émile Namur
- Les Ébénistes (rabot et compas), par Augustin Van den Kerckhove
- Les Brodeurs et Pelletiers (manteau de fourrure), par Armand Cattier
- Les Tonneliers (cerceau de bois), par Jules Courroit
- Les Couteliers (couteau dans une gaine), par Julien Renodeyn
- Les Légumiers et Scieurs (scie), par Albert Hambresin
- Les Barbiers et Chirurgiens (pot et boîte d'instruments), par Jean-Baptiste Martens
- Les Marchands de drap au détail et les Chaussetiers (pièce de drap et chausses à la ceinture), par Robert Fabri
- Les Marchands de vin (bouteilles, gobelet et tonneau), par Albert Hambresin
- Les Serruriers et Horlogers (horloge et trousseau de clés), par Jean Cuypers
- Les Peintres, Batteurs d'or et Verriers (palette et brosse), par Antoine-Joseph Van Rasbourgh
- Les Fruitiers (corbeille de fruits), par Albert Hambresin
- Les Selliers et Carrossiers (selle et brancard de voiture), par Robert Fabri
- Les Tailleurs (vêtement et ciseaux), par Armand Cattier
- Les Tisserands en laine (navette), par Benoît-François Wante
- Les Bateliers (rames, cordage et ancre), par Edouard Laborne
- Les Charpentiers (hache), par Augustin Van den Kerckhove
- Les Fripiers (chapeau et pièce d'étoffe), par Augustin Van den Kerckhove
- Les Tisserands de toile et les Marchands de toile (navette), par Eugène de Plyn
- Les Forgerons (marteau), par Eugène Cambier
- Les Merciers (balance et écheveau de laine), par Polydore Comein
- Les Ceinturonniers et Épingliers (ceinturons), par Antoine-Joseph Van Rasbourgh
- Les Teinturiers (pot à la main, récipient et fourneau sur le socle), par Charles Geefs
- Les Tondeurs de drap, Drapiers et Marchands de drap (forces ou ciseaux), par Eugène de Plyn
- Les Cordonniers (bottes et chaussures), par Louis Van Biessbroeck
- Les Marchands de poissons d'eau douce (filets et poissons), par Jean-André Laumans
- Les Savetiers (paire de chaussures), par Jean-André Laumans
- Les arquebusiers (arquebuse et enclume), par Jean-François Van den Kerckhove
- Les Fabricants de chaises en cuir d'Espagne et les Perruquiers (chaise), par Jules Courroit
- Les Tanneurs (peau de bœuf), par Albert Desenfans
- Les Chapeliers, Foulons et Brandeviniers (chapeau), par Jules Cuypers
- Les Tourneurs de chaises, Plafonneurs-couvreurs en chaume et Vanniers (balustre tourné et panier en osier), par Antoine-Joseph Van Rasbourgh
- Les Chaudronniers et Fondeurs (pot, canette et marteau), par Jef Lambeaux
- Les Blanchisseurs (pelle), par Jef Lambeaux
- Les Couvreurs en tuiles (échelle), par Albert Desenfans
- Les Etainiers-Plombiers (rouleau de plomb et soufflet), par Jules Cuypers
- Les Armuriers, Heaumiers et Fourbisseurs (épée et casque), par G. Van den Kerckhove
- Couvreur en tuiles
- Horloger-Serrurier
- Étainier-Plombier
Deux statues méritent une attention particulière :
- La tête de la statue du métier des Quatre Couronnés a été sculptée à l'effigie de l'architecte Beyaert[10].
- La statue du tonnelier fut dérobée en 1965 et retrouvée décapitée. Il fallut en refaire la tête[11].
Au centre du square se dresse la Fontaine des comtes d'Egmont et de Horne, symboles de la résistance à la tyrannie espagnole au XVIe siècle. Cette fontaine se situait initialement devant la maison du Roi à la Grand-Place. Ce groupe est entouré de dix statues disposées en hémicycle représentant des hommes politiques, des savants ou des artistes du XVIe siècle, de gauche à droite :
- Philippe de Marnix de Sainte-Aldegonde (1538-1598), homme d'État, militaire, poète, polémiste, théologien et pédagogue par Paul De Vigne
- Abraham Ortelius (1527-1598), mathématicien et géographe, par Jef Lambeaux
- Bernard van Orley, (c.1491-1541), peintre, par Julien Dillens
- Jean de Locquenghien (1518-1574), bourgmestre et amman de Bruxelles, par Godefroid Van de Kerckhove
- Mercator (1512-1594), cartographe, par Louis Van Biesbroeck
- Dodonée (1518-1585), botaniste, par Alphonse de Tombay
- Cornelis de Vriendt, (1518-1578), sculpteur et architecte, par Jules Pecher
- Henri de Brederode (1531-1568), patriote bruxellois, par Antoine-Joseph Van Rasbourgh
- Louis van Bodeghem (c.1470-1540), architecte, par Jean Cuypers
- Guillaume le Taciturne, prince d'Orange (1533-1584) par Charles Van der Stappen
Autour du parc se dresse un ensemble de maisons du XIXe siècle, la plupart de style néo-classique. Seule, au n° 9, la maison dite « Au Roy d'Espagne » date du XVIIe siècle.
- Entrée du palais d'Egmont vue depuis le jardin du Petit Sablon
- Statue des comtes d'Egmont et de Hornes
- Maison Au Roy d'Espagne
Place du Grand Sablon
Description et historique
De l'autre côté de l'église, le Grand Sablon forme un vaste quadrilatère irrégulier, long de 150 mètres, mais large seulement de 30 mètres à l'ouest et de 40 mètres à l'est. Lorsque les Bruxellois parlent du Grand Sablon, ils omettent généralement l'adjectif ; par contre la précision est d'usage pour désigner le Petit Sablon[12]. Le Grand Sablon communiquait jadis avec le Petit Sablon par la rue Bodenbroek et la rue des Sablons. Ces deux rues ont été amputées d'une partie de leur tracé par le percement de la rue de la Régence, qui a accentué la rupture entre les deux Sablons. Au XIIIe siècle, le Grand Sablon était une prairie marécageuse et sablonneuse, qui se trouvait à l'extérieur de la première enceinte de Bruxelles. Au XVIe siècle, cette place s'appelait Forum Equorum en latin ou Peerdemerct en néerlandais, (c'est-à-dire Marché aux Chevaux), à cause du marché aux chevaux qui s'y tint de 1320 à 1754. Le nom Sablon est cependant plus ancien. Au XIVe siècle, on l'appelait Zavelpoel (c'est-à-dire bassin du Sablon en néerlandais), à cause du bassin[13] qui en occupait le centre et qui ne disparut qu'en 1615. Après le comblement de ce bassin, on érigea une fontaine à son emplacement en 1661. L'eau qui l'alimentait, fut amenée par une nouvelle conduite de Obbrussel[14]. Elle fut remplacée en 1754 par la fontaine de Minerve, restaurée en 1999[15], qui est un don posthume de Thomas Bruce, comte d'Ailesbury[16], un exilé anglais souhaitant témoigner sa reconnaissance à Bruxelles pour son hospitalité.
La place du Grand Sablon fut souvent le théâtre de fêtes et de concours, mais aussi d'événements tragiques. Elle fut le lieu d'une exécution massive le , lorsque dix-huit signataires de la pétition du Compromis des Nobles y furent décapités[17]. Quelques toiles célèbres nous laissent entrevoir ce que furent les grandes heures du Sablon au XVIIe siècle sous les archiducs Albert et Isabelle, qu'il s'agisse de la série consacrée par Denys van Alsloot à l'Ommegang de 1615, ou encore des tableaux d'Antoon Sallaert : Les archiducs Albert et Isabelle assistant à la procession des pucelles au Sablon et L'infante Isabelle abattant l'oiseau au tir du Grand Serment, le au Sablon à Bruxelles. Ces deux derniers tableaux sont liés : l'infante, proclamée « reine » du Serment après avoir abattu le papegay au sommet de l'église Notre-Dame du Sablon, reçut du magistrat de Bruxelles une somme de 25 000 florins, dont elle consacra le revenu à une rente destinée à six jeunes filles pauvres, qui participeraient à la procession autour du Sablon constituant le sujet du deuxième tableau. Du XIXe au XXe siècle, le Grand Sablon fut le haut lieu d'un sport, dont on a peine à imaginer aujourd'hui la popularité en ces lieux, la balle pelote. Les souverains belges venaient souvent assister aux concours jusque dans les années 1950. Le roi Léopold II, y venait, disait-il, « en voisin de quartier »[18].
Le bas de la place connut d'importantes modifications à la fin du XIXe siècle. Elle ne communiquait avec la rue des Minimes que par la petite rue des Minimes et la rue du Coq-d'Inde. En 1884-88, la rue des Minimes fut élargie et prolongée en ligne droite vers la place, entraînant la disparition de la rue du Coq-d'Inde et de plusieurs maisons du bas de la place. Le Sablon ne communiquait jadis avec la bas de la ville que par la rue de Rollebeek. Pour améliorer ces communications, on perça en 1894 la rue Joseph Stevens, créant par la même occasion une perspective vers l'église Notre-Dame de la Chapelle. Le percement de la rue Lebeau en 1893 participait de la même intention.
Édifices remarquables
- No 4 : Cette maison Louis XIV est datée « 1728 » à la frise. Son noyau est sans doute plus ancien.
- No 5 : Cette maison était connue jadis sous le nom d'Hôtel du Chastel de la Howarderie. Construite en style classique vers 1785, elle se déploie en L autour d'une cour intérieure. Deux travées ont été ajoutées à la façade en 1857. Elle possède une belle décoration intérieure de style Louis XVI, dont la cage d'escalier comporte un décor en stuc et un escalier hélicoïdal. Dans la cour se trouvent des écuries, une orangerie et deux petites maisons à pignon en gradins du XVIIe siècle, dont l'une possède encore un plafond de style baroque.
- No 15-16 : Cette maison du XVIIe siècle possède un pignon baroque.
- No 38-39 : Ces deux jolies maisons à pignon à gradins peuvent sembler d'origine. Il n'en est rien : le pignon avait disparu au XIXe siècle. En 1954-57, elles furent rehaussées d'un étage et surmontées d'un nouveau pignon. Le no 39 porte un millésime fictif de 1667.
- No 43 : Cette maison est tout ce qui reste d'un hôtel de maître du XVIe siècle. Des cinq travées d'origine il n'en subsiste que deux, les trois autres ayant été détruites lors de la prolongation de la rue des Minimes. Le rez-de-chaussée possède encore deux arcs en anse de panier, dans un style gothique finissant.
- No 49 : Cette étroite maison à pignon à gradins porte des ancrages qui la feraient remonter à l'année 1567. C'était jadis un café bien connu appelé Les bons enfants.
Activités
Le Grand Sablon constitue tout à la fois un vrai quartier avec ses habitants et ses petits commerces, un lieu de promenade pour les badauds et une attraction pour les touristes.
Le samedi et le dimanche s'y tient le Marché des Antiquités et du Livre. Tout autour de la place nombre de magasins d'antiquités, de boutiques de couturiers, de restaurants, d'hôtels, un hôtel des ventes et plusieurs pâtissiers et chocolatiers belges connus (Neuhaus, Pierre Marcolini, Godiva) animent le quartier.
À l'instar de nombreuses places bruxelloises, la place du Sablon a été transformée en parking. Un projet est à l'étude pour en réaménager l'espace.
La place est chaque année le point de départ du cortège de l'Ommegang et le , de celui de la Saint-Verhaegen, fête de la fondation de l'université libre de Bruxelles.
- No 4 : maison Louis XIV, datée « 1728 »
- N° 5 : maison en style classique bâtie vers 1785
- No 5 : Cage d'escalier
- No 5 : maison à pignon à gradins du XVIIe siècle dans la cour intérieure
- No 15-16 : maison du XVIIe siècle à pignon baroque
- No 43 : rez-de-chaussée avec deux arcs en anse de panier
- No 49 : maison à pignon à gradins millésimée « 1567 »
- Fontaine de Minerve
- Rue de Rollebeek
Monuments
- La place du Grand-Sablon
- La place du Petit-Sablon
- L'église Notre-Dame-du-Sablon
- Le palais d’Egmont
- Le parc d'Egmont
- Le Conservatoire royal de Bruxelles
- Le palais de justice de Bruxelles
Voir aussi
Notes et références
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Ville de Bruxelles » (voir la liste des auteurs).
- Concernant le quartier du Sablon : http://www.bruxelles.be/artdet.cfm/5630.
- « Le "Brusseleir" et la "Zwanze" », sur HU(MOEUR)S BUXELLOISES ... BRUSSELS ZWANZE ... (consulté le ).
- Collectif 1995, p. 3.
- Guillaume Des Marez, Guide illustré de Bruxelles, t. 1, deuxième partie, Touring Club de Belgique, , « Monuments religieux », p. 315
- Henne et Wauters 1968, p. 401.
- Le Patrimoine monumental de la Belgique, Bruxelles, Pierre Mardaga éditeur, , « Pentagone N-Z », p. 274
- Itinéraire de la rénovation des quartiers anciens à Bruxelles : 8 km à pied à travers le Pentagone et Molenbeek, Collection Hommes et Paysages, Société royale belge de géographie, , p. 63
- Roel Jacobs, Bruxelles. L'histoire dans la ville, éditions Marc van de Wiele, , p. 70
- Dans le sens des aiguilles d'une montre à partir de l'entrée du square située en face du portail sud de l'église Notre-Dame du Sablon
- Guillaume Des Marez, Guide illustré de Bruxelles, t. 1, première partie, Touring Club de Belgique, , « Monuments civils », p. 172
- Renoy 1982, p. 69.
- d'Osta 1995, p. 293.
- Contrairement à ce qu'ont affirmé Henne et Wauters au XIXe siècle, le mot «poel» ne désignait pas une mare, mais un bassin artificiel. Voir : Roel Jacobs, Bruxelles. L'histoire dans la ville, éditions Marc van de Wiele, , p. 78
- actuel Saint-Gilles
- La fontaine de Minerve coule à nouveau, Le Soir, 4 décembre 1999
- Thomas Bruce, 2e comte d'Ailesbury et 3e comte d'Elgin, né en 1656 et mort le 16 décembre 1741. Il est enterré à Bruxelles.
- Louis Verniers, Un millénaire d'histoire de Bruxelles. Des origines à 1830, Éditions A. De Boeck, , p. 227
- Jacques Dubreucq, Bruxelles 1000. Une histoire capitale, vol. 1, Édité par l'auteur, , p. 258
Bibliographie
- Collectif, Le Sablon. Le quartier et l'église, éditions Solibel & Région de Bruxelles-Capitale, coll. « Ville d'Art et d'Histoire » (no 9),
- Jacques Boulanger-Français, Parcs et jardins de Bruxelles, Région de Bruxelles-capitale,
- Alexandre Henne et Alphonse Wauters, Histoire de la ville de Bruxelles, Éditions Libro-Sciences,
- Jean d'Osta, Dictionnaire historique et anecdotique des rues de Bruxelles, Le Livre,
- Le patrimoine monumental de la Belgique. Bruxelles (3 vol.), Pierre Mardaga, 1989
- Georges Renoy, Bruxelles vécu. Le Sablon, Rossel,