Rochefourchat
Rochefourchat est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Rochefourchat | |||||
Centre du bourg de Rochefourchat | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | DrĂ´me | ||||
Arrondissement | Die | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Diois | ||||
Maire Mandat |
Jean-Baptiste Lemoyne de Martigny 2020-2026 |
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Code postal | 26340 | ||||
Code commune | 26274 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Rochefourchatien | ||||
Population municipale |
1 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 0,08 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 44° 35′ 58″ nord, 5° 14′ 53″ est | ||||
Altitude | Min. 600 m Max. 1 513 m |
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Superficie | 12,73 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Diois | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : DrĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Ses habitants sont dénommés les Rochefourchatiens[1]. Il s'agit de la seule commune de France habitée par un seul habitant. Ce dernier occupe la fonction de maire adjoint[2].
GĂ©ographie
Localisation
Rochefourchat est situé à 4,5 kilomètres de Saint-Nazaire-le-Désert, village le plus proche. Valence est à environ 75 kilomètres au nord-ouest, par la route.
Relief et géologie
Sites particuliers[3] :
- Col de Bauras (887 m)
- Col des Faurines (949 m)
- Col Jeannin (1 024 m)
- Col Puzaou (1 439 m)
- Combe du Four
- Montagne de Couspeau
- Pas de la Mort
- Serre Calliaud
- Serre de Chavou
- Serre de la Blache
- Serre de la Draye
- Serre Delègue
- Serre de Minuit
- Serre du Coucou
- Serre Musat
- Serre Rouby
GĂ©ologie
La commune est située sur le flanc oriental de la grande crête anticlinale de Couspeau.
Hydrographie
La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[3] :
- la Coulance (aussi appelée la Courance) ;
- Ravin de Chaune ;
- Ravin des Boutarys ;
- Ruisseau de la Combe.
La commune de Rochefourchat est la seule de la vallée qui ne jouxte pas la Roanne. Au sud, ses eaux rejoignent la rivière à travers la commune de Saint-Nazaire-le-Désert. Au nord, elles alimentent la profonde vallée de son affluent, la Coulance[4].
La commune est traversée par le ruisseau de Pémya, qui rejoint Saint-Nazaire-le-Désert[5].
En 1891, un ruisseau nommé Rochefourchat est mentionné. C'est un affluent de la Roanne qui, ayant sa source sur la commune de son nom, traverse celle de Saint-Nazaire-le-Désert et a 4,8 kilomètres de cours. À l'époque, sa largeur moyenne est de dix mètres, sa pente de 560 m, son débit ordinaire de 0,10 m3, extraordinaire de 53 m3[6]
Urbanisme
Typologie
Rochefourchat est une commune rurale (car elle fait partie des communes peu ou très peu denses) au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [7] - [8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (79,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
En plus du « village », la commune est composée des deux hameaux : l'Aribat et Gauze.
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site GĂ©oportail (carte IGN)[3] :
- Alexis
- Bègue
- Boichou
- Bonnet
- Brachet
- Cabret
- Chapelle de Notre-Dame
- Chaune
- Cloroyer
- Faussard
- ForĂŞt Domaniale de la Roanne
- Gauze
- Jacques Eymieux
- Labrune
- la Grand Plaine
- l'Aribat
- la Tune
- la Violette
- le Devès
- le Moulin
- les Blaches
- les Chapelans
- les Pradaux
- Moury
- Quinze Cannes
Logement
En 2008, la commune comptait une résidence principale et six résidences secondaires[13].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la route départementale D 596[3].
Toponymie
Attestations
- 1178 : Rocha Forcha (cartulaire de Die, 5)[14].
- 1178 : Rocha forcha[15].
- 1178 : mention du mandement : mandamentum de Rocha Forcha (cartulaire de Die)[14].
- 1214 : Rocha Forchau (cartulaire de Die, 9)[14].
- 1214 : Rocha forchaa (DR)[15].
- XIVe siècle : mention de la paroisse : capella Ruppis Forchate (pouillé de Die)[14].
- XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Ruppis Furcata (cartulaire de Die)[14].
- 1389 : de Rupe Furcata (Long, notaire Ă Grignan[14] et VTF 510[15]).
- 1449 : mention de la paroisse : cura de Ruppe furcata (pouillé hist.)[14].
- 1516 : mention du prieuré : prioratus Ruppis Fourcatae (rôle de décimes)[14].
- 1619 : Roche Fourcha (rôle de décimes)[14].
- 1628 : mention de la paroisse et de l'Ă©glise Saint-Pierre : la cure de Saint-Pierre de Rochefourchat (archives de la DrĂ´me, E 2371)[14].
- 1632 : Rochefourchat[15].
- 1891 : Rochefourchat, commune du canton de la Motte-Chalancon[14].
Étymologie
Il s'agit d'un composé toponymique nord occitan, basés sur les appellatifs ròcha « roche » et forcha(d)a « divisé en deux branches », avec un -t adventice[15].
Histoire
Du Moyen Ă‚ge Ă la RĂ©volution
La seigneurie : Rochefourchat, au point de vue féodal, était une terre (ou seigneurie) qui relevait en fief des évêques de Die. Les Morges la possèdent en 1334. Par la suite, elle passe aux Brottin (milieu du XVe siècle) puis, par mariage, aux Monteynard (1564) et enfin aux Rey de Noinville (1738), derniers seigneurs[14].
Ce fief dépendait pour deux tiers de la couronne française et pour un tiers du Comtat Venaissin. Cette originalité causait une opposition des hommages prêtés par les seigneurs. La domination était indivise mais les sujets (ou justiciables) de chaque seigneur étaient distincts et divisés en Dauphinois et Comtadins, de sorte que la personnalité décidait de la compétence civile et criminelle. Ces diverses questions furent réglées dans une transaction intervenue en 1630 entre les trois co-seigneurs qui possédaient alors le fief[16].
Avant 1790, Rochefourchat était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation de Crest et du bailliage de Die. Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église, dédiée à saint Pierre, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (filiation de Cruas) dont les dîmes appartenaient au prieur et dont la cure était de la collation de l'évêque diocésain. Le mandement de Rochefourchat avait la même étendue que la commune de ce nom[14].
De la RĂ©volution Ă nos jours
En 1790, la commune est comprise dans le canton de Saint-Nazaire-le-Désert. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans celui de La Motte-Chalancon[14].
En 1796, Pierre Jossaud, négociant à Saillans, acheta les domaines de la Grand-Grange et de l'Aribat comme biens nationaux[4].
Lors du coup d'État du , la résistance drômoise fut l'une des plus fermes et des combats importants se déroulèrent à Crest.
Durant la Seconde Guerre mondiale, la Drôme occupée fut placée sous administration italienne du au puis sous occupation allemande du au [17].
La décroissance démographique, entamée après 1806, continue jusqu'au XXIe siècle.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2002 (10 inscrits)[18] : 70,00 % pour Jacques Chirac (RPR), 30,00 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 100,00 % de participation ;
- Élection présidentielle de 2007 (15 inscrits)[19] : 57,14 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 42,86 % pour Ségolène Royal (PS), 93,33 % de participation ;
- Élection présidentielle de 2012 (11 inscrits)[20] : 77,78 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 22,22 % pour François Hollande (PS), 81,82 % de participation.
Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 dans cette commune est présenté dans le tableau suivant[21].
Premier tour |
Second tour | ||||||
Nombre | % des inscrits | Nombre | % des inscrits | ||||
Inscrits | 8 | - % | 8 | - % | |||
Abstentions | 2 | 25,00 % | 1 | 12,50 % | |||
Votants | 6 | 75,00 % | 7 | 87,50 % | |||
% des votants | % des votants | ||||||
Bulletins blancs | 1 | 16,67 % | 0 | 0,00 % | |||
Bulletins nuls | 0 | 0,00 % | 0 | 0,00 % | |||
Suffrages exprimés | 5 | 83,33 % | 7 | 87,50 % | |||
Candidat Parti politique |
Voix | % des exprimés | Voix | % des exprimés | |||
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Emmanuel Macron En marche ! | 2 | 40,00 % | 3 | 42,86 % | |||
Marine Le Pen Front national | 2 | 40,00 % | 4 | 57,14 % | |||
Nicolas Dupont-Aignan Debout la France | 1 | 20,00 % | |||||
François Fillon Les Républicains | 0 | 0,00 % | |||||
Jean-Luc MĂ©lenchon La France insoumise | 0 | 0,00 % | |||||
Benoît Hamon Parti socialiste | 0 | 0,00 % | |||||
Jean Lassalle RĂ©sistons | 0 | 0,00 % | |||||
Philippe Poutou Nouveau Parti anticapitaliste | 0 | 0,00 % | |||||
François Asselineau Union Populaire Républicaine | 0 | 0,00 % | |||||
Nathalie Arthaud Lutte ouvrière | 0 | 0,00 % | |||||
Jacques Cheminade Solidarité et progrès | 0 | 0,00 % | |||||
Sources : Site du Ministère de l'Intérieur : Élection présidentielle 2017 |
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 2002 (10 inscrits)[22] : 60,00 % pour Michel Grégoire (PS), 40,00 % pour Hervé Mariton (UMP), 100,00 % de participation ;
- Élections législatives de 2007 (15 inscrits)[23] : 50,00 % pour Michel Grégoire (PS), 50,00 % pour Hervé Mariton (UMP), 93,33 % de participation.
Élections régionales, résultats des deuxièmes tours :
- Élections régionales de 2004 (10 inscrits)[24] : 66,67 % pour Jean-Jack Queyranne (PS), 33,33 % pour Anne-Marie Comparini (UMP), 00,00 % pour Bruno Gollnisch (FN), 90,00 % de participation ;
- Élections régionales de 2010 (14 inscrits)[25] : 40,00 % pour Françoise Grossetête (UMP), 40,00 % pour Jean-Jack Queyranne (PS), 20,00 % pour Bruno Gollnisch (FN), 71,43 % de participation.
Liste des maires
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune fait partie de la communauté de communes du Diois.
Instances judiciaires
Rochefourchat relève du tribunal d'instance de Valence, du tribunal de grande instance de Valence, de la cour d'appel de Grenoble, du tribunal pour enfants de Valence, du conseil de prud'hommes de Valence, du tribunal de commerce de Romans-sur-Isère, du tribunal administratif de Grenoble et de la cour administrative d'appel de Lyon[29].
Finances locales
En 2010, le budget de la commune était de 18 704 €, avec un résultat comptable de 5 172 €, résultat qui a été quasiment toujours positif durant les dix dernières années[30].
Population et société
DĂ©mographie
Rochefourchat est connue pour être la commune de France la moins peuplée (à l'exception de neuf communes « villages morts pour la France » dépourvues d'habitants[31]).
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Grenoble.
Compte tenu de la carte scolaire de cette académie pour la rentrée 2011-2012[34], l'école primaire la plus proche est située à Saint-Nazaire-le-Désert[35].
Économie
Agriculture
En 1992 : bois, pâturages (ovins)[36].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ruines d'un château au lieu-dit les Châteaux dont il ne reste que quelques traces de voûtes effondrées et de rochers taillés.
- Maisons anciennes[36].
- Église rustique (désaffectée)[36] dédiée à saint Pierre : clocher carré, porche de 1880, autel en bois décoré de cœurs, cloches datées de 1807 et 1838 ; le petit cimetière attenant renferme la tombe de Madeleine Farnier, ancêtre de Marcel Pagnol qui descendait de Marguerite Mège de Rochefourchat, mariée en 1634 avec Marius Marchand de Saint-Nazaire[4].
- Chapelle Notre-Dame[36], dite des-Sept-Douleurs, au hameau de l'Aribat : elle aurait été construite à la suite du vœu d'un berger pris dans la tourmente. Cette église est accessible via le chemin d'accès à l'Aribat, en passant par un pont, doté d'une voûte de huit mètres. C'était autrefois un lieu de pèlerinage le dernier dimanche de mai : l'évêque de Valence y vint en 1940 ; cette église contient un clocheton-porche en pierres de taille réalisé en 1898, et de belles peintures dans l'abside[4].
Patrimoine culturel
Rochefourchat et la chanson populaire
La Fanfaro de Rotchofourchat (La fanfare de Rochefourchat) est une chanson populaire écrite en 1900 par Émile Maillefaud, agent-voyer cantonal de la Motte-Chalancon[4]. Elle vante, sur un mode ironique, les mérites de sa fanfare qui aurait « remporté le premier prix de France »[37].
Selon la tradition locale, cette fanfare n'aurait eu qu'une existence formelle : les hommes du village, équipés de leurs instruments respectifs, se retrouvaient pour « répéter ». Ils ne progressaient guère car leurs répétitions consistaient à se retrouver pour « boire des canons » loin de leurs épouses. Le subterfuge fut un jour éventé et fit bien rire : « C'est une joyeuse troupe qui ne compte pas moins de « quatre-vingt-quatre pistons » et des musiciens qui, ayant gagné chacun un cochon de quatre quintaux à Combovin, font le tour du village, l’animal sous le bras, en jouant un pas redoublé ! ».
Les paroles en version d'origine (occitan - graphie félibréenne) et la traduction en français :
Refrain
Couplet 1
Couplet 2
Couplet 3
Couplet 4
Couplet 5
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Refrain
Couplet 1
Couplet 2
Couplet 3
Couplet 4 :
Couplet 5
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Annexes
Bibliographie
- Justin Brun-Durand, Dictionnaire topographique de la France, département de la Drôme : comprenant les noms de lieux anciens et modernes, rédigé sous les auspices de la société d'archéologie et de statistique de la Drôme, publié par ordre du ministre de l'Instruction publique et sous la direction du comité des travaux historiques, Paris, Imprimerie nationale, 1891, in-4°, 502 pages.
- Jacques Barlet, Jean-Noël Couriol, Annie Friche, Le pays de la Roanne, édité par l'association « Route de la Vallée de la Roanne », collection « Histoire et patrimoine Dromois », éditions la Lombardière 26400 Beaufort-sur-Gervanne.
Articles connexes
Liens externes
- Rochefourchat sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2011.
- Ressources relatives à la géographie :
- Rochefourchat sur site de l'office du tourisme de la Vallée de la Roanne / page archivée depuis 2013.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Nom des habitants des communes françaises, Rochefourchat », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
- « Municipales 2020 : bienvenue à Rochefourchat, la ville qui ne compte qu'un seul habitant », sur Franceinfo, (consulté le )
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- Jacques Barlet, Jean-Noël Couriol, Annie Friche, Le pays de la Roanne, édité par l'association « Route de la Vallée de la Roanne », collection « Histoire et patrimoine Dromois », éditions la Lombardière, 26400 Beaufort-sur-Gervanne.
- « Ruisseau de Pémya », sur le site du service d’administration nationale des données et référentiels sur l’eau (SANDRE), (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 311 (Rochefourchat, ruisseau).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 311 (Rochefourchat, commune).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, page 88 (lire en ligne.
- « Étymologies des noms de lieux de la Drôme », dans Bulletin de la société départementale d'archéologie et de statistique de la Drôme, t. quatrième, Valence, (lire en ligne), p. 266.
- « Chronologie de la Drôme », sur Musée de la résistance en ligne, (consulté le ).
- Résultats de l’élection présidentielle 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 17 avril 2012.
- Résultats de l’élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 17 avril 2012.
- Résultats de l’élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 5 mai 2017.
- Ministère de l'Intérieur - Drôme (Rhône-Alpes), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Rochefourchat » (consulté le ).
- Résultats de l’élection législative 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 17 avril 2012.
- Résultats de l’élection législative 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 17 avril 2012.
- Résultats de l’élection régionale 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 17 avril 2012.
- Résultats de l’élection régionale 2010 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 17 avril 2012.
- « Les maires de France à travers le temps », sur francegenweb.org (consulté le ).
- Annuaire des Mairies de DrĂ´me (26), 147 p. (ISBN 978-2-35258-126-0, lire en ligne), p. 110.
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- « Les comptes des communes », sur la base Alize22 du ministère des finances (consulté le ).
- Macha Séry, « Ces villages morts pour la France », sur Lemonde.fr, .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « carte scolaire », sur le site de l'académie de Grenoble (consulté le ).
- « Écoles du premier degré », sur le site de l'académie de Grenoble (consulté le ).
- Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Rochefourchat.
- « Rochefourchat », sur le site de l'office de tourisme de la vallée de la Roanne (consulté le ).