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Quartier de l'aiguille du Midi

Le quartier de l'aiguille du Midi est un quartier de la commune française de Chamonix-Mont-Blanc, située dans le département de la Haute-Savoie en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Quartier de l'aiguille du Midi
Quartier de l'aiguille du Midi
Le quartier de l'aiguille du Midi, vue prise le 21 août 2009
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Ville Chamonix-Mont-Blanc
Arrondissement Bonneville
Canton Chamonix-Mont-Blanc
Étapes d’urbanisation XXe siècle, années 1970
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 55′ 05″ nord, 6° 52′ 13″ est
Cours d’eau Arve
Transport
Gare Gare de Chamonix-Aiguille-du-Midi
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Quartier de l'aiguille du Midi
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Savoie
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Quartier de l'aiguille du Midi

    Ce quartier qui comprend notamment le « village piéton de Chamonix-Sud », est situé sur la rive gauche de l'Arve, au sud de la ville, près de la gare de départ du téléphérique de l'Aiguille du Midi. « Vent de nouveauté au sud, le quartier de l'aiguille du Midi joue la métamorphose[1] » : les importants travaux lancés en 2010 de construction de logements autour de la gare, sous la forme d'un grand complexe, donneront un nouveau visage au quartier, plus vivant et animé qu'auparavant.

    Toponymie

    Le nom de ce quartier est dû à la présence de la gare de départ du téléphérique de l'Aiguille du Midi.

    Voies de communications et transports

    Voies routières

    Le quartier est directement accessible par la sortie « Chamonix-Sud » de la route nationale 205 (RN 205) surnommée la Route blanche[2]. Cette 2x2 voies constitue un prolongement de l'autoroute A40, surnommée l'autoroute Blanche et s’arrêtant au Fayet, village de la commune de Saint-Gervais-les-Bains[3].

    Voies ferroviaires

    La halte SNCF

    Le quartier dispose de la gare SNCF Chamonix - Aiguille du Midi sur la ligne Saint-Gervais - Vallorcine. Cette gare a été mise en service le .

    Transport en commun

    C'est dans ce quartier qu'est installée la gare routière des Chamonix-Bus, réseau d'autobus dans la vallée, entre les Houches et Le Tour, mis en place par la communauté de communes de la vallée de Chamonix-Mont-Blanc[4].

    Par ailleurs, une navette gratuite appelée le Mulet qui circule dans la ville de Chamonix-Mont-Blanc toute l'année, dispose de plusieurs arrêts dans ce quartier[5].

    Urbanisme

    Reconstruction de la gare en 2008

    La gare de départ du téléphérique avait été plusieurs fois rénovée depuis sa construction au début des années 1950. En 2006, la Compagnie du Mont-Blanc lance un projet de rénovation et d'agrandissement du bâtiment. La commune propose alors un projet d'urbanisme plus ambitieux et plus complet. Pour cela la commune retient le projet de l'architecte de renom Jean-Michel Wilmotte : style épuré, matériaux naturels et locaux, espaces ouverts favorisant des circulations fluides[6]...

    Les travaux de reconstruction de la gare aval ont dĂ©marrĂ© en 2008[7] pour se terminer en 2010 pour un coĂ»t estimĂ© de 4,5 M€[8]. Le cĹ“ur de l'ancien bâtiment datant de 1955 oĂą se fait l'accès aux cabines, dĂ©jĂ  rĂ©novĂ© Ă  plusieurs reprises, est conservĂ© tandis que la partie la plus rĂ©cente est dĂ©molie. Durant toute cette pĂ©riode, le tĂ©lĂ©phĂ©rique a continuĂ© Ă  fonctionner[9].

    Le bâtiment de 2 000 m2 abrite notamment les bureaux de la Compagnie du Mont-Blanc, un espace bar-boutique de 300 m2[6].

    L'esprit de cette rénovation est résolument contemporain, avec des lignes très épurées, mais l'identité montagne a été conservée avec des matériaux comme le granit, la pierre de luzerne, le mélèze[10].

    Iconographie

    • La gare, vue de la rue du Lyret, photo prise le 16 mai 2011.
      La gare, vue de la rue du Lyret, photo prise le .
    • L'intĂ©rieur de la gare, photo prise le 16 mai 2011.
      L'intérieur de la gare, photo prise le .
    • L'intĂ©rieur de la gare, photo prise le 16 mai 2011.
      L'intérieur de la gare, photo prise le .
    • DĂ©part et arrivĂ©e des cabines, photo prise le 21 aoĂ»t 2009.
      Départ et arrivée des cabines, photo prise le .
    • DĂ©part et arrivĂ©e des cabines, photo prise le 21 aoĂ»t 2009.
      Départ et arrivée des cabines, photo prise le .

    Les constructions derrière la gare du téléphérique

    • photo prise le 16 mai 2011
      photo prise le
    • photo prise le 16 mai 2011
      photo prise le

    Depuis 2010, un hĂ´tel de 98 chambres est en cours de construction Ă  la suite d'un permis de construire dĂ©livrĂ© le (superficie du terrain 3 571 m2, surface construite 5 403 m2, hauteur 15 m), ainsi que des bâtiments destinĂ©s Ă  des logements et des commerces Ă  la suite d'un permis de construire dĂ©livrĂ© le (superficie du terrain 3 973 m2, surface de plancher 1 984 m2, hauteur 15 m).

    La suite du chantier consiste donc en la construction de logements autour de la gare, sous la forme d'un grand complexe qui donnera un nouveau visage au quartier, plus vivant et animé qu'auparavant[11]. Ce programme ambitieux est un moyen de redynamiser le quartier qui n'a pas toujours une image très positive ; cela donnera un nouvel essor au quartier[1].

    Village piéton de Chamonix-Sud

    Panneau à l'entrée du village piéton
    Le besoin

    Dans les années 1970, dans les stations de ski, « il faut faire du lit »[12]. Des stations modernes se construisent, Chamonix a la hantise de ne pas s'inscrire dans ce schéma. Ce sont alors les grandes opérations d'urbanisme qui structurent et pèsent désormais sur la ville : au nord, le complexe sportif, au sud le village-piéton de Chamonix-Sud, opérations encouragées par Edmond Désailloud, conseiller général du canton de Chamonix-Mont-Blanc.

    L'origine des terrains

    L'ensemble immobilier a été construit sur des terrains appartenant à la Société de développement de Chamonix-Sud, filiale à 100 % du groupe Pierre & Vacances, par suite de l'acquisition qu'elle en a faite de la Société d'aménagement de Chamonix-Sud Les Barrats le . Cette dernière société avait précédemment acquis les terrains qui appartenaient en partie à Edmond Désailloud et sa famille.

    Ces terrains se trouvaient à l'intérieur du périmètre de la zone d'aménagement concerté de Chamonix-Sud, créée par arrêté préfectoral no 75-1703 en date du . L'approbation du dossier de réalisation de cette ZAC résulte de l'arrêté préfectoral no 77-207 en date du [13] - [Note 1].

    L'ensemble immobilier reprenait la résidence préexistante La Roseraie[Note 2].

    La réalisation de l'ensemble immobilier

    La partie construite est composée d'un garage en sous-sol de 407 places, des voies de circulation en surface (120 places de parking) : via d'Aoste, allée Marcel Burnet (voies privées, ouvertes à la circulation publique, sur lesquelles le maire peut exercer ses pouvoirs de police[14]) et de trois ensembles de bâtiments regroupant une quarantaine de commerces et un millier d'appartements :

    • un premier ensemble situĂ© autour du kiosque et constituĂ© des rĂ©sidences A, B, C, D, E, F, G (renommĂ© Gentianes), H (renommĂ© Helbronner), I (renommĂ© Iris)
    • un second ensemble situĂ© autour d'un jardin arborĂ© et constituĂ© des rĂ©sidences Triolet, Balme, Forclaz, Lognan, Chailloud et GenĂ©vrier
    • un troisième ensemble situĂ© au sud des deux prĂ©cĂ©dents et constituĂ© des rĂ©sidences GrĂ©pon, Jonquille puis Chamois Blanc pour terminer le village derrière le jardin au centre duquel se trouve la rĂ©sidence La Roseraie.

    Le maître d'ouvrage était la société d'aménagement de Chamonix-Sud, filiale à 100 % du groupe Pierre & Vacances, la conception architecturale était due aux deux architectes G. Bauer et A. Stoppa de l'atelier de recherche et d’études et d'aménagement, le maître d’œuvre étant la société d'études d'ensembles techniques[15].

    Les architectes de cet ensemble immobilier sont à l'origine d'une très belle réussite : « L'architecture de Chamonix-Sud est gaie, légère, frivole même, ainsi que l'a conçue Gérard Bauer qui explique qu'il a voulu "plaire et amuser...". Chaque immeuble est différent, pourtant la diversité n'est qu'illusion ; derrière les façades se cachent des mini-appartements scientifiquement calculés. Mais le promoteur Gérard Brémond est de ceux qui estiment que la qualité architecturale peut être "un argument de vente"[...]. Chamonix-Sud est un « quartier-village » piétonnier, prolongeant la ville, où sont mis en application de nouveaux concepts : immeubles-chalets de 2 à 5 étages, façades peintes aux tons pastel, application de bois [...][16] ».

    Le permis de construire du second ensemble a été délivré le , suivi d'une demande de modification déposée le . L'achèvement des immeubles est réalisé fin 1979.

    La commercialisation

    En 1979, à la construction, Pierre & Vacances venait de lancer le concept de la « nouvelle propriété[17] », formule permettant l'accession en pleine propriété avec un investissement réduit grâce à la récupération de la TVA et au pré-paiement des loyers, via la signature d'un contrat de bail commercial de neuf ans, simultanément à celle de l'acte de vente. Ce contrat de vente en nouvelle propriété fut utilisé pour tous les appartements de l'ensemble immobilier à l'exception des appartements de la résidence F[Note 3] et d'une partie de ceux de la résidence Le Chamois Blanc, vendus en multipropriété.

    Photos des résidences de l'ensemble immobilier
    • EntrĂ©e du village piĂ©ton cĂ´tĂ© Aiguille du Midi
      Entrée du village piéton côté Aiguille du Midi
    • RĂ©sidences autour du kiosque
      RĂ©sidences autour du kiosque
    • RĂ©sidences D et E
      RĂ©sidences D et E
    • RĂ©sidence F
      RĂ©sidence F
    • RĂ©sidences F et Gentianes
      RĂ©sidences F et Gentianes
    • RĂ©sidences Gentianes et Helbronner
      RĂ©sidences Gentianes et Helbronner
    • RĂ©sidence Iris
      RĂ©sidence Iris
    • RĂ©sidence Iris cĂ´tĂ© place
      Résidence Iris côté place
    • RĂ©sidence Iris et Triolet
      RĂ©sidence Iris et Triolet
    • RĂ©sidence Triolet
      RĂ©sidence Triolet
    • RĂ©sidence Balme
      RĂ©sidence Balme
    • RĂ©sidence Forclaz
      RĂ©sidence Forclaz
    • RĂ©sidences Forclaz et Lognan
      RĂ©sidences Forclaz et Lognan
    • RĂ©sidences Lognan et Chailloud
      RĂ©sidences Lognan et Chailloud
    • RĂ©sidence GenĂ©vrier
      Résidence Genévrier
    • RĂ©sidence Jonquille
      RĂ©sidence Jonquille
    • RĂ©sidence GrĂ©pon
      Résidence Grépon
    • RĂ©sidence Le Chamois Blanc
      RĂ©sidence Le Chamois Blanc
    L'habitat

    La proportion d'appartements donnés en location à la semaine qui était de 100 % en 1979 a considérablement diminuée en 30 ans. En effet, de nombreux appartements ne sont plus loués à la semaine mais sont aujourd'hui occupés par leur propriétaires, soit à l'année, soit en tant que résidence secondaire. Cette évolution de l'habitat a eu des effets négatifs sur la fréquentation des commerces puisque le nombre de nuitées n'a cessé de diminuer.

    Le marché bio et artisanal

    Des efforts pour accompagner l'évolution de ce village-piéton sont faits par les copropriétaires aidés également par la mairie qui y a installé depuis 2009 un « marché bio et artisanal » en été[18].

    Iconographie

    Lever de soleil sur l'aiguille du Midi (à gauche), le mont Blanc (au centre), l'aiguille du goûter (à droite)
    vue prise du village piéton

    Projets d'aménagements

    Outre les projets en cours, de nombreuses réflexions sont régulièrement menées pour mieux inclure ce quartier dans la vie de la commune. C'était notamment l'un des éléments du projet d'aménagement du village olympique[19] si l'ensemble Annecy - Chamonix-Mont-Blanc avait été retenu pour les jeux olympiques d'hiver de 2018.

    Économie

    Services publics

    C'est dans ce quartier que sont installés les bâtiments de la gendarmerie (locaux d'habitation)[20], l'antenne locale de la direction centre-est (DIRCE) de Météo-France[21] ainsi que l'agence chamoniarde de Pôle emploi, inaugurée le par le maire et le sous-préfet[22].

    Loisirs et commerces

    Outre une pharmacie, un restaurant américain et une supérette[23] installés dans le village piéton depuis 1980, le bowling de Chamonix-Mont-Blanc, installé dans ce quartier depuis 1993[24], on y trouve de nombreux commerces dont un bar anglais, un bar irlandais et depuis 1997[25] une discothèque gay et friendly[26].

    Depuis , des activités de création artistique sont proposées aux jeunes enfants dans un atelier situé en rez-de-chaussée de l'une des résidences.

    Sports

    À l'entrée du village piéton, on peut pratiquer le yoga[27]. Par ailleurs, l'École du ski français (ESF) dispose d'un bureau au centre du village piéton.

    Culture locale et patrimoine

    Personnalités liées à ce quartier

    Plaque au sein du village-piéton de Chamonix-Sud
    La tombe d'Edmond Désailloud au cimetière de Chamonix-Mont-Blanc
    • Philippe-Edmond DĂ©sailloud (1914-1983), entrĂ© au conseil municipal en 1945, fut conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Chamonix-Mont-Blanc de 1945 Ă  1964, puis de 1970 Ă  1976. Descendant d'une vieille famille chamoniarde, orphelin de guerre, Ă©lève de l'École normale supĂ©rieure de Saint-Cloud, il fut professeur de lettres au collège d'Annemasse[28]. Sous-lieutenant de chasseurs, mobilisĂ© en 1939, il participe l'annĂ©e suivante Ă  l'expĂ©dition de Namsos puis Ă  la bataille de France oĂą une grave blessure met ses jours en danger. Au terme d'une longue convalescence, il rejoint la rĂ©sistance et, après la libĂ©ration, le front des Alpes. Lorsque s'achève la guerre, il porte les galons de capitaine et la lĂ©gion d'honneur[28]. Reprenant sa carrière dans les fonctions d'inspecteur de la jeunesse et des sports de la Savoie, il entre pour la première fois au conseil gĂ©nĂ©ral en 1945. « Il en devient l'enfant terrible, vigoureux dans l'attaque, incisif dans la rĂ©partie, indĂ©pendant jusqu'Ă  l'isolement, franc jusqu'Ă  la brutalitĂ© et opiniâtre dans la rĂ©ussite ». Sans autre Ă©tiquette politique que ses partis pris, son action est restĂ©e dans toutes les mĂ©moires[29]. C'est sur les terrains dont il Ă©tait propriĂ©taire au sud de Chamonix-Mont-Blanc qu'a Ă©tĂ© construit le village-piĂ©ton de Chamonix-Sud. Il a Ă©galement Ă©tĂ© très impliquĂ© dans la crĂ©ation du tĂ©lĂ©phĂ©rique de l'Aiguille du Midi[30]. En 1948, il fut en effet « la vĂ©ritable cheville ouvrière de la rĂ©alisation actuelle, s'intĂ©ressant au projet qui semblait alors enlisĂ© dans une impasse[31] ». Outre le tĂ©lĂ©phĂ©rique de l'Aiguille du Midi, le tunnel du Mont-Blanc, la rocade, sont autant de projets qu'il va dĂ©fendre avec l'ardeur qui le caractĂ©rise. Dès les annĂ©es 1960, en accord avec le maire Maurice Herzog, il dĂ©fend une certaine conception du plan d'amĂ©nagement de la ville, basĂ© sur deux pĂ´les : les Ă©quipements publics au nord avec la citĂ© Taillibert et rĂ©sidentiel au sud ; il se battra jusqu'Ă  sa disparition pour la crĂ©ation du village-piĂ©ton de Chamonix-Sud[29]. En 1965, il rĂ©dige La Bataille des tunnels, un ouvrage sur la rĂ©alisation du tunnel du Mont-Blanc, projet tant de fois repris puis abandonnĂ© durant près d'un siècle[28].

    Son nom a été donné à l'une des places du village-piéton de Chamonix-Sud.

    • Marcel Burnet, nĂ© en 1922 et mort en 1977, guide[32] de la Compagnie des guides de Chamonix et compagnon de cordĂ©e de Roger Frison-Roche[33] qui disait de lui « Il Ă©tait le plus modeste et le plus grand. Il grimpait comme un chat, la pipe Ă  la bouche, sans effort apparent, avare de gestes et de paroles. Il Ă©tait celui en qui s'Ă©tait le mieux accomplit le noble, le difficile, le dangereux mĂ©tier de guide[34]. » Son charisme au sein de la compagnie et son aura auprès des clients ont forgĂ© la lĂ©gende. Pour les accompagner dans leurs courses, il avait toutes les qualitĂ©s : assurance, persĂ©vĂ©rance, efficacitĂ©. De toute sa carrière de guide, de 1946 Ă  1974, il ne fut contraint qu'une seule fois au bivouac. Il Ă©tait un familier des hautes routes et c'est en effectuant pour la 36e fois Chamonix-Zermatt qu'il se laissa emporter par une plaque Ă  vent. Il a assurĂ© la prĂ©sidence des guides pendant huit ans et a effectuĂ© 72 caravanes de secours[35].

    Son nom a été donné à l'une des allées du village-piéton de Chamonix-Sud.

    Notes et références

    Notes

    1. Cette ZAC a été supprimée par arrêté préfectoral no 380 en date du 22 mars 1984 à la suite d'une délibération du conseil municipal de la commune de Chamonix-Mont-Blanc le 24 février 1984
    2. Cette résidence préexistait en tant que pension de famille. Elle avait été en 1969 le siège de l'association nationale des anciens éclaireurs-skieurs, [lire en ligne]
    3. En 2010, ces copropriétaires n'étant plus intéressés par la multipropriété, la société qui exploitait les appartements de cette résidence a été dissoute et les appartements vendus à l'unité en pleine propriété.

    Références

    1. Fabienne Martinez, responsable au sein de la Compagnie du Mont-Blanc, in Journal des propriétaires du pays du mont Blanc, no 78, décembre 2007 - janvier 2008, p. 13
    2. « Qualité de l'air en 2010 : des niveaux illégaux », sur le site de l'association Environn'MontBlanc, (consulté le ).
    3. « Revue de presse », sur le site de l'association de défense des usagers de l’A40 et de l’A41 (consulté le ).
    4. « Page d'accueil », sur le site de la société Mont Blanc Bus du groupe Transdev - Veolia Transport (consulté le ).
    5. « Horaires du Mulet », sur le site de la ville de Chamonix-Mont-Blanc (consulté le ).
    6. Architecture & Stations, le magazine de l'architecture, no 3, hiver 2010/2011, p. 17
    7. Le téléphérique de l'Aiguille du Midi 3842m, document de la compagnie du Mont-Blanc, [lire en ligne]
    8. « Investissement gare », sur le site de la compagnie du Mont-Blanc (consulté le ).
    9. « Reconstruction de la gare aval du téléphérique de l'aiguille du midi », sur le forum montblanc-chamonix.forumgratuit.fr (consulté le )
    10. Hélène Segura, responsable du patrimoine au sein de la Compagnie du Mont-Blanc, in Journal des propriétaires du pays du mont Blanc, no 88, août-septembre 2009, p. 10
    11. « Nouveau départ pour l'Aiguille du Midi », sur le site ski-chamonix.webnode.com (consulté le ).
    12. Yann Cruvellier, Portraits au pays du mont Blanc, Alcide, 2006, p. 133, (ISBN 2-952-15483-X)
    13. Règlement de copropriété de l'ensemble immobilier de Chamonix-Sud, p. 2
    14. Note administrative de la mairie, 12 novembre 2007
    15. Plans d’exécution de la construction, décembre 1978
    16. Revue Techniques et Architecture, no 328, 1980, p. 181
    17. L'Express no 1503 du 26 avril 1980, p. 62
    18. « Foires et marchés », sur le site de la ville de Chamonix-Mont-Blanc (consulté le ).
    19. « Commentaires », sur le site de l'agence d'urbanisme de Lyon (consulté le ).
    20. « les services en Haute-Savoie - groupement de gendarmerie départementale (G.G.D.) », sur le site de la préfecture de Haute-Savoie (consulté le ).
    21. « Météo-France à Chamonix-Mont-Blanc », sur le site 118000.fr (consulté le )
    22. « Un relais Pôle Emploi s’installe à Chamonix... », sur le site pluriactivite.org (consulté le ).
    23. « SPAR Chamonix », sur le site des magasins SPAR (consulté le ).
    24. « SOCIETE D'EXPLOITATION DU BOWLING DE CHAMONIX (SEBC) », sur le site societe.com (consulté le ).
    25. Françoise Leclaire, Isabelle Bruno, Isabelle Boffelli, Une histoire de familles au XXIe siècle, ésope éditions, juillet 2008, 240 pages, p. 22
    26. « LE TOF, Discothèque Chamonix », sur le site du guide gay des établissements et lieux gay friendly (consulté le ).
    27. « Page d'accueil », sur le site sattva.fr (consulté le ).
    28. P. Soudan, Le conseil général de la Haute-Savoie, éditions Curandera, décembre 1986, 326 pages
    29. Chamonix, les 250 acteurs du siècle, in Relief, la revue du Mont-Blanc, no 11, p. 24
    30. « Construction » [archive du ], sur pages dédiées au téléphérique de l'Aiguille du Midi sur le site de l'académie de Grenoble (consulté le ).
    31. Paul Guichonnet, Le plus haut téléphérique du monde : L'Aiguille du Midi, in Revue de géographie alpine, 1956, tome 44 no 2, pp. 411-417, [lire en ligne]
    32. Roger Frison-Roche, Le versant du soleil, Flammarion, 1981, p. 523
    33. Roger Frison-Roche, Le versant du soleil, Flammarion, 1981, p. 578
    34. R. Frison-Roche cité dans Chamonix, les 250 acteurs du siècle, in Relief, la revue du Mont-Blanc, no 11, p. 107
    35. Chamonix, les 250 acteurs du siècle, in Relief, la revue du Mont-Blanc, no 11, p. 107

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