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Prélude et fugue en ut majeur (BWV 870)

Prélude et fugue n°1
BWV 870
Le Clavier bien tempéré, livre II (d)
Do majeur
Do majeur
Prélude
MĂ©trique 4/4
Fugue
Voix 3
MĂ©trique /
Liens externes
(en) Partitions et informations sur IMSLP
(en) La fugue jouée et animée (bach.nau.edu)

Le prélude et fugue en ut majeur, BWV 870 ouvre le second livre du Clavier bien tempéré, une collection de préludes et fugues de Jean-Sébastien Bach, compilé de 1739 à 1744.

Alors que Bach prĂ©sentait Ă  l'entrĂ©e du premier livre un modeste prĂ©lude dans la tradition du clavecin, celui en ut du second livre qui ouvre le nouveau cahier compilĂ© vingt ans plus tard se prĂ©sente comme une majestueuse improvisation dans le genre organistique. La fugue Ă  trois voix qui l'accompagne est d'une texture musicale volontairement limpide pour rester dans le caractĂšre d’ut majeur. Du prĂ©lude sont exceptionnellement conservĂ©es deux versions primitives, qui dĂ©voilent le travail de l'atelier du compositeur.

Les deux cahiers du Clavier bien tempéré sont considérés comme une référence par nombre de compositeurs et pédagogues. D'abord recopiés par les musiciens, puis édités au début du XIXe siÚcle, outre le plaisir musical du mélomane, ils servent depuis l'époque de leur composition à l'étude de la pratique du clavier et à l'art de la composition.


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  }
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    \key c \major
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     %% INCIPIT CBT II-1, BWV 870, ut majeur
     r16^\markup{Prélude} c d e g, e' f, d' e,32 c' b a g16 bes e,[ g c, bes'] \bar ".."
     \time 2/4
     r8^\markup{Fugue} g16[ f] g8 c, a'4\mordent  g r8 f16 e f g e f
  }
>>
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       }
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Le Clavier bien tempéré II

Contexte

Le Clavier bien tempĂ©rĂ© est tenu pour l'une des Ɠuvres majeures de la musique classique. Elle est considĂ©rĂ©e comme une rĂ©fĂ©rence par Joseph Haydn, Mozart, Beethoven, Robert Schumann, FrĂ©dĂ©ric Chopin, Richard Wagner, CĂ©sar Franck, Max Reger, Gabriel FaurĂ©, Claude Debussy, Maurice Ravel, Igor Stravinsky[1], Charles Koechlin et bien d'autres, interprĂštes ou admirateurs. Hans von BĂŒlow la considĂ©rait non seulement comme un monument prĂ©cieux, mais la qualifiait d’Ancien Testament, aux cĂŽtĂ©s des trente-deux sonates de Beethoven, le Nouveau Testament[2].

Les partitions, non publiĂ©es du vivant de l'auteur, se transmettent d'abord par des manuscrits, recopiĂ©es entre musiciens (enfants et Ă©lĂšves de Bach, confrĂšres
) jusqu'Ă  la fin du XVIIIe siĂšcle avec dĂ©jĂ  un succĂšs considĂ©rable[3]. GrĂące Ă  l'Ă©dition, dĂšs le dĂ©but du XIXe siĂšcle, leur diffusion s'Ă©largit. Elles trĂŽnent sur les pupitres des pianistes amateurs et musiciens professionnels, et se donnent au concert, comme Chopin qui en joue pour lui-mĂȘme une page, avant ses apparitions publiques[3]. L'Ɠuvre est utilisĂ©e dĂšs Bach et jusqu'Ă  nos jours, pour la pratique du clavier mais Ă©galement pour l'enseignement de l'art de la composition ou de l'Ă©criture de la fugue. La musique rĂ©unie dans ces pages est donc Ă©ducative, mais Ă©galement plaisante, notamment par la variĂ©tĂ©, la beautĂ© et la maĂźtrise de son matĂ©riau[4].

Chaque cahier est composé de vingt-quatre diptyques (préludes et fugues) qui explorent toutes les tonalités majeures et mineures dans l'ordre de l'échelle chromatique. Le terme « tempéré » (Gamme tempérée) se rapporte à l'accord des instruments à clavier, qui pour moduler dans des tons éloignés, nécessite de baisser les quintes (le ré bémol se confondant avec le do diÚse)[5], comme les accords modernes. Ainsi l'instrument peut jouer toutes les tonalités. Bach exploite donc de nouvelles tonalités quasiment inusitées de son temps, ouvrant de nouveaux horizons harmoniques[4].

Les prĂ©ludes sont inventifs, parfois proches de l'improvisation, reliĂ©e Ă  la tradition de la toccata, de l'invention ou du prĂ©lude arpĂ©gĂ©. Les fugues n'ont rien de la sĂ©cheresse de la forme, que Bach rend expressive. Elles embrassent un riche Ă©ventail de climats, d'Ă©motions, de formes et de structures qui reflĂštent tour Ă  tour la joie, la sĂ©rĂ©nitĂ©, la passion ou la douleur et oĂč l'on trouve tout un monde vibrant d'une humanitĂ© riche et profonde[6]. Certaines contiennent plusieurs procĂ©dĂ©s (strette, renversement, canons, etc.), d'autres non, dans une grande libertĂ© et sans volontĂ© de systĂ©matisme, ce qu'il rĂ©serve Ă  son grand Ɠuvre contrapuntique, L'Art de la fugue, composĂ© entiĂšrement dans une seule tonalitĂ©, le rĂ© mineur[7].

Prélude

Le prĂ©lude notĂ© 4/4 — bien moins modeste que son prĂ©dĂ©cesseur du premier livre — s'ouvre majestueusement sur une pĂ©dale de tonique, avec la verve d'une improvisation « pro organo pleno » : il chante, explore le clavier, l'harmonie, « prenant sans cesse des chemins de traverse »[8], module ou fait semblant de moduler. Sur trente-quatre mesures, les quatre voix collaborent, jusqu'Ă  une autre longue pĂ©dale de tonique et un point d'orgue[9] (unique reposoir de la piĂšce).

Les deux premiĂšres mesures explorent harmoniquement la progression I – IV — V — I. Les mesures 20 Ă  28, reprennent les mesures 5 Ă  14, transposĂ©es, mais dans un curieux dĂ©calage par rapport Ă  la barre de mesure[8].



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upper = \relative c'' {
  \clef treble 
  \key c \major
  \time 2/4
  \tempo 4 = 60
  \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 
   %% PRÉLUDE CBT II-1, BWV 870, ut majeur — version dĂ©finitive
   r16-"I" c d e g, e' f, d' e,32 c' b a g16 bes e,[ g c, bes'] | a32-"IV" g f e f16 a d, f a, c b-"V" d e f g, f' e d
   << { e1~_"I" e4~ e16 d8 c16 b d g8~ g16 g f e f4~ f16 f e d e2 d4~ d16 d e g c,4~ c16 a'32 g a16 c, b4~ b16 } \\ { r16 c16 b a g4~ g2 a2 g8. b16 c4~ c16 c d a b4 c2~ | c16 c b a b4 a2~ | a16 a g fis g8 } \\ { s16 c8.~ c4~ c2 } >> % Amélioration : confondre les do de la mesure 3
}
lower = \relative c {
  \clef bass 
  \key c \major
  \time 4/4
  \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 
    << { c1~  c~ c4 } \\ { c,1~ c~ c4 } >> 
    r16 f'16 e d c32 d c b c16 e g, bes a g
    << { r16 c16 d e f8 e d4 e | d2 c16 r16 r8 r4 r2 r4 r8 d8~ d4. } \\ { f,2. e8 a | d,4 g c,16 g' a b c e a, c fis,8 d g4~ g16 a32 b c d e16 fis,4 g4. } >>
} 
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        #(ly:make-moment 1/2)
    }
  }
  \midi { }
}

Fugue

Caractéristiques
3 voix —
, 83 mes.
⋅ 8 entrĂ©es du sujet
⋅ rĂ©ponse tonale
⋅ contre-sujet, 6 entrĂ©es
⋅ 3 divertissements

La fugue à trois voix, notée
, est longue de 83 mesures.

Le sujet de quatre mesures est composĂ© de plusieurs Ă©lĂ©ments. Une tĂȘte avec d'abord un ornement dĂ©composĂ© en doubles croches, un saut de sixte avec un mordant « polisson »[8], et enfin, une traĂźne, longue guirlande de doubles croches, style « machine Ă  coudre », moquĂ©e par Colette[8]. Cette guirlande est utilisĂ©e par la basse comme un vrombissement venant des profondeurs, inexorable rosalie s’étendant sur dix ou douze mesures (par exemple mesures 55 Ă  66).


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  tagline = ##f
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  }
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  \relative c'' {
    \key c \major
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     %% SUJET fugue CBT II-1, BWV 870, ut majeur
     r8 \[ g16[ f] g8\] c, | a'4\mordent  g |  r8\[ f16 e f\] g e f | d \[ f e f\] g a f g
  }
>>
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     \context { \Score \remove "Metronome_mark_engraver" }
  }
  \midi {} 
}


L'exposition occupe les mesures 1–13. Dans l'ordre, le sujet est Ă©noncĂ© au tĂ©nor puis suivi des rĂ©ponses du soprano et de la basse. Le premier divertissement use d'une imitation au soprano, de la premiĂšre cellule avec le saut de sixte, avant la rĂ©apparition du sujet, mesure 21, suivi de l'alto puis du soprano. AprĂšs un divertissement, mesures 29–39, la basse Ă©nonce le sujet. AprĂšs une marche ascendante (39–55), le tĂ©nor et soprano Ă©noncent le sujet et sa rĂ©ponse. Un troisiĂšme divertissement, mesures 55-68, reprend l'imitation au soprano du premier. Le sujet revient Ă  la basse mesure 70, mĂȘlĂ© aux imitations au tĂ©nor (72) et au soprano (76)[10].



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  tagline = ##f
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Mordaq   = { \tag #'print { a'4\mordent } \tag #'midi { a32 g a16~ a8 }  }
Mordeq   = { \tag #'print { e'4\mordent } \tag #'midi { e32 d e16~ e8 }  }
Dux   = { r8^\markup{Dux} g16[ f] g8 c, | \Mordaq  g4 | r8 f16 e f g e f | d f e f g a f g }
Comes = { r8^\markup{Comes} c16[ b] c8 g | \Mordeq  d4 | r8 c16 b c d b c | a c b c d e c d }
upper = \relative c'' {
  \clef treble 
  \key c \major
  \time 2/4
  \tempo 4 = 102 %% Keller recommande 108/116, mais déjà 102 me paraßt trop rapide déjà...
  \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 
   %% FUGUE CBT II-1, BWV 870, ut majeur
   R2*4 \Comes 
   << { b16 a b c b c a b | c8. a16 bes8. g16 | a4 b8 c~ | c8 c4 b8 } \\ { g2~ | g16 e f8~ f16 d e8~ | e d g4 | f16 a g a d,4 } >>
}
lower = \relative c'' {
  \clef treble 
  \key c \major
  \time 2/4
  \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 
   \Dux | e16 d e f e f d e | 
   c b c d c d b c | a b c d e fis g8~ g fis16 e fis4
   \clef bass \relative c'
   \Dux
} 
thePianoStaff = \new PianoStaff <<
    \set PianoStaff.instrumentName = #"BWV 870"
    \new Staff = "upper" \upper
    \new Staff = "lower" \lower
  >>
\score {
  \keepWithTag #'print \thePianoStaff
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      \Score
      \remove "Metronome_mark_engraver"
    }
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\score {
  \keepWithTag #'midi \thePianoStaff
  \midi { }
}

GenĂšse

Nous connaissons deux manuscrits antĂ©rieurs du prĂ©lude. La premiĂšre version ne comporte que 17 mesures. Il s'agit de la copie de Johann Peter Kellner, datĂ©e du (BWV 870a ; Berlin, P 804). Selon Keller et Cantagrel, il est possible que ce prĂ©lude ait connu une version antĂ©rieure de la pĂ©riode de Köthen[9] - [11]. RĂ©unie dans les Ɠuvres pĂ©dagogiques au sein de l'intĂ©grale de l'Ă©dition discographique du label HĂ€nssler, volume 107, elle est enregistrĂ©e au clavicorde par Robert Hill[12].

Dans la seconde version (BWV 870b), le nombre de mesure est doublĂ© passant Ă  34[13], comme dans la version dĂ©finitive —, dont l'incipit est reproduit plus haut. Sans ses triples croches, la courbe mĂ©lodique est plus lisse[14].


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  tagline = ##f
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VarA = { r16 c d e g, e' f, d' e, g a bes c, bes' a g | a g f e d f a, c b! d e f g, f' e d e2 }
VarB = { r16 c d e g, e' f, d' e, c' g bes e, g c, bes' | a g f e d f a, c b! d e f g, f' e d e2 }
upper = \relative c'' {
  \clef treble 
  \key c \major
  \time 2/4
  \tempo 4 = 100
  \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 
   %% PRÉLUDE CBT II-1, BWV 870, ut majeur — version 1
   \VarA
}
lower = \relative c {
  \clef bass 
  \key c \major
  \time 4/4
  \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 
   c1~ c~ c4 s4
} 
\score {
  \new PianoStaff <<
    \set PianoStaff.instrumentName = #"Vers. 1"
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  }
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}

\version "2.18.2"
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  tagline = ##f
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VarA = { r16 c d e g, e' f, d' e, g a bes c, bes' a g | a g f e d f a, c b! d e f g, f' e d e2 }
VarB = { r16 c d e g, e' f, d' e, c' g bes e, g c, bes' | a g f e d f a, c b! d e f g, f' e d }
upper = \relative c'' {
  \clef treble 
  \key c \major
  \time 2/4
  \tempo 4 = 100
  \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 
   %% PRÉLUDE CBT II-1, BWV 870, ut majeur — version 2
   \VarB << { e1~ e4~ e16 d8 c16 b d g8~ g16 g f e f4~ f16 f e d } \\ { r16 c16 b a g4~ g2 a2 g8. b16 c4~ c16 c d a b4 } \\ { s16 c8.~ c4~ c2 } >> 
}
lower = \relative c {
  \clef bass 
  \key c \major
  \time 4/4
  \set Staff.midiInstrument = #"harpsichord" 
    << { c1~  c~ c4 } \\ { c,1~ c~ c4 } >> 
    r16 f'16 e d c e g, bes a c e g,
    << { r16 c16 d e f8 e d4 e | d2 } \\ { f,2. e8 a | d,4 g } >>
} 
\score {
  \new PianoStaff <<
    \set PianoStaff.instrumentName = #"Vers. 2"
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  >>
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    }
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}

Il ne s'agit pas d’« Ă©bauches », mais de versions fonctionnelles, autonomes, « avant qu'un travail de polissage ou d'amplification les amĂšne Ă  un niveau d'organisation supĂ©rieure aux yeux du vieux musicien »[13].

La fugue était présentée dans le manuscrit Kellner, à
, au lieu de son
actuel et plus courte, elle portait le titre de Fughetta. Cette version porte l'indication des doigtĂ©s, peut-ĂȘtre de la main de Bach[15].

Manuscrits

Les manuscrits considĂ©rĂ©s comme les plus importants sont de la main de Bach lui-mĂȘme ou d'Anna Magdalena. Ils sont :

Ces deux manuscrits sont en outre complétés, pour ce numéro, de la copie de Kellner (P 804), plus ancienne.

  • partition manuscrite
    Début du prélude (Ms. P 430).
  • partition manuscrite
    Fin du prélude.
  • partition manuscrite
    DĂ©but de la fugue (Ms. P 430).
  • partition manuscrite
    Fin de la fugue.

Postérité

Théodore Dubois en a réalisé une version pour piano à quatre mains, publiée en 1914[18].

Références

  1. Dufourcq 1946, p. 217.
  2. Candé 1984, p. 329.
  3. Candé 1984, p. 331.
  4. Nouveau dictionnaire des Ɠuvres 1994, p. 1217.
  5. Dufourcq 1946, p. 222.
  6. Nouveau dictionnaire des Ɠuvres 1994, p. 1218.
  7. « Philharmonie à la demande - L'Art de la fugue de Johann Sebastian Bach », sur pad.philharmoniedeparis.fr (consulté le )
  8. Sacre 1998, p. 211.
  9. Keller 1973, p. 145.
  10. Keller 1973, p. 146.
  11. Cantagrel 1998, p. 419.
  12. (OCLC 163882166)
  13. Cantagrel 1998, p. 421.
  14. Manuscrit autographe de Bach du prélude BWV 870b (Add MS 35021) à la British Library.
  15. Keller 1973, p. 125.
  16. Tomita 2007, p. X.
  17. (de) Jean-SĂ©bastien Bach et Johann Christoph Altnikol, Des Wohltemperirten Claviers, Zweiter Theil, besthehend in PrĂŠludien und Fugen durch alle Tone und Semitonien, verfertiget von Johann Sebastian Bach, Königlich Pohlnisch und ChurfĂŒrstl. SĂ€chs. Hoff Compositeur, Capellmeister und Directore Chori Musici In Leipzig. [« Le clavier bien tempĂ©rĂ©, volume 2, ou prĂ©ludes et fugues dans tous les tons et demi-tons, prĂ©parĂ©s par Jean-SĂ©bastien Bach, compositeur de la cour royale de l'Ă©lectorat de Saxe et de la Pologne, maĂźtre de chapelle et directeur de chorale musicale Ă  Leipzig »] (lire en ligne [PDF]) (copie manuscrite d'Altnikol publiĂ©e par International Music Score Library Project)
  18. Johann Sebastian Bach et ThĂ©odore Dubois, Le clavecin bien tempĂ©rĂ©, 48 prĂ©ludes et fugues transcrits 4 mains par ThĂ©odore Dubois, Paris, Éditions Maurice SĂ©nart et Cie, (lire en ligne), p. 67-71

Voir aussi

Bibliographie

Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article : document utilisĂ© comme source pour la rĂ©daction de cet article.

  • (en) Cecil Gray, Forty-Eight Preludes and Fugues of J.S .Bach, Oxford University Press, , 148 p. (OCLC 603425933, lire en ligne [PDF]), p. 82–84.
  • Norbert Dufourcq, La musique des origines Ă  nos jours, Paris, Larousse, , 592 p. (OCLC 851442, BNF 37441761), « Jean-SĂ©bastien Bach et Georg Friedrich Haendel »
  • Karl Geiringer (trad. de l'anglais par Rose Celli), Jean-SĂ©bastien Bach [« Johann Sebastian Bach, the culmination of an area »], Paris, Éditions du Seuil, coll. « Musiques », (1re Ă©d. 1966(en)), 398 p. (OCLC 743032406, BNF 35199443)
  • Hermann Keller, Le clavier bien tempĂ©rĂ© de Johann Sebastian Bach : L'Ɠuvre, l'interprĂ©tation, Paris, Bordas, coll. « Études », (1re Ă©d. 1965(de)), 233 p. (OCLC 373521522, prĂ©sentation en ligne, lire en ligne [PDF]), p. 208–217 ; 217–221(de)
  • (en) Yo Tomita, J. S. Bach’s ‘Das Wohltemperierte Clavier II’ : A Study of its Aim, Historical Significance and Compiling Process, Leeds, University of Leeds, (lire en ligne [PDF])
  • Laffont – Bompiani, Le Nouveau dictionnaire des Ɠuvres de tous les temps et de tous les pays, t. 1 : A-C, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », (rĂ©impr. 1999, 2007), 2e Ă©d. (1re Ă©d. 1980), xxxi-7682 (OCLC 1040804733), « Le Clavecin bien tempĂ©rĂ© », p. 1218.
  • (en) Yo Tomita, J. S. Bach’s ‘Das Wohltemperierte Clavier II’ : A Critical Commentary, vol. 2 : All the extant manuscripts, Leeds, Household World Publisher, , 1033 p. (lire en ligne [PDF]), p. 15–25 ; 26–29
  • François-RenĂ© Tranchefort (dir.), Guide de la musique de piano et de clavecin, Paris, Fayard, coll. « Les Indispensables de la musique », , 867 p. (ISBN 978-2-213-01639-9, OCLC 17967083, lire en ligne), p. 34.
  • Guy Sacre, La musique pour piano : dictionnaire des compositeurs et des Ɠuvres, vol. I (A-I), Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 2998 p., p. 210.
  • Gilles Cantagrel, Le moulin et la riviĂšre : Air et variations sur Bach, Paris, Fayard, coll. « Les chemins de la musique », , 664 p. (OCLC 467090761, BNF 36709207), p. 421–422.
  • Yo Tomita, « prĂ©face », dans J.-S. Bach, Clavier bien tempĂ©rĂ©, Livre II, Henle, , xvii-163 (ISMN 979-0-2018-0017-2, lire en ligne), p. IX–XIII

Articles connexes

Liens externes

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