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Perrecy-les-Forges

Perrecy-les-Forges est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Perrecy-les-Forges
Perrecy-les-Forges
L'église paroissiale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Autun
Intercommunalité Communauté urbaine Le Creusot Montceau-lès-Mines
Maire
Mandat
Roland Barnet
2020-2026
Code postal 71420
Code commune 71346
Démographie
Gentilé Perrecycois(e)
Population
municipale
1 557 hab. (2020 en diminution de 6,71 % par rapport à 2014)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 36′ 56″ nord, 4° 12′ 56″ est
Altitude Min. 264 m
Max. 353 m
Superficie 33,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montceau-les-Mines
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Vallier (Saône-et-Loire)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Perrecy-les-Forges
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Perrecy-les-Forges
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Perrecy-les-Forges
Liens
Site web perrecy-les-forges.fr

    La commune est située au cœur d'un important bassin houiller exploité dès le Moyen Âge, mais de façon industrielle à partir du XIXe siècle et ce jusqu'en 2000, permettant l'essor de l'industrie sidérurgique et mécanique dans la région.

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap.
    Carte topographique.

    Communes limitrophes

    Géologie

    La commune repose sur le bassin houiller de Blanzy daté du Stéphanien (daté entre -307 et -299 millions d'années)[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Perrecy-les-Forges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montceau-les-Mines, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (64,5 %), forêts (27,7 %), zones urbanisées (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Morphologie urbaine

    Villages, hameaux, lieux-dits et écarts
    • Champéroux, également appelé Champ-croux d'après les cadastres du XIXe siècle, auparavant considéré comme un village[9], est un hameau situé au sud de la commune et à l'est de l'Oudrache.
    • Valtat, hameau dont le nom provient d'une famille ramenée de Bussières par la famille de Jaucourt possédant la seigneurie en partie.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Monasterium Parriciaci en 1108, Prior de Parreceyo en 1275 (cartulaire église d’Autun, I, 190), Garda de Parreciaco en 1279, Haymonus de Perreciaco en 1299 (cartulaire église d’Autun, II, 177), Preciacum au XIVe siècle (Longnon, Pouillés, p. 116), Perrecy en 1383 et 1384, Parrecy en 1569 (Archives nationales, G 8 1388, no 247), Perrecy les Forges en 1757, Perrecy en 1790 (Archives nationales D IV bis 89), Perrecy-les-Forges en 1801[10].

    Histoire

    Au IXe siècle, dans le testament du comte Ecchard de Mâcon, fils de Childebrand III, on apprend que ce dernier possède une villa à Perrecy, qui lui vient de Childebrand Ier. Cette seigneurie a fait en 874, l'objet d'un conflit jugé par Adalard entre Ecchard et saint Vulfade (866-876), archevêque de Bourges[11] - [12].

    Des forges ont fonctionné de 1634 à 1840.

    1804 : Perrecy-les-Forges est l'une des premières communes de Saône-et-Loire à être cadastrée, conformément aux dispositions de l’arrêté du 12 brumaire an XI établissant le premier système de cadastre dit « par masse de culture » (il s’agissait d’établir la nature des cultures présentes sur le territoire des communes sans introduire toutefois de découpage entre les parcelles, l’administration se chargeant de faire coïncider les déclarations des propriétaires et les superficies concernées)[Note 3].

    L'extraction de la houille a duré jusque dans les années 1930[1] - [13] - [14] - [15].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Résultats de l'élection municipale du à Perrecy-les-Forges[16]
    Tête de liste Liste Premier tour Sièges
    Voix % CM CC
    Claudius Michel * DVD 583 64,49 16 1
    Jean-Paul Baudin SE 321 35,50 3
    Inscrits 1 249 100,00
    Abstentions 304 24,34
    Votants 945 75,66
    Blancs et nuls 41 4,34
    Exprimés 904 95,66
    * Liste du maire sortant

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1712 1738 Thomas Saulnier Avocat à la Cour
    1738 1779 Jean Busnel Notaire
    1779 1790 Benoit de Gouvenain Lieutenant de justice
    1790 1791 Claude-François Maire
    1791 1792 Jean-Baptiste Trahand Lieutenant Garde Nationale
    1792 1793 Benoit de Gouvenain Lieutenant de justice
    1793 1794 Jean-Louis Buchon Armurier
    1794 1795 Jean-Baptiste Trahand Lieutenant de Garde nationale
    1795 1796 Fiacre Cuzin Marchand
    1796 1800 Louis Trahand Fermier
    1800 1815 François Favre Notaire
    1815 1816 Jean-Charles Favre
    1816 1826 Benoit Devillard Géomètre
    1826 1848 Michel Auguste Favre
    1848 1870 René Doeuf
    1870 1874 Jean-Baptiste Bouillin
    1874 1876 Edmond de Gommegnier
    1876 1877 Jean-Baptiste Bouillin
    1877 1878 René Gonnot
    1878 1879 Jean-Baptiste Bouillin Notaire
    1879 1904 Jean Ducarouge Républicain Marchand de vin
    1904 1908 René Chasserot Quincallier
    1908 1919 Jacques Chapuis Boucher
    1919 1925 Pierre Blanc Mercier et cafetier
    1925 1938 Jean-Marie Lagrost Délégué mineur
    1938 1943 Louis Barle Mineur
    1943 1945 Pas de maire officiel
    1945 1947 Denis Furcy Tailleur d'habits
    1947 1953 Charles Douheret Mineur
    1953 novembre 1960 Louis Perrier Cultivateur
    1961 mars 1977 Rémi Satinet Meunier
    mars 1977 juin 1995 Robert Delès PCF
    juin 1995 mars 2001 Paul Jacquet DVD
    mars 2001 2002 Jean Labarre DVD
    2002 mars 2008 Paul Gaumont DVD
    mars 2008 juin 2020 Claudius Michel DVD Facteur
    juin 2020 Roland Barnet DVD
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].

    En 2020, la commune comptait 1 557 habitants[Note 4], en diminution de 6,71 % par rapport à 2014 (Saône-et-Loire : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3541 3521 4121 7341 8182 0251 9811 9211 805
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7291 8091 8211 6941 7741 8931 9931 9141 956
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8341 8921 8711 7031 7821 7181 5101 6012 014
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2 1692 1462 1752 2052 0231 8231 7461 7071 726
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 6691 5681 557------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Église.
    Une sculpture du porche roman.
    Bénédictin de la réforme de Perrecy - (Gosselin - 1718 - Histoire Des Ordres Monastiques).

    Église Saint-Pierre-et-Saint-Benoît

    Le prieuré Saint-Pierre-et-Saint-Benoît de Perrecy-les-Forges dépendant de l'abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire, fut institué en 876 par le testament du comte Eccard II, seigneur de Perrecy, mais aussi comte de Mâcon, Chalon, Autun etc. Celui-ci, proche de sa fin, sans descendance, veut effacer le doute sur la légitimité de sa possession de Perrecy, contestée de longue date par l'évêché de Bourges. Eccard II donne donc Perrecy au monastère de Saint-Benoît-sur-Loire, où il avait fait ses études, pour fournir à ce dernier un site propice à l'installation d'un monastère de repli, au milieu des terres, dans le cas d'une attaque viking sur la Loire. Les bénédictins de Saint-Benoît-sur-Loire s'installent immédiatement et construisent un édifice imposant.

    L'église actuelle est en effet construite par eux entre 1020 et 1030 environ[20], et ne date donc pas de leur installation directe. Cette église est conservée presque d'un bout à l'autre : seule l'extrémité occidentale (dernière travée de la nef et avant-nef) constitue une reprise du XIIe siècle. Le plan de l'église primitive est largement conservé : il ne manque actuellement en élévation que le bas-côté nord (dont il ne reste qu'un petit fragment) et l'extrémité du croisillon sud du transept, ainsi que le haut vaisseau du chœur.

    En élévation, il subsiste donc de la construction initiale (début du XIe siècle) :

    • la totalité du mur sud de la nef, très déversé ;
    • la totalité de la croisée du transept, jusqu'à la coupole surplombant la tour-lanterne ;
    • les murs du chÅ“ur avec ses deux travées de bas-côtés ;
    • la base de l'abside polygonale[21].

    Tous ces éléments sont construits en maçonnerie de petit moellon carré, très caractéristique du XIe siècle et bien distinct des autres parties. La sculpture manque presque complètement : les seuls chapiteaux sont ceux des baies géminées formant claire-voie intérieure au-dessus des grands arcs de la croisée. Seules des impostes moulurées, ayant servi d'appui pour les cintres, viennent animer la nudité des murs, lesquels ne comportent aucune lésène ni bandeau. Cette muralité semble faite pour recevoir des peintures, dont la prospection reste à faire.

    Cet édifice, un très bel exemple d'architecture religieuse des XIe et XIIe siècles, a naturellement subi de nombreuses réparations au cours de sa longue histoire. On notera :

    • vers 1095, le voûtement ou le re-voûtement du croisillon nord du transept, en voûte d'arêtes, avec renforcement de la structure par des contreforts intérieurs (ronds) et extérieurs (aux angles, mais non diagonaux) ;
    • vers 1120, un agrandissement ou reconstruction spectaculaire : allongement de la nef et construction entièrement neuve, en grande partie en pierre de taille de fort appareil, d'une avant-nef à deux niveaux richement ornés, et surmonté d'une tour-beffroi à deux niveaux également ;
    • au XVe siècle, une reconstruction du chÅ“ur, également en pierre de taille, avec d'immenses baies en lancette à remplages ; le remplacement du cloître, adossé au bas-côté sud de la nef, par un cloître voûté d'ogives, dont seuls les culs-de-lampe subsistent.

    Le mur nord de la nef a été presque entièrement reconstruit, à une date indéterminée de l'époque gothique, sur l'emprise de la grande arcade nord, disparue avec le bas-côté nord presque entier.

    À l'initiative du père Laborier, curé de Perrecy de 1941 à 1949, le chevet de l'église est orné depuis 1946 d'un vitrail à la gloire de saint Benoît, patron de l'église[22].

    La tour lanterne est typique romane : elle est montée sur trompes et s'éloigne donc des modèles carolingiens, tels que la chapelle palatine d'Aix-la-Chapelle, en plan octogonal et couronnée en arêtes. Ses dimensions sont considérables pour l'époque (hauteur : 18 mètres). Son état de conservation est exceptionnel.

    Autres

    • Tour du château de Versigny
    • Château de Commerson
    • Château de Bellevue
    • Maisons anciennes
    • Forges, mines de charbon, carrières
    • Musée municipal
    • Vallée de l'Oudrache

    Personnalités liées à la commune

    Armoiries de monseigneur le bailli Jehan Portrat/Poterat [23].
    • monseigneur Jehan Portrat (olim Porterat/ Portherat/ Potherat) était le bailli de la juridiction de Perrecy en 1383. Il était né en 1330 et avait également été le trésorier/clerc de Charolles en 1380[24].
    • André Blondel, fondateur du dispensaire Labaune en 1909[25].
    • Josiane Bost, championne du monde de cyclisme sur route en 1977.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Perrecy-les-Forges et son prieuré, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 9 (), p. 3-6.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. La démarche était expérimentale : 1800 communes avaient été retenues pour l’ensemble du territoire national. Tirées au sort, elles devaient être au moins deux par arrondissement et pas plus de huit, théoriquement. Pour le département de Saône-et-Loire, il subsiste aujourd’hui une quarantaine de plans, disponibles sur le site internet des archives départementales, avec une répartition inégale d’un arrondissement à l’autre. Techniquement, le plan devait être réalisé à l'échelle du 1/5000e, après arpentage et triangulation. Le territoire de la commune était divisé en masses colorées figurant de la même manière les terrains portant des récoltes identiques. Source : Annie Bleton-Ruget, Un département à l'aube du XIXe siècle : images et représentations de la Saône-et-Loire, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire », no 199-200 de novembre 2019, p. 18-24.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. [PDF] C. Raymond, Synthèse géologique sur les ressources charbonnières de la Bourgogne, BRGM, (lire en ligne).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montceau-les-Mines », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. « Cartes, plans et autres documents iconographiques », sur archives71.fr (consulté le ).
    10. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    11. Joseph Rosny, Histoire de la ville d'Autun..., Autun, 1802, Impr. Dejussieu rue de l'Arbalète. p. 162.
    12. Congrès archéologique de France, Société française d'archéologie, 1848, Volume 14
    13. « Concession de Perrecy-les-Forges », sur montceaulesmines.e-monsite.com, Histoire de Montceau (consulté le ).
    14. « Concession des Porrots », sur montceaulesmines.e-monsite.com, Histoire de Montceau (consulté le ).
    15. IRSP, Perrecy-les-Forges – Ligne des puits de Romagne et de Bonnin-Bonnot, (lire en ligne [PDF]).
    16. Résultats officiels pour la commune Perrecy-les-Forges
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    20. Laule Ulrike, Bourgogne. Art, architecture et paysages, Ullmann, 2007, p. 220-222 ; voir aussi le site assez bien fait des Amis de l'église de Perrecy.
    21. Voir les absides polygonales de Saint-Vital de Ravenne, de la chapelle palatine d'Aix et de Cluny III.
    22. « L'église de Perrecy-les-Forges », article de Georges Chavron paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 116 de décembre 1998, pages 14 à 16.
    23. Origines Armoiries famille Portrat/Porteret: Les Tapisseries du cardinal de Clugny (1480-1483), mémoire du XVIIIe siècle, publié par le vicomte L. de Varax Éditions Badiou-Amant (Lyon) 1926.
    24. Revue périodique de vulgarisation des sciences naturelles et préhistoriques de la Physiophile / Société d'études d'histoire naturelle de Montceau-les-Mines (01/09/1937)
    25. « André Blondel (1863-1938) », sur Montceau-news (consulté le ).
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