Pascal Praud
Pascal Praud, né le à Nantes, est un chroniqueur, animateur de radio et de télévision, et journaliste sportif français d'extrême droite. Il est également producteur de télévision.
Naissance | |
---|---|
Nationalité | |
Formation | |
Activités |
De 1988 à 2008, Il passe vingt années à TF1 en tant que chroniqueur sportif spécialisé dans le football, puis devient directeur général chargé de la communication et du marketing du FC Nantes en 2008-2010.
Parallèlement, il mène une carrière à la radio, où il présente plusieurs émissions sportives sur RTL. À partir de 2018, sur RTL, il quitte le monde du sport pour animer Les auditeurs ont la parole.
À la télévision, depuis 2010, il produit et anime plusieurs émissions sur i-Télé puis CNews traitant du football mais également, à partir de 2016, de l’actualité et de politique, présentant L'Heure des pros, émission qui fait de lui l'une des figures principales de la chaîne.
Il est classé politiquement à l'extrême droite, soutient Éric Zemmour, et la politique ultra-conservatrice menée par Vincent Bolloré dans ses possessions médiatiques. Il est l'objet de nombreuses controverses après des propos qu'il a tenus ou approuvés sur ses plateaux lors de ses interventions dans les médias, notamment en niant le réchauffement climatique. Il est aussi accusé de misogynie envers plusieurs de ses collaboratrices.
Biographie
Famille et Ă©tudes
Pascal Praud est né le à Nantes[1]. Il est le fils d'un directeur régional d'une société de fournitures de bureau. Il est lui-même père de quatre filles issues d'un premier mariage[2], et vit depuis 2015 avec une autre femme, Catherine (née en 1967)[3].
Entre 16 et 19 ans, il est élève au Conservatoire d'art dramatique de Nantes, conservant depuis une passion pour la littérature et le théâtre[2]. Il est licencié en droit et diplômé de l'École supérieure de journalisme de Paris[4].
1988-2008 : animateur sportif à la radio et à la télévision
En 1988, il commence sa carrière dans l'émission Téléfoot de TF1 aux côtés de Thierry Roland[4] - [5]. Il est également présent sur LCI, la chaine d'information en continu du groupe. Parallèlement, il intervient en tant que chroniqueur d'On refait le match d'Eugène Saccomano sur RTL, puis anime sa propre émission, Tirs au but[4].
2008-2010 : chargé de la communication et du marketing du FC Nantes
En , il quitte le groupe TF1 pour devenir directeur général au club de sa ville natale du Football Club de Nantes, chargé de la communication et du marketing[6]. En , après avoir essuyé de nombreuses critiques[7], il quitte cette fonction[8] en commun accord avec son président Waldemar Kita[9] et retourne à son métier de journaliste sportif.
Depuis 2010 : retour à une carrière d’animateur
Pour la Coupe du monde de football de 2010, Pascal Praud, déjà débatteur dans On refait le match alors diffusée sur RTL et i-Télé, rejoint la chaîne d'information en continu i-Télé pour présenter notamment L'œil de Praud tous les matins[10]. À la rentrée 2010, il poursuit sa collaboration avec la chaine en reprenant la présentation de 20 h Foot, allongé à 45 minutes quotidiennes, et en animant 13 h Foot, un nouveau rendez-vous sur le même concept[11]. À la rentrée 2012, 13 h Foot n'est plus décliné qu'en émission dominicale[12].
Parallèlement, il rejoint RTL pour co-animer avec Christian Ollivier, le Multiplex RTL-L'Équipe le samedi soir et le Grand match de Ligue 1 tous les dimanches soir. Il est toujours chroniqueur aux côtés d'Eugène Saccomano dans l'émission On refait le match[13]. À la rentrée 2012, Eugène Saccomano ayant pris sa retraite, il reprend les rênes de l'émission On refait le match[14].
En , il obtient sur RTL une chronique quotidienne Le Praud de l'Info dans la matinale d'Yves Calvi du lundi au vendredi[15], et présente les émissions sportives du samedi On refait le match avec Pascal Praud, L'Actualité de la semaine écoulée (actu football) et toujours Le Multiplex Ligue 1.
Sur i-Télé, il remplace Léa Salamé en tant qu'arbitre entre Éric Zemmour et Nicolas Domenach dans l'émission Ça se dispute jusqu'à sa déprogrammation en . Il continue à présenter 13 h Foot les week-ends et 20 h Foot la semaine[16].
En , il rejoint Touche pas à mon sport ! , présenté par Estelle Denis, en tant que chroniqueur sur D8.
En 2016, il obtient la présentation de L'Heure des Pros toujours sur i-Télé du lundi au vendredi de 9 h à 10 h. Cette émission reprend les codes du genre polémique-spectacle[17] et suscite régulièrement des controverses. En 2018, « L’Heure des pros » faisait partie des émissions ayant suscité le plus de signalements au Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA)[18].
Par ailleurs, Pascal Praud couvre les matchs de l'Euro 2016.
En 2017 lorsque i-Télé devient CNews, il conserve la présentation de ses émissions L'Heure des Pros, 20h Foot (du lundi au vendredi) et 13h Foot (le weekend). L'émission affiche de fortes audiences avec 712 000 téléspectateurs de 20h à 21h (2,8 % 4+)[19]. De plus, Pascal Praud et son équipe sont chargés de débriefer les matchs importants tels que ceux de l'équipe de France ou de Ligue des champions. Ils interviennent alors à la mi-temps puis à la fin des rencontres. Depuis le , il ne présente plus 13h Foot (le weekend) qui est désormais animée par Julien Pasquet.
À partir du , Denis Balbir reprend l'émission On refait le match, sur RTL, à la place de Pascal Praud, qui devient l'animateur des Auditeurs ont la parole[20]. D'autre part, Pascal Praud n'anime plus Le Multiplex de football sur RTL, étant remplacé dans cette fonction le par Didier Roustan, ce dernier devenant une nouvelle voix pour le football à RTL[21].
En , il remplace pendant quinze jours Christine Kelly à la tête de l'émission Face à l'info sur CNews, cette dernière étant confinée chez elle à cause de la pandémie de coronavirus.
En 2021, sa chaine écope d'un avertissement du CSA pour absence de diversité des points de vue exprimés[22] - [23].
Positionnement politique
Pascal Praud est considéré comme une figure de l'extrême droite médiatique[24], aux côtés de personnalités comme Éric Zemmour[24] - [25]. Il participe à la banalisation des thèses d'extrême droite à la télévision française[26] - [27] - [28] - [29]. Alexis Lévrier considère que son programme réside en une promotion des idées d'Éric Zemmour[30]. Il déclare par exemple que « les autres candidats n'intéressent personne »[31] ou encore qu'il serait « meilleur que les autres. (...) Sa déclaration est la plus juste, la plus intelligente »[32]. Il nie aussi l'existence de l'extrême-droite en France[32]. Il est central dans la politique ultra-conservatrice en matière de médias menée par Vincent Bolloré[31] - [33].
En 2021, Pascal Praud indique aux magazines Le Point et Valeurs actuelles : « Je suis hyperconservateur sur la culture, l'histoire, l'autorité et la sécurité. Je ne reconnais plus la France dans laquelle j'ai grandi. Parce que la transmission ne s'est pas faite. Je suis aussi très progressiste sur les sujets de société, type mariage pour tous, PMA, GPA. […] Et, sur le plan économique, je suis libéral[34].[35] »
Selon Philippe Ridet, journaliste au Monde, Pascal Praud est « passé maître dans l’art de l’invective » ; « Macho, populiste, de droite, tenancier de café du commerce[36] : tels sont les mots qui s’associent désormais à son nom[37] ». En , Les Inrockuptibles qualifient le chroniqueur de « droitier décomplexé »[38].
Selon Middle East Eye, il est populiste et « ouvertement islamophobe »[23].
Controverses
Altercation avec Bernard Tapie
En , il porte plainte contre Bernard Tapie pour coups et blessures, à la suite d'une altercation entre les deux hommes dans un magasin de vêtements à Paris[39]. Bernard Tapie lui reprochait d'avoir tenu des propos malveillants sur l'Olympique de Marseille lors de la dernière émission de Téléfoot, et en était venu aux mains[40].
Émission ayant fait scandale en 2017
Le , au lendemain de l'attentat du 20 avril 2017 sur l'avenue des Champs-Élysées à Paris, Pascal Praud invite Ivan Rioufol. Pascal Praud lui fait remarquer que « curieusement », les hommes politiques ne parlent pas de « guerre civile » comme son invité le fait, semblant donc prendre fait et cause pour ce dernier. « La sécurité n'a pas été au cœur de la campagne. Et l'identité, à peine », ajoute ensuite Pascal Praud. Ivan Rioufol va ensuite affirmer que 50 % des jeunes musulmans des banlieues se réclament de l’État Islamique, sans qu'aucun participant ne le contredise, Pascal Praud affirmant que « Ce chiffre-là fait peur »[41]. En deuxième partie d'émission, à plusieurs reprises, Pascal Praud demande à ses invités s'il ne faudrait pas enfermer les fichés S ou les personnes ayant fait un voyage en Syrie et affirme qu'il est aujourd'hui légal pour un individu de se rendre en Syrie et de revenir en France : « On a le droit d'aller en Syrie aujourd'hui (…) Quelqu'un qui est allé en Syrie et qui revient et n'a toujours rien fait, vous pouvez quand même vous dire que c'est très dangereux qu'il reste en liberté »[41]. Pascal Praud invite la journaliste Charlotte d'Ornellas à donner son avis sur l'attentat de la veille. Le site d'information BuzzFeed s'indigne que sa proximité avec l'extrême droite et son parcours ne soient pas évoqués[41].
En 2018, l'émission qu'il présente, L'Heure des pros, a fait l’objet de 1 200 plaintes auprès du Conseil supérieur de l'audiovisuel[37].
Déni du réchauffement climatique et instrumentalisation de la science
Le , il reçoit la militante écologiste Claire Nouvian qui s'emporte contre les discours climato-sceptiques de l'animateur (« Moins trois degrés ce matin dans les Yvelines (…), moins un degré hier à Troyes. Attention, sujet sensible, on ne rigole pas avec le réchauffement climatique », ironise d’emblée Pascal Praud) et d'Élisabeth Lévy, les traitant de « rétrogrades » « dingues » « complétement tarés »[42], l'animateur la qualifiant de « ridicule » et lui rétorquant « vous avez un melon qui ne passe plus les portes du studio ». Pascal Praud lui reproche de donner une image « hystérique » de sa pensée[43] - [44]. Claire Nouvian évoque sur les réseaux sociaux un « guet-apens de climatosceptiques » imprégnés de « négationnisme climatique » et de « misogynie » provoquant une vague de réactions négatives contre les propos de Pascal Praud et Élisabeth Lévy[42]. Le CSA reçoit à la suite de cette émission une centaine de plaintes de la part d'auditeurs concernant le traitement réservé à Claire Nouvian[45], tandis que des tribunes dénoncent une instrumentalisation de la science[46] et une entrave à la liberté d'expression et la pensée critique[47].
Accusations de misogynie
Le , Caroline Mécary, chroniqueuse de L'Heure des Pros, annonce quitter l'émission en dénonçant la violence des colères de Pascal Praud, qu'elle accuse d'être « misogyne, pas courageux, dans la stratégie du clash et du buzz »[48]. Elle pointe également du doigt les thématiques de droite récurrentes de l'émission sur « l'islam, l'immigration et les violences faites à l'égard des policiers »[49]. Sandrine Cassini et Mouna El Mokhtari du Monde considèrent que, d'une manière générale, il se distingue par son hostilité au hidjab[50].
Rapport à la liberté de la presse
À ceux qui critiquent son rapport à la neutralité et à la déontologie sur une chaîne d'information, Pascal Praud oppose souvent le principe de liberté de la presse, et sa phrase fétiche : « on ne peut plus rien dire »[51]. Il est toutefois accusé de ne pas mettre en pratique ce principe lorsqu'il exige à l'antenne la démission de l'humoriste de France Inter Guillaume Meurice après un tweet, ou lorsqu'il déclare : « Quand j'étais à TF1, j'étais 100 % TF1 ; à CNews, je suis 100 % Bolloré »[52].
Scepticisme et conspirationnisme
Selon Conspiracy Watch, Pascal Praud invite des personnalités qui tiennent des propos conspirationnistes ou polémiques, par exemple remettant en cause le nombre de victimes civiles au Donbass, ou encore, fait la promotion d'ouvrages covidosceptiques dans ses émissions[53] - [54] - [55]. Il est également épinglé pour avoir transformé des propos en une fake news sur les réseaux sociaux[56] ou partagé des informations erronées[57] - [58].
Synthèse de son parcours en radio
- 1988-2012 RTL
- 1988-2008 : animateur de l'Ă©mission Tirs au but sur RTL
- 2010-2018 : coanimateur du Multiplex RTL-L'Équipe et du Grand match de Ligue 1 sur RTL, avec Christian Ollivier
- 2012-2018 : animateur d'On refait le match sur RTL
- 2014-2018 : chroniqueur quotidien de la rubrique Le Praud de l'Info dans la matinale d'Yves Calvi et de L'Actualité de la semaine écoulée le samedi, sur RTL
- 2018-2023 : animateur des Auditeurs ont la parole sur RTL
Prix du commentateur sportif
Le , l'Association des écrivains sportifs décerne à Pascal Praud le prix du commentateur sportif 2014[59].
Notes et références
- Prisma Média, « Pascal Praud - La biographie de Pascal Praud avec Voici.fr », sur Voici.fr (consulté le )
- Anne Fulda, « Pascal Praud, l'objet du scandale », Le Figaro, encart « Le Figaro et vous »,‎ 5-6 septembre 2020, p. 36 (lire en ligne).
- « Pascal Praud : qui est Catherine, sa discrète compagne ? », sur gala.fr, .
- « Biographie de Pascal Praud », sur Télé Loisirs
- Clément Gauthier, « Pascal Praud (Coupe du monde - i>Télé) : « On a une volonté d’expertiser, de gagner la bataille du fond » », sur toutelatele.com,
- Richard Sénéjoux, « Pascal Praud quitte TF1 pour le FC Nantes », sur Télérama,
- « FC Nantes : la com' de Pascal Praud passe mal », sur Ouest-France,
- David Cadiou, « Ligue 2. FC Nantes : Pascal Praud s'en va », sur Le Télégramme,
- « FC Nantes : Pascal Praud officialise son départ », sur Ouest-France,
- « Coupe du monde 2010 : Pascal Praud rejoint l'équipe d'I>Télé », sur Première,
- J. L.-M., « Pascal Praud prend du galon sur i>télé », sur Télé Loisirs,
- « ITélé: L'émission "13h foot" devient hebdomadaire dès la rentrée prochaine », sur jeanmarcmorandini.com,
- Julien Mielcarek, « Pascal Praud rejoint RTL », sur PureMédias,
- Bertrand-Régis Louvet, « RTL confie On refait le match à Pascal Praud », sur BRL TV, blog du Parisien,
- « Ça se dispute : Pascal Praud joue les arbitres entre Eric Zemmour et Nicolas Domenach », sur Télé 2 Semaines,
- Kevin Boucher, « i-Télé : Pascal Praud remplace Léa Salamé dans "Ca se dispute" », sur PureMédias,
- « L’Heure des pros de Pascal Praud, symbole du dérèglement médiatique », sur Le Monde,
- « « L’Heure des pros » de Pascal Praud, symbole du dérèglement médiatique », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
- Audiences : Ecart historiquement faible entre BFMTV et CNews hier, ozap.com, 27 avril 2021
- « RTL : Denis Balbir sera le nouvel animateur de "On refait le match" », sur www.ozap.com, (consulté le ).
- « RTL : Didier Roustan succède à Pascal Praud dans "Le Multiplex" », sur www.ozap.com, (consulté le ).
- « Tribune des militaires : le CSA épingle CNews et Pascal Praud », sur Libération (consulté le )
- « CNEWS, un média d’opinion au service de l’extrême droite française », sur Middle East Eye édition française (consulté le )
- (en) Armiyaou Gombo Abdoul-Bagui, « Media and the Rise of Right-Wing Populism: Gauging the Role of CNews in Promoting Far-Right Ideology in France », Open Journal of Political Science, vol. 11, no 4,‎ , p. 752–769 (DOI 10.4236/ojps.2021.114048, lire en ligne, consulté le )
- « Face à la concurrence, CNews fait le pari d’une parole décomplexée », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
- « CNews banalise l’extrême droite, comme Fox News l’a fait pour Donald Trump », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
- « Invasion du Capitole, rave party, inceste : sur CNews, le trumpisme en marche », sur www.telerama.fr, (consulté le )
- « Sur CNews, Pascal Praud salue le “courage” de Sonia Mabrouk, présentatrice de CNews », sur www.telerama.fr, (consulté le )
- « CNews, première chaîne d’intox de France… avec le soutien de l’Élysée », sur www.telerama.fr, (consulté le )
- « Comment les médias ultra-conservateurs arbitrent le match Le Pen/Zemmour - ENQUÊTE », sur Le HuffPost, (consulté le )
- « Comment Vincent Bolloré mobilise son empire médiatique pour peser sur la présidentielle », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
- « Une semaine à regarder uniquement CNews : mépris de la gauche, critique contre l’exécutif, sympathie pour Eric Zemmour », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
- « De Canal+ à Zemmour... Comment Vincent Bolloré bâtit un empire médiatique ultraconservateur », sur L'Obs, (consulté le )
- « Pascal Praud ne reconnaît plus la France dans laquelle il a grandi », sur lepoint.fr, (consulté le ).
- 6medias2, « “Je suis hyperconservateur” : Pascal Praud ne “reconnaît plus la France” dans laquelle il a “grandi” », sur Valeurs actuelles, (consulté le )
- Ce terme fait référence à la sociologie de comptoir qui voit les individus dont la primauté et la supériorité de la parole est généralement reconnue, se livrer à des commentaires comme ceux au comptoir d'un bistrot ou d'un café.
- Philippe Ridet, « Il est comme ça… Pascal Praud », sur lemonde.fr,
- « Comment CNews est devenu le pendant français de Fox News », sur Les Inrocks (consulté le )
- Marie Rialland, « Bernard Tapie joue des poings », sur L'internaute,
- F. Vig et K.N., « Tapie agresse un des présentateurs de « Téléfoot » », sur Le Parisien,
- https://www.buzzfeed.com/fr/davidperrotin/intox-sur-lislam-et-le-terrorisme-guerre-civile-on-a
- « Pascal Praud vs. Claire Nouvian : le montage vidéo qu'on ne vous a pas montré », sur Marianne,
- « Pascal Praud s’en prend à une militante écolo et la traite d'«hystérique» », sur www.20minutes.fr (consulté le )
- Audrey Garric, « L’échange incroyable avec Claire Nouvian sur CNews montre que le climatoscepticisme a encore de beaux jours devant lui », (consulté le )
- « Une centaine de plaintes reçues par le CSA après l'humiliation d'une militante écolo par Pascal Praud sur CNEWS », sur Libération.fr, (consulté le )
- Benoît Rittaud, « Lettre ouverte au CSA: non à la censure climatique ! », valeursactuelles.com/,
- Valérie Toranian, « Vidéo clash, manip et réchauffement climatique : Claire Nouvian coule à pic », Revue des Deux mondes,‎ (lire en ligne)
- Clément Garin, « L'heure des pros : Caroline Mécary quitte l'émission et dénonce "le sexisme et la violence" de Pascal Praud », Télé-Star,‎ (lire en ligne)
- Florian Guadalupe, « "Pas courageux", "misogyne" : Une ex-débatteuse de "L'heure des pros" dézingue Pascal Praud », OZAP,‎ (lire en ligne).
- Mouna El Mokhtari et Sandrine Cassini, « CNews, la télé du clash permanent », sur Le Monde.fr, Le Monde, (ISSN 1950-6244, consulté le ).
- « Pascal Praud moqué par Guillaume Meurice de France Inter dont il exige le licenciement sur CNEWS », sur programme-television.org, .
- Anne-Sophie Mercier, « Débats de plafond », Le Canard enchaîné, no 5249,‎ .
- Élie Guckert, « De la Syrie à l'Ukraine : dix ans de complotisme russe », sur Conspiracy Watch | L'Observatoire du conspirationnisme, (consulté le )
- La Rédaction, « Pierre Chaillot : itinéraire d'un best-seller covido-sceptique », sur Conspiracy Watch | L'Observatoire du conspirationnisme, (consulté le )
- La Rédaction, « Conspiracy News #13.2019 », sur Conspiracy Watch | L'Observatoire du conspirationnisme, (consulté le )
- La Rédaction, « Conspiracy News #51.2021 », sur Conspiracy Watch | L'Observatoire du conspirationnisme, (consulté le )
- La Rédaction, « 🔴 Conspiracy News #10.2023 », sur Conspiracy Watch | L'Observatoire du conspirationnisme,‎ (consulté le )
- « L’Espagne a-t-elle «dépénalisé les actes sexuels avec les animaux», comme l’affirme Pascal Praud ? », sur Libération (consulté le )
- V.R-B, « Pascal Praud meilleur commentateur sportif », sur L'Équipe,