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Parc national des Grands-Jardins

Le parc national des Grands-Jardins est un parc national du Québec, situé dans le territoire non organisé de Lac-Pikauba, dans la municipalité régionale de comté (MRC) de Charlevoix, dans la région administrative de la Capitale-Nationale, au Québec, Canada.

Parc national des
Grands-Jardins
GĂ©ographie
Pays
Province
RĂ©gion administrative
Municipalité régionale
Territoire non organisé au Québec
Coordonnées
47° 41′ 00″ N, 70° 41′ 00″ O
Ville proche
Superficie
318,9 km2
Partie de
Administration
Type
Catégorie UICN
II
WDPA
Création
Visiteurs par an
86 331 (2015-2016)[1]
Administration
Site web
Carte

Le parc national des Grands-Jardins est une aire protĂ©gĂ©e visant la conservation du patrimoine naturel de la rĂ©gion de Charlevoix dans lequel certaines activitĂ©s humaines sont permises. Il constitue l'une des aires centrales de la RĂ©serve de la biosphère de Charlevoix, statut octroyĂ© par l'UNESCO en 1988[2], soit seulement 7 ans après la crĂ©ation du parc. Le parc est gĂ©rĂ© par le gouvernement quĂ©bĂ©cois grâce Ă  la SociĂ©tĂ© des Ă©tablissements de plein air du QuĂ©bec (SÉPAQ).

Ce parc de Charlevoix comporte une superficie de 318,9 km2 accessible par Saint-Urbain dans la rĂ©gion de la Capitale-Nationale. La ville la plus proche du parc est Baie-Saint-Paul.

Principaux attraits et activités

Logo

Il offre plusieurs activités aux visiteurs du parc autant l’été que l’hiver. Parmi les activités offertes, nous retrouvons entre autres le camping, le canot, le kayak, la randonnée pédestre, la pêche, le ski de fond et la raquette[3]. La SÉPAQ offre aussi des ateliers de découverte permettant d’en apprendre plus sur la faune et la flore qui fréquente le parc et de sensibiliser la population à la fragilité des écosystèmes et aux services que ces derniers nous rendent.

Histoire

Feu de forĂŞt de 1991 dans le secteur Thomas-Fortin

Avant la création du parc, le 25 novembre 1981, le site était exploité pour la coupe forestière. De 1939 à 1981, cette activité avait affecté 39 % de la superficie du parc national actuel. Le parc possède aussi un patrimoine culturel qui lui est propre. Son passé de lieu de villégiature anglais, de chasse et de pêche avec le Murray River fishing Club, aussi appelé le Club La Roche, un ancien club privé de pêche rajoute à l’histoire de coupe forestière et de dragage qui avait lieu dans le parc avant sa création[4].

Le parc national des Grands-Jardins protège un milieu fort reprĂ©sentatif de la rĂ©gion naturelle du massif du Lac Jacques-Cartier[5]. Le milieu naturel du parc est dominĂ© par des forĂŞts et environ 30 % du parc a Ă©tĂ© ravagĂ© par un feu de forĂŞt en 1991 puis en 1999. Bien que le paysage de ces feux soit peu attrayant pour l'Ĺ“il humain, ils sont essentiels pour le renouvellement de la forĂŞt et pour la crĂ©ation de refuges pour certaines espèces. En effet, les troncs de bois morts au sol ou encore debout ont des abris idĂ©aux pour des espèces d’oiseaux, de rongeurs, d’insectes et de champignons. Quelques annĂ©es plus tard, la forĂŞt commence dĂ©jĂ  Ă  reprendre ses droits et reprend lentement son cycle de succession naturelle.

Le , le parc national des Grands-Jardins est agrandi de 8,9 km2 pour atteindre une superficie de 318,9 km2[6].

GĂ©ographie

Topographie

La topographie du parc est variée en raison des chaînes de montagnes qui caractérisent le parc. Les conditions climatiques du parc peuvent facilement varier d’un endroit à l’autre. Le territoire fait partie du Bouclier canadien et son socle rocheux est surtout composé de roches granitiques telles que la roche ignée. De plus, une partie du territoire est composé d’anorthosite, un type de roche ignée.

Hydrographie

Lac des Cygnes

Le parc comprend plus de 120 plans d’eau ainsi que plusieurs montagnes faisant partie de la chaîne de montagnes de Laurentides[7]. Les sommets de ces montagnes sont protégés en raison de la fragilité des écosystèmes présents aux sommets qui sont sensibles au piétinement des randonneurs. Ces sommets sont tout de même accessibles aux randonneurs par des sentiers balisés et aménagés. Les plans d’eau constituent 3,6 % de la superficie du parc et les deux bassins versants les plus importants sont la rivière Malbaie et la rivière Sainte-Anne-du-Nord[8].

Faune

Le parc offre un habitat privilĂ©giĂ© pour plusieurs animaux. Trois types d’habitats distincts sont observables dans le parc: de jeunes forĂŞts qui ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©es par des feux naturels et des coupes forestières, des forĂŞts matures composĂ©es d’épinette noire et de sapin baumier au couvert fermĂ© et de la taĂŻga rappelant le Grand Nord quĂ©bĂ©cois. Les milieux de taĂŻgas semblables Ă  celui du parc national des Grands-Jardins se retrouvent normalement Ă  plus de 500 kilomètres plus au nord de lĂ , soit au-dessus du 52e parallèle. Ces diffĂ©rents habitats permettent d’abriter une variĂ©tĂ© d’animaux dont certains ont un statut menacĂ© ou vulnĂ©rable. Nous retrouvons notamment des populations d'orignaux, de caribous des bois, d'ours noir, de renard roux, de porc-Ă©pic, de plongeon huard, de tĂ©tras du Canada, de loups, de plusieurs lynx ainsi que plusieurs autres espèces.

En raison de la diversité des habitats que l’on retrouve à l’intérieur du parc national, plusieurs espèces fréquentent ce dernier, dont trois espèces qui sont classées vulnérables, soit le caribou des bois de l’écotype forestier, la grive de Bicknell et le garrot d’Islande[5]. Ces espèces possèdent le statut le plus grave selon la Loi sur les espèces menacées ou vulnérables du Québec. On l’y retrouve aussi sept espèces susceptibles d’être désignées menacées ou vulnérables, soit l’omble chevalier, l’aigle royal, le faucon pèlerin, l'engoulevent d’Amérique, le martinet ramoneur, le campagnol des rochers, le cougar et le campagnol-lemming de Cooper[5] - [9]. Le parc abrite évidemment plusieurs espèces de mammifères, d’oiseaux, d’amphibiens, de poissons et d’insectes.

Mammifères

La catégorie des mammifères regroupe autant de grands mammifères que de petits rongeurs passant ainsi de l’orignal à l’ours et au porc-épic. Nous retrouvons donc les mammifères suivants : plusieurs espèces de musaraignes (la grande musaraigne, la musaraigne cendrée, fuligineuse, palustre et pygmée), la condylure à nez étoilé, le lièvre d’Amérique, l’écureuil roux, le grand polatouche, la marmotte commune, le castor du Canada, plusieurs espèces de campagnols (à dos roux de Gapper, des champs, des rochers, lemming de Cooper), de phénacomys, de rat musqué, quelques espèces de souris (sylvestre, sauteuse des bois et sauteuse des champs), de porc-épic d’Amérique, de coyote, de loup gris, de renard roux, d’ours noirs, de raton laveur, de belette à longue queue, d’hermine, de loutre de rivière, de caribou des bois, de cerf de virginie, d’orignal, de martre d’Amérique, de vison d’Amérique, de moufette rayée, de cougar et de lynx du Canada[10]. Cela s’explique par les habitats variés qu’offre le vaste territoire du parc national des Grands-Jardins.

Le lièvre d’Amérique est l’une des espèces les plus importantes du parc (et même du Canada) d’un point de vue écologique[11], car il représente une source de nourriture pour un bon nombre de prédateurs qui fréquent le parc national et la forêt boréale en général tel que le lynx du Canada, le renard roux et le coyote. De plus, il se nourrit de plusieurs plantes et arbustes de la forêt boréale.

Le caribou des bois (Rangifer tarandus caribou) est un mammifère très sensible à la présence de l’homme. Une présence trop importante sur son territoire peut déranger l’espèce et modifier son comportement et l’amener à fréquenter des lieux moins propices pour l’espèce, rendant les caribous plus vulnérables à ses prédateurs tels que le loup et l’ours noir. Le territoire du parc des Grands-Jardins est un milieu important pour la mise bas, le rut et l’alimentation hivernale du caribou des bois et joue un rôle déterminant dans la conservation de l’espèce[12]. Il vit notamment dans les forêts résineuses matures où les lichens arboricoles sont très présents.

L’ours noir, animal omnivore dont l’alimentation est composée principalement de végétaux, est abondant dans le parc national. Il s’alimente toutefois aussi de faons qui sont des proies faciles pour l’ours lorsqu’ils se risquent hors de la forêt dense. L’ours préfère les sites ouverts et semi-ouverts où la végétation constituant une bonne partie de son alimentation est plus abondante et s’aventure rarement dans la forêt dense du parc.

Le lynx du Canada (Lynx canadensis) est un félin sauvage de la forêt boréale qui vit dans des habitats variés dominés par les forêts de peuplement matures. Il est l’un des trois félins sauvages qui habitent le Canada avec le lynx roux auquel il ressemble beaucoup et le cougar[13]. Ce carnivore se nourrit principalement de lièvres d’Amérique que l’on retrouve dans le parc. Ainsi le parc national des Grands-Jardins est un habitat propice à cette espèce. C’est par contre un félin timide et secret puisqu’il est rarement observé.

Le campagnol lemming de Cooper (Synaptomys cooperi) est un petit rongeur qui fréquente les milieux humides[14]. Il vit dans des terriers aménagés dans les tourbières à sphaigne et les marais herbeux. C’est une espèce rare au Canada qui a été très peu étudiée à ce jour[15].

Oiseaux

Le parc abrite aussi un nombre non négligeable d’espèces d’oiseaux migrateurs et non migrateurs. Le plongeon huard, l’aigle royal, le pic à dos noir, le garrot d'Islande, le faucon pèlerin, la grive de Bicknell et le tétras du Canada en sont une petite liste non exhaustive[16].

Le plongeon huard, habile plongeur, vit dans les lacs poissonneux puisqu’il est un grand prédateur des milieux aquatiques. Sa présence indique une bonne santé des lacs qu’il fréquente. L’aigle royal, quant à lui, vit dans les parois rocheuses et les milieux ouverts ou semi-ouverts. Le Faucon pèlerin vit aussi dans les parois rocheuses et les milieux ouverts du parc national. Le pic à dos noir joue un rôle important dans les forêts brûlées puisqu’il crée des cavités dans les arbres morts afin de se nourrir des insectes qui adorent ce milieu. Les cavités ainsi créées servent ensuite à plusieurs espèces. La Grive de Bicknell qui est un oiseau forestier préfère plutôt les forêts denses et en régénération comme habitat[17]. Le garrot d’Islande (Bucephala islandica), oiseau nicheur arboricole, vit dans les chicots de grandes tailles pour la nidification et les lacs sans poisson comme source d’alimentation des canetons[18]. Finalement, le tétras du Canada, ressemblant à une petite poule, habite les forêts de conifères à l’année. C’est une espèce facilement observable par les visiteurs, cumulant 10 % des observations fauniques rapportées.

Faune marine

Les lacs et autres milieux marins sont des habitats intĂ©ressants pour une variĂ©tĂ© d’amphibiens (espèces de plethodontidae, bufonidae, hylidae, ranidae et colubridae) et de poissons. Parmi les amphibiens, nous retrouvons la salamandre Ă  deux lignes, le crapaud d’AmĂ©rique, la rainette crucifère, la grenouille des bois, la grenouille verte, la grenouille du Nord et finalement la couleuvre rayĂ©e[19].  L’omble chevalier et l’omble de fontaine sont deux espèces de poissons qui frĂ©quentent le parc national.

Flore

Kalmia latifolia Clementine Churchill

Le parc est composé de différents habitats en raison de sa topographie diversifiée, passant de hautes montagnes à de grands lacs. C’est pourquoi nous y retrouvons des habitats forestiers qui dominent le paysage, des habitats ouverts, des habitats de taïga composés principalement de lichens ainsi que des habitats aquatiques variés. Le parc permet de protéger un site à caractère exceptionnel que sont les pessières à cladonie, soit un échantillon de taïga qui est singulier pour le sud du Québec. Ce type d’habitat se retrouve normalement plus au nord du Québec[5]. Ces différents types d’habitats abritent une grande variété de plantes de quatre catégories différentes : les éricacées, les lichens, les tourbières et les arbres. Une quinzaine d’espèces de la famille des éricacées sont observables dans le parc. Leur floraison s’étend du début juin jusqu’à la fin de l’été. L’une des fleurs les plus facilement observables est probablement la Kalmia à feuilles étroites (Kalmia augustifolia) qui possède des fleurs roses en forme de soucoupe. Le parc abrite aussi le Thé du Labrador (Rhododendron groenlandicum), quelques variétés d’airelles (Vaccinium sp.) qui produisent des bleuets et des canneberges, la pirole à une fleur (Moneses uniflora), la gaulthérie hispide (Gaultheria hispidula), l’Andromède glauque (Andromeda polifolia var. glaucophylla) et la cassandre caliculée (Chamaedaphne calyculata).

Lichens cladoni

Une deuxième famille de plantes est très abondante dans le parc, c’est celle du lichen qui est reprĂ©sentĂ©e au parc des Grands-Jardins par 200 espèces diffĂ©rentes. Les diffĂ©rentes espèces colonisent diffĂ©rentes parties du parc. Certains lichens sont plus adaptĂ©s au sol alors que d’autres colonisent les arbres ou les parois rocheuses. L’on retrouve diffĂ©rentes espèces de lichens crustacĂ©s et foliacĂ©s qui poussent principalement sur les roches dans les monts de l’ours et du lac des Cygnes. Les lichens de type Bryoria et Usnea se retrouvent, quant Ă  eux, sur les arbres matures de la forĂŞt borĂ©ale. Finalement, les lichens fruticuleux du genre cladoni poussent sur le sol directement. Les lichens sont une composante importante de l’écosystème puisqu’ils sont la source principale de nourriture pour certaines espèces, notamment pour le caribou des bois en hiver[20].

Deux tourbières remarquables sont présentes sur le territoire du parc national. Ce sont des habitats rares pour le sud du Québec. La première tourbière est celle à pergélisol du mont de l’ours et le deuxième est la tourbière réticulée du lac Malbaie.

Les arbres prĂ©sents dans le parc sont principalement des Ă©pinettes noires et des sapins baumiers qui s’apparentent Ă  la forĂŞt borĂ©ale canadienne. On y retrouve aussi des mĂ©lèzes et des pins gris. La forĂŞt borĂ©ale, que l’on retrouve dans le parc national, est dominĂ©e par les conifères qui sont particulièrement bien adaptĂ©s au dur climat borĂ©al[21]. On y retrouve tout de mĂŞme quelques espèces d’arbres Ă  feuilles caduques qui sont aussi bien adaptĂ©es au climat borĂ©al tel que le peuplier faux-tremble[22]. Ce type de forĂŞt est très important pour une grande partie des oiseaux migrateurs de l’AmĂ©rique du Nord. 

Projet de recherche et de conservation

Quelques projets de recherche ont lieu prĂ©sentement dans le parc et s’attardent principalement aux nombreux lacs prĂ©sents dans le parc[23]. Le premier est celui de la restauration de tributaires et d’émissaires des lacs pour amĂ©liorer la qualitĂ© des frayères qui est rĂ©alisĂ© en partenariat avec la Fondation de la faune du QuĂ©bec. Le deuxième est celui de la caractĂ©risation de l’émergence des insectes sur les lacs. Le troisième est celui de la restauration des bancs d’emprunt abandonnĂ©s depuis 2007, menĂ© par l’équipe de Line Rochefort de la FacultĂ© des sciences de l’agriculture et de l’alimentation de l’UniversitĂ© Laval. Le but du projet est d’accĂ©lĂ©rer la restauration vĂ©gĂ©tale des bancs d’emprunt du parc crĂ©Ă© par l’extraction de sable et gravier qui sont abandonnĂ©s depuis 40 ans. Le parc fait d’ailleurs l’objet d’un projet de modification de la limite du parc[24] afin d’agrandir ce dernier et d’incorporer un secteur intĂ©ressant pour la conservation de cinq nouveaux sommets, de six lacs et de l’habitat du caribou des bois[5]. L’équipe du parc mène aussi un projet de suivi de la nidification du plongeon huard depuis 2007 et invite les visiteurs Ă  partager leurs observations de l’oiseau via des fiches d’observations.

L’un des buts principaux du parc national est la conservation des milieux naturels de la région de Charlevoix et des espèces qui y habitent. La protection des milieux aquatiques et des sommets sont des enjeux d’importance pour le parc national des Grands-Jardins. Un suivi rigoureux des quotas de pêche, l’identification des frayères et la caractérisation des nombreux plans d’eau permettent au parc de réduire au minimum la pression sur l’écosystème aquatique et favoriser un milieu favorable pour les populations d’omble chevalier et d’omble fontaine qui en dépendent. Des sentiers balisés et une sensibilisation des randonneurs permettent de réduire l’impact anthropique sur les écosystèmes fragiles des sommets de montagne.

Notes et références

  1. « Réponse demande accès 0101-270 », sur Sépaq, (consulté le )
  2. « Portrait du parc », sur sepaq.com (consulté le )
  3. SÉPAQ. 2016. Guide du visiteur. Parc national des Grands-Jardins. 16 p.
  4. « Portrait du parc », sur sepaq.com (consulté le )
  5. « Parc national des Grands Jardins -Ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs », sur mffp.gouv.qc.ca (consulté le )
  6. « Parc national des Grands-Jardins », sur Ministère des Forêts, de la faune et des Parcs (consulté le ).
  7. « Portrait - Parc national des Grands-Jardins - Programme de suivi de l'intégrité écologique - Parcs Québec - Sépaq », sur www.sepaq.com (consulté le )
  8. « Portrait du parc - Parc national des Grands-Jardins - Parcs Québec - Sépaq », sur www.sepaq.com (consulté le )
  9. Lepage, M., « La faune vertébrée menacée ou vulnérable en forêt boréale », Le naturaliste canadien,‎ automne 2001, volume 125, numéro 3, p. 131-137
  10. « Liste des espèces - mammifères », sur sepaq.com (consulté le )
  11. « Faune et flore du pays - Le lièvre d'Amérique », sur www.hww.ca (consulté le )
  12. Courtois, R., Ouellet, J.P., Gingras, A., Dussault, C., Banville D., « La situation de caribou forestier au Québec », Le naturaliste canadien,‎ automne 2001 volume 125 num.ro 3, p. 53-63
  13. « Faune et flore du pays - Le lynx du Canada », sur www.hww.ca (consulté le )
  14. DESROSIERS, N., R. MORIN et J. JUTRAS. 2002. Atlas des micromammifères du Québec. Société de la faune et des parcs du Québec. Direction du développement de la faune. Québec. 92 p
  15. « MFFP - Espèces fauniques menacées ou vulnérables au Québec - Campagnol-lemming de Cooper », sur www3.mffp.gouv.qc.ca (consulté le )
  16. « Liste des espèces - oiseaux », sur sepaq.com (consulté le )
  17. (en) Chisholm S.E. et Leonard M.L., « Effet of forest management on rare habitat specialist, the Bicknell's Thrush (Catharus bicknelli) », NRC Canada,‎ , p. 217-223
  18. Lepage, M., « La faune vertébrée menacée ou vulnérable en forêt boréale », Le naturaliste canadien,‎ automne 2001, volume 125, numéro 3
  19. « Liste des espèces - amphibiens et reptiles », sur sepaq.com (consulté le )
  20. Courtois, R., Ouellet, J.P., Gingras, A., Dussault C. et Banville D., « La situation du caribou forestier au Québec », Le naturaliste canadien,‎ automne 2001 volume 125 numéro 3, p. 53-63
  21. « Faune et flore du pays - La forêt boréale canadienne », sur www.hww.ca (consulté le )
  22. P. Blancher, S. Bradbury, T. Cobb, C. Fisher, K.C. Hannah, B. Johns, J. Lane, D. MacIsaac, C. Paszkowski, G. Scrimgeour et S.J. Song. 2006. La forêt boréale canadienne. Forest Products Association of Canada. 10 p.
  23. Parc Québec. Sans Date. La recherche scientifique dans les parcs nationaux québécois. 27 p.
  24. Ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, Direction des parcs nationaux. Sans date. Document d'information, Projet de modification de la limite du parc national des Grands-Jardins. [pdf] 28 p.

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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