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Monchhichi (Kiki)

Kiki ou Monchhichi est une peluche de plusieurs tailles reprĂ©sentant une petite fĂ©e Ă  l’apparence d’un singe avec une tĂȘte ronde et dure, une tĂ©tine Ă  la main, et qui connut un succĂšs international dans les annĂ©es 1980. Aujourd'hui, reprenant son nom original de Monchhichi[1], elle est commercialisĂ©e dans de nombreux pays (particuliĂšrement en Asie et en Europe). Monchhichi est aussi le hĂ©ros d'une sĂ©rie animĂ©e nommĂ©e La Tribu Monchhichi rĂ©alisĂ©e par Technicolor Animation Productions et diffusĂ©e sur TF1.

Kiki
Un Kiki aux yeux bleus, fabriqué en France à Luché-Pringé (72) par Ajena dans les années 1980, et exposé au Musée du jouet de Moirans-en-Montagne (39).
Un Kiki aux yeux bleus, fabriqué en France à Luché-Pringé (72) par Ajena dans les années 1980, et exposé au Musée du jouet de Moirans-en-Montagne (39).

Nom original Monchhichi
Naissance
Origine Drapeau du Japon Japon
Sexe fille ou garçon
EspĂšce Singe en peluche avec le visage, les mains et les pieds en plastique
Cheveux ChĂątains, bruns, blonds...
Yeux bleus ou marrons
Caractéristique Peut mettre sa tétine dans sa bouche
Peut ĂȘtre habillĂ©
Toujours super cool

Créé par Yoshiaru Washino
SĂ©ries La Tribu Monchhichi
PremiĂšre apparition 1974 au Japon
1978 en France
Éditeurs Kƍichi Sekiguchi (閱揣 æ™ƒćž‚, Sekiguchi Kƍichi)

Histoire

Monchhichi (ヹンチッチ, Monchicchi, prononcĂ© « Montchit'tchi ») est d'origine japonaise. Il a Ă©tĂ© crĂ©Ă© par Yoshiaru Washino, designer en freelance qui a conçu ce petit singe pour Kƍichi Sekiguchi (閱揣 æ™ƒćž‚, Sekiguchi Kƍichi) le Ă  Tokyo pour son entreprise, la sociĂ©tĂ© Sekiguchi, grand fabricant de poupĂ©es dans son pays. Kƍichi Sekiguchi aurait souhaitĂ© que cette peluche inculque le respect et l'amour aux jeunes enfants.

Fort de sa popularitĂ© grandissante, l'internationalisation dĂ©buta dĂšs 1975 en coproduction avec Mattel, en Allemagne et en Autriche. C'est trois ans plus tard, en 1978, que la peluche est commercialisĂ©e en France ainsi qu'aux États-Unis d'AmĂ©rique, oĂč elle connaĂźt un succĂšs important. Rapidement, c'est dans toute l'Europe qu'elle sera distribuĂ©e. Monchhichi garde son nom dans le monde entier, Ă  l'exception de la France oĂč il sera nommĂ© Kiki, au Danemark sous le nom de BĂžlle, en Italie sous le doux nom de Moncicci, mais aussi du Royaume-Uni oĂč on les renomma Chicaboo.

Les Kiki sont distribués en France sous la marque Ajena (du groupe Nounours), l'une des plus grandes sociétés productrices de peluches en France. Ajena fabrique ce petit singe avec les normes française dans son usine de Luché-Pringé dans la Sarthe, de la fin des années 1970 jusqu'aux années 1990.

Pour lui donner un nom français et le diffĂ©rencier de ses congĂ©nĂšres d’autres pays, la sociĂ©tĂ© Ajena acquiert la marque Kiki en 1978. À l'origine, la marque Kiki avait Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e Ă  l’INPI le par Claude Ehrlich, Ă©galement propriĂ©taire de la marque Alfa Paris. Celui-ci renouvelle la marque Kiki le auprĂšs de l’INPI et la transmet Ă  la sociĂ©tĂ© Ajena qui l’exploite alors pour le petit singe d'origine japonaise[2].

Les premiers Kiki avaient les yeux bleus, des taches de rousseur, le nez noir ou marron foncĂ© et avaient dans la main droite une tĂ©tine ou sucette. Ils mesuraient 19 cm, 18 ou 20 pour certains catalogues, et Ă©taient vendus un peu moins de 30 francs, soit environ 13 € au . L’étiquette en tissus blanc cousue au bas de leur dos, juste au-dessus de leur queue, ne faisait pas mention de Sekiguchi. Elle Ă©tait ainsi rĂ©digĂ©e : KikiÂź Made in France au recto et Normes françaises de sĂ©curitĂ© garanties par Ajena au verso. Leurs visages Ă©taient peints Ă  la main et de petites diffĂ©rences pouvaient apparaĂźtre dans le tracĂ© des yeux, des tĂąches de rousseur ou celui des pommettes, crĂ©ant de ce fait une « personnalitĂ© » propre Ă  chaque Kiki. Parmi les maquilleuses des Kikis figuraient des dĂ©tenues du Centre pĂ©nitentiaire pour femmes de Rennes[2] - [3]

Au catalogue de NoĂ«l 1980 d'EuromarchĂ©, le Kiki est prĂ©sentĂ© comme « un drĂŽle d’ami tout petit – 19 cm – peluche, tĂȘte, pieds et mains en vinyle – Ajena ». TrĂšs vite une douzaine de tenues, vendues sĂ©parĂ©ment dans des petites boĂźtes en carton blanc, sont proposĂ©es en magasin ainsi que du mobilier, une tente et un sac de couchage composant le petit monde de Kiki. Le catalogue 1980-1981 d’Ajena propose quant Ă  lui, en plus du Kiki classique de 19 cm, un drĂŽle d’ami tout petit, un grand Kiki de 45 cm, un drĂŽle d’ami qui a grandi. Ce grand Kiki porte un bandana rouge autour du cou et suce le pouce de sa main droite (main qui a le pouce et l'auriculaire relevĂ©s, formant ainsi un shaka fort Ă  propos pour une peluche aussi cool). Une garde robe a Ă©tĂ© spĂ©cialement conçue pour lui. Kiki est alors vendu dans une boĂźte carton blanc illustrĂ© de dessins avec fenĂȘtre fermĂ©e d'une fine feuille de plastique transparent. Dans ce catalogue on trouve Ă©galement des Kikikit, des petits outils de bricolage prĂ©sentĂ©s comme nouveautĂ©s[2].

En 1981, la gamme continue de se dĂ©velopper. Les prix augmentent sensiblement et sont trĂšs variables d’une enseigne Ă  l’autre. On peut alors acheter Kiki dans des coffrets divers. Par exemple, dans le coffret Kiki star vendu de 125 Ă  140 francs (soit de 48 Ă  54 € au 27 mars 2019) on trouve un Kiki, une tenue de star, des accessoires et le disque de la chanson de Kiki. Cette annĂ©e-lĂ , un Petit Kiki arrive sur le marchĂ© : il mesure 14 cm et est vendu 43,50 Francs (soit 17 €) alors que son frĂšre de 19 cm est vendu 54,50 Francs (21 €) et celui de 45 cm 195 Francs (75 €). À partir de 1982, Petit Kiki a aussi son petit monde. La famille Kiki s’agrandit Ă  nouveau au catalogue 1981-1982 d’Ajena avec Kiki gĂ©ant qui mesure 75 cm (80 cm pour d’autres catalogues). Une tirelire et une lampe de chevet complĂštent la collection[2].

Pour NoĂ«l 1981, Kiki junior, qui indique sur sa boĂźte en carton ĂȘtre un “vrai Kiki”, rejoint la famille. Il mesure 28 cm. Comme son frĂšre de 45 cm, il suce le pouce de sa main droite.

En 1983, la marque Coqueval propose des dĂźnettes en plastique Ă  l’effigie du dĂ©sormais cĂ©lĂšbre petit singe. À NoĂ«l 1983, la famille s’agrandit encore. Kiki a retrouvĂ© son papi et sa mamie qui ont un pelage de couleur marron clair lĂ©gĂšrement blanchi comme il se doit. Ils ont les yeux plissĂ©s, ce qui fait qu'on ne voit plus la couleur de leurs iris. Papi arbore une moustache fournie assortie au pelage (ainsi qu'une pipe dans sa main droite que l'on peut coincer dans sa bouche Ă  l'instar de la tĂ©tine ou du pouce pour les kikis plus jeunes), tandis que mamie a le crĂąne surmontĂ© d'un chignon Ă©galement assorti. Les deux sont alors vendus habillĂ©s en boĂźtes carton Ă  fenĂȘtre, sĂ©parĂ©ment 125 Franc piĂšce, soit 39 €[2].

En 1984 la gamme s’étoffe encore avec la sĂ©rie des cousins de Kiki, de drĂŽles de petits animaux en peluche au visage en vinyle, des jeux de sociĂ©tĂ© de toutes sortes, des livres, des sweats et t-shirts en taille enfant. La garde-robe des Kikis est elle aussi plus complĂšte[2].

À partir de 1985, Kiki se fait plus discret. On le rencontre moins souvent dans les catalogues de jouets[2].

En 1986, il est accompagné d'un nouveau slogan, le Kiki de tous les Kiki, et de nouveaux congénÚres au pelage aux tons pastel ou vifs, les Kiki Colori[2].

Le , Ajena renouvelle auprĂšs de l’INPI la marque Kiki. Quelques mois plus tard, en janvier 1989, la sociĂ©tĂ© bretonne Nounours rachĂšte la sociĂ©tĂ© Ajena. En 1998, la marque Kiki est renouvelĂ©e auprĂšs de l’INPI[2].

Une nouvelle sĂ©rie de Kiki est lancĂ©e Ă  la fin des annĂ©es 1980. C'est alors que leurs yeux prennent la couleur marron que les Monchhichis arborent encore aujourd'hui. Kiki est dĂ©sormais fabriquĂ© en Chine. Les Ă©tiquettes cousues au dos des petits singes indiquent Ajena Made in China au recto, et CE AJena F LuchĂ© PringĂ© – lavable 30 ° – Washable 30° ©1974 Sekiguchi – Kiki Âź au verso. Cette sĂ©rie aux yeux marron fut commercialisĂ©e durant toutes les annĂ©es 1990 et 2000, jusqu'en 2010.

Au vu du succĂšs de la peluche, de trĂšs nombreuses variĂ©tĂ©s furent commercialisĂ©s, comme les Kiki Colori, les Kiki Papy et Mamie, Les Petit Kiki articulĂ©s... Il y eut aussi la sĂ©rie Les cousins de Kiki, d'autres races d'animaux, comme l'ours, le lapin ou le mouton, conçus sur le mĂȘme principe que les Kiki.

En 2004, sortent les Bebichhichi, les bébés, qui viennent compléter la gamme proposée par Sekiguchi. Ils mesurent 13 cm, et ont une tétine autour du cou.

Jusqu’à son rachat par le Groupe CĂ©sar en 2005, la sociĂ©tĂ© bretonne Nounours continue de produire Kiki[2].

Les peluches Kiki ne sont alors plus distribuées. Cependant, depuis 2013, Bandai commercialise les peluches Monchhichi[4].

SuccĂšs

Fait Ă  la fois de matiĂšres plastiques pour le visage et de fourrure synthĂ©tique pour le reste du corps, le succĂšs du petit singe repose notamment sur le fait qu'il peut ĂȘtre habillĂ©. Plusieurs versions sortiront, avec diffĂ©rents accessoires et costumes. Un Ă©lĂ©ment relevable est la possibilitĂ© de lui mettre sa tĂ©tine dans la bouche tel un enfant.

En 1980, il est le protagoniste de la sĂ©rie d'animĂ© Futago no Monchhichi (ă”ăŸć­ăźăƒąăƒłăƒăƒƒăƒ, lit. « Les Jumeaux Monchhichis »), diffusĂ©e en France Ă  partir d' sur Canal+, dans l'Ă©mission Cabou Cadin[5], et au QuĂ©bec Ă  partir du sur le rĂ©seau TVA. En 2003 sortent en France trois DVD de 13 Ă©pisodes chacun intitulĂ©s Kiki, le Kiki de tous les Kiki.

En 1981, sortent « la chanson de Kiki », avec des paroles d'Yves Dessca, et « Kiki le campeur », sur des paroles d'Hervé Chadenat, les deux chansons ayant une musique composée par Jean-Pierre Bourtayre. Plusieurs disques vinyles ont été commercialisés[6].

En 2001 est diffusée la série intitulée "Kiki, le Kiki de tous les Kiki".

En [7], la série d'animation "La tribu Monchhichi" fait son apparition sur Tfou[8].

Avec pas moins de 1200 modÚles différents commercialisés depuis sa création, le jouet est aussi devenu un objet de collection.

Aujourd'hui encore, des communautés de collectionneurs font vivre la peluche Kiki et les collections anciennes de produits dérivés, à travers des blogs[9], des communautés Facebook[10] et une boutique en ligne[11].

Livres

  • Kiki pirate et ses Amis. Paris : G.P. Rouge et or, 1982. (Livre tout-carton)
  • Le Grand Album de Kiki. Paris : G.P. Rouge et or, 02/1984. (Livre-jeux)
Série Kiki numérotée
  1. Kiki et la papillon magique / texte de Hervé Chadenat et Lucy Pardo ; ill. de Nick Craig. Paris : G.P., 1982, 26 p. (ISBN 2-261-01097-4)
  2. Kiki et l'univers des Kiki verts / texte de Hervé Chadenat et Lucy Pardo ; ill. de Nick Craig. Paris : G.P., 1982, 26 p. (ISBN 2-261-01098-2)
  3. Kiki et l'Île fantĂŽme / texte de HervĂ© Chadenat et Lucy Pardo ; ill. de Nick Craig. Paris : G.P., 1983, 26 p. (ISBN 2-261-01159-8)
  4. Kiki pompier et Victor le volcan / texte de Hervé Chadenat et Lucy Pardo ; ill. de Nick Craig. Paris : G.P., 1982, 26 p. (ISBN 2-261-01167-9)
  5. Kiki et le secret des Indiens / texte de Hervé Chadenat et Lucy Pardo ; ill. de Nick Craig. Paris : G.P., 1983, 26 p. (ISBN 2-261-01253-5)
  6. Kiki et l'ordinateur en vacances / texte de Hervé Chadenat et Lucy Pardo ; ill. de Nick Craig. Paris : G.P., 1983, 26 p. (ISBN 2-261-01254-3)
  7. Super kiki / texte de Hervé Chadenat et Lucy Pardo ; ill. de Nick Craig. Paris : G.P., 1983, 26 p. (ISBN 2-261-01327-3) édité erroné (BNF 34744524)
  8. Kiki et les internationaux des animaux / texte de Hervé Chadenat et Lucy Pardo ; ill. de Nick Craig. Paris : G.P., 1983, 26 p. (ISBN 2-261-01328-0)
Série Bébé pélican
  1. Kiki et le papillon jaune / texte de Hervé Chadenat et Lucy Pardo ; ill. de Nick Craig. Paris : GP, 1985, 16 p. (ISBN 2-261-01490-2)
  2. Kiki et les kikis verts / texte de Hervé Chadenat et Lucy Pardo ; ill. de Nick Craig. Paris : GP, 1985, 16 p. (ISBN 2-261-01491-0)
SĂ©rie La Tribu Monchhichi (PKJ)
  1. La chasse au trésor. Paris : Pocket jeunesse, n° 3130, 03/2018, 44 p. (ISBN 978-2-266-28576-6)
  2. DrÎle de farces. Paris : Pocket jeunesse, n° 3131, 03/2018, 44 p. (ISBN 978-2-266-28577-3)
  3. Gare aux lézards. Paris : Pocket jeunesse, n° 3132, 03/2018, 44 p. (ISBN 978-2-266-28578-0)
  4. Il faut sauver Bella ! / adaptation Pascaline Fernandez. Paris : Pocket jeunesse, n° 3133, 05/2018, 44 p. (ISBN 978-2-266-28684-8)
  5. Trop bonne, la galette ! / adaptation Pascaline Fernandez. Paris : Pocket jeunesse, n° 3134, 05/2018, 44 p. (ISBN 978-2-266-28685-5)
  6. Le grand malheur de Pollinia / adaptation Pascaline Fernandez. Paris : Pocket jeunesse n° 3135, 08/2018, 44 p. (ISBN 978-2-266-28804-0)
  7. Monchhinelle d'amour / adaptation Pascaline Fernandez. Paris : Pocket jeunesse n° 3136, 10/2018, 44 p. (ISBN 978-2-266-28805-7)
SĂ©rie La Tribu Monchhichi (Livres du Dragon d'or)
  • La fĂȘte de l'amitiĂ© / adaptation Nathalie Lescaille MoulĂšnes. Paris : Livres du Dragon d'or, 03/2018, 28 p. (ISBN 978-2-8212-0906-0)
  • Les trois font la paire / adaptation Nathalie Lescaille MoulĂšnes. Paris : Livres du Dragon d'or, 03/2018, 28 p. (ISBN 978-2-8212-0907-7)
  • L'exploit de Saule / adaptation Nathalie Lescaille MoulĂšnes. Paris : Livres du Dragon d'or, 05/2018, 32 p. (ISBN 978-2-8212-0950-3)
  • Jamais sans Artus / adaptation Nathalie Lescaille MoulĂšnes. Paris : Livres du Dragon d'or, 05/2018, 28 p. (ISBN 978-2-8212-0933-6)
  • Un spectacle magique / adaptation Nathalie Lescaille MoulĂšnes. Paris : Livres du Dragon d'or, 08/2018, 30 p. (ISBN 978-2-8212-0977-0)
  • Le grand concert / adaptation Nathalie Lescaille MoulĂšnes. Paris : Livres du Dragon d'or, 08/2018, 32 p. (ISBN 978-2-8212-0976-3)
  • Un amour de monchhinelle / adaptation Nathalie Lescaille MoulĂšnes. Paris : Livres du Dragon d'or, 08/2018, 28 p. (ISBN 978-2-8212-0975-6)
Activités
  • Monchhichi : mon livre d'activitĂ©s. Paris : Livres du Dragon d'or, 03/2018, 22 p. (ISBN 978-2-8212-0908-4)
  • Monchhichi : mes coloriages. Paris : Livres du Dragon d'or, 03/2018, 48 p. (ISBN 978-2-8212-0909-1). RĂ©Ă©d. Livres du Dragon d'or, 02/2019, 48 p. (ISBN 978-2-8212-1019-6)
  • Monchhichi : mon livre de stickers. Paris : Livres du Dragon d'or, 05/2018, 48 p. (ISBN 978-2-8212-0951-0)
  • Monchhichi : coloriages velours / ill. Alexandre Debrot. Paris : Livres du Dragon d'or, 09/2018, 8 p. (ISBN 978-2-8212-0978-7)
  • Monchhichi : cartes Ă  gratter / ill. Alexandre Debrot. Paris : Livres du Dragon d'or, 09/2018, 10 p. (ISBN 978-2-8212-0979-4)
  • Monchhichi : mes coloriages : Hanae. Paris : Livres du Dragon d'or, 02/2019, 48 p. (ISBN 978-2-8212-1018-9)

Inspiration

Le nom Monchhichi a Ă©tĂ© inspirĂ© du français « Mon petit », prononcĂ© en japonais « Mon puchi » (私ぼプチ), et du japonais chicchai (チッチャ, « petit » version enfantine) et chĆ«chĆ« (ăƒăƒ„ăƒŒăƒăƒ„ăƒŒ, le bruit d'une tĂ©tine), mais aussi de l'anglais « monkey » (« singe » en français).

Le rappeur amĂ©ricain Pharoahe Monch a choisi son nom de scĂšne selon son surnom du lycĂ©e, oĂč Ă  la suite d'une coupe de cheveux ratĂ©e il avait Ă©tĂ© surnommĂ© « Monchhichi » puis « Monch ».

Notes

  1. « La peluche "Kiki" change de nom pour "Monchhichi" », sur Figaro Live, (consulté le )
  2. « La véritable histoire de Kiki le vrai », sur macollectiondepoupees.fr (consulté le )
  3. Ouest France du 13 mars 1984
  4. « Monchhichi, l'authentique Kiki de 3 à 77 ans ! - Bandai.fr », sur www.bandai.fr (consulté le )
  5. « Les Monchhichis - L'Encyclopédie des dessins animés », sur Toutelatele.com (consulté le )
  6. « Les chansons de Kiki », sur Kikishop (consulté le )
  7. « Les Monchhichi sont de retour », tfou,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  8. « Monchhichi: TF1 coproduira une sĂ©rie animĂ©e dĂ©diĂ©e au petit singe », LExpress.fr,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  9. (en) « Kiki Planet », sur kikiplanet.blogspot.com (consulté le )
  10. « Groupes Facebook », sur www.facebook.com (consulté le )
  11. « Le Kiki de tous les Kiki », sur Kikishop (consulté le )

Kiki Planet - ‘Monchhichi n’est pas un singe !?!’ https://kikiplanet.blogspot.com/2020/11/monchhichi-nest-pas-un-singe.html?m=1

Liens externes

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