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Marcel Gromaire

Marcel Gromaire (né le à Noyelles-sur-Sambre et mort le à Paris) est un peintre, graveur, décorateur, illustrateur et cartonnier français.

Marcel Gromaire
Tadé Makowski, Portrait de Marcel Gromaire et sa famille (vers 1925), musée national de Varsovie.
Naissance
Décès
Nom de naissance
Marcel Georges Crincrin Gromaire
Nationalité
Activités
Autres activités
Formation
Maître
Représenté par
Lieu de travail
Mouvement
Mécène
Maurice Girardin, Georges ZĂ©rapha
Distinction
Prix national des arts[3]
Ĺ’uvres principales
Compléments

Biographie

Né à Noyelle-sur-Sambre dans le département du Nord (près de Maroilles), de père français et de mère flamande, Marcel Gromaire commence sa scolarité à Douai, puis à Paris, où son père enseigne au lycée Buffon, passe son baccalauréat en droit, abandonne vite la carrière juridique et commence en 1910 à fréquenter quelques ateliers de Montparnasse. Il effectue son service militaire à Lille et, mobilisé pendant la Première Guerre mondiale, passera six ans à l'armée. Il est blessé au testicule gauche en 1916 dans la Somme.

De retour à Paris, il installe son atelier au 20, rue Delambre et il assure la critique cinématographique du Crapouillot. Il rencontre Maurice Girardin[5] qui, pendant dix années, lui achètera par contrat l’ensemble de sa production. Il s’installe en 1925 au no 3 Villa Seurat dans le XIVe arrondissement de Paris et poursuit la rédaction de ses notes personnelles qu’il tiendra jusqu’à la fin de sa vie (Peinture 1921-1939 publiées en 1980 chez Denoël). Au no 4 demeure Jean Lurçat, lieu qui sera le laboratoire architectural des « Montparnos » entre les deux guerres. Il expose La Guerre au Salon des indépendants de 1925. Il est professeur à l'ouverture de l'atelier B de l'Académie scandinave.

En 1933 se tient la rétrospective à la Kunsthalle Basel qui est une consécration. Il reçoit des commandes de l’État en 1937 pour l'exposition internationale de Paris.

Pendant la guerre, de 1939 à 1944, il réside à Aubusson dans la Creuse. Il participe au mouvement du renouveau de la tapisserie aux côtés de Jean Lurçat.

En 1947, il fait sa première exposition chez Louis Carré. Il est nommé en 1950 professeur à l’École nationale supérieure des arts décoratifs qu’il quittera en 1962.

En 1950, il se rend aux États-Unis en tant que membre du jury du prix Carnegie qui sera, cette année-là, décerné à Jacques Villon. Ce même prix lui sera attribué en 1952.

En 1954 Marcel Gromaire installe son atelier au n°47 de la rue Sarrette, à quelques pas de la Villa Seurat. Il y vit et travaille jusqu'à sa mort en 1971.

Comme Rouault ou Dufy, Marcel Gromaire travaille à l’écart des groupes et des courants. Ami d'Henri Matisse et de Fernand Léger dans sa jeunesse, il n’est cependant « l’élève de personne ». Il a créé son propre style, qu’on ne peut confondre avec aucun autre. Un style qui allie un puissant souffle lyrique avec le goût d’une construction géométrisante.

Il invente un réalisme qui s’affranchit des règles et reflète un peu l’inspiration des primitifs romans ou gothiques. « Il construit ses nus comme des cathédrales et traite les gratte-ciels comme des théorèmes » a-t-on écrit. Il est reconnu très tôt par les galeries et les musées : Pierre Matisse l’expose à l’inauguration de sa galerie new-yorkaise en 1931. De 1947 à 1956, il expose à la Galerie Louis Carré à Paris. En 1963 une rétrospective lui est consacré au musée national d’art moderne puis en 1980, au musée d’art moderne de la Ville de Paris. Le docteur Girardin, qui lui achète régulièrement des toiles, lègue sa collection, une centaine d’œuvres, au musée d’art moderne de la Ville de Paris. Gromaire a peint un peu plus de sept cents toiles, avec une moyenne de dix par an.

DĂ©coration

Distinctions

  • 1956 : prix Guggenheim national
  • 1958 : grand prix national des arts

Hommages

Des communes françaises ont donné son nom à une de leurs voies :

Citation

  • Jacques Villon : « Gromaire : un chĂŞne qui semble, dès le dĂ©but, avoir su qu'il Ă©tait un chĂŞne. »

Ĺ’uvres

Huile sur toile

Marcel Gromaire a peint environ sept cents toiles. Soixante dix huit, provenant de la collection du docteur Girardin, ainsi qu’un ensemble important de dessins et aquarelles, sont aujourd'hui conservées au musée d'art moderne de la ville de Paris. L'ensemble des huiles de Marcel Gromaire est reproduit dans le Catalogue raisonné des peintures Marcel Gromaire, La vie et l'œuvre de François Gromaire et Françoise Chibret-Plaussu, édité à La Bibliothèque des Arts, Paris, 1993.

Aquarelle

Les aquarelles de Gromaire, relativement peu nombreuses (produites, comme les huiles, au rythme d'environ une dizaine par an), sont aussi construites, lyriques et « murales » (selon l'expression qu'affectionnait l'artiste) que les huiles sur toiles. Sur le support toujours visible d'un dessin à l'encre de Chine, Gromaire pose la couleur avec une technique très personnelle, jouant des transparences, des rythmes, des superpositions, de façon à faire vibrer intensément les tons.

Dessin

Gromaire a laissé une centaine de carnets de toutes tailles où se côtoient de simples croquis au trait et des dessins plus poussés, dont quelques-uns deviennent autant de petits tableaux en noir et blanc.

L'œuvre gravé

L'ensemble de l'œuvre gravé est reproduit dans les tomes I et II de L'œuvre gravé de Marcel Gromaire de François Gromaire, La Bibliothèque des arts, Lausanne-Paris, 1976. François Gromaire, fils du peintre, a cédé en 1976 à la ville de Gravelines (collection municipale du dessin et de l’estampe originale) une collection complète d’eaux-fortes de son père, soit quelque cent cinquante planches gravées entre 1922 et 1962. Gromaire commença par le bois. Conseillé par Jean Émile Laboureur, il grava ainsi, entre 1918 et 1925, une trentaine de bois de formats variés. La primeur sera donnée cependant à l'eau-forte, à laquelle il accorda bientôt sa préférence (il n'a édité, à très peu d'exemplaires, qu'une seule pointe-sèche). Cette technique lui permettait, mieux que le bois, de parfaire son travail, de le reprendre après morsure ou d'un état à l'autre, de parvenir à cette finition que l'on retrouve dans ses dessins à l'encre de chine. Mises à part quelques planches tirées par son ami Pierre Dubreuil sur sa presse personnelle, la plupart des eaux-fortes de Gromaire ont été imprimées par Paul Haasen et son fils Raymond. Sur quelque deux cent vingt planches gravées sur métal, cent cinquante ont été réalisées entre les deux guerres.

Ouvrage illustré

  • L’Homme Troupe Suite de 10 bois dessinĂ©s et gravĂ©s par Marcel Gromaire. Tirage 25 Japon, 300 vĂ©lin d’Arches, 26 exemplaires de chapelle. Ă€ la belle Édition, Paris 1918.
  • Ruptures par NoĂ«l Bureau. Gravures sur bois de Marcel Gromaire. Tirage 5 Hollande, 20 Hollande, 100 vergĂ© alfa, 600 vĂ©lin bouffant. Éditions Rythme et Synthèse, Paris 1925.
  • Portrait de la France par RenĂ© Jouglet, Lille. Frontispice de Gromaire. Tirage 50 Japon, 100 Hollande, 1500 vĂ©lin Lafuma. Éditions Emile-Paul Frères, Paris 1926.
  • Vers un monde volage par Henri Hertz. IllustrĂ© de 10 eaux-fortes originales hors-texte par Marcel Gromaire. Tirage un exemplaire avec les dessins, 25 Japon, 225 vĂ©lin d’Arches, 20 hors-commerce. Éditions Marcel Seheur, Paris 1926.
  • Petits poèmes en prose par Charles Baudelaire. Avec 10 eaux-fortes gravĂ©es par Marcel Gromaire. Tirage 35 Hollande, 300 vĂ©lin d’Arches, 25 hors-commerce. Éditions des Quatre-Chemins, Paris 1926.* MarchĂ© aux puces par NoĂ«l Bureau. Poèmes en prose accompagnĂ©s de 6 eaux-fortes originales de Gromaire, Goerg, Makowski, Dubreuil, Ralli, Per Krohg. Tirage 200 vĂ©lin d’Arches. Éditions Marcel Seheur, Paris 1930.
  • Memento des vivants par Pierre Emmanuel. Eau-forte de Gromaire. Tirage 17 vĂ©lin d’Arches, 200 vĂ©lin de Lana. Éditions du Seuil, Paris 1944.
  • Macbeth Shakespeare. IllustrĂ© de 20 eaux-fortes originales par Marcel Gromaire. Tirage Ă  180 exemplaires dont 60 de tĂŞte avec une suite supplĂ©mentaire sur Montval. TĂ©riade, Paris 1958.
  • Le nouveau spectateur Marcel Gromaire a collaborĂ© de 1919 Ă  1921 Ă  l’illustration de cette revue.

Tapisserie

Paris, Mobilier national
  • La Terre, 1938, 360 x 505 cm, tissĂ© par l'Atelier de la Manufacture des Gobelins
  • Le Printemps (Paris), 1939, 303 x 438 cm, tissĂ© par l'Atelier Robert Four, Aubusson
  • L’ÉtĂ© (La Bretagne), 1940, 310 x 440 cm, tissĂ© par l'Atelier Pinton, Aubusson-Felletin
  • L’Automne (La Flandre), 1940, 310 x 440 cm, tissĂ© par l'Atelier Suzanne Goubely, Aubusson
  • Aubusson, 1940, 260 x 280 cm, tissĂ© par l'Atelier Suzanne Goubely, Aubusson
  • L’Hiver (La Grande Montagne), 1940, 296 x 430 cm, tissĂ© par l'Atelier Pinton, Aubusson-Felletin
  • Les Oiseaux de Proie, 1941, 180 x 200 cm, tissĂ© par l'Atelier Suzanne Goubely, Aubusson
  • Paysage Ă  la Huppe, 1941, 180 x 200 cm, tissĂ© par l'Atelier Suzanne Goubely, Aubusson
  • La Mare aux Oiseaux, 1941, 180 x 200 cm, tissĂ© par l'Atelier Suzanne Goubely, Aubusson
  • Les BĂ»cherons de Mormal, 1941, 260 x 300 cm, tissĂ© par l'Atelier Suzanne Goubely, Aubusson
  • L’Eau, 1942, 353 x 491 cm, tissĂ© par l'Atelier de la Manufacture des Gobelins

Panneau décoratif

Ĺ’uvres dans les collections publiques

Expositions personnelles

  • 1921, Paris, galerie La Licorne, exposition de peintures, aquarelles, dessins de Marcel Gromaire, au .
  • 1923, Amsterdam, galerie J-F. Van Deene, expositions de tableaux et dessins de Marcel Gromaire, 4 au .
  • 1923, Paris, galerie La Licorne, exposition de peintures de Gromaire, au .
  • 1925, Paris, galerie Pierre, peintures, aquarelles et dessins par Gromaire, 8 au .
  • 1926, Paris, galerie Barbazanges, Marcel Gromaire, peintures (1919-1926), 15 au .
  • 1929 Paris, galerie Bernheim-Jeune, Gromaire : quarante peintures (1926-1929), 11 au .
  • 1930, New York, galerie Valentine Dudensing.
  • 1933, Bâle, Kunsthalle de Bâle, Marcel Gromaire, au .
  • 1934, Paris, galerie Pierre, Ĺ’uvres rĂ©centes de Marcel Gromaire, 3 au .
  • 1936, Paris, galerie de l’ÉlysĂ©e, Gromaire, paysages rĂ©cents, 15 au .
  • 1947, Paris, galerie Louis CarrĂ©, Gromaire, peintures, au .
  • 1949, New York, Louis CarrĂ© Gallery, Gromaire Exhibition of Paintings, 5 au .
  • 1951, Paris, galerie Louis CarrĂ©, New York vu par Gromaire, au .
  • 1954, Tourcoing, musĂ©e municipal, Marcel Gromaire, peintures, aquarelles et tapisseries, mai.
  • 1954, Paris, galerie Louis CarrĂ©, Gromaire, peintures rĂ©centes, au .
  • 1956, Paris, galerie Louis CarrĂ©, Gromaire, Paris, au .
  • 1956, Besançon, musĂ©e des beaux-arts, Gromaire, au .
  • 1957 Paris, Maison de la pensĂ©e française, Gromaire, soixante-dix peintures, (1923-1957), Ă©tĂ©.
  • 1960, Saint-Denis, musĂ©e municipal d’histoire et d’art, Marcel Gromaire, au .
  • 1962, Charleroi, Palais des beaux-arts, Marcel Gromaire, au .
  • 1963 Genève, galerie Leandro, Marcel Gromaire, au .
  • 1963, Paris, musĂ©e national d’art moderne, Marcel Gromaire, au .
  • 1965, Le Havre, nouveau musĂ©e des beaux-arts, Hommage Ă  Gromaire, 9 au .1966 Lille, musĂ©e des beaux-arts, exposition rĂ©trospective des Ĺ“uvres de Marcel Gromaire, au .
  • 1966, Londres, The Lefevre Gallery, Recent works by Marcel Gromaire, 5 au .
  • 1966, Amiens, Maison de la culture, Gromaire, Ă©tĂ©.
  • 1972, Ivry-sur-Seine, salle des fĂŞtes de l’hĂ´tel de ville, Hommage Ă  Gromaire, au .
  • 1972, Honfleur, salles d’exposition du Grenier Ă  sel, Marcel Gromaire (1892-1971), juillet Ă  aoĂ»t.
  • 1977, Chicago, R.-S. Johnson International, Homage to Gromaire, mai Ă  juin.
  • 1979, Marcq-en-BarĹ“ul, Septentrion, Fondation Anne et Albert Prouvost, Gromaire, au .
  • 1980, musĂ©e d’art moderne de la ville de Paris, Marcel Gromaire (1892-1971), au .
  • 1980-1981, Gravelines, inauguration de la Poudrière restaurĂ©e en l’Arsenal de Gravelines, Marcel Gromaire, au .
  • 1981, Luxembourg, musĂ©e de l’État, Marcel Gromaire (1892-1971), au .
  • 1984, Paris, galerie de la PrĂ©sidence, Gromaire, au .
  • 1989, Paris, galerie de la PrĂ©sidence, Marcel Gromaire, dessins, au (Ă©dition d’un recueil de dessins).
  • 1991, Toulouse, galerie Inard, Gromaire, au .
  • 1991, Niort, hĂ´tel de ville, Marcel Gromaire, Ĺ“uvre tissĂ©e, juillet.
  • 1992, Noyelles-sur-Sambre, salle Marcel Gromaire, Retour aux sources, 10 au .
  • 1993, Paris, Bibliothèque nationale de France, galerie Colbert, Marcel Gromaire, Carnets 1911-1963, au .
  • 1993-1994, Paris, galerie de la PrĂ©sidence, Gromaire, au .
  • 1994, Namur, musĂ©e provincial FĂ©licien Rops, Marcel Gromaire, gravures, au .
  • 1994, Gravelines, Arsenal, musĂ©e du dessin et de l’estampe originale, Marcel Gromaire, dessins (1924-1958), Donation François Gromaire, au .
  • 1994, Cateau-CambrĂ©sis, musĂ©e Matisse, Donation des dessins de Marcel Gromaire, au .
  • 1994, Clermont-Ferrand, musĂ©e des beaux-arts, Marcel Gromaire, au .
  • 1994-1995, La Louvière, Centre de la gravure et de l’image imprimĂ©e de la CommunautĂ© Française, Marcel Gromaire, Eugène Leroy, au
  • 1995, Paris, galerie Sagot - Le Garrec, Gromaire, gravures et dessins, au .
  • 1995, Aubusson, musĂ©e dĂ©partemental de la tapisserie, Gromaire, Ĺ“uvre tissĂ©e, au .
  • 1995-1996, Angers, musĂ©e Jean Lurçat, Gromaire, Ĺ“uvre tissĂ©e, au .
  • 1996, Arles, musĂ©e Reattu, Marcel Gromaire, dessins des annĂ©es 1920, au .
  • 1996-1997, Marcq-en-BarĹ“ul, Fondation Anne et Albert Prouvost, Gromaire, au .
  • 2000, Paris, galerie de la PrĂ©sidence, Pavillon des antiquaires et des beaux-arts, Gromaire, au .
  • 2000-2001, Vannes, La Cohue musĂ©e de Vannes, Marcel Gromaire, scènes du Nord, au .
  • 2000-2001, Pont-Aven, musĂ©e de Pont-Aven, Marcel Gromaire et la Bretagne, au .
  • 2001, Morlaix, musĂ©e des Jacobins, Marcel Gromaire et la Bretagne, au .
  • 2003, Paris, galerie de la PrĂ©sidence, Marcel Gromaire aquarelles dessins, au .
  • 2007, Paris, Pavillon du CarrĂ© Baudoin, Marcel Gromaire, un peintre humaniste 1921-1933, au .
  • 2007, Nice, musĂ©e international d’art naif, un dialogue RenĂ© Rimbert – Marcel Gromaire, au .
  • 2010-2011, Boulogne-Billancourt, musĂ©e des AnnĂ©es Trente, Nus en quĂŞte d’idĂ©al : l’érotisme de Marcel Gromaire, au .
  • 2019-2020, Sète, musĂ©e Paul ValĂ©ry, "Marcel Gromaire : l'Ă©lĂ©gance de la force", au .
  • 2021, Paris, galerie Sagot - Le Garrec, Les nus de Gromaire, estampes et dessins[7], au .

Élèves

Notes et références

  1. Daniel Karel, Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord, Presses Université Laval, 1992, p. 367
  2. « Authentification », sur universalis-edu.com (consulté le ).
  3. bibliotheque-des-arts.com.
  4. Le Robert encyclopédique des noms propres
  5. Geneviève Nevejan, « Maurice Girardin, collectionneur de son temps », dans Vingtième Siècle, n°50, avril-juin 1996, pp. 143-150
  6. « Les Marcel Gromaire de La Piscine », sur roubaix-lapiscine.com (consulté le )
  7. « Les nus de Marcel Gromaire », sur Sagot - Le Garrec (consulté le )

Annexes

Bibliographie

  • Dictionnaire BĂ©nĂ©zit.
  • Charles Sala, « Marcel Gromaire Â», in Encyclopædia Universalis.
  • Jean Cassou, Marcel Gromaire, collection « Les Peintres nouveaux », Paris, N.R.F, 1925
  • Waldemar George, Marcel Gromaire et le Message du Nord, collection « Les MaĂ®tres nouveaux », Paris, Les chroniques du jour, 1928.
  • SĂ©lection, Marcel Gromaire, Anvers, Les chroniques du jour, 1929.
  • Georges Pillement, Marcel Gromaire, collection « Les Artistes nouveaux », Paris, Grès, 1929.
  • George Besson, Gromaire, collection « Les MaĂ®tres », Paris, Braun, 1949.
  • François Gromaire, Gromaire, collection « Plastique », Paris, Braun, 1949.
  • « Marcel Gromaire », dans Le Point, revue artistique et littĂ©raire, Mulhouse, .
  • Guy Dormand, Éloge de Gromaire, Paris, Éditions Marcel Bruker, 1958.
  • Marcel Zahar, Gromaire, Genève, Éditions Pierre Cailler, 1961.
  • François Gromaire, Gromaire dessinateur, Paris, Jacques Goldschmidt, Le MusĂ©e de poche, 1973.
  • François Gromaire, L’œuvre gravĂ© de Marcel Gromaire, deux vol., Lausanne-Paris, La Bibliothèque des arts, 1976.
  • Marcel Gromaire, Peinture 1921-1939, le journal d'un crĂ©ateur, Paris, Édition DenoĂ«l/Gonthier, 1980.
  • Françoise Chibret-Plaussu, François Gromaire, Gromaire cinquante annĂ©es de dessins, jour après jour, Paris, Éditions Image/Magie, 1989.
  • Françoise Chibret-Plaussu, François Gromaire, Marcel Gromaire, La vie et l’œuvre. Catalogue raisonnĂ© des peintures, Paris, La Bibliothèque des arts, 1993.

Liens externes

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