Les Grandes Chansons de Juliette Gréco
Les Grandes Chansons de Juliette Gréco est un album studio de Juliette Gréco sorti en 1964.
de Juliette Gréco
Sortie | FĂ©vrier 1964 |
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Enregistré |
Octobre/novembre 1963 Paris France |
Durée | 36:53 |
Genre | Chanson française |
Label | Philips |
Albums de Juliette Gréco
Contexte
En automne 1963, Gréco enregistre « un 33 tours 30 cm de chansons classiques du répertoire [français] dans la collection Philips Les Grandes Chansons ». Selon les titres, l'orchestre rassemble entre 19 et 29 musiciens : « les arrangements de Rauber jouent à la fois précision formelle et romanesque ». On remarque l'amplitude des cordes (Douce France, La Mer), ou la présence de flûte ou de harpe (Parlez-moi d'amour, Je suis seule ce soir, Clopin-Clopant), de l'accordéon (Sur les quais du vieux Paris, Le Doux Caboulot), du piano (Ici l'on pêche), de percussions et cuivres (Clopin-Clopant, Moulin Rouge, Mon homme), de guitare et vibraphone (L'Âme des poètes)[1] - [2].
Titres
Crédits
- Direction d’orchestre et arrangements : François Rauber
- PĂ©riode d'enregistrement : les 28 octobre et , et les 15 novembre, 25 novembre et
- Studio Blanqui, Paris (XIIIe arr.)
- Album original : 33 tours / LP Mono/Stéréo (gravure universelle) Philips B 77.959 L sorti en février 1964
- Photographie pochette : X
- Réédition en CD : volume 7 de l’intégrale Juliette Gréco L’Éternel Féminin (Mercury France réf. 980044, 2003)
Notes et références
- Source : livrets de l'intégrale L'Éternel Féminin.
- Un autre album, le no 2 des Grandes Chansons de Juliette Gréco (Philips S 844.766 BY), paraît à la même époque, mais il s'agit de reprises de douze de ses anciennes chansons. Hormis la réédition de trois enregistrements originaux orchestrés par André Grassi, Les enfants qui s'aiment, La Chanson de Barbara et Je suis comme je suis, les neuf autres chansons sont réorchestrées par Alain Goraguer et André Popp (Les Feuilles mortes, Chanson pour l'Auvergnat, La Fourmi, Le Guinche, Si tu t'imagines, Sous le ciel de Paris, La fête est là , Je hais les dimanches, Coin de rue).
- Du film Moulin Rouge (1952).
- Enregistré à la SACEM sous le nom de « Honoré Tranchant ».
- Du film Les Hommes, quels mufles ! (Gli Uomini, che mascalzoni !, 1932).