AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Kinomichi

Le kinomichi (気äč‹é“, kinomichi) est un budƍ (mĂ©thode d'Ă©ducation issue d'un art martial japonais), fondĂ© par maĂźtre Masamichi Noro Ă  Paris (France), en 1979. MaĂźtre Masamichi Noro a Ă©tĂ© l’un des Ă©lĂšves internes, uchi deshi ć†…ćŒŸć­, de maĂźtre Morihei Ueshiba 怍芝盛ćčł, fondateur de l’aĂŻkido ćˆæ°—é“. C’est en tant que « dĂ©lĂ©guĂ© pour l’Europe et l’Afrique » dĂ©signĂ© par maĂźtre Morihei Ueshiba qu’il dĂ©barque Ă  Marseille le , prĂ©cĂ©dant les maĂźtres Mutsuro Nakazono et Tamura dans la construction commune d’un aĂŻkido europĂ©en et africain. Fort de sa maĂźtrise martiale et poussant plus loin sa recherche, il crĂ©e dix-huit ans plus tard le kinomichi et perpĂ©tue sous une forme renouvelĂ©e l’enseignement de son maĂźtre.

Kinomichi
気äč‹é“
Image illustrative de l’article Kinomichi

Domaine Art martial
Pays d’origine Drapeau du Japon Japon
Fondateur Masamichi Noro
DĂ©rive de aĂŻkido
Kinomichi, calligraphie par maĂźtre Masamichi Noro.

Le kinomichi est affiliĂ© en France Ă  la FĂ©dĂ©ration française d'aĂŻkido, aĂŻkibudo, kinomichi et disciplines associĂ©es (FFAAA) en tant que discipline sportive non compĂ©titive, ainsi qu'Ă  la FĂ©dĂ©ration Française de KaratĂ© (FFK). Il entretient des relations chaleureuses avec le Centre mondial de l’aĂŻkido, le Hombu Dojo de Tokyo et son reprĂ©sentant, l’actuel doshu 道䞻, maĂźtre Moriteru Ueshiba æ€èŠćźˆć€ź, petit-fils du fondateur de l’aĂŻkido.


Orientation

Les sources

Le kinomichi reprend toutes les techniques d'aĂŻkido, elles-mĂȘmes reprises du daitƍryĆ« aikijĆ«jutsu ć€§æ±æ”ćˆæ°—æŸ”èĄ“ dont les origines remontent au XIIe siĂšcle. À l’exemple de toutes les Ă©coles traditionnelles japonaises koryu ć€æ” et imitant leur mode de reproduction, le kinomichi rĂ©interprĂšte sous la direction d’un maĂźtre attestĂ© les Ă©lĂ©ments fondamentaux d’une Ă©cole, de son enseignement et de sa maĂźtrise pour explorer les techniques, prolonger l’étude des principes et vivifier la voie, le do en japonais ou le tao en chinois 道. Comme son maĂźtre Morihei Ueshiba avait crĂ©Ă© l’aĂŻkido Ă  partir du DaĂŻto Ryu AĂŻki Jujutsu de maĂźtre Sokaku Takeda æ­Šç”°æƒŁè§’, maĂźtre Masamichi Noro a poussĂ© sa recherche jusqu’à la crĂ©ation du Kinomichi en le fondant sur la technique, les principes et la philosophie de l’aĂŻkido. Ce processus naturel au monde des budos japonais, tout en produisant une diversitĂ© culturelle plus grande, ne constitue pas un reniement ou une objection mais l’ouverture d’une voie nouvelle que les gĂ©nĂ©rations prĂ©cĂ©dentes n’avaient encore dĂ©frichĂ©e.

Le kinomichi est un budo japonais, littĂ©ralement voie (do) qui arrĂȘte la lance (bu). Il est une discipline qui vise Ă  l'Ă©tablissement de la paix et la recherche des conditions de paix. Dans ce sens, le kinomichi interprĂšte les deux idĂ©ogrammes bu et do selon leur acception la plus large, Ă  savoir une voie visant Ă  Ă©tablir la paix. En effet, Ă  sa maniĂšre, le budo fait Ă©cho Ă  la prĂ©occupation fondatrice de la pensĂ©e extrĂȘme-orientale qui tend vers la paix entre les hommes.
En tant que tradition gĂ©nĂ©rale, le budo signifie que le kinomichi, tradition particuliĂšre, prend son sens au sein d’un ensemble d’écoles qui prennent tout leur sens
 ensemble. IndĂ©pendant et interdĂ©pendant, il interroge la voie, le do, le tao.

Une Voie pour l’homme

ConsidĂ©rant que l’enseignement doit s’attacher Ă  l’essentiel et commencer par lui, maĂźtre Masamichi Noro met l’accent sur la paix et sa rĂ©alisation. Il pose l’homme comme lien entre la terre et le ciel. De cette union qui tient en harmonie la voie du ciel tendƍ (怩道), celle de la terre jimichi (朰道) et celle de l’homme jinƍ (äșș道), il dĂ©gage une direction ascendante de l’énergie ou ki en japonais et qi en chinois 気. Dans la comprĂ©hension extrĂȘme-orientale, le ki est un souffle prĂ©sent en tous lieux et en tous temps. Sa condensation crĂ©e les ĂȘtres et son Ă©vaporation les dissout.

Il dĂ©coule de la perspective dĂ©gagĂ©e par l'approche orientale que la voie de l'homme concerne bien sĂ»r l'homme autant que la femme, mais Ă©galement l'enfant. Il y a donc un enseignement spĂ©cifique pour les enfants et les adolescents, garçons et filles. L'enseignant rĂ©pond Ă  son Ă©lĂšve avec prĂ©cision et pour un enfant, il le fait au rythme de celui-ci, Ă  la hauteur de sa comprĂ©hension, avec le mĂȘme degrĂ© de sincĂ©ritĂ© : cela s'appelle rĂ©pondre et va bien au-delĂ  de transmettre. Un adulte peut se satisfaire de la transmission, un enfant exige la rĂ©ponse.

Une orientation pacifique

La technique suit ce cheminement pour que les poussĂ©es voyagent du sol vers le haut, des pieds vers les mains, de l’appui vers la saisie et au-delĂ . La gĂ©nĂ©ration de l’énergie prend sa source dans le sol et l’intention. Sa conduite passe par des centres Ă©nergĂ©tiques dont le fameux hara situĂ© dans l’abdomen. Elle est modulĂ©e par le cƓur des pratiquants, shin en japonais 濃. Sa manifestation est dĂ©celable par un accroissement de l’énergie, le produit final Ă©tant alors plus grand que la somme des composants initiaux. Le corps du pratiquant laisse passer cette Ă©nergie/souffle par une prĂ©sence au sol, un relĂąchement des muscles et des tendons et une attention Ă  l’autre. Dans le kinomichi, l’esprit du dojo, lieu oĂč l’on Ă©tudie la voie, ne nĂ©cessite pas le recours Ă  un cadre conflictuel car l’étude de la paix et sa rĂ©alisation ne le requiĂšrent pas.

Caractéristiques

Le contact

Le contact tel que le propose maßtre Noro est une alternative à la notion d'attaque ou de défense, s'exprimant au travers de poussées ou de saisies, atemi ou dori. Le kinomichi n'exige pas de soumission et ne recherche pas un pouvoir qui serait de domination, mais souligne plutÎt l'importance tant de uke que de tori. Le contact, sous la forme d'une saisie ou d'une poussée, est l'exigence d'une sincérité mutuelle dans l'engagement ainsi que d'une perception de soi et d'autrui. Il est simple, ferme et plein d'attention. Pour dégager son orientation, maßtre Noro a codifié seize formes de contact.

Lors de la pratique du kinomichi, l'ouverture Ă  l'autre s'exprime par une attitude bienveillante. Le sourire, constamment sollicitĂ© par maĂźtre Noro lors de la pratique, est un Ă©lĂ©ment important du contact et un des nombreux aspects de la manifestation de l'art. La qualitĂ© du toucher, du regard et du kamae, posture, sont significatives d'un Ă©change chaleureux. De plus, le contact ne s'arrĂȘte pas au partenaire direct et comme zanshin, prĂ©sence de l'esprit, il englobe l'ensemble des pratiquants prĂ©sents sur le tatami. Il permet l'expression de l'Ă©nergie et du cƓur.

La spirale

Le mouvement de kinomichi s'exprime selon une spirale. Elle est perçue directement dans le corps des partenaires. Elle intĂšgre la ligne droite et le cercle. Les mouvements se font par une avancĂ©e progressive. De la statique Ă  la dynamique, l'Ă©nergie se dĂ©ploie en spirale et rĂ©alise l'unitĂ© du lent et du rapide au-delĂ  des oppositions de surface. Les chaĂźnes musculaires elles aussi sont sollicitĂ©es en suivant cette figure. Cette hĂ©lice rĂ©partit l’effort depuis les chevilles jusqu'aux poignets et aux cervicales. Elle dissout les tensions et prĂ©vient les contraintes articulaires notamment celles si frĂ©quentes de la charniĂšre dorso-lombaire.

Le ki æ°Ł

La conception occidentale du monde repose sur une distinction entre le domaine physique qui est tangible et le champ mĂ©taphysique, au-delĂ  du physique, son complĂ©mentaire, sĂ©paration qui correspond Ă  celui des livres d’Aristote 384-322 av. J.-C. La conception chinoise et par extension japonaise perçoit le ki (en japonais, qi en chinois) comme « un souffle (qi æ°Ł), influx ou Ă©nergie vitale qui anime l’univers entier. [
] À la fois esprit et matiĂšre, le souffle assure la cohĂ©rence organique de l’ordre des vivants Ă  tous les niveaux. »[1]. On ne peut parler de ki du kinomichi car le ki n’appartient Ă  personne ni ne repose en quiconque ni en quelque lieu. Il circule et nous en sommes les supports, les canaux, les conducteurs. Le kinomichi crĂ©e une circulation particuliĂšre qui permet Ă  chacun de s’élever, de la terre vers le ciel, du chi 朰 vers le ten 怩 en passant par l’homme. MaĂźtre Masamichi Noro reprend Ă  son compte la vision de son maĂźtre, Morihei Ueshiba, qui utilisait ses techniques pour parfaire la juste circulation du ki en lui-mĂȘme et vers son partenaire (en japonais uke 揗け) — voir les articles dans la bibliographie.

ObĂ©issant Ă  un dĂ©sir d’harmonie des forces, aĂŻki en japonais ćˆæ°—, la technique est orientĂ©e vers une prĂ©servation de l’autre et de soi, une prolongation des gestes et non leur obstruction, un Ă©tirement des membres et non une contrainte articulaire. Elle est mise en Ɠuvre par des enfants, des adolescents, des adultes jusqu’au troisiĂšme Ăąge. Sa richesse est explorĂ©e par les femmes et les hommes, Ă  chacun selon sa sensibilitĂ©. Les diffĂ©rences, souvent source de conflits, sont au cƓur de l’écoute, du regard et du toucher. Elles sont l’opportunitĂ© d’un dĂ©passement, d’une rencontre, de retrouvailles. Alliant confort et exigence, plaisir de l’ouverture du corps et effort physique, activitĂ© de loisir et pratique de haut niveau, le kinomichi dĂ©passe ce que d’aucuns nomment paradoxe. Il vise Ă  fusionner dans le foyer de la pratique les antagonismes qui causent tant d’opposition et de conflits. Les arts orientaux se comprennent si l’on met ses pas dans ceux des maĂźtres.

Shin 濃

Le shin ou cƓur/esprit est indissociable du ki. Pour reprendre le texte d’Anne Cheng : « L’homme est non seulement animĂ© [de qi] dans tous ses aspects, il y puise ses critĂšres de valeur, qu’ils soient d’ordre moral ou artistique. Source de l’énergie morale, le qi, loin de reprĂ©senter une notion abstraite, est ressenti jusqu’au plus profond d’un ĂȘtre et de sa chair. » Le shin en tant que cƓur est Ă  la fois organe et espace de perception. Organe, le shin nous convie Ă  ressentir l’autre, Ă  Ă©prouver son ki, Ă  contacter le partenaire par son Ă©nergie. Il est espace par la continuitĂ© d’expĂ©rience, de sensation et d’émotion que chacun Ă©prouve devant l’humanitĂ© de celui ou celle qui nous fait face. Le shin est un signe de santĂ© de notre Ă©nergie : un shin perverti est indicateur de ki faible, un shin gĂ©nĂ©reux est tĂ©moin de ki fort. Le shin du kinomichi rĂ©pond Ă  l’invitation de Confucius de vivre la joie de l’étude, le plaisir de la rencontre et le bonheur du partage « avec l’ami qui vient de loin »[2]. Il continue la recherche de Morihei Ueshiba de faire de son art un pont entre les hommes. MaĂźtre Masamichi Noro se fait un devoir de transmettre au cƓur de la technique le cƓur de son maĂźtre.

Dans une perspective physiologique occidentale, le corps produit le mouvement en mobilisant les muscles dont l’effort est soutenu par le travail respiratoire et cardiaque. Cette comprĂ©hension de la gĂ©nĂ©ration d’énergie est issue des LumiĂšres europĂ©ennes comme l’a montrĂ© Georges Vigarello[3] et ne rend pas compte d’une conception extrĂȘme orientale reposant sur le ki. Afin de transfĂ©rer Ă  l’élĂšve cette capacitĂ© Ă  mobiliser le ki, les maĂźtres japonais ont Ă©laborĂ© une pĂ©dagogie que maĂźtre Masamichi Noro a su adapter au corps et Ă  la mentalitĂ© occidentale. La technique consiste en une conduite du ki : emprunter, conduire et restituer le ki. Il ne s’agit pas tant donc de gĂ©nĂ©rer Ă  partir d’un centre que d’établir une circulation de la terre vers le ciel, de l’appui au sol vers le partenaire, au long d’un bras, d’un bĂąton ou d’un sabre. Cependant, si la direction est verticale, le sens donnĂ© est ascendant. À cet effet, maĂźtre Masamichi Noro recourt au cƓur, shin 濃. Selon sa perspective, le shin permet non seulement de ressentir l’autre mais encore plus de dĂ©passer l’antagonisme soi/autrui. « S’il m’est avantageux de m’élever, je dois admettre qu’il en est de mĂȘme pour autrui et que l’effet de la technique ne m’appartient pas uniquement mais qu’il vaut pour nous deux ». Le shin est la condition d’une empathie, d’un mouvement vers l’autre. En ce sens, nous pouvons comprendre la parole de Morihei Ueshiba : « Mon aĂŻkido est amour» ćˆæ°ŁăŻæ„›ăȘり. Si le ki soutient le geste, le shin en module la palpitation. Il met en harmonie deux cadences, ce qui permet aux deux partenaires de tendre vers l’aĂŻki, l’harmonie des souffles.

Un budo

À la question que lui posait Arnaud Desjardins sur son art, maĂźtre Masamichi Noro rĂ©pondit : « Si je pouvais expliquer mon art, je n’aurais plus besoin de l’étudier. » Le kinomichi est un art traditionnel dans son mode de formation, de transmission et d’évolution. Ce qui s’en dit aujourd’hui annule ce qui appartient Ă  un temps passĂ© et ce qui s’écrit maintenant s’efface devant l’art qui perce dans l’instant qui vient. En tant que budo relevant d’une conception extrĂȘme orientale, le kinomichi est « sans profit », selon la terminologie du zen 穅.

Techniques et initiations

Les techniques sont Ă©tudiĂ©es mains nues, avec bĂąton, sabre en bois et sabre, debout ou Ă  genoux, avec un partenaire ou plusieurs, de maniĂšre codifiĂ©e ou librement. La richesse technique de cet art et la profusion des variations peuvent faire croire Ă  une complexitĂ©. Cependant, une Ă©tude approfondie et soutenue par la prĂ©sence d’un maĂźtre permet d’entrevoir une simplicitĂ© que dĂ©voile la comprĂ©hension des principes. Ainsi, chaque variation ouvre une porte vers ses consƓurs. Reprenant l’approche didactique de son maĂźtre Morihei Ueshiba, maĂźtre Masamichi Noro a retenu dix techniques comme bases. L’apprentissage se fait par niveaux, d’étude ou initiations, objectivĂ©s par les grades Dan, titres et diplĂŽmes d'Etat.

  • Initiation 1 : six premiĂšres techniques de base, trois de terre (ichi, nichi, sanchi) et trois de ciel (iten, niten, santen). L'initiation 1 s'ouvre sur l'Ă©tude de l'Ă©tirement, de l'Ă©nergie dirigĂ©e en spirale et d'une impulsion partant du sol vers le haut, selon la relation terre-ciel. SchĂ©matiquement, les techniques dites de terre poussent vers le bas et celles de ciel poussent vers le haut.
  • initiation 2 : 19 mouvements avec les six premiĂšres techniques de base
  • initiation 3 : 33 mouvements sur toutes les techniques de base et sur les deux premiĂšres formes d’approche
  • initiation 4 : 111 mouvements et 8 formes d’approche
  • initiation 5 : tous les mouvements sur les 16 formes d’approche, avec un ou plusieurs partenaires
  • initiation 6 : formes d’approche avancĂ©es, utilisation de nouveaux outils tels que tanto, tessen
  • initiation 7 : approche idĂ©ale de l'ĂȘtre et de la pratique vers lequel le pratiquant chemin

À partir de l’initiation 5, sont au programme des formes d’approche avancĂ©es et un travail avec plusieurs partenaires. Il s’agit d’une exigence qui parachĂšve le travail sur le ki. Elle donne tout son sens Ă  la conduite du ki. Elle est la caractĂ©ristique et la recherche du plus haut niveau. Cette maniĂšre de dĂ©couvrir l'art du kinomichi est sans doute ce qui caractĂ©rise proprement le chemin dĂ©gagĂ© par maĂźtre Masamichi Noro. Si le sentier signe la dĂ©marche d'un maĂźtre, la montagne, cependant, est le bien de tous.

Comme dans les anciennes Ă©coles traditionnelles japonaises ou koryĆ«, Il n’y a pas non plus de compĂ©tition. La compĂ©tition avait Ă©tĂ© introduite dans le monde des arts martiaux japonais vers 1880 par maĂźtre Jigoro Kano pour faire connaĂźtre son art, le judo car durant cette Ă©poque, l'Ăšre Meiji (1868-1912), les budos voyaient leur avenir radicalement compromis par une dĂ©saffection du public pour cette richesse culturelle du Japon. La compĂ©tition permettait Ă  ses Ă©lĂšves de tester leur niveau et non d’exacerber leur volontĂ© de domination. La compĂ©tition est donc un phĂ©nomĂšne rĂ©cent et son utilitĂ© a Ă©tĂ© dĂ©finie par maĂźtre Jigoro Kano.

Notes et références

  1. « Histoire de la pensée chinoise », Anne Cheng, éditions Seuil, Paris, 1997 (ISBN 978-2-02-054009-4).
  2. Dans les Entretiens de Confucius.
  3. Histoire du corps, vol. 1 : De la Renaissance aux LumiĂšres, Georges Vigarello, p. 286-302, Ă©ditions Seuil, Paris, 2005 (ISBN 978-2-02-022452-9).

Voir aussi

Bibliographie

  • Nguyen Thanh ThiĂȘn, Le voyage d'un maĂźtre, entre Ciel et Terre, auto-Ă©dition (ISBN 979-10-699-8159-1, lire en ligne)
  • Nguyen Thanh ThiĂȘn, Dans la spirale du Kinomichi, coll. « Dragon » (no 16), (lire en ligne).
  • maĂźtre Masamichi Noro et maĂźtre Christian Tissier, Une rencontre de l’AĂŻkido et du Kinomichi, Gabriel Turkieh, Production Altomedia, .
  • Masamichi Noro sensei, Le mouvement universel du ki, coll. « Aikido Magazine », (lire en ligne).
  • Raymond Murcia, Le Kinomichi, du mouvement Ă  la crĂ©ation. Rencontre avec Masamichi Noro, Éditeur Dervy-Livres, coll. « Chemins De L'harmonie », (ISBN 2850768065).
  • Daniel Roumanoff, La pratique du Kinomichi avec maĂźtre Noro, Éditeur Criterion, coll. « L'homme reliĂ© », (ISBN 2741300402).

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.