Jean de Laplante

Après des études universitaires en sciences sociales à l'Université Laval et en mathématiques et statistiques à l'Université de Montréal, Jean de Laplante est fonctionnaire à la Ville de Montréal, et se spécialise principalement dans l'étude, le développement et l'amélioration des parcs, des espaces publics et des terrains de jeux. Parallèlement, il enseigne à l'Université de Montréal (en 1957) et rédige des articles pour plusieurs journaux : La Patrie, Le Canada, Le Dimanche Matin (fondé par Jacques Francœur), Le Montréal-Matin et Le Jour. Jean de Laplante devint membre de Union des écrivaines et des écrivains québécois (l'UNEQ, fondée en 1977).

Il épouse le 29 décembre 1941 Fernande Lachance (morte le 7 février 1999)[1]. Ils donnent naissance à Michèle de Laplante (1944-2010)[4], poète et éditrice (de Berthierville), connue de la région lanaudoise, et à Jacques de Laplante, journaliste éditeur-propriétaire du Journal des Berges (bimensuel desservant Saint-Sulpice, Lavaltrie, Berthierville, Lanoraie et les Îles de Berthier)[1].

• « La Communauté montréalaise », dans Contributions à l'étude des sciences et de l'homme, Université de Montréal, 1952[2]
• « Notre richesse en parcs », [4] p.; 1954.
• Le petit juif, roman, Montréal, Éditions Beauchemin, 1962, 162 p.; 21 cm.
• Les parcs de Montréal, des origines à nos jours, préf. de Pierre Bourque, Montréal, Éditions du Méridien, 1990, 255 p. : ill., carte ; 25 cm. Collection : « Histoire urbaine : Les Arts de la ville ». (ISBN 2-8941-5018-0)
• La culture de la côte, Beauport, Publications NMH, 2001, février 2002, 304 p. : ill., cartes ; 23 cm. Collection : « Collection des origines ». (ISBN 978-2-9219-1281-5 et 2-9219-1281-3)