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Investiture des souverains grecs

L'investiture des souverains grecs désigne les diverses cérémonies organisées au cours de l'histoire de la Grèce contemporaine au moment de l'accession au trône d'un nouveau souverain.

Prestation de serment du roi Alexandre Ier de Grèce le .

À partir de 1844, les différentes constitutions grecques prévoient l'organisation d'une simple prestation de serment en présence des autorités religieuses et politiques du pays. Cependant, les multiples révolutions, guerres, coups d'État et attentat qui touchent le royaume de Grèce entre 1822 et 1973 compliquent l'organisation d'une partie des cérémonies d'investiture.

Cérémonie d'investiture

Bien que des regalia (couronne et sceptre) aient été conçus dans la perspective du sacre du roi Othon Ier[1] - [2] (qui devait se tenir dans l'église Sainte-Irène (en) d'Athènes[3]), aucun souverain hellène n'a jamais été couronné[1]. Les deux premiers monarques grecs étant restés étrangers à la foi orthodoxe, l'Église nationale refusait en effet de les sacrer[3] et les constitutions mises en place à partir de 1844 ont remplacé le projet de couronnement par une simple proclamation suivie d'une prestation de serment devant le Parlement[1].

À la mort de son prédécesseur (ou à sa majorité), et suivant les dispositions prévues par les articles 36 et 42 de la Constitution de 1844[4] (ensuite repris par l'article 43 des lois fondamentales de 1864[5], 1911[6] et 1952[7]), le roi (ou le régent) prêtait, en présence du gouvernement, du Saint-Synode, des parlementaires présents dans la capitale et des autres autorités supérieures, le serment suivant[4] - [5] - [6] - [7] :

« Je jure, au nom de la Sainte, consubstantielle et indivisible Trinité, de protéger la religion dominante des Hellènes, d'observer la Constitution et les lois de la nation hellénique, et de maintenir et défendre l'indépendance nationale et l'intégrité du territoire hellénique[8] - [9]. »

En accord avec l'article 43 de cette même Constitution de 1844[4] (et des articles 49 des autres lois fondamentales de l'époque monarchique[5] - [6] - [7]), le serment était ensuite répété devant le Parlement dans les deux mois suivant l'investiture royale proprement dite[4] - [5] - [6] - [7].

Histoire

Investiture d'Othon Ier

Par le protocole de Londres du et le traité de Londres du , la Grèce nouvellement indépendante est transformée en royaume, avec à sa tête le prince Othon de Bavière[10]. La majorité d'Othon est alors fixée au jour de ses vingt ans et un Conseil de Régence est mis en place[11] - [12]. Othon étant officiellement roi, le gouvernement provisoire organise, en juin, des festivités à Argos à l'occasion de son anniversaire[13]. Trois députés grecs (Andréas Miaoúlis, Kóstas Bótsaris et Dimítrios Plapoútas) se présentent ensuite à la cour des Wittelsbach au nom de la nation hellène, le . Reçus par leur nouveau souverain au Palais de la Résidence, les émissaires lui prêtent alors serment de fidélité en présence de l'archimandrite de Munich[14].

Tableau représentant un jeune homme à cheval entouré d'une foule nombreuse sur uen plage.
L'Entrée du roi Othon de Grèce à Nauplie. Tableau de Peter von Hess, 1835.

Othon Ier et son Conseil de Régence arrivent finalement à Nauplie le , à une heure de l'après-midi. Le lendemain, le gouvernement grec vient présenter ses hommages au souverain et aux régents. Ce n'est cependant que le ( julien) que ces derniers débarquent solennellement en Grèce. Ils reçoivent alors un accueil triomphal, amplifié par la déclaration du jeune roi qui se dit « appelé au trône par les Hautes puissances médiatrices mais aussi par les libres suffrages des Grecs »[15] - [16] - [17].

Dans les années qui suivent, des recherches sont effectuées dans les archives européennes afin de retrouver le protocole exact du couronnement des empereurs byzantins. Du saint Chrême est apporté de Constantinople tandis que des regalia, inspirés de l'art en vogue sous les Comnènes et les Paléologues, sont commandés à Munich pour être utilisés lors de l'intronisation d'Othon. Le nouveau régime espère ainsi établir une sorte de filiation entre l'Empire byzantin et le royaume de Grèce, ce qui n'est pour plaire ni à l'Empire ottoman, ni à la Russie tsariste[18].

Du côté des Grecs, on espère surtout que le jeune roi profite de son couronnement pour embrasser la religion orthodoxe. C'est aussi le vœu de Saint-Pétersbourg, qui fait pression, à travers ses diplomates, pour qu'Othon abjure le catholicisme. Ce n'est cependant pas le désir du roi, qui se sent oppressé par les différentes interventions de la Russie et refuse d'aller contre sa conscience[19]. Le Saint-Synode grec ayant finalement refusé de sacrer un « schismatique », la cérémonie du couronnement est repoussée et les fêtes qui accompagnent l'intronisation d'Othon sont réduites au minimum, sans qu'aucune légation étrangère ne soit invitée à Athènes pour l'occasion[3] - [18]. Déclaré majeur le , Othon adresse la proclamation qui suit à son peuple :

« Je vous promets de nouveau de protéger toujours la religion sacrée de mes sujets et d'être le ferme appui de votre sainte Église, de rendre la justice à tous, de respecter fidèlement les lois, de défendre avec l'assistance divine contre toute tentative vos libertés, vos droits, votre indépendance. Je ne cesserai jamais d'avoir en vue votre bonheur et votre gloire.
Je prendrai les précautions nécessaires pour modifier et compléter vos lois. Je protègerai de toutes mes forces vos propriétés, votre légitime liberté, et je la consoliderai par des institutions en harmonie avec la situation du pays et les justes vœux de la nation.
Dans toutes les circonstances je prouverai mon profond respect pour l'Église d'Orient, et à ce sujet j'aurai pour le trône de Grèce en ce qui concerne mes descendants, une prévoyance particulière[18]. »

Des années plus tard, après le Coup d'État du 3 septembre 1843, le royaume de Grèce se dote d'une Constitution, qu'Othon Ier jure de respecter lors d'une cérémonie organisée le . Pour la première fois, un souverain grec prononce ainsi, devant le Parlement, la formule qui rythme ensuite toutes les intronisations royales[20] - [21]. Après l'événement, un Te Deum est organisé dans l'église Sainte-Irène (en), un cortège populaire se rend jusqu'au palais et des illuminations sont organisées dans tout Athènes[21].

Investiture de Georges Ier

En , une révolution renverse le roi Othon Ier[22]. Quelques mois plus tard, le , un décret du gouvernement provisoire proclame la déchéance de la dynastie des Wittelsbach tout entière[23]. Dans ces conditions, les autorités du pays et les chancelleries étrangères se mettent en quête d'un nouveau souverain. En , les grandes puissances s'accordent sur la candidature du prince Guillaume de Danemark, qui est élu roi par l'Assemblée nationale grecque sous le nom de Georges Ier le (18 mars julien)[24].

Thrasivoúlos Zaïmis présentant, sur un coussin, le décret reconnaissant l'élection du prince Guillaume comme roi des Hellènes au roi Christian VII de Danemark. The Illustrated London News, 1863.

La conférence de Londres du ayant finalement rendu cette élection effective[25], le prince est proclamé roi des Hellènes au palais de Christiansborg le lendemain à 11h. Vêtu d'un uniforme de capitaine de vaisseau, Guillaume-Georges est alors conduit par le roi Frédéric VII de Danemark devant une assemblée composée de membres de la famille royale, de ministres et d'autres dignitaires danois mais aussi des représentants des puissances médiatrices et d'une délégation grecque conduite par l'amiral Konstantínos Kanáris. Après lecture, par la députation hellène, du décret constatant l'élection royale, Frédéric VII accepte la couronne pour son jeune cousin avant de le décorer de l'ordre de l'Éléphant[26] - [27] - [28]. Cette première cérémonie terminée, une autre est organisée à 13h. Accompagné de ses seuls parents, Georges Ier retrouve la délégation grecque qui le félicite pour son élection. Le roi des Hellènes s'adresse alors aux émissaires en ces termes[26] :

« Mon âme est pénétrée de joie en recevant aujourd'hui les premiers saluts des représentants du peuple grec, et j'éprouve une profonde émotion à les entendre de la bouche d'un homme dont le nom glorieux reste d'une manière impérissable lié à la renaissance de la Grèce. Je comprends dès à présent toute la responsabilité de la tâche qui m'est confiée, je promets d'y consacrer les meilleures forces de ma vie, et je compte sur le concours loyal et constant du peuple grec pour atteindre notre but commun, le bonheur de la Grèce. Né et élevé dans un pays où l'ordre légal marche de front avec la liberté constitutionnelle, et qui est ainsi parvenu à un développement fécond et bienfaisant, j'emporterai dans ma nouvelle patrie un enseignement qui ne sortira jamais de ma mémoire et qui gravera dans mon cœur en traits ineffaçables la devise du roi de Danemark : « L'amour de mon peuple fait ma force »[29] - [30]. »

L'arrivée de Georges Ier à Athènes, le suivant, donne lieu à des scènes de liesse populaire. Pendant une semaine, l’Acropole et le temple de Zeus sont illuminés en l'honneur du souverain et des festivités sont organisées dans la capitale[31] - [32]. Malgré son jeune âge (il n'a pas encore dix-huit ans), Georges a été déclaré majeur par l’Assemblée hellénique le [33] et c’est donc en tant que souverain de plein droit qu'il prête le serment prévu par la Constituion devant le Parlement le suivant[34] - [35]. Après l'adoption d'une nouvelle loi fondamentale, le roi prête une dernière fois serment devant l'Assemblée le [36] - [37].

Investiture de Constantin Ier

Le cortège royal se rendant au Parlement (1913).

Alors que la Grèce est en pleine guerre contre l'Empire ottoman, le roi Georges Ier est assassiné à Thessalonique, le (5 mars julien)[38]. Averti de la mort de son père, Constantin Ier quitte immédiatement le front épirote pour rentrer à Athènes. Ainsi que le prévoit la Constitution de 1911, il prête alors serment devant le Parlement hellénique[39].

Après les funérailles de Georges Ier, une cérémonie d'investiture plus solennelle est organisée dans la capitale le . Le journal L'Illustration décrit ainsi l'événement :

« Sur l'estrade, élevée au fond de l'hémicycle où siège d'habitude le président de l'assemblée, en arrière et au-dessus de la tribune, le roi Constantin prit place, ayant à sa gauche la reine Sophie en grand deuil, à sa droite le métropolite d'Athènes (el). Il était entouré des princes ses enfants et ses frères, de tous les ministres, du haut clergé.
La cérémonie fut brève et d'une grande simplicité. Le métropolite […] lut la formule du serment. Puis le roi, la main tendue sur l'évangéliaire, jura. Mais le respectueux enthousiasme que témoigna au roi et à la reine le Parlement entier donna à cette solennité un caractère particulièrement émouvant[40]. »

Investiture d'Alexandre Ier

Les rois Alexandre Ier et Constantin Ier vers 1913.

Pendant la Première Guerre mondiale, la Grèce est secouée par le Schisme national, qui oppose monarchistes favorables au maintien de la neutralité et vénizélistes partisans d'une participation au conflit international[41]. Finalement, le , Charles Jonnart, le Haut-Commissaire de l'Entente en Grèce, ordonne au roi Constantin de quitter le pouvoir[42]. Sous la menace d'un débarquement allié au Pirée, le souverain accepte de partir en exil, sans toutefois abdiquer. L'Entente ne souhaitant pas instaurer la république en Grèce, l'un des membres de sa famille doit lui succéder. Mais, comme le diadoque est jugé tout aussi germanophile que son père[43], c’est le prince Alexandre, deuxième fils de Constantin, qu'Elefthérios Venizélos et les Alliés choisissent comme nouveau monarque[43] - [44].

La cérémonie par laquelle Alexandre Ier monte sur le trône, le , est entourée de tristesse. Hormis l’archevêque d'Athènes Théoclète Ier (el), qui reçoit le serment du nouveau souverain, seuls y assistent le roi Constantin Ier, le diadoque Georges et le Premier ministre Aléxandros Zaïmis[45]. Aucune festivité ni aucune pompe n'entourent l’événement, qui demeure d'ailleurs secret[43]. Alexandre, qui a alors vingt-trois ans, a la voix cassée et les larmes aux yeux lorsqu'il prête serment de fidélité sur la Constitution[45]. Il sait qu'il s'apprête à jouer un rôle difficile dans la mesure où l'Entente et les vénizélistes sont opposés à la famille royale et ne sont pas prêts à lui obéir. Surtout, il est conscient que son règne est de toute façon illégitime. De fait, ni son père ni son frère aîné n’ont renoncé à leurs droits sur la couronne et, avant la cérémonie, Constantin a longuement expliqué à son fils qu’il est désormais l’occupant du trône mais pas le véritable monarque[43] - [44].

Une fois Constantin Ier parti en exil et Venizélos revenu à la tête du gouvernement, une cérémonie s'investiture plus officielle est organisée dans l'enceinte du Parlement le . L'Excelsior du décrit ainsi l'événement :

« La cérémonie de la prestation de serment du nouveau roi […] a été particulièrement émouvante.
Il était exactement dix heures trente, lorsque M. Soufoulis, président de la Chambre, entra dans la salle des séances qui était pavoisée aux couleurs grecques et où plusieurs guirlandes de fleurs entouraient le monogramme du souverain.
Les représentants du corps diplomatique, au grand complet, se rangeaient à la droite du fauteuil présidentiel.
Les tribunes étaient bondées. On remarquait dans l'assistance les dames les plus notables de la capitale.
Quelques minutes après, les ministres firent leur entrée. Le roi Alexandre parut ensuite, accompagné de M. Venizélos et entouré des officiers de sa maison civile et militaire.
Le nouveau souverain fut accueilli par des applaudissements unanimes ; il s'inclina en signe de remerciement.
Le métropolite s'avança alors, lui présenta l'Évangile et se mit à lire la formule de la prestation de serment que le roi répéta, la main posée sur le livre, en ajoutant à chaque phrase : « Je le jure. »
Après la signature de l'acte, M. Venizélos remit le discours du Trône[N 1] au souverain qui commença sa lecture d'une voix hésitante et où perçait une vive émotion. […] Le discours, qui dura un quart d'heure, fut écouté dans le plus grand silence. L'assistance salua la péroraison aux cris de « Vive le Roi ! »
À la sortie, qui eut lieu sans provoquer aucun incident, la foule massée sur le passage du cortège acclama longuement le roi Alexandre et M. Venizélos et les membres du gouvernement.
Les troupes de la défense nationale, sous le commandement de l'héroïque général Christadoulo, faisaient le service d'honneur[46]. »

Investiture de Georges II

Le roi Georges II et son épouse quittant la Grèce en 1923.

Après la mort accidentelle d'Alexandre Ier (victime d'une septicémie provoquée par une morsure de singe)[47] et le retour au pouvoir de Constantin Ier en 1920[48], la Grèce s'enfonce dans la guerre gréco-turque. Les revers militaires que connaît alors le pays favorisent l'éclatement d'une nouvelle révolution, qui conduit le souverain à abdiquer définitivement le [49]. Le jour même, son fils aîné lui succède sous le nom de Georges II[50] et se rend au Parlement pour y être intronisé au cours d'une cérémonie qui commence à 17h[51].

Comme son frère Alexandre Ier avant lui, Georges II ne tarde pas à devenir un souverain fantoche, soumis au bon vouloir des vénizélistes[52]. Il est finalement poussé à l'exil le , avant d'être renversé le [53]. Rappelé sur le trône par un coup d'État suivi d'un référendum, le roi reprend néanmoins la tête de son pays le [54].

Investiture de Paul Ier

Le roi Georges II ayant trouvé la mort le à 13h55, son frère lui succède sous le nom de Paul Ier. Dès 20h, ce dernier se rend dans la salle du trône du palais royal pour y prêter le serment prescrit par la Constitution devant l'archevêque-primat, le Premier ministre et quelques autres personnalités politiques[55]. La cérémonie terminée, le gouvernement Máximos présente sa démission, que le roi refuse[56].

Par la suite, le nouveau souverain adresse un message radiodiffusé à son peuple, dans lequel il déclare :

« Grecs, c'est avec le cœur brisé que je vous annonce la mort prématurée de mon bien-aimé frère, notre roi Georges II. Il quitte ce monde avec une conscience tranquille, n'ayant refusé aucun sacrifice au service de notre patrie. Appelé aujourd'hui à poursuivre sa tâche, je consacrerai toutes les forces de mon âme au bien de la nation. Notre patrie éternelle nous demande aujourd'hui de lutter pour son existence, son indépendance et ses libertés. Unis, nous mènerons ce combat à bonne fin. Vive la Grèce[56] - [57] ! »

Investiture de Constantin II

Déjà régent depuis le , Constantin II monte sur le trône à la mort de son père Paul Ier, le , dans un contexte de fortes tensions dues à la guerre civile chypriote. Le nouveau monarque prête alors le serment prévu par la Constitution. Le soir même, le monarque fait un discours radiodiffusé, transcrit par The New York Times :

« Je succède à mon père sur le trône avec la ferme détermination de suivre son bon exemple et de m'inspirer de ses vertus au moment d'exécuter mes devoirs constitutionnels.
Je m'engage à servir mon pays avec une dévotion sans réserve et toute ma détermination en tant que gardien vigilant des institutions libres du régime démocratique. Mes seules pensées et efforts seront toujours l'intérêt vrai et suprême de notre patrie[58]. »

Galerie

Bibliographie

  • (en) Leonard Bower, Otho I : King of Greece, A Biography, Royalty Digest, (ISBN 1-905159-12-9). [réédition d'un ouvrage de 1939] Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Captain Walter Christmas (trad. du danois), King George of Greece, New York, MacBride, Naste & Company, (ISBN 1402175272, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (fr) Édouard Driault et Michel Lhéritier, Histoire diplomatique de la Grèce de 1821 à nos jours : Le Règne d'Othon - La Grande Idée (1830-1862), t. II, PUF, (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (fr) Édouard Driault et Michel Lhéritier, Histoire diplomatique de la Grèce de 1821 à nos jours : Le Règne de Georges Ier avant le traité de Berlin (1862-1878) - Hellénisme et slavisme, t. III, PUF, (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • (en) Stelio Hourmouzios, No Ordinary Crown : A Biography of King Paul of the Hellenes, Weidenfeld & N, (ISBN 0-297-99408-5). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Nicholas Tantzos, H.M. Konstantine XIII : King of the Hellenes, Atlantic International Publications, , 264 p. (ISBN 0-938311-12-3). Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) John Van der Kiste, Kings of the Hellenes : The Greek Kings, 1863-1974, Sutton Publishing, , 200 p. (ISBN 0-7509-2147-1). Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes

Liens externes

Site de l'ancienne famille royale

Autres sites internet

Notes et références

Notes

  1. Ce discours est reproduit, en anglais, à l'adresse qui suit : (en) Michael Duffy, « King Alexander's Coronation Address to Greek Parliament, 4 August 1917 », sur First World War, (consulté le ).

Références

  1. Tantzos 1990, p. 115.
  2. Driault et Lhéritier 1926, p. 136-137.
  3. Bower 2001, p. 79.
  4. « Grèce - Constitution du 18/30 mars 1844 », sur Digithèque de matériaux juridiques et politiques, Université de Perpignan, (consulté le ).
  5. « Grèce - Constitution du 16/28 novembre 1864 », sur Digithèque de matériaux juridiques et politiques, Université de Perpignan, (consulté le ).
  6. « Grèce - Constitution du 16/28 novembre 1864 (version de 1911) », sur Digithèque de matériaux juridiques et politiques, Université de Perpignan, (consulté le ).
  7. (el) Royaume de Grèce, « Ψήφισμα περί ψηφίσεως του υπό της Επιτροπής του ΞΗ΄ Ψηφίσματος της Δ΄ Αναθεωρητικής Βουλής συνταχθέντος νέου Συντάγματος » [« Résolution sur le vote de la nouvelle Constitution rédigée par le Comité XDC du Parlement de la quatrième révision »], Ἐφημερίς τῆς Κυβερνήσεως (Gazette du Gouvernement grec), vol. A, no 1, , p. 8 (lire en ligne), contenant le texte de la Constitution de la Grèce de 1952.
  8. Van der Kiste 1994, p. 15.
  9. Hourmouzios 1972, p. 12.
  10. Driault et Lhéritier 1926, p. 85.
  11. Driault et Lhéritier 1926, p. 86.
  12. Bower 2001, p. 29.
  13. (el) « Ἐγχώριοι εἰδήσεις », Ἐθνικὴ Ἐφημερίς, no 17, 15-27 juin 1832 (lire en ligne).
  14. Driault et Lhéritier 1926, p. 97.
  15. Driault et Lhéritier 1926, p. 99-101.
  16. Bower 2001, p. 36-41.
  17. (el) Τέπη Πιστοφίδου, « Άφιξις του Όθωνος εις Ναύπλιον », The Royal Chronicles, (lire en ligne).
  18. Driault et Lhéritier 1926, p. 136.
  19. Driault et Lhéritier 1926, p. 135-136 et 141-142.
  20. Bower 2001, p. 133.
  21. Driault et Lhéritier 1926, p. 261.
  22. Driault et Lhéritier 1926, p. 487-488.
  23. Driault et Lhéritier 1926, p. 7 et 54-55.
  24. Driault et Lhéritier 1926, p. 57-58.
  25. Driault et Lhéritier 1926, p. 63-79.
  26. Driault et Lhéritier 1926, p. 79-82.
  27. Hourmouzios 1972, p. 11-12.
  28. (el) Ιωάννη Καστρινάκη, « 25 Μαΐου 1863: Η προσφορά και αποδοχή του Ελληνικού στέμματος στον Γεώργιό Α΄ », The Royal Chronicles, (lire en ligne).
  29. Driault et Lhéritier 1926, p. 81-82.
  30. (el) Ανδρέας Μέγκος, « 18 Μαρτίου 1863: Αναγορεύεται Συνταγματικός Βασιλεύς των Ελλήνων ο Γεώργιος Α′ », The Royal Chronicles, (lire en ligne).
  31. Christmas 1914, p. 61.
  32. Driault et Lhéritier 1926, p. 94.
  33. Driault et Lhéritier 1926, p. 86.
  34. Christmas 1914, p. 62-63.
  35. Driault et Lhéritier 1926, p. 135.
  36. Van der Kiste 1994, p. 20.
  37. Christmas 1914, p. 71-72.
  38. Van der Kiste 1994, p. 74-75.
  39. Van der Kiste 1994, p. 75-76.
  40. « Le Nouveau règne en Grèce », L'Illustration, no 3657, , p. 284 (lire en ligne).
  41. Van der Kiste 1994, p. 89-101.
  42. Van der Kiste 1994, p. 106.
  43. Van der Kiste 1994, p. 107.
  44. Palmer et Greece 1990, p. 60.
  45. Van der Kiste 1994, p. 107-108.
  46. « Le Discours du trône d'Alexandre de Grèce témoigne d'intentions excellentes », Excelsior, , p. 2 (lire en ligne, consulté le ).
  47. Van der Kiste 1994, p. 125-128.
  48. Van der Kiste 1994, p. 128-129.
  49. Van der Kiste 1994, p. 132-137.
  50. Van der Kiste 1994, p. 137.
  51. (el) « Πρώτη ενθρόνιση Βασιλέως Γεωργίου Β' », sur The Greek Royal Family (consulté le ).
  52. Van der Kiste 1994, p. 138-139.
  53. Van der Kiste 1994, p. 144.
  54. Van der Kiste 1994, p. 153-154.
  55. Hourmouzios 1972, p. 184-185.
  56. « Paul Ier succède à Georges II - Le cabinet Maximos reste en fonctions », Le Monde, (lire en ligne).
  57. Hourmouzios 1972, p. 185.
  58. (en) « Greek King Dead - Son, 23, Will Reign », The New York Times, (lire en ligne).
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