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Gérald Hanning

Gérald Charles Hugh Hanning (15.9.1919 - 31.12.1980) était un urbaniste français qui a eu une importante carrière internationale et en France[1] - [2].  

Gérald Hanning
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Biographie
Naissance
Décès
(à 61 ans)
Nationalité
Formation
Activité
Urbaniste

Biographie

Il est né à Tananarive, Madagascar. Sa mère, Alice Gilbert-Pierre était originaire de la Réunion, et son père écossais, Charles James Hanning, venait de l'île Maurice.  Après le décès de son père dans un accident de moto alors qu'il n'avait que deux ans, il a vécu à Madagascar en présence de ses oncles paternels jusqu'à l'âge de douze ans.   De ce fait il était entièrement bilingue en anglais et en français. Cette immense île tropicale où les forces de la nature sont omniprésentes, semble l'avoir marqué pour toujours et influencé sa manière de percevoir le monde.

En 1932 il a été réuni avec sa mère à Paris. Un ami de sa famille, le sculpteur Joël Martel, l'a présenté à Le Corbusier avec lequel il a travaillé de 1937 à 1947[3].  Il a été inscrit comme étudiant à l'ENSBA dans l'Atelier d'Architecture Debat Ponsan de 1937 à 1945.  Pendant la Guerre, Le Corbusier avait peu de commandes et a investi son énergie dans de nouvelles théories et modèles d'architectures discutant avec son équipe tard dans la nuit.  Après son incarcération pour des raisons militaires d' à au Fort du Ha à Bordeaux[4], ce qui a ébranlé sa santé, Hanning est parti en convalescnce dans les Alpes.  De cette époque il existe une importante correspondance illustrée où Hanning exprime ses réflexions à propos de l'architecture et de la ville ainsi que des détails concernant Le Modulor et le concept de l'Unité d'Habitation ou Cité Radieuse[5].

Après la deuxième guerre mondiale, à un moment critique de l'histoire, quand la reconstruction de villes entières ainsi que la fin de la colonisation, ont rendu les questions urbaines cruciales, il a pris ses distances avec le Movement Moderne et les CIAM (Congrès International de l'Architecture Moderne). En opposition aux plans quadrillés du Mouvement Moderne, ses projets d'urbanisme s'inspiraient d'une totale compréhension de la géographie du lieu.  Son idée n'était pas de rejeter la tradition mais de l'intégrer dans la modernité. Dans son milieu professionnel il a laissé partout où il travaillait le souvenir d'un urbaniste exceptionnel et d'un homme enthousiaste et généreux.  C'était un illustrateur doué et un idéaliste qui associait un grand pragmatisme à la mise en œuvre d'idées fort originales dans un domaine peu connu du grand public.

Le projet de Dakhla (voir ci-dessous) représente l’apothéose de la carrière de Gérald Hanning.  Celle-ci a été interrompue lorsqu'il décède prématurément, sur sa table à dessin, le âgé de 61 ans.

Collaboration avec Le Corbusier

En 1943 il est membre fondateur de l'ASCORAL (Assemblée des Constructeurs pour une Rénovation Architecturale)  et contribue activement à la rédaction du système de proportion, 'Le Modulor', de Le Corbusier[6] ainsi qu'à la publication 'Les Trois etablissements Humains'[7]. En 1945, à peine âgé de 26 ans, Le Corbusier le nomme à la tête de la fameuse agence au 35 rue de Sèvres.  La même année Le Corbusier reçoit la commission pour la reconstruction de la ville de St Dié qui avait été détruite par les Nazis en 1944.  C'était une opportunité de démontrer toute la pertinence des thèses des CIAM.

1945 St Dié, France.  Hanning et André Wogenscky, architecte, réalisent les dessins.  En total contraste avec l'ancien tissu urbain de la ville moyenâgeuse aux ruelles étroites et au dens bâti mal éclairé et insalubre, les plans de Le Corbusier proposent un paysage de parcs et un réseau de voirie moderne où sont implantées au nord de la Meurthe cinq Unités d'Habitations pour 1 600 habitants chacune, et une tour de 75 m pour héberger la municipalité, la sous-préfecture, le trésor public, les impôts et services sociaux. Longeant l'autre rive du fleuve sur 1200 M sont implantés des 'manufactures', des bâtiments standards ou "usines vertes"[8].

En le conseil municipal de St Dié vote pour rejeter la proposition de Le Corbusier.

1946 USA. Hanning et Vladimir Bodiansky[9], Ingénieur, partent en mission aux États-Unis défendre les propositions de Le Corbusier pour le projet des Nations unies à New York, et présenter Le Modulor aux industriels américains.

1946-1947 Mayence, Allemagne.[10]  Hanning et l'architecte Marcel Lods élaborent le projet de reconstruction de la ville industrielle allemande entièrement détruite par des bombardements de la RAF le .  De certains points de vue la démarche est similaire au projet de St Dié. Les dessins vigoureux de Hanning illustrent la tradition et le renouveau comme deux forces continuellement opposés.  Ce projet n'a pas abouti non plus. Cette expérience semble l'avoir marqué personnellement.  

1947 démission de Le Corbusier. Dans une lettre chargée d'émotion (10.10.47) Hanning remet en cause les idées de base de l'Ascoral et les CIAM[3].

Carrière d'urbaniste

À partir de cette rupture en 1947 il s'oriente vers une carrière d’urbaniste et œuvrera toute sa vie pour proposer une alternative aux thèses des CIAM.   Aux antipodes du radicalisme du Mouvement Moderne, il n’essayait pas d’émuler la tradition mais de l’intégrer dans une expression innovante.  L'intérêt de sa démarche, écologiste et antimondialiste avant l’heure, consiste à fonder tout projet d'urbanisme sur une reconnaissance des valeurs intrinsèques du site.

1947-1948 Claude Laurens architecte, Bruxelles y travaille avec Roger Aujame, architecte.

1947-1949 Côte d'Ivoire et Guyane française avec Marcel Lods il réalise des projets de logements et de santé.

1949 - 1950 Ile de la Réunion; Urbaniste Conseil du Préfet de la Reunion pour le Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme[11].

1950 Paris, Chargé de Mission au Ministère de l'Aménagement du Territoire, Service du Plan.

1950-1953 AT.BAT avec Jean Bossu, Architecte et Vladimir Bodiansky, conçoit des projets standardisés d'école et de logements[12].

1953-1959 Alger Pierre Dalloz, Conseiller en Urbanisme de la Planification, le nomme Directeur du projet de la région d’Alger. Il crée pour la première fois une agence d’urbanisme en vue de libérer l’urbaniste des pressions politiques.  Il conçoit le plan de développement pour la ville couvrant plus de cent mille hectares. La manière dont il intègre les caractéristiques géographiques du site se dénote des plans tramés du Movement Moderne[13] - [14].

1954 Paris - Chef de Service Technique du Plan, Hôtel de Ville de Paris[15]

1959 Ghardaïa, Algérie, commence le plan d'urbanisme du plâteau de M'Zab avec André Ravereau à qui il confie le projet car il quitte l'Algérie.

1959-1970 Nations unies Directeur Adjoint du Bureau d'Urbanisme et d'Habitat.

1959-1965 Cambodge[16] Consultant des Nations unies conseiller technique du bureau d'urbanisme de Phnom Penh.  Il dirige le plan de développement du Grand Phnom Penh, le projet du 'Front de Bassac' et la ville nouvelle du port en eau-profonde de Sihanoukville.  Il est conseiller technique avec Vladimir Bodiansky, du Complexe Sportif National[17] - [18] - [19] - [20]construit en un temps record aux normes Olympiques, à Phnom Penh, de l'architecte Vann Molyvann, inauguré le . Il participe à l'effort du Sangkum à des experiences de logement de toutes sortes[21].

1963-1965 AFTRP (Agence Foncière Technique de la Région Parisienne) Il crée et dirige le service des études générales. Il lance ses recherches sur les structures foncières en vue de définir une politique d'acquisition pour la Région de Paris.

1965 Carros le Neuf, Nice avec Henri Beri, Architecte, il élabore le projet de ville nouvelle où il innove pour la première fois en France avec l'idée du transfert technologique en planifiant l'industrie de haute technologie à proximité des chercheurs scientifiques universitaires dans un environnement urbain de qualité - 3500 habitations.

1966 – Pakistan Est (Bangladesh) Consultant des Nations unies pour le développement urbain.

1967 - Singapore Consultant des Nations unies pour le développement urbain.

1967-1970 – Alpes Maritimes Côtes d'Azur Urbaniste-conseil auprès de l'ODEAM (Organisation départementale d’études des Alpes-Maritimes) pour un schéma d'aménagement et de protection du littoral.

1967 –1969 Isola 2000 Alpes Françaises – avec Beri, consultant privé pour la conception de cette station de ski.

1970-1971 - Madagascar Consultant des Nations unies pour l'étude du site de Tananrive et la politique d'habitat[22].

1971 Provence-Alpes-Côte d’Azur - élaboration du Schéma d’aménagement du plan de protection et de mise en valeur des ressources du littoral et des fronts de mer, conseiller technique auprès du chef du Service Régional de l’Équipement.

1971 Plâteau de Valbonne DATAR - mise au point du projet du complexe industriel et scientifique de Sophia Antipolis, technopole française[23].

1972 Paris La Défense organise le concours d'idées pour ce nouveau quartier d'affaires[24].

1973 – 1980 IAURP[25] (Institut d’Amenagement et d’Urbanisme de la Région Parisienne) Conseiller Technique[26].

1973 – 1980  Agadir, Maroc, obtient le mandat pour l'IAURP pour la réalisation du SDAU (Schéma d'Aménagement Urbain) de la Région d'Agadir et les Trois Cités dont la ville nouvelle de Dakhla.

1973-1976 IAURP Hanning réalise une série de conférences qui auront un grand retentissement dans le milieu professionnel.

1974 Paris SDAURP Schéma directeur de Composition Urbaine de la Région Parisienne (approuvé 1975).

1974-1976 PARIS Plateau de Saclay Projet d'aménagement d'un ensemble scientifique et industriel paysagé aujourd'hui considéré comme l'un des plus performants du monde (comparable à Silicon Valley).

1976 Etude réalisée avec Robert Cresswell "Note sur l'habitat traditionnel.  Transfert de techniques et chaines operatoires"

[27]

1976 CORDA (contrat de recherche de la Direction de l’Architecture) avec Paul Ceccaglini & Annick Jaouen "La trame foncière comme structure organisatrice de la mise en forme du paysage". Cette recherche nous lègue en 7 tomes ses théories et méthodes concernant la trace du foncier et la manière dont de nouveaux projets peuvent s'y appuyer[28]

1977-1980  – Paris - Quartier de la Défense; POS de Paris (plan d'occupation des sols); restructuration du quartier des Halles; projet de croissant-vert du Nord-Est; Le Bourget ; Saint-Quentin-en-Yvelines centre ville.

1979 Agadir, Dakhla, Maroc En Hanning s’attèle à l’étude de Dakhla[29], une ville nouvelle dans la région d'Agadir[30] destinée à quarante mille habitants. Une série de magnifiques dessins[1] nous donne un aperçu de la faisabilité de la trame foncière appliqué à un projet urbain. Il réalise également un règlement d’aménagement ainsi que des prescriptions architecturales extrêmement détaillés.  Cette ville a été construite en respectant ses consignes.

Héritage - Innovations pour la gestion urbaine.  

En plus des nombreux projets d'urbanisme qu'il a créé Hanning a inventé plusieurs outils de gestion urbaine qu'il a conçu afin d'améliorer l'adaptation de ses plans à la réalité du terrain et les voir se construire. De nombreux projets d'urbanisme restent à l'état d'embryon sur papier. Conscient de cette difficulté, Hanning a cherché a déverrouiller la plus grande difficulté: celle du foncier.

  • le COS.  En 1954 alors qu'il travaillait pour le Bureau d'Urbanisme de la Mairie de Paris il a eu l'idée d'un système de calcul pour définir la densité des bâtiments proportionnellement à la taille du terrain qui sera baptisé dix ans plus tard ‘coefficient d’occupation des sols’, ou 'COS'. Le 'zoning' de secteurs de ville auxquels on attribue tel ou tel droit de bâtir ne tient pas compte de la diversité des propriétés composant telle zone. Le 'COS' permet de préciser pour chaque parcelle, un ratio de densité de bâtiment qui peut être aisément traduit en m2 pour chaque propriété.
  • l'Agence d'Urbanisme.  En 1956 à Alger, il a créé et mis en pratique pour la première fois 'l'Agence d'Urbanisme', une structure pour héberger des projets d'urbanisme qui les libère de l'inévitable pression politique dont ils ont tendance à souffrir. Lorsque Pierre Dalloz a nommé Hanning Chef de Service Technique de Plan d'Alger en 1953, ils ont réfléchi ensemble à la meilleure manière de gérer efficacement un projet. Le témoignage de J-J Deluz nous éclaire à ce sujet[31]. "toute la nouveauté de l’urbanisme gestionnaire de l’agence du plan venait de Hanning, sur les bases du soutien de Chevallier et de Dalloz"..."La clé du problème est que l’agence du plan fut la première tentative d’instauration d’un urbanisme de gestion se substituant – ou plutôt se superposant – à l’urbanisme classique de réglementation et de contrôle. À l’impuissance de l’urbanisme classique, qui s’avère incapable de dépasser l’application des « zoning », n’ayant aucune marge de créativité, au concept limité de «gouvernance», se substitue un urbanisme d’intervention, de propositions et contrepropositions, d’orientation idéologique, (l’idéologie de la ville et de l’humanisation de l’espace), qui est action et créativité." Cette invention a eu un impact considérable car 'l'Agence d'Urbanisme et de Développement' est devenue la norme en France. Mais qui se souvient du nom de l'inventeur?
  • la trame foncière.  En 1963, avec J. Coignet et B. Warnier, alors qu'ils cherchent à identifier les sites pour les villes nouvelles de la région parisienne, il formule pour la première fois l'idée de "la trame foncière" qui fera l'objet de sa recherche CORDA de 1976[28]; L'idée est basée sur le constat que le parcellaire de tout lieu investi par l'humanité, qui peut être millénaire, conserve la trace d'une 'intelligence d'occupation'qui coincide souvent avec la trame foncière. Le premier homme qui défrichait un terrain intégrait instinctivement les caractéristiques géographiques du lieu dans son effort: les dénivelés, les plus grandes pentes, les sources et rivières, l'orientation solaire, les gisements de rochers, et la quantité de travail réalisable dans une journée. La trace de la première activité agricole, implantation de bâtis ou de voies était intégré au fur et à mesure dans les différentes occupations du sol. Dans un pays comme la France ces anciennes traces correspondent souvent aux limites de propriété, puisque la notion de propriété du sol est une vieille tradition introduite par les Romains.
  • la composition urbaine[32] C'est l'appellation que Hanning donne à sa méthode de création urbaine ou 'urban design' ; et aussi l'objet de ses conférences de 1973-1976. Fondée sur l'analyse par de nombreux dessins juxtaposés des 'traces' sur les plans d'un site, Hanning recherchait comme un archéologue "la trame foncière", "puisque le parcellement foncier est à la base du canevas du paysage. La parcelle est l'unité spatiale élémentaire sur laquelle portent les décisions pratiques, les faits qui agissent sur le paysage". (Hanning, Checaglini, Jaouen, "Recherche sur le rôle de la trame foncière comme structure organisatrice de la mise en forme architecturale des paysages", Rapport Provisoire p 10). En respectant ce 'langage' du terrain, tout nouveau plan intègre automatiquement son intelligence ce qui permet d'importantes économies pour l'acquisition du parcellaire, pour la construction des infrastructures (car respectueux de la topographie), pour l'implantation du bâti, mais aussi pour le confort climatique de ce dernier, et l'intégration harmonieuse dans un paysage qui allie la tradition avec la modernité.

Ces idées étaient en opposition à la 'tabula rasa' préscrit par le Movement Moderne, mais aussi écologiques avant l'heure, applicables à toute culture ou lieu géographique et en respect des valeurs du lieu.

Notes et références

  1. « "La Carriere internationale d'un grand urbaniste - Gérald Hanning" », Cahiers de l'IAURIF, vol 62 édition speciale 1981
  2. Helen Grant Ross, "Gérald Charles Hugh Hanning, Architecte Urbaniste 1919-1980" Diplôme d'Etudes Approfondies, UFR Histoire de l'Art et Archéologie, Université de Paris 1 - Panthéon Sorbonne, Paris,
  3. Fondation Le Corbusier, Paris correspondance avec Gérald Hanning
  4. Archives Départementales de la Gironde
  5. Hanning, Gérald; correspondance privé avec Joël Martel, Loup Hanning, fils, 1941
  6. Le Corbusier, Le Modulor Essai sur une mesure harmonique à l'échelle humaine applicable universellement à l'architecture et à la mécanique, Bäsel, Suisse, Birkhäuser, , p. 36-43
  7. Hanning Gérald, Bézard, J. Commelin, Coudouin, J. Dayre, Hya Dubreuil, Le Corbusier, Leyritz, , Aujames, de Looze, Les Trois Etablissements Humains, Paris, Denoël,
  8. Le Corbusier, Le Corbusier 1910-1965, Zurich, Edition Girsberger,
  9. Centre de Documentation Georges Pompidou, Paris, détient les archives privées de Vladimir Bodiansky
  10. Cohen, Jean-Louis, Ein neues Mainz?: Kontroversen um die Gestalt der Stadt nach 1945., De Gruyter,
  11. Bernard Leveneur, 60 ans de culture urbaine Société Immobilière du Département de la Réunion, Éd. du 4 Épices, (SIDR),
  12. Dousson, Xavier; Jean Bossu, Architecte 1912-1983 - PhD; Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne UFR03 Histoire de l’art et Archéologie, 2010
  13. Malverti, Xavier, ALGER Méditerranée, soleil et modernité, Liège, Mardaga.,
  14. Deluz JJ, l'urbanisme et l'architecture d'Alger apercu critique., Liège, Belgique, Mardaga,
  15. Hanning, Gerald 1976 CV en anglais, archive personnelle de Paul Ceccagglini 2002
  16. (en) Grant Ross, Helen & Collins, Darryl Leon, "Building Cambodia 'New Khmer Architecture' - 1953-1970",, Bangkok, The Key Publisher, (ISBN 974-93412-1-X)
  17. HANNING, Gerald, BODIANSKY, Vladimir, VANN Molyvann, « "le complexe olympique et forum de Phnom Penh - dans la grande tradition angkorienne" », Techniques et Architecture vol 25,
  18. (it) HANNING, Gerald, BODIANSKY, Vladimir, VANN Molyvann, « "complesso olimpico des Sud-Est Asiatico foro della citta di Phnom Penh" », Rassegna dei lavori pubbici vol 4,
  19. HANNING, Gerald, BODIANSKY, Vladimir, VANN Molyvann, « "le complexe sportif de Phnom Penh" », Cahiers du Centre Scientifique et Technique du Batiment vol 73,
  20. HANNING, Gerald, BODIANSKY, Vladimir, VANN Molyvann, « "le complexe olympique de Phnom Penh" », Architecture d'Aujourd'hui vol 34,
  21. HANNING, Gerald, Nobuo Goto et Setsuo Okada, « “Réadapter l’Autoconstruction Tentative Cambodgienne (1963)” », Architecture d'Aujourd'hui vol 167, mai juin 1973
  22. Hanning, Gérald; "Valeurs du site de Tananarive; consequences d'amenagement. Notes de reconnaissance" IAURIF 42272 Décembre 1970
  23. Hanning, Gérald avec BERI, H, DIAMANT BERGER, R; "Le complexe industriel et scientifique du plateau de Valbonne" OTAM et ODEAM; BN FRBNF35253718 - IA 5036
  24. Hanning, Gérald; "Etude pour l'ensemble de Tête de la Defense"; IAURIF pour l'EPAD, Paris 1972
  25. IAURP devient IAURIF, actuellement IAU-IDF rue Falguières, 75015 PARIS Centre de Documentation détient de nombreux travaux, documents et archives.
  26. « catalogue des dessins de Gérald Hanning », sur IAU-IdF, (consulté en )
  27. HANNING, Gerald & CRESSWELL, Robert (avec Paul Checcaglini et Annick Jaouen) "Note sur l'habitat traditionnel.  Transfert de techniques et chaines operatoires" UNESCO 1976
  28. HANNING, Gerald, JAOUEN Annick & CHECCAGLINI, Paul, "La trame fonciere comme structure organisatrice de la mise en forme du paysage.", Paris, CORDA, , 7 volumes plus conclusions
  29. BECARD, Laurent, “Trois Cités Nouvelles autour d’Agadir”, IAURIF document 1984
  30. Guigues, Suzanne, de Fombelle, Laurent & Devoize; "Schema Directeur de l'aire urbaine d'Agadir et de son arriere-pays. Cadre de reference a long terme. Schema de structure." March 2002
  31. Deluz, Jean-Jacques, Le tout et le fragment, Éd. Barzakh, Alger, 2010, p. 9-26.
  32. « La composition urbaine Trois textes de Gérald Hanning », sur Institut de l'Architecture et de l'Urbanisme, (consulté en )


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