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Fonds forestier national

Le Fonds forestier national (FFN) était un fonds français, créé en 1946 pour permettre une gestion plus dynamique des forêts françaises et pour aider la filière bois à se développer. Il visait principalement à encourager le reboisement (en résineux surtout) et à désenclaver les forêts, c'est-à-dire y favoriser l'accès aux grumiers.

Il a permis de mobiliser 32 milliards de francs (francs 1999 soit 6,3 Mrd € 2015) durant un demi-siècle[1].

Alimenté par une taxe fiscale, il échappait à l’annualité budgétaire. Ayant été jugé inadapté sous cette forme, il n'existe plus depuis le , remplacé depuis par d’autres aides de l’État, notamment la contribution volontaire obligatoire (CVO) qui alimente France Bois Forêt, interprofession regroupant les différents métiers de la filière forêt-bois.

Certains comme Jean Puech[2] estiment aujourd'hui qu'il manque au développement de la forêt communale et privée.

Fonctionnement

Aides du FFN de 1947 à 1999 (d'après Dodane, 2009 actualisé)

Durant la seconde moitiĂ© du XXe siècle (1947 Ă  1999), le FFN a drainĂ© 6,3 milliards d’euros 2015 (32 milliards de francs 1999[3]), soit en moyenne 122 millions d’euros par an. Cependant cette moyenne masque des disparitĂ©s temporelles. En effet les recettes du FFN se sont accrues progressivement jusqu’en 1980 pour se stabiliser approximativement autour de 150 millions d’euros par an (800 millions de francs) pendant la dĂ©cennie 1980. Mais  dès ces annĂ©es-lĂ , la Commission EuropĂ©enne a Ă©mis des critiques juridiques sur la taxe française unique sur les produits forestiers, ce qui a conduit la France Ă  crĂ©er avec la loi de finances de 1991 une nouvelle taxe forestière Ă  l'assiette diffĂ©rente. Entre 1990 et 1992, les recettes du FFN ont chutĂ© de près de 60% n’atteignant plus que 70 millions d’euros par an (375 millions de francs[4]). Après 1992, le budget de l’État est intervenu pour complĂ©ter la part du FFN et drainer certains financements europĂ©ens (le montants des financements europĂ©ens et du budget de l’État ne figurent pas sur le graphique des recettes totales du FFN). MalgrĂ© ces rĂ©formes des investissements publics forestiers, la fin du FFN fut prononcĂ©e (loi de finances de 2000) Ă  la grandes satisfaction des industriels de la filière forĂŞt-bois, le FFN Ă©tant devenu d’outil fĂ©dĂ©rateur de la filière, une « vĂ©ritable pomme de discorde »[5].

Sur les 6,3 milliards d’euros de recettes entre 1947 et 1999, seulement 44% en moyenne (soit 2,5 Md€ ou 14,3 MdF[3]) furent directement affectées aux boisements, reboisements et améliorations des peuplements[1]. Mais cette moyenne masque une diminution régulière de la part des dépenses du FFN réellement affectée au boisement et reboisement (55% environ de 1950 à 1969, de 40% au cours des années 1970 et de 30% durant les décennies 1980 et 1990). Les autres grands postes de dépenses du FFN en plus des frais de personnel et de fonctionnement étaient au nombre de six[6] :

  • la production de graines et de plants forestiers (dont crĂ©ation de sècheries - comme celle de la Joux Ă  Supt dans le Jura -, de pĂ©pinières administratives - comme celles de Peyrat-le-Château, de GuĂ©menĂ©-Penfao -, de vergers Ă  graines...),
  • la recherche, la formation et la vulgarisation,
  • les organismes de dĂ©veloppement forestier et du bois (dont le financement de l’Institut pour le DĂ©veloppement Forestier - IDF -, du Centre Technique du Bois et de l’Ameublement - ex-CTBA, dĂ©sormais regroupĂ© au sein du FCBA -, de l’Association ForĂŞt-Cellulose - ex-AFOCEL, dĂ©sormais regroupĂ© au sein du FCBA -, des Centres RĂ©gionaux de la PropriĂ©tĂ© Forestière - CRPF -, de l'Inventaire Forestier National - ex-IFN -...),
  • la conservation des forĂŞts (avant le rĂ©gime SĂ©rot-Monichon de 1959[7], octroi de prĂŞts en numĂ©raire, dits « de conservation » dès lors que certaines propriĂ©tĂ©s Ă©taient menacĂ©es Ă  la suite d'une succession de coupes abusives ou de dĂ©membrement)
  • les Ă©quipements forestiers (routes, pistes, DFCI, place de dĂ©pĂ´t et de retournement, accueil),
  • le dĂ©veloppement de la filière forĂŞt-bois (aides Ă  l'amont de la filière, auprès d'entrepreneurs d'exploitation forestière, par l'achat de tracteurs forestiers, de machines d'abattage... ; aides Ă  l'aval de la filière, par la modernisation des scieries...).
Evolution des types d'aides (Legay, 2014)[8]

Le Fonds était un compte spécial du Trésor, alimenté par une taxe versée par les exploitants forestiers et le commerce de première transformation du bois (plusieurs milliers d’entreprises à l'époque).

Les aides ont pris des formes variées :

  • des subventions (en espèces ou en nature - ces dernières en « bons-subventions » permettant de s'approvisionner en plants auprès de pĂ©pinières forestières) qui ont permis le reboisement de petites surfaces, en moyenne de 1,7 ha ;
  • des Â« primes Â» (apparues en 1970), qui sont des subventions en espèces adaptĂ©es Ă  des surfaces gĂ©nĂ©ralement plus importantes (au moins 10 ha) ;  
  • des prĂŞts en numĂ©raire, Ă  faible taux d’intĂ©rĂŞt (0,25 %) ;
  • des « contrats » ; prĂŞts sous forme de travaux exĂ©cutĂ©s par l'État qui se remboursent sur les premières ventes de bois.

Histoire

Cet outil a été créé par la loi n°46-2172 du en application du programme du Conseil national de la Résistance, à la suite du rapport Leloup[9] () ainsi qu'un autre outil, de suivi et évaluation et de statistique, qui existe encore : l'Inventaire forestier national ou IFN créé le .

En 1945, dans son « Rapport sur une politique forestière », M. Leloup, Directeur Général des Eaux et Forêt, écrivait : « La définition d’une politique forestière est l’expression d’une volonté ; il s’agit d’abord de tracer l’orientation qu’on se propose de donner au marché des bois, et en conséquence de la politique à suivre vis-à-vis des entreprises forestières et de la forêt [nous suivrons] donc un ordre inverse [de celui suivi pour la présentation des données, à savoir] : politique du bois, politique des entreprises forestières, politique de la forêt »[10].

Selon cette loi, le Fonds forestier national visait à mettre en œuvre « tout ce qui a pour but d’accroître les ressources forestières, de faciliter l’écoulement des produits forestiers et de mieux satisfaire les besoins en bois de la population »[11].

Le FFN visait notamment répondre aux séquelles de guerre (forte demande de bois liée à la reconstruction qui a fait suite à la Seconde Guerre mondiale, la Première Guerre mondiale ayant elle-même été source de forte pression sur la forêt française). Il a ensuite répondu à :

  • la demande croissante de fibres (secteur papier en forte croissance durant plus de 50 ans) ;
  • demande croissante en bois-matĂ©riaux, dans un contexte oĂą la construction a Ă©tĂ© dopĂ©e par les suites du Baby boom, et le contexte de forte immigration et de dĂ©veloppement des rĂ©sidences secondaires durant les Trente Glorieuses).

Ainsi le Comité de contrôle du FFN (créé en 1947) avait fixé comme objectif chiffré à celui-ci, mais non véritablement localisé, de boiser et reboiser sur une période de 30 ans (1947-1977), 2 millions d’hectares répartis comme suit :

  • 800 000 hectares d’enrĂ©sinement de taillis ;
  • 700 000 hectares de reconstitution de peuplements dĂ©truits par les incendies, les insectes et la surexploitation due Ă  la guerre ;
  • 400 000 hectares de boisement en terrains nus et  
  • 100 000 hectares de plantations de peupliers[3].

Le fond a pleinement joué les rôles que lui avaient attribué les élus après guerre, mais les membres de la filière se plaignant de supporter trop de charges, et la surface forestière ayant fortement augmenté, l'idée de supprimer le FFN s'est progressivement développée dans les années 1980.
De plus, favorisant une concurrence déloyale par rapport à d'autres pays, il nécessitait une dérogation à la réglementation européenne.

Bilan du FFN

Evolution en boisement et reboisement (Legay, 2014)[8]
Evolution en résineux et feuillus (Legay, 2014)[12]
Évolutions comparées de la surface forestière et de la population en France. L'extension forestière reprend à un rythme élevé à partir dès 1946 grâce en partie aux aides publiques du FFN.

La surface boisée et reboisée a atteint au cours des 52 années de mise en œuvre du FFN un total 2 257 000 hectares (arrondi à 2,3 millions d’ha), soit une moyenne annuelle d’environ 44 000 ha. Cependant l’évolution en surface met en évidence une phase stationnaire de pleine activité du FFN de 1949 à 1967 où 55 000 hectares sont boisés ou reboisés chaque année, puis de 1967 à 1999 une décroissance continue et régulière, avec cependant quelques creux : en 1968 (dû aux événements de qui frappent le pays et déstabilisent l’Etat), en 1983 et 1993 (sûrement en conséquence d’une crise de la filière-bois).

On voit également que le rapport de boisement/reboisement reste à peu près constant à 60 % de reboisement, soit environ 0,9 Mha de boisement et 1,2 Mha de reboisement. Compte-tenu d’un taux de réussite des plantations avoisinant les 80%, l’augmentation de la surface boisée par le FFN est de l’ordre de 0,8 Mha. Cette valeur est à rapprocher de l’augmentation très importante de 5 Mha de la surface boisée en France durant la même période (1945 : 11 Mha et 2010 : 16 Mha)[13]. Ainsi ce sont très majoritairement des boisements spontanés dus à la déprise agricole et à l’exode rural qui se sont installés ; pour un 1 ha planté artificiellement, environ 5 ha de friches se sont boisés naturellement.

Parmi les aides du FFN, ce sont les subventions octroyées à des petites surfaces qui sont majoritaire (53%). Ainsi ce sont près de 1,9 Mha de « timbres-poste » d’une surface de 1 à 2 ha qui ont bénéficié du FFN[8], ce qui peut constituer actuellement un handicap en termes de gestion et d’exploitation. Concernant la nature des propriétaires, ce sont plus de 75% de surfaces appartenant à des propriétaires privés qui ont bénéficié des aides du FFN[14].

Le choix des essences introduites par le FFN s’est fait très majoritairement (à 83%, soit 1,9 Mha) parmi les résineux. Plus de la moitié s’est fait en pins (environ 65% pin maritime, 25% pin laricio, 5% pin noir d’Autriche, 5% pin sylvestre) en Douglas (environ 25%) et en Epicéas (15% ; épicéa commun et épicéa de Sitka). , après une majorité de Peupliers (Pop. I214, Pop. robusta...), viennent ensuite les Chênes (chêne pédonculé, chêne sessile, chêne rouge...) et le Hêtre. Malgré l'effort considérable de reboisement que fut le FFN, le contenu des archives est pauvres en détails technique sure les essences plantées et sur leur succès.

Critiques et limites du FFN

Ce fonds, outil principal (avec les incitations fiscales et le soutien de l'ONF et des CRPF) de la politique et stratégie forestière nationale de la France a durant 50 ans parfaitement répondu à :

  • un objectif d'extension forestière (plus de 2 millions d’hectares ont Ă©tĂ© plantĂ©s dont 1,5 million appartiennent Ă  des propriĂ©taires privĂ©s) et de dĂ©veloppement de pĂ©pinières forestières ; le FFN a dĂ©veloppĂ© un rĂ©seau de pĂ©pinières, dont certaines contribuant Ă  des expĂ©rimentations techniques sur la « mycorhization contrĂ´lĂ©e » de l'Ă©picĂ©a (Picea excelsa) et le douglas par exemple, pour gagner en croissance en pĂ©pinière et après plantation[15]. Ces expĂ©riences ont eu lieu dans la pĂ©pinière de Peyrat-le-Château (Haute-Vienne), de 40 hectares, situĂ©e entre 560 et 595 m d'altitude[15], sur un sol de lande ayant prĂ©alablement reçu fumures et engrais[15].
  • une volontĂ© de dĂ©veloppement de routes, pistes et cloisonnement permettant une exploitation plus rapide et rentable des forĂŞts ;
  • une volontĂ© de mise en place de système de dĂ©fense contre les incendies de forĂŞts (DFCI) en Aquitaine ;
  • Une volontĂ© de dĂ©veloppement des mĂ©tiers de la forĂŞt (Ă©quipement des scieries, amĂ©lioration de l'accessibilitĂ© aux matĂ©riels lourds, etc.) ;
  • La surface forestière a crĂ» de 30 % au cours de la deuxième moitiĂ© du XXe siècle.

Mais il a eu quelques effets pervers ou indirects :

  • l'enrĂ©sinement de la forĂŞt française : sur les nouvelles surfaces apparues grâce au FFN dans la forĂŞt française au cours de la seconde moitiĂ© du XXe siècle, les trois quarts seraient rĂ©sineuses (1,5 million d'ha sur 2)[16] ; en effet les rĂ©sineux (Ă©picĂ©a de Sitka, essence originaire de la cĂ´te ouest amĂ©ricaine, et douglas qui est une essence exotique) ainsi que les peupliers (divers clones très productifs, dont belgo-canadiens) ont Ă©tĂ© fortement privilĂ©giĂ©s ; par les critères d'Ă©ligibilitĂ© au FFN, puis d'ailleurs par d'autres systèmes d'aides jusqu'au dĂ©but des annĂ©es 1990. Cette prĂ©fĂ©rence a Ă©tĂ© Ă  l'Ă©poque justifiĂ©e par la recherche d'essences Ă  croissance très rapide (et donc Ă  courtes rĂ©volutions, permettant au sylviculteur de toucher les gains de ses propres investissements) et rĂ©pondant aux demandes du marchĂ© telles qu'elles s'exprimaient dans les annĂ©es 1945-1960 ; les plantations massives de rĂ©sineux avaient Ă  la fin de la Seconde Guerre mondiale Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©es d'intĂ©rĂŞt national). LĂ  oĂą l'aide aux feuillus existait, de nombreux sylviculteurs ont choisi une rentabilitĂ© Ă©ventuellement moindre, mais de plus court terme, et il existe encore dans beaucoup de rĂ©gions françaises (Morvan par exemple) un dĂ©sĂ©quilibre feuillu/rĂ©sineux ;
  • Ceci s'est fait au dĂ©triment de la biodiversitĂ© naturelle qui aurait Ă©tĂ© utile au maintien ou renforcement de la rĂ©silience des forĂŞts, face aux maladies introduites et au dĂ©règlement climatique.
  • Ces aides ont aussi encouragĂ© les coupes rases et l'artificialisation des forĂŞts, ainsi que leur fragmentation Ă©cologique.
  • Dans le contexte d'exode rural qui a accompagnĂ© l'industrialisation de l'agriculture, le reboisement s'est aussi fait au dĂ©triment de milieux tels que le bocage et les prairies de basse montagne qui offraient des habitats de substitution Ă  de nombreuses espèces des milieux ouverts ou semi-ouverts, qui ont vu leur habitat disparaĂ®tre avec la fermeture de certains paysages densĂ©ment enrĂ©sinĂ©s (seconde moitiĂ© du XXe siècle).
  • Dans le paysage cĂ©venol, le pin maritime a pris la place du châtaignier traditionnel, Ă©lĂ©ment important de l'identitĂ© cĂ©venole[17]. Les châtaigneraies rĂ©siduelles moins bien entretenues sont parfois tombĂ©es malades. Mais cette critique est contestable : le châtaignier est un arbre très exigeant (qualitĂ© du sol et pluviomĂ©trie), qui ne prospĂ©rait en bien des endroits que comme plante cultivĂ©e. Le retour aux conditions "sauvages" l'a condamnĂ©.
  • Le fonds a indirectement contribuĂ© Ă  privilĂ©gier certaines essences et certaines souches, parfois sans raison autre que l'opportunitĂ©, au dĂ©triment de la diversitĂ©, y compris intraspĂ©cifique (diversitĂ© gĂ©nĂ©tique)

Enfin, les conditions d'effacement des dettes auprès du FFN sont très critiquables : cela a constitué une aubaine pour de nombreux propriétaires, sans aucune contrepartie pour la collectivité qui avait financé.

Notes et références

  1. (Dodane 2009, p. 199)
  2. Jean Puech, « Rapport : Mise en valeur de la forêt française et développement de la filière bois », « Le Fonds Forestier National, l’outil disparu de la politique forestière » ; p. 12, sur fbie.org, (consulté le )
  3. (Dodane 2009, p. 194)
  4. (Dodane 2009, p. 198)
  5. Christian Barthod, « La réforme des financements publics aux investissements forestiers », Revue forestière française, no LIII - 1-2001,‎ , p. 15 (lire en ligne)
  6. (Dodane 2009, p. 204)
  7. P. Astie, « L'impôt de la protection de la nature. L'exemple du régime en faveur des mutations forestières », Revue juridique de l'Environnement Année 1 pp.,‎ , p. 34-61 (lire en ligne)
  8. (Legay et Le Bouler 2014, p. 14)
  9. Jean Gadant, « Quarante ans au service de la forêt française », Revue forestière française,‎ , p. 10 (lire en ligne)
  10. Arnaud Sergent, « Il était une fois la filière forêt-bois... Histoire d’une catégorie politique », sur xylofutur.fr, (consulté le )
  11. « La forêt plantée en France : état des lieux », (L'If n°40 - encadré 3 - p. 14/16), sur inventaire-forestier.ign.fr, (consulté le )
  12. (Legay et Le Bouler 2014, p. 16)
  13. Clément Dodane, Bernard Prevoto et Myriam Legay, « Les nouvelles forêts : quels peuplements, quelle gestion ? Contribution aux réflexions sur le devenir des forêts en France », sur ign.fr, (consulté le ), p. 9
  14. H. de Rochebouet, « Le reboisement », Revue forestière française « n°spécial - Le Fonds forestier national »,‎ , p. 39 (lire en ligne)
  15. Le Tacon F & Valdenaire J-M (1980) La mycorhization contrôlée en pépinière. Premiers résultats obtenus à la pépinière du Fonds forestier national de Peyrat-le-Château (Haute-Vienne) sur épicéa (Picea excelsa) et douglas (Pseudotsuga douglasii), Revue Technique et forêt, 13 pages.
  16. Clément Dodane, « Quelle est la part du FFN dans la transformation du visage des forêts françaises au cours de la seconde moitié du XXe siècle ? », sur geoconfluences.ens-lyon.fr, (consulté le )
  17. Compte-rendu d'un colloque « Compte-rendu Marcele TRIGEIRO & Sophie Vareilles (INSA de Lyon) : « Quand changer signifie reproduire... Notes sur le changement à partir de l'exemple de l'urbain » » (École normale supérieure Lettres et Sciences humaines, consulté 2007 07 05)

Annexes

Bibliographie

  • ClĂ©ment Dodane (chapitre 3.2. « Le FFN, une politique forestière ambitieuse dotĂ©e d’un outil financier original : des milliards de recettes pour des millions d’hectares plantĂ©s » ; pp. 194-223), Les nouvelles forĂŞts du massif central : enjeux sociĂ©taux et territoriaux (Thèse de GĂ©ographie), (lire en ligne [PDF])
  • Collectif (27 articles en 6 rubriques : 1) fonctionnement d’hier et aujourd’hui, 2) les reboisements, 3) les Ă©quipements forestiers, 4) l’aval, 5)autres domaines d’intervention et 6) libres-propos), Le Fonds Forestier National (numĂ©ro spĂ©cial pour le 40e anniversaire), Revue forestière française, , 176 p. (lire en ligne)
  • Collectif (43 articles en 4 rubriques : 1) qu’est que le FFN, 2) les reboisements, 3) l’équipement des forĂŞts et 4) autres domaines d’intervention), Le Fonds Forestier National (numĂ©ro spĂ©cial), Revue forestière française, , 252 p. (lire en ligne)
  • Bouchon J (1984) Importance des plantations de douglas et Ă©picĂ©a en France. Revue Forestière Française, 1984, 4, fascicule thĂ©matique" Évolution et traitement des plantations d'EpicĂ©a commun et de Douglas".
  • Myriam Legay et HervĂ© Le Bouler (chapitre 5. « Exploitation des donnĂ©es du Fonds forestier national » ; pp. 10-22), ElĂ©ments d'histoire et de rĂ©partition gĂ©ographique des essences forestières introduites en France mĂ©tropolitaine (projet NOMADES ; fascicule 1), Ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la ForĂŞt, , 45 p. (lire en ligne [PDF])

Articles connexes

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