Eunicella singularis

C'est une gorgone d'un blanc assez pur, sur lequel se détachent (quand l'animal est vivant et non rétracté) des polypes bruns. Les rameaux sont très souples, grêles, et peuvent être assez longs ; peu ramifiés (ils le sont surtout à la base), ils sont souvent portés dressés à la verticale, mais peuvent aussi s'adapter au relief ou au courant[1].

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  Paysage sous-marin de gorgones blanches à Banyuls-sur-Mer
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  Gros plan sur une colonie, polypes visibles
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  Colonie parasitée par Alcyonium coralloides (rouge)

On rencontre cette espèce entre 10 et plus de 60 m de profondeur, sur des fonds plutôt rocheux ; elle peut être localement très abondante. Contrairement à d'autres gorgones, cette espèce est plutôt photophile (elle supporte l'ensoleillement direct)[1].

• (en) Référence World Register of Marine Species : espèce Eunicella singularis (Esper, 1791)
• (fr) Référence INPN : Eunicella singularis (Esper, 1791) (TAXREF)
• (fr) Référence SeaLifeBase : espèce Eunicella singularis (Esper, 1791) (+ noms communs)
• (en) Référence Catalogue of Life : Eunicella singularis (Esper, 1791) (consulté le 16 décembre 2020)
• (en) Référence BioLib : Eunicella singularis (Esper, 1791)
• (en) Référence Animal Diversity Web : Eunicella singularis
• (fr) Référence DORIS : espèce Eunicella singularis
• (en) Référence NCBI : Eunicella singularis (taxons inclus)