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Denis Peschanski

Denis Peschanski, né le à Paris, est un historien français.

Denis Peschanski
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Autres informations
A travaillé pour
Délégation Île-de-France Ouest et Nord (d) (depuis le )
Partis politiques
Directeurs de thèse
Distinction

Il est directeur de recherche au CNRS depuis 2005 et est Ă©galement un militant politique, membre du Parti communiste jusqu'en 1981, puis candidat du Parti socialiste avant de rejoindre La RĂ©publique en marche ! en 2017.

Biographie

Famille

Issu d'une famille juive d'Europe de l'Est[1], Denis Peschanski est le fils d'Alexandre-Sacha Peschanski (1908-1994)[2] - [3] et de Dora Kronfeld (1910-2005)[4] - [5]. Il est le frère du biologiste Marc Peschanski et du physicien Robi Peschanski[1].

Carrière professionnelle

Entré au CNRS en 1982 comme ingénieur d'études, puis chercheur après son doctorat troisième cycle, Denis Peschanski a soutenu son doctorat d'État en 2000 et est depuis 2005 directeur de recherche au CNRS.

Historien spécialiste de l’histoire du communisme, puis de la France de Vichy et des « années noires », chercheur en Memory studies, il est membre depuis 2016 du Centre européen de sociologie et de science politique (Paris 1, EHESS, CNRS) après avoir été depuis 2002 au Centre d’histoire sociale du XXe siècle, et auparavant à l'Institut d'histoire du temps présent.

Par ailleurs il a Ă©tĂ©, de 1995 Ă  2000, secrĂ©taire scientifique de la section 33 du ComitĂ© national de la recherche scientifique (Formation du monde moderne)[6]. En 1998, il a mis sur pied une coordination des secrĂ©taires scientifiques et, Ă  ce titre, a fait partie du bureau de la ConfĂ©rence des prĂ©sidents de section du CN, structure qui a Ă©tĂ© officialisĂ©e par voie de règlement intĂ©rieur[7]. De l’étĂ© 2001 Ă  l’étĂ© 2005, il a Ă©tĂ© membre du conseil scientifique du CNRS (secrĂ©taire scientifique et membre du bureau)[8].

De février 2006 à septembre 2008, D. Peschanski a été directeur scientifique adjoint au CNRS, département des sciences humaines et sociales[9] - [10]. En avril 2009, le projet qu’il copilote avec Ed Berenson (New York University) « Memory and Memorialization » a été retenu pour trois ans par la Fondation Face et l’ambassade de France aux États-Unis. Le projet associe NYU et le CNRS, le mémorial de Caen et la US Fondation for Museum and Memorial 9/11[11] - [12]. En février 2011 le projet qu’il anime, MATRICE (entre mémoire individuelle et mémoire collective), a été retenu comme équipement d’excellence (Equipex, 2011- 2020)[13]. En avril 2016, le projet qu’il codirige avec Francis Eustache (neuropsychologue) sur la mémoire du 13-Novembre[14] a été retenu par les Investissements d’avenir et l’équipex MATRICE a été abondé pour mener ce programme transdisciplinaire porté scientifiquement par le CNRS et l’INSERM et administrativement par héSam Université. Membre étranger de la commission de recrutement du Fonds national de la recherche scientifique (Belgique) entre 2007 et 2010, Peschanski devient pour trois ans, mandat renouvelé (2010-2015), président de la commission SHS 4[15].

Il dirige la collection « Archives contemporaines » aux éditions Tallandier de 2003 à 2009 (parmi les titres : Vivre à en mourir. Lettres de fusillés ; les Lettres de Drancy ; le carnet d’Algérie d’Antoine Prost, avec une préface de Pierre Vidal- Naquet ; le Journal de Goebbels, édition française en 4 volumes en liaison avec l’IFZ de Munich). Depuis 2012 il dirige la collection "Mémoire(s)" chez Hermann. Entre 2016 et 2019, il dirige avec Henry Rousso une nouvelle collection aux éditions Belin (« Contemporaines »).

Il a été conseiller historique du film Hôtel du Parc (Pierre Beuchot), et coauteur d’un autre, Les voyages du Maréchal. Il est d’auteur de trois documentaires avec Jorge Amat (La traque de l’Affiche rouge, Maréchal, nous voilà ? La propagande sous Vichy et La France des camps), coproduits et diffusés par France-Télévisions (France 2) en mars 2007 et en avril 2010[16].

Associé à deux fondations, la Fondation pour la Mémoire de la Déportation et Fondation pour la Mémoire de la Shoah, il préside le conseil scientifique du Mémorial du camp de Rivesaltes depuis 2001[17]. Depuis 2006, il préside le conseil scientifique du Mémorial de Caen[18]. Depuis 2009, il est membre du conseil scientifique du mémorial de la Shoah[19], depuis 2012 du conseil scientifique de Yahad-in-Unum[20] (présidé par Edouard Husson), depuis 2017 du conseil scientifique de l’OSE (Œuvre de Secours aux Enfants ; CS présidé par Arnold Migus)[21] et depuis 2017 du conseil scientifique de l’ECPAD. En 2011 et 2012, il a été conseiller près le président du conseil général de Seine-Saint-Denis pour les questions d’histoire et de mémoire de la Seconde Guerre mondiale. Responsable du comité de suivi du Musée de la Résistance nationale (Champigny).

Il intègre le comité mémoriel près la Déléguée interministérielle à l’aide aux victimes (DIAV) en 2018, puis le comité de préfiguration du musée-mémorial sur les sociétés face au défi du terrorisme installé par le président de la République[22].

Carrière politique

Membre du Parti communiste français jusqu'en 1981, il en est exclu comme « agent infiltré par la bourgeoisie » selon son propre témoignage publié, alors, dans La Dépêche de Louviers, ville où il demeurait[23]. Devenu secrétaire de la section du PS de Bourg-la-Reine, il est candidat socialiste à l'élection cantonale de 2004 contre Patrick Devedjian, puis tête d'une liste PS-Verts-MoDem à l'élection municipale de 2008. Il est depuis 2008 élu d'opposition au conseil municipal de Bourg-la-Reine.

En 2011, il se présente à nouveau à l'élection cantonale contre Patrick Devedjian qui le bat avec 51,22 % des voix au second tour[24]. En juin 2012, pour l'élection législative, il est à nouveau candidat contre Devedjian comme suppléant de l'écologiste Fabien Feuillade[25]. Patrick Devedjian est proclamé élu mais l'élection est invalidée par le Conseil constitutionnel : une élection partielle est organisée en décembre 2012, Denis Peschanski se présente encore contre Devedjian comme suppléant de Julien Landfried (MRC) cette fois-ci[26] mais sans succès. En 2014, il se présente à nouveau comme tête d'une liste PS-Verts-Centristes-MRC à l'élection municipale de Bourg-la-Reine. Il démissionne du conseil municipal en juillet 2014. Il n'a pas repris sa carte du parti socialiste en 2017.

Denis Peschanski fait partie des intellectuels et des personnalités juives européennes[27] ayant appelé le 3 mai 2010 à la signature de l'« Appel à la raison », sous le signe JCall (European Jewish Call for Reason)[28].

Le , il fait partie des signataires d'une tribune de chercheurs et d'universitaires annonçant avoir voté Emmanuel Macron au premier tour de l'élection présidentielle française de 2017 et appelant à voter pour lui au second, en raison notamment de son projet pour l'enseignement supérieur et la recherche[29]. Il a rejoint le mouvement En Marche ! devenu LREM.

Publications

Travaux universitaires

  • 1981, Discours communiste et « grand tournant » â€” Étude du vocabulaire de L'HumanitĂ© (1934-1936), thèse de doctorat 3e cycle en Linguistique, direction Jacques Droz et Antoine Prost, universitĂ© de Paris I, 6 dĂ©cembre 1981 (517 f.) - Texte remaniĂ© publiĂ© sous le titre Et pourtant ils tournent, vocabulaire et stratĂ©gie du PCF, 1934-1936, 1988.
  • 2000, Les Camps d’internement en France (1938-1946), doctorat d'État sous la dir. d’Antoine Prost, UniversitĂ© PanthĂ©on-Sorbonne, 3 vol. (948 f.) - Num. national de thèse 2000PA010665. En archives ouvertes sur HAL - tel-00362523, 2009-02-18 PDF - Texte remaniĂ© publiĂ© sous le titre La France des camps : l'internement, 1938-1946, 2002.

Ouvrages et direction d'ouvrages (liste indicative)

  • Et pourtant ils tournent : vocabulaire et stratĂ©gie du PCF (1934-1936) (publiĂ© par l'unitĂ© de recherche linguistique LexicomĂ©trie et textes politiques, Institut national de la langue française ; texte mis Ă  jour de thèse de doctorat 3e cycle[30]), Paris, Klincksieck, coll. « Saint-Cloud », , 252 p. (ISBN 2-252-02604-9, prĂ©sentation en ligne), [prĂ©sentation en ligne].
  • Angelo Tasca (sous la direction de Denis Peschanski), Vichy 1940-1944 : archives de guerre d'Angelo Tasca, Paris/Milan, Éditions du CNRS / Fondazione Giangiacomo Feltrinelli, , XXII-749 p. (ISBN 2-222-03843-X).
  • Le Sang de l'Ă©tranger : les immigrĂ©s de la MOI dans la RĂ©sistance (avec StĂ©phane Courtois et Adam Rayski), Paris, Fayard, , 470 p. (ISBN 2-213-01889-8, prĂ©sentation en ligne).
    Nouvelle édition corrigée : Le Sang de l'étranger : les immigrés de la MOI dans la Résistance (avec Stéphane Courtois et Adam Rayski), Paris, Fayard, , 470 p. (ISBN 978-2-21301-889-8).
  • Histoire politique et sciences sociales, Bruxelles, Ă©d. Complexe, collection Questions au XXe siècle n° 47, 1991, 285 p. (ISBN 2-87027-373-8). [rĂ©Ă©dition de l'article des Cahiers de l'IHTP]
  • Avec la collaboration de Marie-Christine Hubert et Emmanuel Philippon, Les Tsiganes en France, 1939-1946, Paris, CNRS Ă©ditions, collection Histoire du XXe siècle, 1994, 176 p. (ISBN 2-271-05244-0) et 2010, Paris, CNRS Ă©ditions, 176 p. (ISBN 978-2-271-07021-0) (rĂ©Ă©dition fac-similĂ© en rĂ©duction Ă©dition de poche 12 Ă— 19 cm de l'ouvrage de 1994 - modifications dĂ©dicace et 4e de couverture).
  • Angelo Tasca (sous la direction de David Bidussa et Denis Peschanski), La France de Vichy : archives inĂ©dits d'Angelo Tasca, Milan, Fondazione Giangiacomo Feltrinelli, coll. « Annali della Fondazione Giangiacomo Feltrinelli » (no 31), , XVII-469 p. (ISBN 978-88-07-99052-6, prĂ©sentation en ligne).
  • Les Carnets de Marcel Cachin, 1906-1947, Paris, CNRS Éditions, 1997, 1270 p. PrĂ©sentation par Denis Peschanski, Yves Santamaria et Serge Wolikow.
  • Vichy, 1940-1944 : contrĂ´le et exclusion, Bruxelles, Éditions Complexe, coll. « Questions au XXe siècle » (no 94), , 208 p. (ISBN 2-87027-683-4, prĂ©sentation en ligne), [prĂ©sentation en ligne].
  • Jean-Marc Berlière (dir.) et Denis Peschanski (dir.), Pouvoirs et polices au XXe siècle : Europe, États-Unis, Japon, Bruxelles, Éditions Complexe, coll. « Interventions », , 323 p. (ISBN 2-87027-682-6, prĂ©sentation en ligne).
  • « La RĂ©sistance et les Français : nouvelles approches », Cahier de l'IHTP, n° 37, dĂ©cembre 1997.
  • Avec Gilles Le BĂ©guec (dir.), Les Élites locales dans la tourmente : du Front populaire aux annĂ©es 1950, Paris, CNRS-Éditions, collection CNRS histoire, 2000, 460 p. (ISBN 2-271-05795-7).
  • Jean-Marc Berlière (dir.) et Denis Peschanski (dir.), La police française (1930-1950) : entre bouleversements et permanences, Paris, La Documentation française, coll. « La sĂ©curitĂ© aujourd'hui », , 324 p. (ISBN 2-11-004427-6).
  • La France des camps : l'internement, 1938-1946, Paris, Gallimard, coll. « La suite des temps », , 456 p. (ISBN 2-07-073138-3, prĂ©sentation en ligne)
    (Texte remanié des Camps d’internement en France (1938-1946), doctorat d'État sous la dir. d'Antoine Prost.)
  • Des Étrangers dans la RĂ©sistance, Paris, Éditions de l'Atelier, & Champigny-sur-Marne, MusĂ©e de la RĂ©sistance nationale, 2002, 126 p. [ postf. Dominique Schnapper ] (ISBN 2-7082-3612-1). RĂ©Ă©ditĂ© en 2013 avec le DVD La Traque de l'Affiche rouge (cf. infra) (ISBN 978-2-7082-4247-0)
  • Avec Tuvia Friling (dir.), Journal de David Ben Gourion 1947-1948 â€” Les secrets de la crĂ©ation de l'État d'IsraĂ«l, trad. Fabienne Bergmann, Paris, Ă©ditions de la Martinière, 2012, 624 p. (ISBN 978-2-7324-4194-8).
  • Les AnnĂ©es noires, Paris, Hermann, 2012, 430 p. (ISBN 978-2-7056-8327-6).
  • Entretiens avec Boris Cyrulnik : MĂ©moire et traumatisme. L’individu et la fabrique des grands rĂ©cits, Paris, INA Ă©ditions, 2012, 80 p. (ISBN 978-2-86938-207-7).
  • MĂ©moire et mĂ©morialisation â€” Volume 1 : de l’absence Ă  la reprĂ©sentation (dir.), coll. « MĂ©moire(s) », Hermann, 2013, 338 p. (ISBN 978-2-7056-8105-0).
  • Avec D. MarĂ©chal (dir.), Les Chantiers de la mĂ©moire, Paris, INA Ă©ditions, 2013, 172 p. (ISBN 978-2-86938-211-4)
  • Avec Thomas Fontaine, La Collaboration 1940-1945. Vichy, Paris, Berlin, Paris, Tallandier, 2014, 320 p.
  • Francis Eustache et ali, MĂ©moire et oubli, Paris, Le Pommier, 2014, 160 p. (ISBN 978-2-7465-0870-5)
  • Francis Eustache et ali, Les Troubles de la mĂ©moire : prĂ©venir, accompagner, Paris, Le Pommer, 2015, 176 p. (ISBN 978-2-7465-0936-8)
  • Avec RenĂ©e Poznanski et la collaboration de Thomas Pouvreau, Drancy. Un camp en France, Paris, Fayard, 2015, 298 p. (ISBN 978-2-21367-11-30)
  • Francis Eustache et ali, MĂ©moire et Ă©motions, Paris, Le Pommier, 2016, 176 p. (ISBN 978-2-7465-1114-9)
  • Francis Eustache et ali, La MĂ©moire au futur, Paris, Le Pommier, 2018, (ISBN 978-2-7465-1734-9)
  • Avec Brigitte Sion (eds), La VĂ©ritĂ© du tĂ©moin, Paris, Hermann, 2018, (ISBN 978-2-7056-973-65)
  • Francis Eustache et ali, La MĂ©moire. Entre sciences et sociĂ©tĂ©, Paris, Le Pommier (Poche), 2019, (ISBN 978-2-7465-1785-1)
  • Avec Laura Nattiez et CĂ©cile Hochard, 13 novembre: des tĂ©moignages, un rĂ©cit, Paris, Odile Jacob, 2020. (ISBN 978-2-7381-5379-1).

Filmographie

Documentaires

  • 1990, 24 min, avec Henry Rousso (auteurs), Christian Delage (rĂ©alisation), Les voyages du MarĂ©chal (production : INA (France), CNRS audiovisuel, centre audiovisuel de Paris, les EuropĂ©ens. Participation : BDIC, musĂ©e d'Histoire du temps prĂ©sent, Femis, Tigre production, ministère français de la culture (DP), archives nationales (France)[31].
  • 2007 : Jorge Amat et Denis Peschanski (coauteurs), Jorge Amat (rĂ©alisateur), La Traque de l’Affiche rouge, 72 minutes, Compagnie des Phares et Balises. Première diffusion sur France 2 le 15 mars 2007.
  • 2008 : Jorge Amat et Denis Peschanski (coauteurs), Jorge Amat (rĂ©alisateur), MarĂ©chal nous voilĂ  ? La propagande sous Vichy, 63 minutes, Compagnie des Phares et Balises. Première diffusion sur France 2 le 23 octobre 2008.
  • 2010 : Denis Peschanski (auteur), Jorge Amat (rĂ©alisateur), La France des camps. 1938-1946, 85 minutes, Compagnie des Phares et Balises et CNRS Images. Première diffusion sur France 2 le 8 avril 2010. Extraits vidĂ©os mis en ligne sur Dailymotion par le producteur[32].

Distinctions

Notes et références

  1. « Marc Peschanski, Arlette dans les gènes », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. Mort en février 1994 à l'âge de 86 ans, Alexandre-Sacha Peschanski, militant communiste, après avoir combattu dans les rangs des volontaires des Brigades internationales en Espagne, s’est engagé dans les rangs de la Résistance avant d’être déporté. Officier FFI, il avait été fait officier de la Légion d’honneur au titre de son action dans la Résistance. L'Humanité, 26 février 1994.
  3. « Peschanski Alexandre-Sacha - Maitron », sur maitron-en-ligne.univ-paris1.fr (consulté le )
  4. Militante communiste, rĂ©sistante et dĂ©portĂ©e, Dora Peschanski a fait carrière comme chimiste au CNRS ; sa thèse portait sur Contribution Ă  la cinĂ©tique chimique des systèmes hĂ©tĂ©rogènes (1947, universitĂ© de Paris 7). Elle a Ă©galement traduit du russe (en collaboration avec Wladimir Mercouroff, MoĂŻse HaĂŻssinsky, M. S. Tarasenko, l'important ouvrage de Viktor Nikolaevitch Kdratiev La Structure des atomes et des molĂ©cules, Ă©dition mise Ă  jour, sous la direction de M. HaĂŻssinsky (Paris, Masson et Cie, 1964, 467 p.) [D. L. 3584-64] notice n° FRBNF33064702. Sources : Sudoc et Opale, BNF.
  5. « Kronfeld Dora [épouse Peschanski] - Maitron », sur maitron-en-ligne.univ-paris1.fr (consulté le )
  6. « Conférence des présidents - Evaluation », sur www.cnrs.fr (consulté le )
  7. « Annexes du rapport Cohen-Le Déaut (Denis Peschanski, membre du comité de pilotage au nom de la Conférence des Présidents de Section du Comité national) »
  8. « bilan_cs_indd »
  9. « Nominations BO 04-2006 », sur www.dgdr.cnrs.fr (consulté le )
  10. « Fin de fonction BO n° 11-2008 », sur www.dgdr.cnrs.fr (consulté le )
  11. « Edward Berenson: Historians and Collective Memory | History News Network », sur historynewsnetwork.org (consulté le )
  12. « "From September 11th to 12th: The Individual and The State Facing Terrorism," April 18 and 19, 2011 - Office for Science & Technology of the Embassy of France in the United States », sur www.france-science.org (consulté le )
  13. « Liste de 52 projets lauréats à l'action « équipements d'excellence » des Investissements d'avenir »
  14. « Programme 13-Novembre », sur Programme 13-Novembre (consulté le )
  15. « F.R.S.-FNRS - Accueil », sur www.fnrs.be (consulté le )
  16. CPBFilms, « Documentaires », sur CPBFilms (consulté le )
  17. « Mémorial du Camp de Rivesaltes - Mémorial de Rivesaltes », sur www.memorialcamprivesaltes.eu (consulté le )
  18. « Site du mémorial de Caen », sur www.memorial-caen.fr (consulté le )
  19. (en-US) « Rapport moral 2015 », sur Mémorial de la Shoah (consulté le )
  20. « Yahad-In Unum » (consulté le )
  21. « Le conseil scientifique », sur Oeuvre de secours aux enfants (consulté le )
  22. « Denis Peschanski intègre le comité mémoriel », sur ouest-france.fr,
  23. Témoignage in La Dépêche de Louviers, février 1981. Remarque : ces guillemets demandent la citation des sources, ce motif d'exclusion du PCF ayant depuis longtemps été abandonné en 1981.
  24. « Ces personnalités élues, réélues ou battues », Le Figaro, 28 mars 2011.
  25. Pascale Krémer. Le PS déchiré dans la 13e circonscription des Hauts-de-Seine. Blog du Monde, 5 juin 2012.
  26. « Denis Peschanski supplĂ©ant de Julien Landfried », Le Parisien, 7 novembre 2012.
  27. « Vers un mouvement juif europĂ©en pour la paix », Le Nouvel Observateur, 21 avril 2010.
  28. « Analyse de la polémique suscité par cet appel », par Alain Gresh, Le Monde diplomatique.
  29. La tribune est relayée le lendemain par Le Monde : « “Nous, universitaires et chercheurs, tenons à manifester notre soutien à Emmanuel Macron” », sur lemonde.fr, .
  30. Cf. Maurice Tournier, 1982, Denis Peschanski, Discours communiste et « grand tournant » —Étude du vocabulaire de L'Humanité (1934-1936), Mots — Les langages du politique, n° 5, p. 227-228 (archives ouvertes Persée).
  31. Voir le compte-rendu de Jean-Pierre Bertin-Maghit, 1991, in Vingtième Siècle â€” Revue d'histoire n° 32, p. 85-92, et cf. prĂ©sentation du film.
  32. Extrait 1 extrait 2 extrait 3 extrait 4 extrait 5

Liens externes

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