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Cube Zero

Cube Zero est un film canadien rĂ©alisĂ© par Ernie Barbarash, sorti en 2004. Il s’agit du troisiĂšme volet de la trilogie Cube, dont l’intrigue est principalement axĂ©e sur des personnes emprisonnĂ©es dans un labyrinthe, constituĂ© de piĂšces cubiques, pour certaines piĂ©gĂ©es. Les deux premiers films se dĂ©roulent quasi intĂ©gralement Ă  l’intĂ©rieur du labyrinthe, tandis que Cube Zero se dĂ©roule Ă  la fois Ă  l’intĂ©rieur et Ă  l’extĂ©rieur.

Cube Zero

Titre québécois Cube Zéro
RĂ©alisation Ernie Barbarash
Scénario Ernie Barbarash
Acteurs principaux

Zachary Bennett
Michael Riley
Stephanie Moore
Martin Roach

Sociétés de production Lions Gate Entertainment
Mad Circus Films
Mr. X
Cube Forward Productions Corp.
Pays de production Drapeau du Canada Canada
Genre Horreur, science-fiction
DurĂ©e 97 minutes
Sortie 2004

SĂ©rie

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Chronologiquement, Cube Zero est une prĂ©quelle au film original Cube. À la diffĂ©rence de Cube et de CubeÂČ : Hypercube, Cube Zero montre Ă  la fois les prisonniers du Cube et les personnes qui les surveillent. Le Cube lui-mĂȘme est un labyrinthe constituĂ© de piĂšces de forme cubique. Certaines de ces piĂšces renferment des piĂšges divers, tels des fils tranchants, des lance-flammes, des lames, des produits chimiques, etc. Avant de se dĂ©placer dans une nouvelle piĂšce, les prisonniers la « testent » en y lançant une de leurs chaussures, pour voir si un piĂšge se dĂ©clenche.

Le film se concentre sur le gĂ©nie et technicien du Cube, Eric Wynn, et Cassandra Rains, une femme placĂ©e dans le Cube et Ă  qui Wynn s’intĂ©resse.

Résumé

Le film dĂ©bute avec un homme, Ryjkin, prisonnier du Cube, essayant de trouver une sortie. AprĂšs un certain temps, il atteint une piĂšce piĂ©gĂ©e. Des tuyĂšres sortent des murs et l’aspergent d’un liquide. Il confirme par l’odeur et l’absence de goĂ»t, qu’il ne s’agit que d’eau. SoulagĂ©, il se met Ă  l’ingĂ©rer et commence Ă  se gratter une main, et rĂ©alise alors que son corps est en train de se dĂ©composer. Le liquide contenait peut-ĂȘtre une bactĂ©rie nĂ©crosante ou une enzyme. Quoi qu’il en soit, son corps se dissout rapidement, ne laissant qu’un tas informe de matiĂšre biologique.

Eric Wynn, un technicien du Cube, ressent un profond dĂ©goĂ»t lorsqu’il voit cette scĂšne depuis son poste de surveillance, avec son coĂ©quipier (de rang supĂ©rieur) Dodd. AprĂšs cela, Wynn effectue simultanĂ©ment une esquisse de Dodd, une discussion et une partie mentale d’échecs avec lui (la table de jeu Ă©tant devant Dodd). Il bat Dodd avec une grande facilitĂ©. Wynn insiste pour savoir oĂč sont passĂ©s leurs deux collĂšgues, mais Dodd suggĂšre, avec de plus en plus d’insistance, de ne plus poser de questions et de s’occuper des prisonniers du Cube.

Ils reçoivent ensuite un ordre « d’en haut », leur demandant d’enregistrer le rĂȘve d’un sujet, qui se trouve actuellement en phase de sommeil paradoxal. Le sujet est Cassandra Rains. Dans son rĂȘve, Wynn voit comment elle fut capturĂ©e, alors qu’elle se promenait en forĂȘt avec sa fille Anna.

Rains rencontre les autres occupants du Cube, deux hommes et une femme. Un des hommes a un tatouage sur son front, comme ceux des soldats qui l’avaient capturĂ©e. Toutefois, le soldat, comme toutes les autres personnes, n’a aucun souvenir de son ancienne vie.

D’aprĂšs ce que sait Wynn, tous les sujets du Cube devaient faire face Ă  une peine de mort, et avaient Ă©tĂ© confrontĂ©s Ă  un choix : soit ĂȘtre placĂ©s dans le labyrinthe, aprĂšs que leur mĂ©moire a Ă©tĂ© effacĂ©e, soit subir la peine capitale. Un sujet ne peut ĂȘtre placĂ© dans le Cube qu’à la condition qu’il ait signĂ© un formulaire. Wynn dĂ©couvre pourtant que le formulaire de Rains n’a pas Ă©tĂ© signĂ©, et se lance dans un dĂ©bat avec Dodd pour savoir s’il faut prĂ©venir les personnes « d’en haut », car cette erreur pourrait conduire Ă  un grave vice de procĂ©dure – Rains fait partie d'un groupement de militants opposĂ©s au gouvernement.

Juste au moment oĂč Dodd allait appeler ses supĂ©rieurs, le tĂ©lĂ©phone sonne. Ils reçoivent l’ordre d’entamer la « procĂ©dure de sortie », pour un sujet qui vient de trouver la sortie du labyrinthe, et qui doit faire face Ă  un dernier dĂ©fi. Ils se rendent compte que le sujet en question n’est autre qu’Owen, un de leurs collĂšgues manquant. Durant la procĂ©dure de sortie, on lui demande s’il croit en Dieu ; il rĂ©pond « non ». Cette rĂ©ponse conduit Ă  son immĂ©diate incinĂ©ration.

Wynn se dispute alors avec Dodd, sur le fait qu’Owen est mort par sa faute (c’est lui qui a appuyĂ© sur le bouton « No », pour confirmer la rĂ©ponse). AprĂšs avoir dĂ©finitivement compris que travailler pour le Cube Ă©tait inhumain, il se dĂ©cide Ă  pĂ©nĂ©trer dans le labyrinthe pour sauver Rains, et aider son groupe Ă  trouver la sortie.

Un des superviseurs du Cube, dĂ©nommĂ© Jax, et deux analystes se rendent alors Ă  la station de travail de Wynn et Dodd, pour contrĂŽler la situation crĂ©Ă©e par Wynn. MalgrĂ© leurs efforts pour l'arrĂȘter, Wynn et Rains parviennent jusqu’à la sortie, grĂące Ă  l’aide de Dodd, qui a sabotĂ© les connexions vers les panneaux de contrĂŽle d’entretien du Cube (ce qu’il payera de sa vie). Ce sabotage provoque l’entrĂ©e du Cube en « mode remise Ă  zĂ©ro », ce qui signifie que le labyrinthe va s’aligner en position initiale puis entamer la procĂ©dure de « nettoyage », ce qui vaporisera tout « corps Ă©tranger » prĂ©sent dans le Cube aprĂšs un court laps de temps.

Une fois une piĂšce de sortie atteinte (un cube dont l’une des portes donne accĂšs Ă  l’extĂ©rieur), Wynn et Rains parviennent Ă  utiliser une sortie auxiliaire secrĂšte juste avant le « nettoyage », et aprĂšs avoir nagĂ© dans l’eau sur une bonne distance, se retrouvent sur le sol et essayent de s’échapper. Cependant, un groupe de soldats Ă  leur recherche est dĂ©jĂ  sur place (ces soldats ont un tatouage ressemblant Ă  une porte du labyrinthe, sur le front). Wynn est touchĂ© par une flĂ©chette de narcotique et crie Ă  Rains de continuer Ă  courir.

Lorsqu'il se rĂ©veille, Wynn est dans une salle d’opĂ©ration avec un chirurgien et Jax, dont les propos lui suggĂšrent que Rains est peut-ĂȘtre parvenue Ă  s’échapper, mais annonce Ă  Wynn qu'il s’est rendu coupable de haute trahison et de sabotage envers « [son] pays et [son] Dieu ». Il est condamnĂ© (sans procĂšs) Ă  « deux vies », et une opĂ©ration chirurgicale sur son cerveau dĂ©bute. Il rĂȘve alors de Rains et de sa fille rĂ©unies, la premiĂšre faisant l'Ă©loge de Wynn en le qualifiant de hĂ©ros.

ImmĂ©diatement aprĂšs, Wynn est placĂ© dans le Cube, oĂč il retrouve de nouveaux « rats de laboratoire ». Wynn prĂ©sente alors des signes de handicaps mentaux. La derniĂšre scĂšne est similaire Ă  une scĂšne du premier film de la trilogie Cube : celle dans laquelle apparaĂźt Kazan. Les deux personnages se rapprochent (puisque Kazan avait l’aptitude d’exĂ©cuter des calculs trĂšs complexes, tout comme Wynn) mais la diffĂ©rence de nom ne permet toutefois pas de conclure qu'il s'agit du mĂȘme personnage, d'autant que la structure du Cube n'est pas la mĂȘme que dans le premier film (25x25 au lieu de 26x26) (Les piĂšces sont identifiĂ©es par trois lettres chacune. Ce qui laisse supposer que la structure comporte 26x26x26 donc 17576 piĂšces en tout) et son apparence est Ă©galement diffĂ©rente (par exemple les portes du premier sont carrĂ©es alors que celle de Cube Zero sont circulaires). D'ailleurs, Wynn dit Ă  un moment que, selon une rumeur, il existerait d'autres structures du mĂȘme type, ce qui expliquerait les trois cubes diffĂ©rents dans les trois films.

Fiche technique

IcĂŽne signalant une information Sauf indication contraire ou complĂ©mentaire, les informations mentionnĂ©es dans cette section peuvent ĂȘtre confirmĂ©es par la base de donnĂ©es IMDb.

  • Titre original et français: Cube Zero
  • Titre quĂ©bĂ©cois: Cube ZĂ©ro
  • RĂ©alisation : Ernie Barbarash
  • ScĂ©nario : Ernie Barbarash
  • Musique : Norman Orenstein
  • Costumes : Donna Wong
  • Photographie : François Dagenais
  • Son : Christian Carruthers, Keith Elliott, Peter Kelly
  • Montage : Mitch Lackie et Mark Sanders
  • Production : Suzanne Colvin et Jon P. Goulding
Production déléguée : Ernie Barbarash, Michael Paseornek et Peter Block
Coproduction : Dennis Berardi et Eric J. Robertson

Distribution

Accueil

Aux États-Unis, le long-mĂ©trage a reçu un accueil critique mitigĂ© : les utilisateurs du site Internet Movie Database ont donnĂ© un vote moyen pondĂ©rĂ© de 5,7⁄10 sur la base de 36 348 critiques[6]. En France, les retours sont plutĂŽt dĂ©favorables : le site AllocinĂ© recense une moyenne de 1,9⁄5 sur la base 214 critiques de la part des spectateurs[7]. Sur le site SensCritique, le long mĂ©trage obtient une moyenne de 4,4⁄10 sur la base d’environ 2 800 retours du public dont 17 coups de cƓur et environ 368 envies[8]. L'hebdomadaire culturel français TĂ©lĂ©rama recense une moyenne de ses lecteurs de 1,87⁄5 pour 124 critiques[9].

Distinctions

Entre 2004 et 2006, Cube Zero a été sélectionné 5 fois dans diverses catégories et a remporté 3 récompenses[10].

RĂ©compenses

  • New York City Horror Film Festival 2004 : prix des meilleurs effets spĂ©ciaux dĂ©cernĂ© Ă  Grand Unified Theories.
  • Screamfest Horror Film Festival 2004 :
    • TrophĂ©e du Festival des meilleurs effets spĂ©ciaux dĂ©cernĂ© Ă  Aaron Weintraub, Dennis Berardi et Jeff Skochko,
    • TrophĂ©e du Festival du meilleur maquillage dĂ©cernĂ© Ă  A. Scott Hamilton et Maya Kulenovic.

Nominations

Analyse

Commentaire

Cube Zero est rĂ©alisĂ© aprĂšs Cube et CubeÂČ : Hypercube. Il reprend davantage de caractĂ©ristiques du premier en ce qui concerne l'environnement mĂ©tallique et l'ambiance carcĂ©rale de la structure. Son apport Ă  ces deux prĂ©cĂ©dentes versions consiste Ă  rĂ©vĂ©ler l'envers du dĂ©cor. Le Cube est gouvernĂ© par des agents de maintenance qui surveillent et procĂšdent Ă  des tests sur les prisonniers depuis une salle de contrĂŽle, sur ordre d'une autoritĂ© qui, elle, en revanche, demeure invisible. Si le film vient apporter quelques Ă©claircissements sur le fonctionnement du piĂšge, ils restent en marge d'une nouvelle Ă©nigme : les techniciens s'appliquent Ă  exĂ©cuter des ordres dont la logique reste, pour eux Ă©galement, obscure. De plus, une menace sourde plane, permanente, sur la tĂȘte de ces techniciens. Qu'arriverait-il s'ils n'exĂ©cutaient pas les ordres ? Ne sont-ils pas eux-mĂȘmes prisonniers ?

L'intrigue fait Ă©cho Ă  l'expĂ©rience psychologique de Stanley Milgram, reportĂ©e dans son ouvrage Soumission Ă  l'autoritĂ© - par ailleurs, mise en scĂšne dans le film I... comme Icare de Henri Verneuil. Ce sont les testeurs qui sont en fait testĂ©s. La rĂ©fĂ©rence est particuliĂšrement flagrante au moment oĂč l'un des prisonniers parvient Ă  sortir du cube et que les techniciens le soumettent Ă  un questionnaire en appuyant de la main sur des boutons « Yes » ou « No » en fonction des rĂ©ponses apportĂ©es. À cet Ă©gard, les personnages rĂ©agissent diffĂ©remment, l'un a atteint un degrĂ© ultime de soumission, lĂ  oĂč l'autre, Eric, se comporte en rebelle. Les prisonniers de ce labyrinthe sont mĂ©ticuleusement suivis, ils sont observĂ©s et possĂšdent un implant afin de les localiser dans la structure et de transmettre des donnĂ©es sur leurs fonction vitales (rythme cardiaque, frĂ©quence respiratoire, etc.) et tous exceptĂ© Rains (dont l'internement a Ă©tĂ© probablement prĂ©cipitĂ©) n'ont aucun souvenir de leur prĂ©cĂ©dente "vie" alors que dans le premier film, leurs souvenirs sont intacts et ils semblent ĂȘtre laissĂ©s pour compte, sans suivi ni observations. Il y a des similitudes entre les prisonniers des deux films, Quentin et Haskell sont deux grands « costauds » au caractĂšre impulsif et violent, Meyerhold a une bonne mĂ©moire tout comme Leaven, Jellico est peut-ĂȘtre mĂ©decin (elle a fait un bandage de fortune efficace Ă  la main de Meyerhold) Ă  l'instar d'Holloway, Bartok et Rennes sont tuĂ©s par un piĂšge malgrĂ© leur grande prudence et le « test » de la botte, Ryjkin et Alderson sont tuĂ©s par un piĂšge lors de la scĂšne d'ouverture des deux films, Wynn et Worth sont des ingĂ©nieurs du cube, Kazan est handicapĂ© mental et calculateur prodige tout comme Wynn Ă  la fin du film.

PiĂšges

Les piĂšges de Cube Zero sont plus proches des piĂšges mĂ©caniques et rĂ©alistes du titre original Cube, plutĂŽt que les piĂšges de science-fiction de CubeÂČ : Hypercube. Certains piĂšges de Cube font Ă©galement leur rĂ©apparition.

  • Le « dĂ© dansant » du titre original refait une brĂšve apparition, de mĂȘme que la piĂšce aux piques rĂ©tractables et les lance-flammes.
  • Des tuyĂšres sortent des murs et aspergent la victime avec un liquide incolore qui ressemble Ă  de l’eau, mais qui est en rĂ©alitĂ© un produit hautement corrosif. Au dĂ©but, la victime se sent bien, mais aprĂšs l’ingestion du liquide, son corps se met Ă  se dissoudre, ne laissant que des os blanchis.
  • Similaire au lance-flammes et Ă  la tuyĂšre prĂ©cĂ©dente, un piĂšge asperge la victime avec de l’azote liquide, la congelant et la faisant se briser contre le sol.
  • Des aiguilles placĂ©es sur le sol injectent un virus trĂšs virulent lorsque l’on marche dessus. La victime est alors infectĂ©e et meurt rapidement.
  • Des boulons, reliĂ©s entre eux par un fil, sont projetĂ©s dans la salle ; les fils ainsi tendus dĂ©coupent les victimes en morceaux.
  • Les portes d’une piĂšce se verrouillent et des panneaux insonorisants se referment sur ces portes. Des bras mĂ©caniques s’étendent de ces panneaux, et se dĂ©ploient en forme de plateau. Ces plateaux sont des haut-parleurs, qui dĂ©sintĂšgrent littĂ©ralement la victime Ă  l’aide d’intenses impulsions sonores, ne laissant rien d’autre que ses vĂȘtements, tachĂ©s de sang.
  • Une piĂšce, lors de la prĂ©sence d'une personne, envoie progressivement de puissantes dĂ©charges en arcs Ă©lectriques, d'abord aux parois de la piĂšce, puis forment des rĂ©seaux traversant la piĂšce.

La question de savoir ce qui arrive aux restes des victimes du Cube trouve une rĂ©ponse dans Cube Zero. Le Cube est nettoyĂ© thermiquement, lorsque celui-ci revient en position initiale, dĂ©truisant tout ce qu’il reste – Ă  la fois les restes humains et les survivants qui n’ont pas trouvĂ© la sortie. Ceci explique pourquoi l'intĂ©rieur de l’appareil n’est pas couvert des restes des victimes prĂ©cĂ©dentes.

Editions en vidéo

Notes et références

  1. (en) Cube Zero - SociĂ©tĂ© de Production / SociĂ©tĂ©s de distribution sur l’Internet Movie Database (consultĂ© le 8 octobre 2020).
  2. (en) Cube Zero - SpĂ©cifications techniques sur l’Internet Movie Database (consultĂ© le 8 octobre 2020).
  3. (en) Cube Zero - Dates de sortie sur l’Internet Movie Database (consultĂ© le 8 octobre 2020).
  4. (en) Cube Zero - Guide Parental sur l’Internet Movie Database (consultĂ© le 8 octobre 2020).
  5. « Classification - Fiche Ɠuvre Cube Zero », sur notrecinema.com (consultĂ© le ).
  6. (en) Critiques du film Cube Zero sur l’Internet Movie Database (consultĂ© le 8 octobre 2020).
  7. « Critiques des spectateurs du film Cube Zero », sur Allociné (consulté le ).
  8. « Critiques du film Cube Zero », sur SensCritique (consulté le ).
  9. « Critiques du public du film Cube Zero », sur Télérama (consulté le ).
  10. (en) Cube Zero - Distinctions sur l’Internet Movie Database (consultĂ© le 8 octobre 2020).
  11. « Cube Zero - Dates de sortie », sur ecranlarge.com (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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