AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Commando de Montfort

Le commando de Montfort est une unitĂ© d'Ă©lite des forces spĂ©ciales de l'armĂ©e française. C'est l'un des sept commandos marine de la Marine nationale française. Toutes ces unitĂ©s partagent les mĂȘmes fondamentaux : un entraĂźnement et un savoir-faire communs. Ces soldats ont d'abord fait leurs armes dans des unitĂ©s conventionnelles avant de tenter la sĂ©lection drastique des forces spĂ©ciales. Les forces spĂ©ciales Ă  l'instar du commando de Montfort, restent des unitĂ©s d'intervention dĂ©diĂ©es Ă  des missions de haute valeur.

Commando de Montfort
Image illustrative de l’article Commando de Montfort
Écusson du Commando de Montfort

Création 1947 à aujourd'hui
Pays Drapeau de la France France
Branche Marine nationale
Type Forces spéciales
RÎle Appuis spéciaux
Effectif environ 80
Fait partie de FORFUSCO
Garnison Lorient
NommĂ©e en l’honneur de Louis de Montfort, tuĂ© en Indochine le

Le commando de Montfort est sous le commandement organique de l'amiral commandant la FORFUSCO. Il est spécialisé sous l'autorité du Commandement des opérations spéciales (COS) depuis 1992[1].

Jusqu'en 2001, le commando Ă©tait spĂ©cialisĂ© dans l'antiterrorisme terrestre et maritime, l'assaut en mer, la libĂ©ration d'otages, l’extraction de ressortissants, la lutte contre les narcotrafiquants et la piraterie maritime.

Depuis lors, une rĂ©organisation des commandos marine attribue une spĂ©cialitĂ© Ă  chaque unitĂ©. « De Montfort » est choisi pour la reconnaissance et est spĂ©cialisĂ© dans l'appui et la destruction Ă  distance. Il est spĂ©cialisĂ© dans le combat, le renseignement tactique ainsi que les actions d’environnement. Les membres de ce commando maĂźtrisent tous les modes d‘infiltrations (terrestre, nautique et aĂ©ronautique) et disposent d’élĂ©ments spĂ©cialisĂ©s dans l’observation et la neutralisation d’objectifs.

Dans ce cadre, il dispose de tireurs d’élite et de matĂ©riel lourd (mortiers, postes de tirs anti-chars
) ainsi que de moyens de dĂ©signation et d'Ă©clairage pour conduite d'appui-feu aĂ©riens ou d'artillerie terrestre, qu'il peut mettre au profit des six autres commandos marine.

Les actions du commando de Montfort s'appliquent à des opérations dans un contexte hautement hostile et agissant avec un effectif réduit. Il participe à ce titre réguliÚrement aux missions de lutte contre le narcotrafic aux Antilles et en Méditerranée.

Sa devise est Potius mori quam feodari, « PlutÎt la mort que la souillure ». L'écusson du commando est inspiré des armoiries de la famille de Montfort.

Depuis 1992, le commando a participĂ© Ă  toutes les opĂ©rations majeures conduites par le Commandement des opĂ©rations spĂ©ciales. Les hommes du commando de Montfort font partie des troupes d'Ă©lite de l'armĂ©e française[2]. BasĂ© Ă  Lorient, le commando de Montfort est spĂ©cifiquement formĂ©, instruit et entraĂźnĂ© pour mener un Ă©ventail de missions particuliĂšres, allant des « opĂ©rations spĂ©ciales » dans le cadre d’un conflit classique Ă  celles relevant de la guerre non conventionnelle. Depuis sa crĂ©ation, l’unitĂ© s’est forgĂ©e un prestigieux passĂ© opĂ©rationnel et s’est illustrĂ©e sur de nombreux thĂ©Ăątres d’opĂ©rations, notamment en ExtrĂȘme-Orient, en Afrique du Nord, au Liban et plus rĂ©cemment, en Afghanistan. Le Commando de Montfort constitue un maillon essentiel dans l’opĂ©rationnalitĂ© des unitĂ©s de Commandos Marine.

Histoire

Formation du commando

CrĂ©Ă© par dĂ©cision ministĂ©rielle du , il fut constituĂ© Ă  partir de au centre Siroco (Cap Matifou - AlgĂ©rie française) prĂšs d'Alger, sous le nom de « groupe de renfort », puis de « Commando no 5 ». Il prit le nom de commando de Montfort Ă  la fin du stage de commando, en , le jour de la prise de commandement du lieutenant de vaisseau Pascalidis, tuĂ© au combat le de la mĂȘme annĂ©e.

Il est l'héritier direct du 1er bataillon de fusiliers marins commandos qui s'était constitué durant la Seconde Guerre mondiale en Grande-Bretagne,

Le commando Ă©tait composĂ© de 70 hommes, Ă  majoritĂ© de fusiliers, mais aussi de canonniers, de torpilleurs, de matelots d'Ă©quipage et de sans spĂ©cialitĂ©, tous volontaires pour les opĂ©rations extĂ©rieures, et ayant bien entendu obtenu leur certification "commando" Ă  l'issue du trĂšs exigeant stage commando, entiĂšrement calquĂ© sur celui des commandos anglais, comme l'avait dĂ©fini Philippe Kieffer.

AprĂšs permissions, le commando rejoignit Toulon puis Marseille oĂč il embarqua pour l'Indochine le , Ă  bord du porte-avions Dixmude.

Le , il arrivait à Saïgon. La premiÚre opération eut lieu, dÚs le dans la région de Cåt Låi, et l'unité eut son premier blessé grave le .

Le commando de Montfort porte le nom de l'enseigne de vaisseau Louis de Montfort, chef de la compagnie Jaubert, mortellement blessé le lors des combats de Haïphong, en Indochine française[3].

Principales opérations

Le commando jusqu'en 1954

Avec un Ă©quipage thĂ©orique de 72 hommes, et avec un effectif rĂ©el moyen de 60 hommes, il combat sur tous les thĂ©Ăątres d’opĂ©rations d’ExtrĂȘme-Orient jusqu’à la fin de .

Il s’est particuliĂšrement illustrĂ© :

  • En 1948 - au Tonkin (rĂ©gion de Fhu-Ly)
  • En 1949 - en Cochinchine
  • sur le MĂ©kong (Ăźle de Mocay)
  • En 1950 - Sur la riviĂšre de SaĂŻgon
  • Sur les cĂŽtes d’Annam
  • Au Tonkin
  • En 1951 - Dans le delta du Tonkin (bataille de Tien Yen Doug Binh)
  • Ă  Doug Tsien
  • De mai Ă  au centre ViĂȘt Nam (rĂ©gion de Hue et Kim Gao)[4].

Dissolution du Commando de Montfort en 1954

Le commando est dissous le , son personnel européen est affecté au commando Jaubert, le personnel autochtone au commando Ouragan.

Durant sa prĂ©sence en Indochine le commando est citĂ© 4 fois Ă  l’ordre de l’ArmĂ©e de Mer et reçoit la fourragĂšre de la mĂ©daille militaire aux couleurs de la Croix de guerre T.O.E le [5]. Son dernier commandant « Indochine Â» sera le Lieutenant de Vaisseau Daube. Trois officiers, un officier marinier, cinq quartiers-maĂźtres et marins du commando sont « morts pour la France Â» durant les opĂ©rations d’Indochine.

Reconstitution du Commando en 1955

ReconstituĂ© dĂ©but 1955, le commando dĂ©barque en Afrique du Nord sous les ordres du Lieutenant de Vaisseau Demay. Son successeur le Lieutenant de Vaisseau Sulpis est tuĂ© au combat le . Il combat alors surtout en Oranie dans le secteur de la demi-brigade de fusiliers marins puis dans les secteurs de Geryville, d’Alfou, d’Ain Sefra. Durant ses campagnes en Afrique du Nord, il inflige de lourdes pertes Ă  l’ennemi.

Le , le commando de Montfort est envoyĂ© Ă  SĂ©tif oĂč doit ĂȘtre constituĂ©e une unitĂ© hĂ©liportĂ©e. Il participe dans ce secteur Ă  deux opĂ©rations hĂ©liportĂ©es au cours desquels trois rebelles sont abattus et quatre fusils de chasse rĂ©cupĂ©rĂ©s.

Il s’est illustrĂ© particuliĂšrement :

  • Le dans le djebel Goursifane.
  • Durant sa derniĂšre campagne du au , durant les engagements du Djebel Beni-Smir (le ), du Djebel Haimoun (le ), et du Djebel Tennissane (le ).

Pendant la guerre d’AlgĂ©rie, le commando de Montfort (Commandos Marine) a connu la plus meurtriĂšre de ses opĂ©rations en zone saharienne Ă  Ain SĂ©fra le : 10 morts et 15 blessĂ©s.

Son dernier commandant en AlgĂ©rie sera le Lieutenant de Vaisseau Cucherat. Deux officiers, quatre officiers mariniers, dix-huit quartiers-maĂźtres et marins du commando sont « morts pour la France Â» durant les opĂ©rations d’AlgĂ©rie. De retour en France le commando rallie le C.A.M (Corps Amphibie de la Marine) sur le Dixmude Ă  Saint-Mandrier. En 1963, il est intĂ©grĂ© au Groupement de Commandos, prend le nom de 5e compagnie des fusiliers marins commandos, et devient commando dit « lourd Â» ou d’appui[6].

Dissolution en 1967

Le commando est dissous Ă  nouveau en . seule une section d’appui sera conservĂ©e et aura la garde du fanion du commando de Montfort. Le commando est recrĂ©Ă© en 1969 Ă  partir de la section d’appui et de la section de « protection du Groupement Â», les services du groupement lui sont adjoints (commando de Montfort, CCAS). En 1971 est crĂ©Ă©e la B.O.A (Base opĂ©rationnelle avancĂ©e). La compagnie porte le nom de Commando de Montfort B.O.A

Nouvelle reconstitution en 1972

En 1972, la B.O.A devient indĂ©pendante du commando. De Montfort est un commando d’appui Ă  part entiĂšre.

De septembre Ă  , le commando de Montfort participe Ă  la mission de pacification de Beyrouth au sein de la Force Multinationale de SĂ©curitĂ©. En 1988, chaque escouade du commando se spĂ©cialise, le commando d’assaut prend la forme qu’il gardera jusqu’en 2001[7].

Depuis 1992

Depuis, il a participĂ© Ă  toutes les opĂ©rations majeures conduites par les commandos marines: l’opĂ©ration BALBUZARD en 1993, la mission AZALE du 3 au aux Comores, etc.[7]

Le , Pierre Joxe, ministre de la Défense, signe un décret donnant naissance aux forces spéciales. En , l'état-major du commandement des opérations spéciales (COS) est déclaré opérationnel.

Des unités des trois armées sont identifiées. Elles seront employées par le COS pour les opérations ou dans le cadre de l'entraßnement interarmées. S'agissant de la Marine Nationale, il est décidé de mettre à disposition du COS des commandos marine, dont le commando de Montfort, qui seront chargés d'interventions dans la profondeur sur des objectifs à haute valeur, ou en matiÚre de lutte contre les organisations terroristes.

Le commando de Montfort a aussi Ă©tĂ© dĂ©ployĂ© en Afrique de l'Ouest et Centrale. À l'issue des exercices bilatĂ©raux « ELEPHANT » (CĂŽte d'Ivoire), « NANGBETO » (BĂ©nin-Togo), le commando a Ă©tĂ© engagĂ© aprĂšs un passage au Gabon, au sein du COS dans le cadre de la planification de l'opĂ©ration PĂ©lican I et de l'opĂ©ration PĂ©lican II d'Ă©vacuation de ressortissants au Congo-Brazzaville avec le 1er RPIMa et le commando Hubert (1997).

Le commando de Montfort a Ă©galement Ă©tĂ© engagĂ© pour l’exĂ©cution de l'opĂ©ration Espadon en Sierra Leone. Le , 20 hommes du commando de Montfort sont envoyĂ©s Ă  Freetown pour Ă©vacuer prĂšs d'un millier de personnes de 21 nationalitĂ©s diffĂ©rentes. Ces personnes seront rapatriĂ©es sur l’aviso Jean Moulin et la FS Germinal pour ĂȘtre dĂ©barquĂ©es Ă  Conakry, en GuinĂ©e.

Il a aussi effectué une mission dans les TAAF (Terres Australes et Antarctiques Françaises) avec le commando de Penfentenyo (1997), la mission SFOR en Bosnie-Herzégovine avec le commando Hubert (1997).

Plus récemment, les hommes des commandos de Montfort et de Hubert se sont illustrés au sein de l'Extraction Force en Macédoine avec leur camarades de la 1re compagnie de combat du 17e RGP.

Deux drames ont endeuillé le commando en 1996. Le quartier-maßtre Bodson a disparu en mer lors d'un exercice de nuit ainsi que le quartier-maßtre Burns lors d'un exercice à bord d'un VLRA.

En , son commandant, le lieutenant de vaisseau Henri Thiers, a disparu au cours d’une plongĂ©e dans le golfe de Tadjourah, Ă  Djibouti. Une stĂšle a Ă©tĂ© dressĂ©e par les hommes du commando de Montfort sur l'Ăźlot de la passe du Ghoubbet-el-Kharab au fond du golfe de Tadjourah, lĂ  oĂč Henri Thiers a plongĂ© pour la derniĂšre fois.

Montfort 1996
Montfort 1996


Création de la Voie de l'inconscient

Le parcours d'entraĂźnement commando, « La voie de l'inconscient » ou encore la « piste d’audace » a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e par le dĂ©tachement du Commando de Montfort au mois de dĂ©cembre de l'annĂ©e 1976[8]. Elle est situĂ©e Ă  Arta plage, Ă  Djibouti[9], au Centre d'entraĂźnement au combat et d'aguerrissement au dĂ©sert (CECAD).

Les noms gravés sur la roche sont ceux qui l'ont ouverte. Il s'agit de cinq hommes du commando de Montfort : Blatter, Delezaive, Lorette, Gourmelen, Jourdain. Les noms des 5 commandos marine ont été effacés plus tard.

Les noms du commando de Montfort gravés en blancs sur la roche de la voie de l'inconscient.

Le maßtre Blatter a choisi ce nom « voie de l'inconscient », en raison de la friabilité de la roche et du manque de tenue des fixations métalliques sur la paroi.

Long de deux cent-soixante cinq mĂštres, le parcours comporte dix obstacles[10] - [11].

Durant les premiÚres années de sa création, le parcours était effectué par les commandos marine sans aucune protection. Depuis le début des années 2000, l'épreuve se réalise avec des sécurités ; elle a été reprise par la Légion étrangÚre[11].

Opérations notoires

De septembre à , participation du commando à la mission de pacification de Beyrouth au sein de la Force Multinationale de Sécurité.

  • Évacuation de ressortissants occidentaux lors des troubles au YĂ©men (1994) ;
  • Exercices militaires internationaux « Nangbeto Â»
  • OpĂ©ration PĂ©lican I : Extraction du Personnel gouvernemental ZaĂŻrois de Kinshasa depuis Brazzaville, Ă  la suite de la rĂ©bellion menĂ©e par DĂ©sirĂ© Kabila. Le ZaĂŻre deviendra la RĂ©publique DĂ©mocratique du Congo aprĂšs la prise du pouvoir par Kabila.
  • OpĂ©ration PĂ©lican II : Extension de la mission PĂ©lican Ă  la suite du coup d'Ă©tat survenu au Congo Brazzaville. Coup d'Ă©tat Ă©tant survenu alors que le dispositif COS de PĂ©lican Ă©tait toujours sur zone, en RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo. Évacuation de plus 6 000 ressortissants africains et europĂ©ens. C'est un record historique pour l'armĂ©e française.
  • OpĂ©ration Espadon Évacuation de 1 000 ressortissants en Sierra Leone (1997) par 20 hommes du Commando de Montfort.
  • Participation du commando Ă  la surveillance du trafic commercial dans l'ocĂ©an Atlantique sur le RHM Malabar (1997).
  • Mission dans les TAAF (Terres Australes et Antarctiques Françaises) avec le commando de Penfentenyo (1997) ;
  • Participation Ă  la traque des criminels de guerre dans le cadre de la SFOR en Bosnie-HerzĂ©govine avec le commando Hubert (1997) ;
  • Participation Ă  la mission AZALE du 3 au aux Comores.
  • Participation Ă  la mission Iroko en 1999.
  • Missions Ares de 2003 Ă  2006.

Prix d'excellence

Du 11 au , Djibouti a Ă©tĂ© le thĂ©Ăątre de la campagne internationale de tireurs d’élites longue distance (International Concentration for Advanced Sniping in Djibouti ou ICASD). OrganisĂ© par le Groupement de Forces SpĂ©ciales (GFS) avec le soutien des forces françaises stationnĂ©es Ă  Djibouti (FFDj), cet Ă©vĂ©nement, crĂ©Ă© par les commandos marine il y a douze ans, est l’occasion pour des tireurs d’élite de tous horizons de confronter leurs performances.

La 1re place par équipes a été décernée au commando de Montfort, suivi des Navy Seals et du commando Hubert[12].

Tireur d'élite commando de Montfort année 1995
Tireur d'élite commando de Montfort année 1995

Fanion

Le , son fanion est dĂ©corĂ© de la croix de la Valeur militaire avec une palme. Il porte Ă©galement la croix de guerre des thĂ©Ăątres d'opĂ©rations extĂ©rieurs avec 4 palmes et la fourragĂšre aux couleurs du ruban de la mĂ©daille militaire. Le port de la fourragĂšre Ă  la couleur du ruban de la LĂ©gion d’honneur avec une olive aux couleurs du ruban de la mĂ©daille militaire-croix de guerre 1939-1945 et une olive aux couleurs du ruban de la croix de guerre TOE lui ont Ă©tĂ© attribuĂ©es.

Chuteur du commando de Montfort
Chuteur du commando de Montfort

Notes et références

  1. « Commandos marines - L'élite des forces spéciales - Livre de Roch Pescadere », sur booknode.com (consulté le ).
  2. « Commandos marine - Des marins d’exception », sur colsbleus.fr, le magazine de la Marine nationale (consultĂ© le ).
  3. « Protagonistes Montfort de G à L - Commandos marine », sur cdojaubert.canalblog.com, (consulté le )
  4. « le-commando-de-montfort », sur www.defense.gouv.fr (consulté le ).
  5. « les commandos marine », sur calameo.com (consulté le )
  6. « Montfort en Algérie - IMG 13-0 à 13-200 - Commandos marine », sur cdojaubert.canalblog.com, (consulté le ).
  7. « commando-montfort », sur memorial-national-des-marins.fr (consulté le )
  8. Création de la voie de l'inconscient en 1976 à Djibouti par les commandos marine [Motion picture], Serge Kurschat (réalisateur) () France : La voie de l'inconscient.
  9. « Voie de l'inconscient », sur geocaching.com (consulté le ).
  10. http://legion-etrangere-f.forumactif.org/t958-voie-de-l-inconscient
  11. [vidéo] CECAD Voie de l'inconscient sur YouTube.
  12. ArmĂ©e française - OpĂ©rations militaires, « FFDj : campagne internationale de tireurs d’élites longue distance », (consultĂ© le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.