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Center Parcs de la forĂŞt de Chambaran

Le Center Parcs des Chambaran ou Center Parcs de Roybon est un projet abandonnĂ© de Center Parcs, comprenant la construction d'un village de vacances de 990 cottages et d'un espace aqualudique sur une superficie de 203 ha. L'ensemble devait ĂŞtre situĂ© dans le bois des Avenières, sur les hauteurs de Roybon en Isère sur le plateau de Chambaran.

Center Parcs de la forĂŞt de Chambaran
Description
Type Village de vacances
Autre(s) nom(s) Center Parcs de Roybon
Aménageur Groupe Pierre & Vacances-Center Parcs
Localisation
Pays Drapeau de la France France
Localité Roybon
Programme
Périmètre 203 ha
CoordonnĂ©es 45° 14′ 28″ nord, 5° 13′ 54″ est
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Center Parcs de la forĂŞt de Chambaran
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Center Parcs de la forĂŞt de Chambaran

Le projet était soutenu par la commune de Roybon, la communauté de communes du Pays de Chambaran, le conseil départemental et le conseil régional[1], et une majorité des habitants de Roybon[2] qui y voyaient un levier majeur de développement économique et touristique. Mais il a rencontré l'opposition de diverses associations de protection de la nature et de l’environnement, dont la FRAPNA Isère, qui a dénoncé, en s'appuyant sur le résultat de l'enquête publique, l’impact néfaste de ce futur complexe touristique sur l’environnement de ce secteur boisé et de sa zone humide[3]. Pour Pierre & Vacances-Center Parcs l’impact environnemental sera réduit au maximum et maîtrisé avec la prise en compte des zones humides dès le début du projet[4].

Le groupe a abandonné le projet en juillet 2020[5].

Projet

Caractéristiques

Le groupe Pierre & Vacances-Center Parcs prĂ©voyait la construction d'un village de vacances de 990 cottages et d'un espace aqualudique chauffĂ© Ă  29 °C en permanence avec des plantes tropicales[6], sur une superficie de 203 ha[7]. Plus de trente activitĂ©s de sports et de loisirs, intĂ©rieures et extĂ©rieures, y auraient Ă©tĂ© proposĂ©es. La capacitĂ© d'hĂ©bergement du site devait ĂŞtre d’environ 5 500 lits. Le projet devait inclure 2 088 places de parking et devait accueillir 380 000 visiteurs par an[8]. Il devait crĂ©er 697 emplois directs (et 1 500 pendant la phase de chantier) correspondant Ă  468 Ă©quivalents temps plein, pour un investissement total de 387 millions d'euros[8].

Site

Le village de Roybon, avec au fond à droite, le bois des Avenières.

Le site ciblé se situe sur le plateau de Chambaran dans le Bois des Avenières, sur les hauteurs de la commune de Roybon en Isère[9].

Il est inclus dans une ZNIEFF (zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique) de type II, ensemble géographique étendu, dont les équilibres généraux doivent être préservés sans exclure la réalisation d’aménagements sous réserve du respect des écosystèmes généraux[9] - [10], mais pas dans une ZNIEFF de type I (secteur de grand intérêt biologique ou écologique). Il est toutefois situé à proximité d'une ZNIEFF de type I et de sites du réseau Natura 2000[3]. Le lieu est aussi considéré comme ayant une valeur patrimoniale de par la présence sur le site de zones humides selon le critère du sol[11] - [12].

Financement

Selon l'analyse prĂ©sentĂ©e par la commune aux habitants et aux Ă©lus[13], les collectivitĂ©s territoriales auraient participĂ© au financement du projet pour un montant de 37,4 millions d'euros sous forme de subventions appelĂ©es « aides Ă  l'intĂ©gration du Center Parcs » :

Le Conseil rĂ©gional en a votĂ© une subvention de 4,7 millions d'euros en faveur du projet dans le cadre de son budget 2016[16]. La dĂ©libĂ©ration attribuant cette subvention a Ă©tĂ© annulĂ©e le par le tribunal administratif de Lyon[17].

D'autre part, selon l'association PCSCP, les avantages fiscaux consentis aux acquĂ©reurs des cottages auraient un coĂ»t de 74,6 M€ pour les finances de l'État[18] :

  • 27,15 M€ au titre du dispositif Censi-Bouvard ;
  • 47,46 M€ au titre de remboursement de TVA[19].

Selon Center Parcs[20], les financements n'auraient pas affectĂ© la fiscalitĂ© locale ni les habitants puisqu'il se serait agi de prĂ©lever pendant quelques annĂ©es sur les recettes apportĂ©es par la prĂ©sence du parc (le projet prĂ©tendait gĂ©nĂ©rer une taxe d'amĂ©nagement de 3,2 millions d'euros, et presque autant de taxe annuelle, une fois le projet en fonctionnement[8]).

Historique

2007 - 2013

Située dans une zone rurale reculée, la commune de Roybon connaît dans les années 2000, une diminution de sa population, avec une population vieillissante[6]. De plus, la commune s'endette fortement construire un nouveau déversoir pour le barrage de l’Aigue noire sujet à des problèmes d'étanchéité[6]. En réaction, à cette situation, l'équipe municipale est en quête d'un projet de développement économique. Un projet de décharge lancé par le Conseil général de l'Isère est rejeté avant que le projet de Center Parcs soit proposé[6]

Le projet de Center Parcs est lancé en 2007 et fait l'objet de plusieurs mesures administratives :

  • modification du schĂ©ma directeur d’amĂ©nagement de la rĂ©gion urbaine grenobloise en 2009[6] ;
  • rĂ©vision simplifiĂ©e du plan local d'urbanisme (PLU), approuvĂ©e le par le conseil municipal de Roybon[9] ; un recours contre cette rĂ©vision est fait en juillet 2010 ; le tribunal administratif de Grenoble s'oppose Ă  cette rĂ©vision en juin 2011, puis la cour d'appel administrative de Lyon valide celle-ci en avril 2012[6] ;
  • autorisation de dĂ©frichement au titre du code forestier, dĂ©livrĂ©e par le prĂ©fet de l’Isère [21] - [9], puis une seconde fois en avril 2013[6] ;
  • permis de construire, accordĂ© le par le maire de Roybon, qui suscite un premier recours en septembre 2010, puis un second en fĂ©vrier 2012, avant que le permis de construire soit actĂ© dĂ©finitivement en janvier 2013[6] ;
  • diffĂ©rents travaux d'amĂ©nagement en rapport avec le projet, comme un forage pour capter de l'eau et des canalisations, qui sont Ă©galement l'objet de batailles juridiques Ă  partir de novembre 2011[6].

2014

Lors de l'enquĂŞte publique du au [22], la commission d'enquĂŞte Ă©met un avis dĂ©favorable[9] en raison de la superficie des zones humides dĂ©truites (de 110 Ă  120 hectares, contre 76 selon Center Parcs[8]), et de la perte de continuitĂ© hydraulique et Ă©cologique des zones non dĂ©frichĂ©es[9]. Le rapport de la commission d'enquĂŞte note Ă©galement la faiblesse et la dispersion des mesures compensatoires, situĂ©es sur des zones humides dĂ©jĂ  existantes, mais seulement dĂ©gradĂ©es[8] - [9] et l'impact potentiel des vidanges du centre aquatique (dont l'eau serait Ă  29 °C) sur la faune[9].

Le , le préfet Richard Samuel s’appuie sur un avis favorable du conseil départemental de l'environnement et des risques sanitaires et technologiques relativement à la loi sur l’eau pour autoriser le démarrage des travaux[23]. Il estime que le public a été très largement consulté sur le projet, cinq enquêtes publiques ayant été organisées depuis 2009 qui ont permis aux habitants de la région de s’exprimer[24]

La construction commence en [25] avec l'objectif d'ĂŞtre achevĂ©e en 2017[26]. Entre octobre et dĂ©cembre 2014, 40 hectares sont dĂ©frichĂ©s sur les 80 annoncĂ©s[27] (soit 0,2 % de la superficie totale du massif forestier des Chambaran[28]), malgrĂ© plusieurs interruptions des travaux en dĂ©cembre liĂ©es aux contestations[29], ainsi qu'Ă  l'occupation d'une maison forestière par des opposants qui ont constituĂ© une ZAD[30].

En rĂ©ponse Ă  un recours en rĂ©fĂ©rĂ© dĂ©posĂ© par la FĂ©dĂ©ration de la DrĂ´me pour la pĂŞche et la protection du milieu aquatique, le tribunal administratif de Grenoble suspend le l'arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral du 3 octobre prĂ©cĂ©dent, au titre de la loi sur l'eau et les milieux aquatiques qui avait dĂ©livrĂ© une autorisation de travaux Ă  la sociĂ©tĂ© Roybon Cottages[31]. Il estime qu'un doute existe « quant Ă  la suffisance des mesures prĂ©vues par l'arrĂŞtĂ© pour compenser la destruction de zones humides qu'entraĂ®nera la rĂ©alisation du projet », ainsi que sur « la lĂ©galitĂ© de cet arrĂŞtĂ©, en raison de l'absence de saisine de la Commission nationale du dĂ©bat public sur le projet de Center Parcs, laquelle est obligatoire pour les Ă©quipements touristiques dont le coĂ»t estimatif excède 300 M€[27]. »

2015

Cette décision empêche la reprise des travaux tant que le tribunal ne se sera pas prononcé sur le fond. L'audience est alors prévue pour le 2 juillet 2015[32] - [33]. Le nouveau préfet de l'Isère, Jean-Paul Bonnetain, indique le que les militants « zadistes » ne seront pas évacués par les forces de l'ordre tant que le contentieux juridique ne sera pas purgé[34].

Le juge des référés du tribunal administratif rejette par ailleurs le même jour trois recours visant l'arrêté préfectoral du 16 octobre autorisant la destruction d'espèces protégées et de leurs habitats[35]. Il estime qu'aucun doute sérieux ne pèse sur la légalité de cet acte[36]. Ces trois recours avaient été déposés par la Fédération Rhône-Alpes de protection de la nature (FRAPNA), la Fédération de la Drôme pour la pêche et la protection du milieu aquatique et l'association Pour les Chambaran sans Center Parcs (PCSCP)[37].

Le , le Conseil d'État déboute l'association PCSCP qui contestait la décision du juge des référés du tribunal administratif de Grenoble qui avait refusé de suspendre l'arrêté du 16 octobre 2014[34]. Le 18 juin suivant, le Conseil d'État annule la suspension des travaux qui avait été prononcée le 23 décembre 2014 par le tribunal administratif de Grenoble[38].

Le , le tribunal administratif de Grenoble examine au total cinq recours en annulation concernant les deux arrêtés préfectoraux contestés par les opposants au projet[33]. Au cours de l'audience, le rapporteur public recommande au tribunal l'annulation totale immédiate et rétroactive de l'arrêté du préfet de l'Isère du autorisant le projet. Selon lui, cet arrêté doit être considéré comme illégal pour deux raisons : l'absence de saisine de la Commission nationale du débat public (CNDP) et l'insuffisance des mesures compensant la destruction de zones humides[39]. Dans sa décision rendue le , le tribunal administratif annule l'arrêté préfectoral de construction du Center Parcs en suivant l'avis du rapporteur public[40] - [41]. Le groupe Pierre & Vacances annonce son intention de faire appel « convaincu du bien-fondé économique et environnemental du projet sur lequel il est engagé depuis sept ans »[42] - [43] - [44].

Parallèlement à son appel de la décision du tribunal administratif de Grenoble du 16 juillet, Pierre & Vacances dépose auprès de la cour administrative d'appel de Lyon une demande de suspension du jugement en attendant une décision sur le fond. De son côté, la FRAPNA fait appel d'un autre jugement du tribunal administratif qui a validé l'arrêté préfectoral autorisant le projet sur son volet protection des espèces protégées[45].

2016

Le , le conseil rĂ©gional d'Auvergne-RhĂ´ne-Alpes adopte, dans le cadre de son budget 2016, une subvention de 4,7 M€ en faveur du projet, malgrĂ© la suspension du chantier par la justice administrative[46].

Le , la cour administrative d'appel de Lyon confirme l’illégalité de deux des trois arrêtés préfectoraux qui permettaient le démarrage des travaux[47]. Le groupe Pierre et Vacances décide de se pourvoir auprès du Conseil d'État[48].

2017

Le , le Conseil d'État confirme une dĂ©cision de la cour d’appel de Lyon, obligeant Pierre & Vacances Ă  revoir l’évacuation des eaux usĂ©es qui devait traverser des terrains instables et des zones humides sur 27 km sans que l'Ă©tude d'impact demandĂ©e par la Dreal ait Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e[49].

2018

Le , le tribunal administratif de Lyon annule la dĂ©libĂ©ration du du conseil rĂ©gional d'Auvergne-RhĂ´ne-Alpes attribuant une enveloppe de 4,7 M€ au projet[17].

Le , alors que l’autorisation de défrichement arrive à échéance, un décret est pris par le premier ministre Edouard Philippe et le ministre de l’agriculture Stéphane Travert qui modifie un article du code forestier, permettant de proroger la validité des autorisations de défrichement de 5 ans maximum en cas de recours[50] - [51]. Ainsi le préfet de l’Isère, Lionel Beffre, peut-il prendre un arrêté le prorogeant l’autorisation de défrichement jusqu’au . Le décret du et l’arrêté du font l’objet d’un recours gracieux en annulation de la FRAPNA[52].

Le , le Conseil d'État casse l'arrĂŞt de la cour administrative d'appel de Lyon qui avait annulĂ© le l'arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral du autorisant la construction. Le Conseil d'État considère que la cour administrative d'appel avait commis une « erreur de droit » en omettant « de confronter l’autorisation litigieuse Ă  l’ensemble des orientations et des objectifs fixĂ©s par le schĂ©ma directeur d’amĂ©nagement et de gestion des eaux 2016-2021 du bassin RhĂ´ne-MĂ©diterranĂ©e. » Il dĂ©cide aussi de rejeter les conclusions prĂ©sentĂ©es par diffĂ©rentes associations de protection de la nature et de protection du milieu aquatique, et les condamne Ă  verser la somme globale de 3 000 euros Ă  la SNC Roybon Cottages[53]. Le dossier doit donc ĂŞtre rejugĂ© par la cour administrative d'appel de Lyon[54].

2020

Le groupe Pierre & Vacances abandonne le projet en juillet[5] - [55]. La ZAD est dispersée le 13 octobre suivant. Certains de ses membres sont soupçonnés d'être les auteurs des déprédations dont la mairie et de nombreux commerces de Roybon sont victimes dans la nuit du 2 au 3 décembre[56].

Contestations et soutiens du projet

Les opposants au projet craignent la destruction de 92 ha de forĂŞt, une mise en pĂ©ril de la faune et de la flore et dĂ©noncent des irrĂ©gularitĂ©s au regard de la loi sur l'eau et les milieux aquatiques de 2006 et les subventions versĂ©es par les collectivitĂ©s[57] - [58]. Ils sont confortĂ©s par l'avis dĂ©favorable unanime rendu par les trois commissaires de l'enquĂŞte publique et la contestation s'intensifie Ă  la fin de l'annĂ©e 2014, malgrĂ© un soutien Ă©conomique local au projet[59] - [60]. Ainsi le , une manifestation de soutien se tient Ă  Roybon et rĂ©unit environ 2 000 personnes, alors que la manifestation de la veille regroupant les opposants au projet n'a rĂ©uni que 400 personnes[61].

Si une large partie des natifs de la commune soutiennent le projet de Center-Parcs, notamment le maire de la commune, pour revaloriser économiquement la commune, certains habitants récemment arrivées dans la commune en quête de calme, y sont opposés[6]. L'association Pour les Chambaran sans Center Parcs (PCSCP), créée en décembre 2009, regroupe ces opposants aux côtés de la Fédération Rhône-Alpes de Protection de la Nature et de la Fédération de la Drôme pour la pêche et la protection des milieux aquatiques[6]. La présence physique d'une ZAD à partir de 2014 est peu soutenue par la population locale[6].

Selon l'association PCSCP, chaque emploi crĂ©Ă© aurait coĂ»tĂ© près de 240 000 â‚¬ Ă  la collectivitĂ©, soit 15 fois plus que les emplois d'avenir. L'association aboutit Ă  cette conclusion en divisant le montant des subventions qui seraient versĂ©es (37,4 millions d'euros), auquel elle ajoute les rĂ©ductions fiscales estimĂ©es (74,61 millions d'euros) par le nombre d’équivalents emplois Ă  temps plein (468), soit un montant de 239 338 â‚¬ par emploi crĂ©Ă©[62].

Pour Pierre & Vacances-Center Parcs, ce calcul est dépourvu de sens, car il ne prend pas en compte les multiples retombées économiques, comme celles qui ont par exemple été mesurées pour le Center Parcs de Moselle par l’INSEE à hauteur de 30 millions d’euros par an pour le seul département[63].

L’association Vivre en Chambaran[64], créée en mai 2012, a pour but d'apporter un soutien au processus de développement économique et touristique des Chambaran. Elle défend le projet de Center Parcs et organise diverses actions et manifestations de soutien.

Notes et références

  1. « Roybon : la Région "réaffirme son soutien au dossier Center Parcs" », France 3 Régions,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. « France Bleu Isère : «Roybon : les habitants veulent encore croire au Center Parcs» », France Bleu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. [https://web.archive.org/web/20150719215636/http://roybon.fr/uploads/rapport%20de%20la%20commission%2023%2007%202014%20complet%20sign%C3%A9.pdf « Enquête publique « loi sur l’eau » relative au projet d’implantation d’un Center Parcs à Roybon (Isère) »], sur roybon.fr (version du 19 juillet 2015 sur Internet Archive)
  4. « Sites Natura 2000 Isère : Commune de Roybon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  5. « Après plus de dix ans de guerre d’usure, Center Parcs abandonne son projet à Roybon », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. Axelle Egon (dir.), « Résister face à Center Parcs. Les espaces de la ZAD de Roybon », sur Géoconfluences,
  7. « Un Center Parcs en Chambaran », sur isere-magazine.fr/, (version du 12 février 2016 sur Internet Archive)
  8. « Le Center Parcs de Roybon, c'est quoi déjà? », France 3 Région,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. Conclusions de la commission d'enquête publique, référencée en Liens externes.
  10. « Présentation des ZNIEFF », sur le site internet de l'Institut national du patrimoine naturel (consulté le )
  11. « France - Construction du Center Parcs à Roybon : la bataille écologique se poursuit », France 24,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  12. « Critère relatif à l’hydromorphie des sols | Milieux humides », sur zones-humides.eaufrance.fr (consulté le ).
  13. « CENTER-PARCS, DOMAINE DE LA FORET DE CHAMBARAN - Analyse des née aux élus et aux habitants du secteur » (version du 4 mars 2016 sur Internet Archive)
  14. Le soutien du conseil rĂ©gional d'Auvergne-RhĂ´ne-Alpes, d'un montant maximum de 7 millions d'euros, rĂ©sulte d'un vote lors de son assemblĂ©e plĂ©nière du 9 juillet 2009. Les Verts et le Parti de gauche ont votĂ© contre.« RhĂ´ne-Alpes. Center Parcs. La RĂ©gion apporte son soutien de principe », (version du 20 avril 2016 sur Internet Archive)
  15. [PDF]Avenant n°1 au protocole d'accord entre le Département et le groupe Pierre & Vacances pour la réalisation d'un Center parcs à Roybon : Extrait des délibérations. Séance du 16 octobre 2014, (lire en ligne).
  16. « Le Parisien : Center Parcs de Roybon: la région vote une subvention en faveur du projet contesté », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Center Parcs de Roybon: une subvention de 4,7 millions annulée par la justice », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. [PDF]Dossier de presse de l'association PCSCP, (lire en ligne).
  19. « Fiscalité », sur le site internet Pierre & Vacances Conseil immobilier (consulté le ).
  20. « Insertion des Center Parcs dans l’économie locale », sur blog.centerparcs.fr, (version du 12 mars 2010 sur Internet Archive)
  21. « Arreté prefectoral du 12 juillet 2010 portant autorisation de défrichement », sur pcscp.org (consulté le ).
  22. Denis Souilla, « L'enquête publique sur le projet de Center Parcs à Roybon est lancée : Le projet de Center Parcs à Roybon continue de cristalliser les partisans et opposants. L'enquête publique obligatoire "au titre de la loi sur l'eau" concernant le futur complexe de loisirs vient de débuter. Le projet est lancé depuis 2007 », France Bleu Isère,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Projet Center Parcs à Roybon : la communication de crise est-elle encore évitable pour Pierre & Vacances ? », Le blog du Communicant,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Center parc de Roybon : l'étude d'impact à nouveau sur le banc des accusés », Actu Environnement,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Center Parcs de Roybon : la démocratie baillonnée ? », Place Gre'net,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  26. « Les opposants au Center Parc de Roybon occupent une maison forestière », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Isère : la justice suspend les travaux du Center Parcs de Roybon », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Infographie du Massif des Chambaran », (version du 25 avril 2017 sur Internet Archive)
  29. Anne Hédiard, « Le chantier du futur Center Parcs de Roybon (Isère) de nouveau suspendu », France 3,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Comme à Sivens et Notre-Dame-des-Landes, les opposants au Center Parcs de Roybon s'installent sur le chantier », France 3,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Environnement - Center Parcs - Référé 1 », sur grenoble.tribunal-administratif.fr, (consulté le ).
  32. « Center Parcs : les travaux sont suspendus », Le Dauphiné,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Center Parcs : audience devant le tribunal administratif le 2 juillet », Le Dauphiné,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Le pourvoi en cassation contre le projet de Center Parcs à Roybon jugé irrecevable », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Arrêté préfectoral n° 2014289-0018 autorisant la capture ou l'enlèvement, la destruction de spécimens et l'altération ou la destruction d'habitats d'espèces protégées - La SNC Roybon Cottages : Création du Center Parcs de Roybon », Préfecture de l'Isère, (consulté le ).
  36. « Isère : la justice suspend les travaux du Center Parcs de Roybon », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Environnement - Center Parcs - Référé 2 », sur le site du tribunal administratif de Grenoble, (consulté le ).
  38. « Center Parcs de Roybon : le Conseil d'État annule la suspension des travaux », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Zones humides : le projet de Center Parcs de Roybon bat de l'aile », Sciences et Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « Center Parcs de Roybon : la justice annule un arrêté essentiel au projet », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. « Center Parcs de Roybon: le tribunal de Grenoble juge illégal un arrêté indispensable au lancement des travaux », Le Huffington Post,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. « Center Parcs de Roybon : une décision de justice en forme de coup d’arrêt », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. « Center Parcs de Roybon : «L'abandon du projet n'est pas envisageable» selon son PDG », 20 minutes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. « Center Parcs de Roybon / Arrêté préfectoral annulé », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  55. « Abandon du Center Parcs de Roybon : la victoire à l'usure des zadistes ne fait pas que des heureux », LCI,‎ (lire en ligne, consulté le )
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  57. Tribune de Michèle Rivasi et Olivier Bertrand, « Barrage de Sivens, Center parcs en Isère : mêmes causes, mêmes effets ? », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  59. Camille Bordenet, « A Roybon, la guerre d'usure entre les partisans et les opposants au projet de Center Parcs », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  62. « Pour en finir avec l'argument de l'emploi : Pour en finir avec l'argument de l'emploi », L'écho des Chambaran, no 4,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  63. « Site débat public Center Parcs Le Rousset – Document Insee Economie Lorraine Center Parcs du Domaine des Trois Forêts "Plus de 600 emplois nouveaux et un pôle touristique majeur" », sur le site de la Commission du débat public, (consulté le ).
  64. « Nos actions », sur le site de l'association Vivre en Chambaran (consulté le ).

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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