Canton du Merlerault
Le canton du Merlerault est une ancienne division administrative française située dans le département de l'Orne et la région Basse-Normandie.
Canton du Merlerault | |
Situation du canton dans l'arrondissement d'Argentan. | |
Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Basse-Normandie |
DĂ©partement | Orne |
Arrondissement(s) | Argentan |
Circonscription(s) | 2e |
Chef-lieu | Le Merlerault |
Code canton | 61 21 |
Histoire de la division | |
Création | 1790 |
Disparition | 2015 |
DĂ©mographie | |
Population | 4 025 hab. (2012) |
Densité | 26 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 48° 43′ 06″ nord, 0° 18′ 59″ est |
Superficie | 154,15 km2 |
Subdivisions | |
Communes | 12 |
GĂ©ographie
Ce canton était organisé autour du Merlerault dans l'arrondissement d'Argentan. Son altitude variait de 180 m (Nonant-le-Pin) à 331 m (Échauffour) pour une altitude moyenne de 253 m.
Administration
Conseillers généraux de 1833 à 2015
Le canton participe à l'élection du député de la deuxième circonscription de l'Orne.
Conseillers d'arrondissement (de 1833 Ă 1940)
Composition
La carte des communes du canton. Les cantons limitrophes étaient ceux d'Exmes, de Gacé, de La Ferté-Frênel, de Moulins-la-Marche, de Courtomer et de Mortrée.
Le canton du Merlerault comptait 4 025 habitants en 2012 (population municipale) et regroupait douze communes :
- Les Authieux-du-Puits ;
- Champ-Haut ;
- Échauffour ;
- La Genevraie ;
- Lignères ;
- MĂ©nil-Froger ;
- Le MĂ©nil-Vicomte ;
- Le Merlerault ;
- Nonant-le-Pin ;
- Planches ;
- Saint-Germain-de-Clairefeuille ;
- Sainte-Gauburge-Sainte-Colombe.
À la suite du redécoupage des cantons pour 2015, toutes les communes sont rattachées au canton de Rai.
Anciennes communes
Les anciennes communes suivantes Ă©taient incluses dans le canton du Merlerault[9] :
- Carnettes et Tallonnay, absorbée en 1817 par La Genevraie.
- Notre-Dame-du-Tilleul, absorbée en 1817 par Lignères.
- Mont-Marcey, absorbée en 1822 par Le Merlerault.
- Saint-Vandrille, absorbée en 1840 par Planches.
- Sainte-Colombe, absorbée en 1864 par Sainte-Gauburge. La commune prend alors le nom de Sainte-Gauburge-Sainte-Colombe.
DĂ©mographie
Voir aussi
Notes et références
- « Ministère de la culture - Base Léonore », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
- « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
- Le Petit Journal, 26 octobre 1937, "Liste officielle des membres du P.S.F. Ă©lus aux derniers scrutins", consultable sur Gallica
- « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
- « lereveilnormand.fr/2016/01/25/… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- « Le Journal d'Alençon et du département de l'Orne, numéro du 24 février 1834 · Normannia : le patrimoine écrit de Normandie », sur normannia.info (consulté le ).
- (réf.: Almanach royal et national pour l'an MDCCCXXXIV (1834) présenté à Sa Majesté et aux princes et princesses de la famille royale, pages 525 et 526 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k203761t/f543.item# [archive], consulté le 24 octobre 2021).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Requête administration : fiches des douze communes du canton », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Structure de la population du canton de 1968 à l'année de la dernière population légale connue
- Fiches Insee - Populations légales du canton pour les années 2006, 2011, 2012
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