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Calendrier pollinique

Un calendrier pollinique est un document (texte et/ou représentation graphique) décrivant les variations saisonnières de présence dans l'air de pollens anémophiles. Selon le calendrier, les variations sont plus ou moins précises (journalières ou hebdomadaires). Ils présentent visuellement les pics polliniques.

Extrait de calendrier pollinique (simulation donnée à titre d'exemple, ici pour 4 espèces d'arbres et deux herbacées).
Un tel calendrier peut théoriquement comporter des dizaines d'espèces différentes. Il est différent pour chaque site, et évolue annuellement selon les conditions météorologiques, ainsi que selon certains facteurs contextuels ; Par exemple la graphiose de l'orme a décimé les ormes, qui produisent donc moins de pollens. Un incendies de forêt sera suivi de changements (ex : augmentation de pollens d'herbacées et d'essences pionnières tels que saule et bouleau, etc.


Ce n'est pas un document figé ; Il varie selon la flore présente localement et plus ou moins distantes (selon les capacités de dispersion des pollens par le vent), mais aussi selon l'année et le contexte climatique et biogéographique.

Il décrit la pluie de pollen, qui est très influencée par les périodes de floraison et d'émission de pollens par les plantes anémophiles[1] (pollen parfois allergisant). Il peut aussi intégrer (en période de vents turbulents) certains réenvols de pollens antérieurement émis.

Des divergences importantes peuvent ĂŞtre constatĂ©es entre l'observation clinique et les « comptes polliniques Â».
Un calendriers pollinique n'est donc pas un « calendrier de risque allergique Â». Mais il peut aider Ă  le construire. L'Ă©tude du risque allergique nĂ©cessite une prise en compte du contexte de vie du patient allergique (santĂ© environnementale, santĂ© au travail, antĂ©cĂ©dents Ă©voquant des allergies croisĂ©es, etc.). Il est Ă©galement utile ou nĂ©cessaire d'Ă©tudier directement les aĂ©roallergènes et leurs interatctions[2] entre eux et avec d'autres polluants de l'air.

Histoire

En 1965, Charpin présente et commente le calendrier pollinique de Paris [3].

Il peut ainsi être comparé au calendrier pollinique de Lyon publié par Touraine et al. en 1969 à partir de 3 années de mesures[4], qui lui-même a été comparé à celui de la station d'Hauteville [5]. Au cours du temps et grâce au développement de la bioinformatique, ils ont gagné en précision[6].

Utilisations

De tels calendriers sont aujourd'hui couramment utilisĂ©s pour produire une « mĂ©tĂ©o pollinique Â».
Cette météo pollinique est elle-même utilisée pour l'aide à la prévention, au diagnostic et au traitement de certaines allergies (pollinoses).

L'allergologue et le toxicologue peuvent ainsi croiser avec une précision croissante les données du calendrier pollinique avec :

  1. les donnĂ©es de pollution de l'air (Ă©ventuellement fournies sous forme de « cadastres Â» ou de calendriers, pour les pics d'ozone par exemple). Ce « croisement Â» est utile car « les polluants atmosphĂ©riques peuvent augmenter la quantitĂ© d’allergènes prĂ©sents dans les grains de pollen et leur capacitĂ© Ă  se libĂ©rer dans l’air (...) et par suite majorer leur allergĂ©nicitĂ© » a confirmĂ© en 2011 une revue de la littĂ©rature de M Laaidi et al.[7] et parce que divers polluants sont de puissants irritants des voies respiratoires capables d'abaisser le seuil de rĂ©activitĂ© des bronches aux pollens[7] ;
  2. les données météorologiques, car les effets néfastes des pollens et des polluants sur la santé sont renforcés par certaines conditions météorologiques, « surtout lorsque les mêmes paramètres favorisent à la fois la production et la dispersion des pollens et celles des polluants »[7] ; Des paramètres tels que l'acidité de l'air, le taux d'ozone ou encore le taux d'ultraviolets interagissent avec les pollens, de même qu'une éventuelle régression de certains pollinisateurs.

Ces calendriers permettent par exemple :

  • d'attirer l'attention sur l'Ă©mergence de certains pollens Ă©mis par des espèces introduites (Ă©ventuellement invasives ou envahissantes telles que l'ambroisie en France[8]), dont on peut alors mieux suivre l'Ă©volution locale en comparant des calendriers polliniques de diffĂ©rentes Ă©poques.
    Un travail de ce type a par exemple été réalisé à Romans-sur-Isère pour les années 1969, 1970, 1971[9].
  • des « comparaisons inter-ville Â» ; on a ainsi montrĂ© que les pluies de pollens sont dans certaines grandes villes (très minĂ©ralisĂ©es) très diminuĂ©es (Ă  Tunis par exemple, qui reçoit « une pluie pollinique beaucoup moins intense que les villes du littoral mĂ©diterranĂ©en français »[10], avec plus de pollens de cyprès[10] R. Ariano (2008), Allergie aux pollens de Cyprès ; Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, Volume 48, no 4, , Pages 321 Ă  324 (allergĂ©nique[11] et l'une des rares sources d'allergies hivernales au pollen[11]), mais une durĂ©e plus courte de « pluie Â» de pollens de graminĂ©es)[10], ce qui ne rĂ©duite pas nĂ©cessairement le risque allergique).
  • de mieux comprendre des diffĂ©rences Ă©pidĂ©miologiques et de prĂ©valence de certaines pathologies, ou pourquoi les pollens de certaines plantes semblent plus allergènes pour les enfants urbains que pour des enfants vivant en montagne ou en zone de bocagère pourtant plus riches en pollens.
  • de mieux Ă©valuer le risque allergique, en particulier le risque asthme, de rhinites ou de rhume des foins, etc. quand il est liĂ© aux pollinoses ou quand une pollinose peut ĂŞtre un co-facteur dĂ©clenchant ou aggravant.
    Le calendrier pollinique peut aussi être croisé avec un calendrier des pluies de spores fongiques[12], lesquels peuvent être également très allergènes ;
  • d'Ă©tudier certains problèmes liĂ©s Ă  une mauvaise pollinisation en agriculture, horticulture, sylviculture, etc. ;
  • de mieux connaĂ®tre les facteurs de saisonnalitĂ© des pollens,
  • d'Ă©clairer certains phĂ©nomènes qui pourraient par exemple interfĂ©rer avec les mortalitĂ©s d'abeilles, la dispersion de pollens transgĂ©niques,
  • de prĂ©ciser les informations dĂ©duites de la prĂ©sence/absence de certains pollens sur des indices recueillis dans le contexte d'enquĂŞtes criminelles ou de mĂ©decine lĂ©gale ;
  • de mieux mesurer les effets de la mĂ©tĂ©orologie et/ou du dĂ©règlement climatique sur les pollens (on a ainsi montrĂ© que globalement, les pollens apparaissent plus tĂ´t en saison, et sont prĂ©sents plus tard et que les rĂ©gions concernĂ©es changent ou s'agrandissent ou « grimpent en altitude »)[13].
  • de mieux mesurer et interprĂ©ter les effets de l'augmentation des ultraviolets (Ă  la suite du trou de la couche d'ozone) sur le taux de pollens aĂ©rotransportĂ©s et l'efficacitĂ© de la pollinisation...
  • de mieux adapter certains traitements mĂ©dicaux symptomatiques d'allergies aux pollens, ou prĂ©ventivement mieux les rĂ©server Ă  la « saison pollinique Â» d'un pollen auquel un patient est sensibilisĂ©[1].

MĂ©thodes

La réalisation d'un calendrier pollinique nécessite d'une part un système technique de prélèvement/capteurs de pollens capable d'intercepter une partie de la pluie de pollen et de ne pas perdre les pollens ainsi captés[2] et d'autre part un protocole scientifique pour l'étude de ces pollens. Idéalement, les données recueillies sont au minimum quantitatives (gravimétriques et/ou volumétriques) et l'échantillonnage ne doit pas dégrader le pollen afin d'en permettre son étude qualitative. Cette dernière commence avec la microscopie optique[2] mais elle peut être précisée par d'autres moyens (microscopie électronique, analyses physicochimiques, isotopiques, biologiques, toxicologiques ou radiologiques par exemple).

On utilisait autrefois gĂ©nĂ©ralement pour cela des plaques (protĂ©gĂ©es) de la pluie (« Capteur de Durham Â»[2]) et/ou divers types de filtres, le dispositif pouvant parfois ĂŞtre orientĂ© face au vent en Ă©tant associĂ© Ă  un système de girouette (Capteur Cour[2]).

La rĂ©alisation d'un tel calendrier Ă©tait autrefois longue et fastidieuse. Mais des procĂ©dures de surveillance aĂ©robiologique automatisĂ©es apparaissent. Un capteur dit « trappe de Hirst » ou « trappe de Hirst modernisĂ© Â» (ex : Burkard® ou Lanzoni®) est de plus en plus utilisĂ© pour dĂ©nombrer et identifier les pollens aĂ©rotransportĂ©s[2]. Ă€ titre d'exemple, le calendrier pollinique de Limoges a nĂ©cessitĂ© l'analyse de 2 104 lames et 360 filtres[14]. Les chercheurs en aĂ©robiologie disposent aujourd'hui des capteurs de type "cyclonique" (ex : « capteur Coriolis Â»Â® Delta[2]) permettant de capter par centrifugation l'intĂ©gralitĂ© des pollens et particules passant dans un Ă©chantillonneur.

En France, le RNSA (réseau national de surveillance aérobiologique) utilise des capteurs de type Hirst car :

  • leur aspiration d'air est rĂ©gulière et comparable Ă  une respiration humaine moyenne (10 litres d'air par minute)[15] ;
  • ils sont d'utilisation facile et permettent une lecture rapide et prĂ©cise ; l'air est aspirĂ© par la pompe Ă  partir de la buse d’aspiration (14 x mm) qui est toujours orientĂ©e vers la direction d'oĂą vient le vent grâce Ă  un empennage faisant office de girouette. Les particules sont orientĂ©es vers un support de cellophane transparent et adhĂ©sif entraĂ®nĂ© par un mĂ©canisme d’horlogerie (mm par heure) permettant un enregistrement temporel fiable (nĂ©cessaire pour l'analyse par heure, jour, semaine).

Ils sont généralement placés en altitude (sur le toit d'un immeuble)

Remarques :

  • Plus le prĂ©lèvement est relevĂ© frĂ©quemment, plus le calendrier sera prĂ©cis.
  • Les comptes polliniques associĂ©s Ă  la donnĂ©e "direction du vent" procurent des informations intĂ©ressantes sur la provenance gĂ©ographique des pollens.
  • Pour ĂŞtre comparables deux calendriers devraient ĂŞtre rĂ©alisĂ©s selon la mĂŞme mĂ©thode et avec des prĂ©leveurs disposĂ©s dans les mĂŞmes conditions (altitude et exposition au vent notamment).
  • Pour affiner ou complĂ©ter les Ă©tudes de surveillance aĂ©ropollinique, il est possible d'Ă©tudier les pelotes de pollen de plantes entomophiles rĂ©cupĂ©rĂ©es par les abeilles ou certains d'autres insectes pollinisateurs. D'autres mesures peuvent ĂŞtre Ă©ventuellement associĂ©es comme la radioactivitĂ© du pollen ou l'Ă©ventuelle adsorption d'autres polluants sur sa cuticule externe.

Un travail de standardisation méthodologique se poursuit depuis plus de 50 ans, qui évolue avec les progrès techniques, de la bioinformatique et du monitoring automatisé notamment.

Visualisation

le calendrier pollinique présente généralement l'intensité de la pluie de pollen de son début à sa fin, alors que le calendrier de risque allergène s’intéresse (via des couleurs par exemple) à la mise en évidence des séquences temporelles concernant les pollens allergènes et les plus allergènes. Il peut alors varier selon le patient.

Limites

Elles sont principalement liĂ©es Ă  une certaine discordance entre le contenu rĂ©el de l'atmosphère en pollen et le contenu des mĂ©langes d'allergènes polliniques contenus dans les « tests Â» mis sur le marchĂ© Ă  l'attention des allergologues afin qu'ils puissent tester la sensibilitĂ© de leurs patients. Certains auteurs dĂ©plorent « le caractère encore par trop empirique de la conception des batteries de tests cutanĂ©s, qui n'obĂ©it Ă  aucune classification botanique satisfaisante »[16].

L'antigénicité croisée entre pollens et entre pollens et aliments et entre pollens et autres polluants peut également être source de biais d'interprétation dans l'évaluation ou l'explication de l'hypersensibilité d'un patient aux pollens ou à certains pollens[16].

Ces calendriers étant issus de capteurs positionnés à une certaine hauteur, ils ne prennent quasiment pas en compte les pollens anciens et dégradés trouvés au niveau du sol, qui pourraient parfois être les plus allergènes et qui peuvent être transportés dans les maisons (avec la poussière, par des animaux, sur des vêtements, etc.) puis inhalés ; c'est une autre source de biais.
Ils peuvent aussi sous-estimer la part des pollens les plus « lourds Â» ou plus hygrophiles. Ces derniers tendent Ă  se dĂ©poser au sol plus rapidement, notamment pour les pollens d'hivers[17] dans les rĂ©gions humides).

Ils ignorent naturellement plus encore les composants allergènes qui expulsés ou perdus par ces pollens.

Enfin, les capteurs de pollens Ă©tant placĂ©s en extĂ©rieur, ils ne permettent pas non plus de prendre en compte les pollens Ă©ventuellement exotiques qui pourraient ĂŞtre introduits dans les lieux de vie avec les bouquets de fleurs (Lys par exemple), dont en hiver. Les pollens des fleurs de bouquets seraient dans la nature pour la plupart captĂ©s par des insectes. Les fleurs provenant des filières commerciales on en outre souvent Ă©tĂ© fortement traitĂ©es par des pesticides Ă©ventuellement allergènes ou susceptibles d'aggraver une allergie. Des branches d'arbres en fleur sont parfois Ă©galement introduites dans les bouquets floraux (ex : branches fleuries de Mimosa dont le pollen est l'un des allergènes existants en zone mĂ©diterranĂ©enne[18], parfois « sensibilisant cutanĂ© Â»[19] et/ou actif en « allergies de proximitĂ© »[20] ou branches de saules par exemple). br />Plusieurs Ă©tudes ont montrĂ© que ces « allergies de proximitĂ© Â» liĂ©es Ă  des pollens non testĂ©s et non retrouvĂ©s dans les capteurs utilisĂ©s pour les Ă©tudes polliniques calendaires ont Ă©tĂ© sous-estimĂ©e, dont chez les fleuristes, et horticulteurs[21]. Dans certains mĂ©tiers (jardiniers, agriculteur, horticulteur...) des allergènes vĂ©gĂ©taux mais non-polliniques peuvent aussi interfĂ©rer[22].

Notes et références

  1. A. Beeker, M. Thibaudon (1999), Les calendriers polliniques ; Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, Volume 39, Issue 4, Pages 267-275 (résumé)
  2. M. Thibaudon, D. Caillaud, J.-P. Besancenot (2013), Méthodes d’étude des pollens atmosphériques et calendriers polliniques Methods of studying airborne pollen and pollen calendars (revue de la littérature) ; Revue des Maladies Respiratoires ; Volume 30, Issue 6, June 2013, Pages 463–479 (résumé)
  3. Charpin, J., Wolfromm, R., Aubert, J., Charpin, H., Guehot, E., & Lauriol, M. (1965). Le calendrier pollinique de Paris. Revue Française d'Allergie, 5(2), 65-75
  4. Touraine, R., Charpin, J., Aubert, J., Charpin, H., Cornillon, J., Mallea, M., ... & Renard, M. (1969). Le calendrier pollinique de Lyon (1963–1966). Revue Française d'Allergie, 9(1), 25-33
  5. Gueho, E., Cornillon, J., Dumarest, J., Valignat, P., & Touraine, R. (1970). Le calendrier pollinique de la station d'Hauteville confrontations avec celui de Lyon (1966–1967–1968). Revue Française d'Allergologie, 10(2), 79-94.
  6. Michel, F. B., Seignalet, C., Decor, Y., Gaillard, J. M., Quet, L., & Cour, P. (1975). Calendrier pollinique de Montpellier réalisé par une méthode quantitative et sur ordinateur: Étude préliminaire. Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, 15(4), 185-195.
  7. M. Laaidi, T. Chinet, P. Aegerter (2011), Revue générale Allergies au pollen, pollution et climat : revue de la littérature Pollen allergies, pollution and climate ; Revue Française d'Allergologie Vol.51, n°7, novembre 2011, Pages 622 à 628 (résumé)
  8. M. Thibaudon, G. Oliver, C. Sindt (2009) Le capteur de pollen : un outil pour déterminer l’origine des grains de pollen d’ambroisie The pollen trap: A tool to determine the origin of ragweed pollens ; Revue Française d'Allergologie Vol. 49, Issue 7, novembre 2009, Pages 515 à 523 (résumé)
  9. Gueho, E., Tanguy, J. J., Coste, P., Cornillon, J., & Bernard, J. P. (1974). Le calendrier pollinique de Romans-sur-Isère (1969, 1970, 1971): La diffusion d'Ambrosia dans la région lyonnaise. Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, 14(2), 77-83.
  10. El Gharbi, B., Charpin, H., Aubert, J., Renard, M., Mallea, M., & Soler, M. (1976), Le calendrier pollinique de Tunis. Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, 16(1), 25-31 (résumé)
  11. (résumé)
  12. F. Bardei & al. (2013), Incidence des spores fongiques de l’air de Tétouan (NW du Maroc) et influence des paramètres météorologiques Incidence of fungal spores in the atmosphere of Tetouan (NW Morocco) and the effect of meteorological parameters ; Revue Française d'Allergologie ; en ligne : 2013-06-27 (résumé)
  13. P. Richard (), Impact des changements climatiques sur la pollinose Climate changes impact on pollinosis ; Revue Française d'Allergologie Vol. 51, n°4, June 2011, Pages 425–429 (résumé)
  14. Saumande, J., Saumande, P., & Germouty, J. (1980) Le calendrier pollinique de Limoges. Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, 20(2), 83-91.
  15. RNSA (2013), Les capteurs de pollens et moisissures atmosphériques, page consultée 2013-10-13
  16. F.B. Michel, J.P. Marty, P. Cour, J. Le Brozec (1978), Pollens testés et non testés ; Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, Vol.18, N°2, avril–juin 1978, Pages 71 à 81 (résumé)
  17. F.B. Michel, H. Dhivert, J.P. Marty, M.C. Alquie, P. Cour, B. Guerin (1978), Pollinoses hivernales (Winter pollinosis ) ; Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique ; Vol.18, n°2, avril–juin 1978, Pages 83–88 ; (résumé)
  18. G. D'amato (1998), Pollen allergy in the mediterranean area ; Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, Vol.38, n°7, Suppl.1, Pages S160-S162 (résumé)
  19. H. Afif, L. Sabir, A. Aichane, N. Trombati, Z. Bouayad (2004), Sensibilisation cutanée au mimosa à Casablanca ; Revue des Maladies Respiratoires, Vol.21, Suppl.1, janvier 2004, Page 8 (lien vers l'article (payant))
  20. J. Laurent, G. Lagrue (1983) Faut-il négliger les pollinoses de voisinage ? : À propos d'un cas exceptionnel de néphrose lipoïdique par allergie au pollen de mimosa ; Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, Vol.23, n°4, octobre-décembre 1983, Pages 185-188 (résumé)
  21. F. Lavaud, A.C. Jonvel, J.F. Fontaine, D. Sabouraud, F. Lebargy (2007), Les pollinoses de proximité ne sont-elles que des cas cliniques ? Revue de la littérature à propos de cinq observations Original Research Article Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, Vol.47, n°2, mars 2007, Pages 51-56 (résumé)
  22. J.-C. Bessot (2003) Allergènes végétaux non polliniques ; Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, Volume 43, Issue 1, January 2003, Pages 40-52 (résumé)

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

  • (fr) A. Beeker, M. Thibaudon (1999), Les calendriers polliniques ; Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, Volume 39, Issue 4, Pages 267-275 (rĂ©sumĂ©)
  • (fr) P. Comtois, L. Gagnon (1988), Concentration pollinique et frĂ©quence des symptĂ´mes de pollinose : une mĂ©thode pour dĂ©terminer les seuils cliniques ; Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, Vol.28, no 4, oct-, Pages 279-286 (rĂ©sumĂ©)
  • (fr) M. Mallea, M. Soler, M. Renard, H. Charpin () MĂ©thodes de recherches aĂ©robiologiques comparaison de la pluie et du flux sporopolliniques ; Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, Volume 16, Issue 3, May–June 1976, Pages 143-150 (rĂ©sumĂ©)
  • (fr) F.B. Michel, J.P. Marty, P. Cour, J. Le Brozec (1978), Pollens testĂ©s et non testĂ©s ; Revue Française d'Allergologie et d'Immunologie Clinique, Vol.18, no 2, avril–, Pages 71 Ă  81 (rĂ©sumĂ©)


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