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CĂ©rilly (Yonne)

Cérilly est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

CĂ©rilly
CĂ©rilly (Yonne)
L'Ă©glise Saint-Laurent de CĂ©rilly.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
DĂ©partement Yonne
Arrondissement Sens
Intercommunalité Communauté de communes de la Vanne et du Pays d'Othe
Maire
Mandat
Edith Vallée
2020-2026
Code postal 89320
Code commune 89065
DĂ©mographie
Population
municipale
43 hab. (2020 en augmentation de 16,22 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 5,9 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 10â€Č 59″ nord, 3° 37â€Č 24″ est
Altitude Min. 134 m
Max. 238 m
Superficie 7,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Sens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brienon-sur-Armançon
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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CĂ©rilly
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CĂ©rilly
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CĂ©rilly
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CĂ©rilly

    GĂ©ographie

    GĂ©ologie

    Cerilly, bien qu'en Bourgogne, partage les caractĂ©ristiques des communes de la forĂȘt d'Othe entre Champagne crayeuse et Champagne humide.

    On trouve de nombreuses sources d'eau passant au travers de la craie et les débris de silex présentant parfs dans le paysage des effondrements comme aux Vallées ou a l'endroit de l'ancien bßme.

    Toponymie

    Cirillei au IXe siĂšcle, Cirilliacum en 1129, Cyrilleus vers 1143, Cyrilleius vers 1145, Chirilliacum vers 1146, Cerili en 1212 ou CĂ©rilly en 1453. HypothĂšse d’étymologie : souvenir du domaine gallo-romain d'un homme d'origine latine Cirillius d'oĂč le nom Cirilliacum, le suffixe gaulois -acum indiquant le nom d'un domaine gallo-romain. En pays d'OĂŻl ce suffixe s'est transformĂ© en -y[1]. Confusion possible avec CĂ©rilly (Allier), CĂ©rilly (CĂŽte d'Or), SĂ©rilly (hameau de Etigny, Yonne) ou encore SĂ©rilhac (CorrĂšze).

    De nombreux noms de lieu-dits rappellent l'histoire tel "Les Vieux Vergers", "La Moinerie", "Les Vignes", "Le Vivier", ou encore les anciens paysages "Les Houssots" "Montaiguillon" ou sans doute des noms d'anciens occupants "Les Berris", "Les Boignots"[2].

    Communes limitrophes

    Rose des vents Rigny-le-Ferron (Aube) Rose des vents
    Coulours N BĂ©rulle
    (Aube)
    O CĂ©rilly E
    S
    Fournaudin

    Urbanisme

    Typologie

    Cérilly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (74,3 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (74,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (62,4 %), forĂȘts (25,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,7 %), prairies (5,2 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,5 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[9].

    Histoire

    On sait par la dĂ©couverte d'un gros polissoir au Vieux Verger ou encore des haches trouvĂ©es dans la vase du bĂźme lors son assĂšchement que CĂ©rilly avait une activitĂ© humaine dĂšs les temps prĂ©historiques. De nombreux restes de silex taillĂ©s parsĂšment d'ailleurs la forĂȘt d'Othe, ainsi que de nombreux restes de ferriers.

    Plus tard, et si le Sacramentaire de Stockholm semble mentionner CĂ©rilly dĂšs le IXe comme une possession de la famille de l'Ă©vĂȘque Wenilo, les premiĂšres annĂ©es historiques de CĂ©rilly sont indissociables du dĂ©veloppement de l'Abbaye de Vauluisant de Courgenay.

    L'abbaye de Preuilly avait quelques biens qu'elle a cĂ©dĂ© Ă  l'abbaye de Vauluisant Ă  la crĂ©ation de celle-ci. En 1129 puis 1134, l'abbaye de Saint-Pierre-le-Vif faisait un don de terre et de l'Ă©glise Ă  la commanderie de Coulours ; la dite commanderie faisant un Ă©change avec l'abbaye de Vauluisant de terres contre l'Ă©glise. Les moines exploitĂšrent le charbon de bois et le minerai de fer en la forĂȘt d'Othe dĂšs le XIIe siĂšcle. Les moines cistĂ©rciens crĂ©ent tout d'abord une grange (seul en reste le nom du lieu-dit "La Moinerie" dont les bĂątiments actuels ont Ă©tĂ© construit sur celle ci), puis un MonastĂšre dĂ©diĂ© Ă  Saint Laurent, et une Ă©glise.

    TrĂšs tĂŽt et jusqu'au XVe siĂšcle, les droits et frontiĂšres de la seigneurerie de CĂ©rilly seront contestĂ©s par les Templiers de Coulours, Saint Bernard de Clairvaux intervenant en personne afin de rĂ©soudre les conflits. Les templiers construisent mĂȘme des barrages afin d'empĂȘcher l'eau d'alimenter le moulin de CĂ©rilly, ou encore provoque la mort d'un frĂšre convers.

    Cérilly par le commerce de bois et de Fer fût dans les premiÚres années de l'Abbaye une source de revenus non négligeables.

    Les reliques de Saint Laurent amenées au XIIe siÚcle semble-t-il en l'église saint Laurent originelle (construite en face de celle actuelle) furent aussi l'objet d'un culte lors des foires de la Saint Laurent. Les Abbés de Vauluisant demandÚrent d'ailleurs l'intervention du Comte de Champagne afin de limiter les excÚs des pÚlerins aussi bien que pour qu'ils accordent leur protection pour cette foire qui resta un des évÚnements importants de la localité avec le pÚlerinage de Sainte Reine à Bérulle.

    Le passage de la guerre de cent ans fut désastreux pour toute la région et laissa Cérilly en ruine. La fin de celle-ci correspond à la tentative pour l'Abbaye de Vauluisant de se reconstruire et elle tenta tout d'abord d'accueillir une . nouvelle source de revenu en l'arrivée de gentilshommes verriers sur son territoire. Pour Cérilly ce fut la famille De Bérulle qui implanta une de ses verreries au Vieux Verger, profitant ainsi du bois de la région pour son industrie.

    Cette famille dans son essor prit en quelques dizaines d'années de plus ne plus d'influence sur Cérilly au point d'en avoir le bail à vie de la part de Vauluisant en 1522.

    Le chĂąteau/manoir actuel a Ă©tĂ© construit sur la base du monastĂšre dĂ©diĂ© Ă  saint Laurent dĂ©truit par les guerres[10]. Jacques de BĂ©rulle (1488 - ancĂȘtre du cardinal de BĂ©rulle "maĂźtre de la verrerie de Vieil-Verger, ĂągĂ© de 34 ans. Il dĂ©clare qu'il est natif du Perche, et en fut amenĂ© jeune enfant "et vingt-quatre ans a qu'il vint demeurer Ă  CĂ©rilly oĂč il a demeurĂ© 18 ans, qu'il s'en partit pour aller demeurer au Vieil-Verger qui est contigu dudit CĂ©rilly." (Extrait d'un registre des dĂ©clarations de droits d'amortissement contenant la description de la terre de CĂ©rilly (1522). Il habitait sans doute au chĂąteau de CĂ©rilly oĂč naquit le cardinal de BĂ©rulle. À cette date lui est donnĂ© " Ă  vie Ă  noble Jacques BĂ©rulle et damoiselle Anne, sa femme, d'un sault de moulin situĂ© sur le ruisseau de CĂ©rilly, au-dessous d'un autre moulin qu'il a commencĂ© Ă  faire prĂšs de la fontaine Jourdain (1529). Il semble que le(s) moulin(s) ajoutĂ©(s) au premier existant Ă  CĂ©rilly par les BĂ©rulle disparurent faute de suffisamment de force de courant de la riviĂšre. La verrerie du vieux verger disparu Ă©galement au profit de celles plus prospĂšres d'Arces-Dilo et autres[11].

    En 1516 un édit de François Ier autorise Cérilly en Bourgogne (s'agit il du nÎtre ?) à se fortifier (les murs crénelés du Chùteau ?).

    La Famille de BĂ©rulle obtient par ses bonnes relations avec Vauluisant l'autorisation de se construire un Colombier et un vivier.

    Les guerres de religion viendront une nouvelle fois semer le trouble dans le renouveau local car peu de temps aprĂšs sa naissance le futur Cardinal de BĂ©rulle et sa famille fuient le chĂąteau et la rĂ©gion rĂ©putĂ©e peu sĂ»re pour s'Ă©tablir dans leur hĂŽtel particulier de la Rue de Paradis Ă  Paris (cf. BĂ©rulle et l'École Française par Paul Cochois page 4). Encore le , Pastoreau curĂ© de CĂ©rilly doit enterrer "par force et par violence" un soldat guelphe de la Compagnie de M. de Praslin (Cf MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d'Agriculture, sciences et arts du dĂ©partement de l'Aube du page 455).

    La famille de BĂ©rulle se construisit ensuite un autre ChĂąteau Ă  Foissy, trouvant les terres de CĂ©rilly trop humides.

    CĂ©rilly connut de grandes inondations en 1697 et 1740, endommageant le village et ses bĂątiments. L’église Saint-Laurent actuelle fut reconstruite seulement en 1786 en face de l'Ă©glise originelle[12]. Les cents tombereaux de pierre nĂ©cessaires Ă  sa construction auraient Ă©tĂ© apportĂ©es par EdmĂ© Delin de Coulours et cela en condamnation par le Marquis de BĂ©rulle pour avoir Ă©tĂ© surpris par son garde chasse Ă  tuer un liĂšvre sur ces terres... la rĂ©volution n'est pas loin.

    Les cahiers de dolĂ©ances sans doute prĂ©parĂ©s par les deux dĂ©putĂ©s Nicolas Chossemier et Pierre PatenĂŽtre sont manquants mais le complĂ©ment apportĂ© par l'AbbĂ© Costel, curĂ© de CĂ©rilly reste dans les cahiers du bailliage de Sens. (Cf. "DĂ©partement de l'Yonne Cahiers de DolĂ©ances du bailliage de sens pour les États GĂ©nĂ©raux de 1789" par Charles PorĂ©e). Ceux-ci tĂ©moignent d'une importante baisse des revenus dĂ©jĂ  pourtant peu importants.

    Cérilly participe aussi ensuite aux guerres de la Révolution et Napoléoniennes au travers de sa fabrique de pierres à Fusils qui fournit quelques milliers de celles ci aux armées françaises[13].

    Paris viendra en 1866 capter la source du ruisseau de Cérilly et assécher le bßme afin d'assurer son approvisionnement en eau[14].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1900 1908 Romain Poirier [15]
    1908 1921 Jules Poirier [15]
    1921 1934 Philippe Gateau [15]
    1934 1951 Gabriel Mignot [15]
    1951 1953 Henri Fraissange [15]
    1953 1975 Daniel Mignot [15]
    1975 2001 André Millet [15]
    2001 en cours Edith Vallée[16]

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[18].

    En 2020, la commune comptait 43 habitants[Note 3], en augmentation de 16,22 % par rapport à 2014 (Yonne : −2,24 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    193181183181219238238216246
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    240241224196208206186159136
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    130127143113106115999791
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    747049515054493640
    2020 - - - - - - - -
    43--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee Ă  partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    ChĂąteau de CĂ©rilly construit Ă  l'endroit du monastĂšre Saint-Laurent (cf. plus haut).

    Église Saint-Laurent, reconstruite en 1786 (cf. Histoire des communes de l'Yonne de Maurice Pignard Peguet en rĂ©f. plus bas). Elle renferme une toile "Le Cardinal de BĂ©rulle faisant hommage Ă  la Vierge des Religieuses CarmĂ©lites" au-dessus de son maĂźtre-autel[21], ainsi qu'une statue de Saint Laurent du XVIe siĂšcle[22] tous les deux classĂ©s.

    Aqueduc de la Vanne, Source de Cerilly (aménagements effectués pour alimenter Paris en eau)[23] - [24].

    Bßme de Cérilly, aujourd'hui disparu, lié a une légende locale[25].

    Polissoir de CĂ©rilly aujourd'hui square Georges-Cain, rue Payenne, Ă  Paris[26].

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

    https://patrimoine-vanne.info/index.php

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Jean-Pierre Levet, Orient et Occident, Presses Univ. Limoges, (ISBN 978-2-84287-092-8, lire en ligne).
    2. « Un nom qui demeure énigmatique », sur lyonne.fr, L'Yonne Républicaine, (consulté le ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sens », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    10. « Histoire des communes de l'Yonne », sur auxerre.historique.free.fr.
    11. « ABBAYE NOTRE-DAME DE VAULUISANT notice H707 », sur Archives Départementales de l4yonne.
    12. Maurice Pignard Peguet, Histoire des communes de l'Yonne, t. III (lire en ligne [PDF]).
    13. http://annales.ensmp.fr/articles/1796-1797-2/110-117
    14. « Cérilly », sur patrimoine-vanne.info (consulté le ).
    15. L'Yonne républicaine, quotidien, 2002/06/06
    16. Conseil gĂ©nĂ©ral de l’Yonne, Ma Commune, consultĂ© le 15 dĂ©cembre 2013.
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    21. « Tableau, cadre : ... · Collectif Objets », sur collectif-objets.beta.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Statue : Saint La... · Collectif Objets », sur collectif-objets.beta.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Photo Cerilly », sur www.cartesfrance.fr.
    24. « Patrimoine de la Vanne ».
    25. « Le Bßme de Cérilly, Une punition divine », sur www.lyonne.fr, L'Yonne Républicaine, .
    26. « Le bloc de grÚs dur est originaire du village de Cérilly », sur lyonne.fr, L'Yonne Républicaine, (consulté le ).
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