AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Asile d'Arkham

L’Asile d’Arkham (/ˈɑːrkəm/), de son nom complet Elizabeth Arkham Asylum for the Criminally Insane[1], est un hĂŽpital psychiatrique fictif servant de prison qui apparaĂźt dans les comics amĂ©ricains publiĂ©s par DC Comics. Il est surtout prĂ©sent dans les histoires du super-hĂ©ros Batman.

Asile d'Arkham
Portail d'entrée de l'Asile utilisé pour la série télévisée Gotham.
Univers de fiction
Nom original
The Elizabeth Arkham Asylum for the Criminally Insane
PrĂ©sent dans lÊŒĆ“uvre
Éditeur
PremiĂšre apparition
Batman no 258 (octobre 1974)
Caractéristiques
Type
HĂŽpital psychiatrique
Localisation
Localisation administrative

Il apparaĂźt pour la premiĂšre fois dans Batman no 258 (octobre 1974), Ă©crit par Dennis O'Neil avec les dessins d’Irv Novick. L’Asile d’Arkham sert d’hĂŽpital psychiatrique pour la rĂ©gion de Gotham City, abritant des patients qui sont des fous criminels. Les patients les plus dangereux sont souvent les pires ennemis de Batman tels que le Joker, Double-Face, Poison Ivy, le Sphinx, le Pingouin, Harley Quinn, Gueule d’Argile, Bane, le Chapelier Fou, Killer Croc, Mr. Freeze et l’Épouvantail.

Présentation

LocalisĂ© Ă  Gotham City, l’Asile d’Arkham est le bĂątiment dans lequel les ennemis de Batman, qui sont considĂ©rĂ©s comme mentalement malade, sont amenĂ©s en tant que patients (les autres ennemis, simples gangsters et voleurs, sont incarcĂ©rĂ©s au PĂ©nitencier de Blackgate). Bien qu’il eĂ»t de nombreux administrateurs, certains comic books ont prĂ©sentĂ© Jeremiah Arkham. InspirĂ© par les travaux de H. P. Lovecraft et plus particuliĂšrement par sa ville fictive d’Arkham, dans le Massachusetts[2] - [3], l’asile fut introduit pour la premiĂšre fois par Dennis O'Neil et Irv Novick en 1974 ; mais une grande partie de l’histoire de ses origines a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e par Len Wein durant les annĂ©es 1980.

L’Asile a une sĂ©curitĂ© mĂ©diocre et un taux de rĂ©cidive Ă©levĂ©, du moins en ce qui concerne les patients les plus dangereux, tels que le Joker. Ils s’échappent frĂ©quemment dĂšs qu’ils le souhaitent, et ceux qui sont guĂ©ris et libĂ©rĂ©s ont tendance Ă  rĂ©cidiver. En outre, plusieurs membres de l’équipe soignante, dont le fondateur, le Dr. Amadeus Arkham, et son neveu, le Dr. Jeremiah Arkham, ainsi que les membres Dr. Harleen Quinzel, Lyle Bolton et dans certaines versions le Dr. Jonathan Crane et le Professeur Hugo Strange, sont devenus mentalement instables.

En plus, les prisonniers qui ont des conditions mĂ©dicales inhabituelles, conditions qui les empĂȘchent de rester dans une prison normale, sont incarcĂ©rĂ©s dans Arkham. Par exemple, Mr. Freeze n’est pas toujours dĂ©peint comme fou, mais il a besoin d’un environnement trĂšs particulier pour rester en vie. Arkham, oĂč ces conditions spĂ©ciales requises pour certains patients sont une rĂ©gularitĂ© plutĂŽt qu’une exception, est vu par les autoritĂ©s comme le lieu idĂ©al dans certaines circonstances.

Les criminels de Gotham jugĂ©s comme simplement « inaptes mentalement » par le tribunal sont gĂ©nĂ©ralement soignĂ©s au Williams Medical Center avant d’ĂȘtre jugĂ©s suffisamment dangereux pour ĂȘtre envoyĂ©s Ă  l’Asile d’Arkham[4].

Origines

Servant d’hĂŽpital psychiatrique pour Gotham City, l’Asile d’Arkham Ă  une longue histoire de violence qui commence avec son propre architecte devenu fou qui attaqua ses ouvriers avec une hache. Il fut reconnu coupable et condamnĂ© Ă  passer le restant de sa vie dans l’asile qu’il avait construit[4]. Le roman graphique Arkham Asylum (Arkham Asylum: A Serious House on Serious Earth) indique que l’asile a Ă©tĂ© nommĂ© d’aprĂšs Elizabeth Arkham, la mĂšre du fondateur Amadeus Arkham. Le premier nom de l’asile fut « Arkham Hospital ». Sa sombre histoire commença au dĂ©but des annĂ©es 1900 quand la mĂšre d’Arkham, ayant souffert de trouble psychique la plupart de sa vie, se suicida. Cependant, il fut plus tard dĂ©voilĂ© que son fils l’avait en fait euthanasiĂ©e et en avait rĂ©primĂ© le souvenir. Amadeus dĂ©cida alors, en tant que seul hĂ©ritier de la propriĂ©tĂ© d’Arkham, de remanier la maison familiale dans le but de soigner les troubles psychiatriques pour que d’autres personnes ne subissent pas le mĂȘme destin que sa mĂšre[1].

Avant la rĂ©novation de l'hĂŽpital, Amadeus Arkham soignait ses patients au State Psychiatric Hospital de Metropolis, oĂč il vivait avec sa femme Constance et sa fille Harriet. En dĂ©voilant ses projets Ă  sa famille, ils retournĂšrent Ă  la maison familiale pour superviser les travaux. A la mĂȘme Ă©poque, Amadeus Arkham reçu un appel de la police lui annonçant que Martin "Mad Dog" Hawkins (en), un tueur en sĂ©rie dont il s’était occupĂ© au State Psychiatric Hospital, s’est Ă©chappĂ© de prison et sollicitait son avis sur l’état d’esprit du meurtrier. Peu de temps aprĂšs, Amadeus Arkham retourne chez lui et dĂ©couvre la porte d’entrĂ©e grande ouverte. A l’intĂ©rieur, il dĂ©couvre les corps violĂ©s et mutilĂ©s de sa femme et de sa fille dans une piĂšce du haut, avec la signature de Mad Dog gravĂ©e sur le corps d’Harriet. MalgrĂ© cette tragĂ©die familiale, l’Elizabeth Arkham Asylum for the Criminally Insane est officiellement ouvert en novembre de la mĂȘme annĂ©e.

Avec sa santĂ© mentale en lambeaux, le Dr. Arkham conçoit un plan d’étage qui Ă©voque des runes occultes. Il croyait que le motif chasserait la mystĂ©rieuse chauve-souris qui hantait ses rĂȘves[5]. L’un de ses premiers patients fut Mad Dog, qu’Amadeus Arkham insista de traiter personnellement. AprĂšs s’ĂȘtre occupĂ© de Mad Dog pendant six mois, Amadeus Arkham l’attacha pour un traitement Ă  l'Ă©lectrochoc, puis l’électrocuta dĂ©libĂ©rĂ©ment. L’équipe mĂ©dicale fit passer sa mort pour un accident, mais cela a contribuĂ© Ă  la descente graduelle d’Amadeus Arkham dans sa folie. Finalement, il devient un patient dans son propre asile aprĂšs qu’il a essayĂ© de tuer son agent de change en 1929, et oĂč il mourut en gravant avec ses ongles les mots d’un sortilĂšge sur les murs et le sol de sa cellule et en chantant d’une voix forte « The Star-Spangled Banner »[1] dans la version originale (dans la VF, il rĂ©cite le poĂšme Demain, dĂšs l'aube
 de Victor Hugo).

Histoire Ă©ditoriale

L’Asile d’Arkham apparaĂźt pour la premiĂšre fois en octobre 1974 dans Batman no 258, Ă©crit par Dennis O'Neil et dessinĂ© par Irv Novick. Dans cette histoire, il est appelĂ© « Arkham Hospital », bien qu’il ne soit pas prĂ©cisĂ© quel type d’hĂŽpital il est. « Arkham Asylum » apparaĂźt dans une autre histoire d’O'Neil l’annĂ©e suivante, mais ce n’est qu’en 1979 que « l’Arkham Asylum » remplace complĂštement « l’Arkham Hospital » et « l’Arkham Sanitarium » occasionnel, comme nom officiel de l’institution. C’est aussi en 1979 que le rapprochement de l’Asile de Gotham commence ; il est complĂ©tĂ© en 1980, quand Batman no 326 de Len Wein dĂ©crit l’emplacement de l’asile « dans la banlieue de Gotham City ». C’est peut-ĂȘtre pour cette raison que Batman no 326 est listĂ© dans certaines histoires comme la premiĂšre apparition de l’Asile d’Arkham. C’est aussi Wein qui, dans le Who's Who: The Definitive Dictionary of the DC Universe no 1 de 1985, crĂ©a son histoire actuelle.

L’Asile d’Arkham fut dĂ©moli ou dĂ©truit Ă  plusieurs reprises, notamment durant les Ă©vĂšnements de Batman: The Last Arkham. Il fut aussi sĂ©rieusement endommagĂ© au dĂ©but du rĂ©cit Knightfall, quand Bane utilisa des munitions volĂ©es pour faire sauter l’établissement et libĂ©rer les patients. AprĂšs ces Ă©vĂšnements, l’asile est dĂ©placĂ© dans un grand manoir, le « Mercey Mansion ». Au dĂ©but du rĂ©cit du No Man's Land, l’asile est fermĂ© et tous les patients sont libĂ©rĂ©s. Dans ce cas, une minuterie a Ă©tĂ© utilisĂ©e pour ouvrir les portes deux minutes avant que la ville soit scellĂ©e. Cela fut mis en place par le directeur lui-mĂȘme, le Dr. Jeremiah Arkham, neveu d’Amadeus Arkham, qui fit le choix de les libĂ©rer au lieu de les voir mourir de faim ou s’entre-tuer. Au milieu de l’histoire, il est rĂ©vĂ©lĂ© durant l’arc narratif du « Fils Prodigue Â» (Prodigal) que Batman avait installĂ© une base secrĂšte dans le sous-sol de l’asile. Cette base Ă©tait la « Batcave Nord-ouest Â»[6] mais elle fut dĂ©truite par Black Mask durant Battle for the Cowl[7].

Dans le one-shot Battle for the Cowl, le Dr. Jeremiah Arkham erre parmi les restes de l’asile alors qu'il rĂ©flĂ©chit sur sa vie. Il rĂ©vĂšle qu’il a dĂ©couvert des plans crĂ©Ă©s par son oncle, le Dr. Amadeus Arkham, pour un nouvel Asile Arkham. Arkham se rĂ©sout Ă  reconstruire l’établissement selon la vision de son ancĂȘtre, mais pour qu’il serve de vĂ©ritable asile pour les malades dans le but de les protĂ©ger du monde extĂ©rieur.

Dans la mini-sĂ©rie Arkham Reborn, l’asile est reconstruit et financĂ© par le Dr. Arkham[8]. Mais dans Batman no 697, le Dr. Arkham s’avĂšre ĂȘtre le nouveau Black Mask et est un patient dans son propre asile. Il est aussi rĂ©vĂ©lĂ© dans Arkham Reborn, qu’en tant que Dr. Arkham et Black Mask, il commence Ă  manipuler les patients, une intrigue qui arrive Ă  son point culminant dans Detective Comics avec Alyce Sinner devenant la nouvelle directrice de l’institut, mais qui travaille secrĂštement pour Arkham/Black Mask.

Durant Batman Eternal, l’Asile d’Arkham est dĂ©truit lors de l’assaut des vilains contre Batman, et au mĂȘme moment, Bruce Wayne dĂ©clare faillite aprĂšs que Wayne Enterprises a perdu la plupart de ses actifs Ă  la suite du plan de Silence. Par consĂ©quent, le Manoir Wayne est rĂ©quisitionnĂ© par la ville et transformĂ© en nouvel Asile d’Arkham[9]. Bruce dĂ©cide d’accepter la situation en rĂ©alisant qu’il peut ainsi mieux surveiller ses ennemis puisqu’il connaĂźt toutes les entrĂ©es et sorties du Manoir (aprĂšs avoir scellĂ© l’entrĂ©e qui partait du Manoir pour la Batcave)[10].

Les patients

À l’origine, l’Asile d’Arkham est seulement utilisĂ© pour accueillir les patients ayant des troubles psychiques et n’ayant aucun lien avec Batman. Mais durant les annĂ©es 1980, une tendance se mit en place et la majoritĂ© des adversaires de Batman finirent Ă  Arkham.

L’Asile d’Arkham est dĂ©peint dans d’autres publications de DC Comics, autres que les titres de Batman. Dans le run d’Alan Moore dans Swamp Thing, le Floronic Man (en) y est dĂ©tenu. Dans The Sandman de Neil Gaiman, le Doctor Destiny s’échappe de l’asile. Il est Ă©galement prĂ©sent dans diffĂ©rentes mini-sĂ©ries comme Crisis on Infinite Earths, Identity Crisis, Day of Vengeance et Countdown to Final Crisis, parmi d’autres.

De nombreux personnages de DC Comics ont Ă©tĂ© patients Ă  l’Asile d’Arkham.

Romans graphiques prĂ©sentant l’Asile d’Arkham

Arkham Asylum

Arkham Asylum (Arkham Asylum: A Serious House on Serious Earth) est un roman graphique Ă©crit par Grant Morrison et peint par Dave McKean. Il fut publiĂ© par DC en 1989. Il est fait rĂ©fĂ©rence au traitement de plusieurs patients, comme la tentative de sevrer Double-Face de sa dĂ©pendance Ă  sa piĂšce pour prendre des dĂ©cisions, d’abord avec un dĂ© puis avec un jeu de cartes. Une fois de plus, les patients prennent le contrĂŽle de l’asile.

Batman: The Last Arkham

Batman: The Last Arkham a Ă©tĂ© Ă©crit par Alan Grant et dessinĂ© par Norm Breyfogle, et Ă©tait Ă  l’origine un arc narratif en 4 numĂ©ros de la sĂ©rie Batman: Shadow of the Bat. Dans celui-ci, le vieil Asile est dĂ©truit pour ĂȘtre remplacĂ© par un Ă©tablissement plus moderne. L’histoire introduit Jeremiah Arkham, le directeur de l’asile et neveu d’Amadeus Arkham. Lors d’une tentative pour dĂ©couvrir comment les criminels, et en particulier Zsasz, continuaient de s’échapper, Batman se fait interner dans l’asile. Jeremiah utilise diffĂ©rentes mĂ©thodes, comme lĂącher des patients sur Batman, dans le but d’avoir un aperçu de la psychologie du justicier.

Cette histoire fait plusieurs fois référence aux évÚnements qui se sont déroulés dans A Serious House on Serious Earth.

Arkham Asylum: Living Hell

Arkham Asylum: Living Hell est écrit par Dan Slott, dessiné par Ryan Sook avec les encrages de Sook, Wade Von Grawbadger et Jim Royal. La série a été éditée par Valerie D'Orazio.

Cette mini-sĂ©rie en 6 numĂ©ros et son Ă©dition reliĂ©e ont fourni un regard complexe et Ă  plusieurs niveaux sur l’Asile du point de vue de plusieurs personnages : le directeur Jeremiah Arkham ; la psychiatre Anne Carver ; les gardes, principalement Aaron Cash ; et les patients. Warren « The Great White Shark » White est accusĂ© et jugĂ© pour fraude. Pour Ă©viter la prison, il tente de soudoyer le jury et le juge s’en apercevant, l’envoie Ă  l’Asile d’Arkham, lieu que White n’avait jamais entendu parler. Il rĂ©alise bientĂŽt les horreurs que renferme le lieu et tente de survivre.

Black Orchid

OrchidĂ©e noire (Black Orchid), Ă©crit par Neil Gaiman et dessinĂ© par Dave McKean, parle aussi de l’Asile. Le roman graphique rĂ©compensĂ© d’un prix introduit une nouvelle version de Black Orchid qui Ă©tait morte. Elle est ressuscitĂ©e et commence une quĂȘte pour retrouver son identitĂ©. Durant celle-ci, elle rencontre Batman qui la dirige vers l’Asile d’Arkham, oĂč elle rencontre le Chapelier Fou, Poison Ivy, Double-Face et le Joker. Arkham est vu comme un lieu dĂ©sespĂ©rĂ© oĂč les patients vivent dans la terreur, comme dans A Serious House on Serious Earth, qui a Ă©galement Ă©tĂ© illustrĂ© par McKean.

Arkham Reborn

Arkham Reborn est une mini-sĂ©rie en trois parties Ă©crite par David Hine et illustrĂ©e par Jeremy Haun. Elle raconte l’histoire de la reconstruction de l’Asile aprĂšs qu’il a Ă©tĂ© dĂ©truit par Black Mask durant les Ă©vĂšnements de Battle for the Cowl. Dans Batman no 697, il est rĂ©vĂ©lĂ© que le Dr. Jeremiah Arkham est le nouveau Black Mask. Plus d’informations sont rĂ©vĂ©lĂ©es sur le Dr. Jeremiah Arkham dans Detective Comics no 864 et no 865.

Batman: The Man Who Laughs

The Man Who Laughs est un one-shot Ă©crit par Ed Brubaker et illustrĂ© par Doug Mahnke et Patrick Zircher, sorti en fĂ©vrier 2005. Le comic dĂ©voile une partie de la sombre histoire de l’asile. Alors qu’une journaliste rĂ©alise un reportage sur les rĂ©novations du bĂątiment, le Joker l’empoisonne avec son Ă©quipe et vole le van qui lui permet de diffuser des vidĂ©os quand il veut. AprĂšs avoir semĂ© le chaos, il finira par ĂȘtre Ă  nouveau enfermĂ© derriĂšre les barreaux, dans une camisole de force Ă  Arkham.

Le roman graphique fut rĂ©Ă©ditĂ© avec Detective Comics no 784 Ă  786 – un arc narratif intitulĂ© « Made of Wood », Ă©galement Ă©crit par Brubaker avec les dessins de Zircher. Dans le rĂ©cit, Batman et Green Lantern traquent le tueur en sĂ©rie « Made of Wood », dont la sĂ©rie de crimes fut stoppĂ©e lors de son admission Ă  l’Asile d’Arkham. L’ancien commissaire James Gordon poursuit Ă©galement le meurtrier et rĂ©duit sa liste de suspects Ă  deux hommes admis Ă  Arkham en dĂ©cembre 1948. Le seul encore en vie ne peut marcher et ignore tout des meurtres. Gordon dĂ©couvre que le petit-fils du second est celui qui a repris le manteau du « Made of Wood ».

Autres médias

Notes et références

  1. Grant Morrison (trad. de l'anglais), Arkham Asylum, Paris, Urban Comics, , 208 p. (ISBN 978-2-36577-338-6, BNF 43843356)
  2. (en) Dennis O'Neil, Batman Unauthorized : Vigilantes, Jokers, and Heroes in Gotham City, BenBella Books, , 219 p. (ISBN 978-1-933771-30-4, présentation en ligne), p. 111
  3. (en) Mark Voger et Kathy Voglesong, The Dark Age : Grim, Great & Gimmicky Post-Modern Comics, TwoMorrows Publishing, , 168 p. (ISBN 978-1-893905-53-5, présentation en ligne), « Foreword by Jack C. Harris », p. 5
  4. (en) Ed Brubaker, Batman : The Man Who Laughs, DC Comics,
  5. (en) Daniel Wallace, Batman : The World of the Dark Knight, Dorling Kindersley, , 200 p. (ISBN 978-0-7566-9249-0)
  6. (en) Alissa Kwitney, Batman : No Man's Land Secret Files and Origins #1, DC Comics, , « Batcaves »
  7. (en) Tony S. Daniel, Batman : Battle for the Cowl #1, DC Comics, , « A Hostile Takeover »
  8. (en) David Hine, Arkham Reborn #1–3, DC Comics, octobre–dĂ©cembre 2009
  9. (en) Gerry Duggan, Arkham Manor #1, DC Comics,
  10. (en) Gerry Duggan, Arkham Manor #6, DC Comics,

Voir aussi

Bibliographie

  • (en) Benjamin Noad, « « His Madness Held No Affinity » : Reimagining Arkham Asylum », Studies in Gothic Fiction, Cardiff, Cardiff University Press, vol. 7 « The Popular and the Weird : H.P. Lovecraft and Twenty-First-Century Adaptation »,‎ , p. 41-50 (ISSN 2156-2407, lire en ligne).

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.