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Alexandre Gurita

Alexandre Gurita né le 27 septembre 1969 à Brasov (Roumanie), est un artiste français d’origine roumaine. Il vit et travaille à Paris.

Alexandre Gurita
Alexandre Gurita Par Florent Bailleul. Paris, 2017
Naissance
Nationalité
Française
Activité
Artiste contemporain
Formation
Maîtres
Représenté par
Lieu de travail
Influencé par

L’artiste a inventé en 2004 la notion d’art invisuel qui désigne un genre d’art qui existe autrement que sous forme d’œuvre d’art, matérielle ou immatérielle. Dès lors, l’œuvre d’art devient un format parmi d’autres et non pas le seul possible pour l’art. Cela relativise la notion d’art[1] - [2] - [3]. Avec l’art invisuel, l’art ne se réduit plus à la pratique en tant que telle comme dans l’art visuel, à l’œuvre d’art. L’environnement de la pratique artistique fait partie de la pratique elle-même. L’artiste en même temps qu’il formule sa pratique il formule aussi son économie, sa stratégie, sa terminologie, sa dimension écologique et collaborative. L’idée que l’art ne se réduit pas seulement à l’art visuel et qu’après les limites de l’art visuel il existe d’autres champs amène à un changement de paradigme dans l’art[4]. Selon Alexandre Gurita le but de l’artiste est de modifier l’art : sa pratique et sa définition[5] - [6]. Il développe plusieurs notions telles que « la captation institutionnelle »[1], l’asymétrie, « la stratégie de l’eau », l’institution horizontale, « la multimodalité »[7], « la pratique unique » ou encore le travail en intelligence collective dans l’art.

Études

Alexandre Gurita fait ses études de 1994 à 1999 à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris (Ensba) devenue aujourd’hui Beaux-Arts de Paris ou il obtient le diplôme de fin d’études d’une manière controversée, en présentant son mariage comme une œuvre d’art[8].

Auparavant il a étudié de 1990 au 1992 l’Académie des beaux-arts de Bucarest devenue par la suite l’Université nationale d’art de Bucarest (UNA).

Biographie

Après une approche classique de l’art l’artiste expérimente une multitude de formes d’art dans le désir de trouver sa propre singularité artistique.

1976-1990

Commençant ses études d’art a l’école populaire de la culture de Brasov en même temps que l’école primaire le jeune Alexandre est très passionné par ce qu’il fait. Il suit des cours de peinture à l’huile et par la suite de dessin et de sculpture figurative d’après modèle vivant.

Activités extra artistiques

En parallèle avec ses études d’art il est très passionné par le modélisme naval. Ã€ 11 ans il devient champion national roumain de modélisme naval. Par la suite il fréquente la maison des sciences de sa ville natale ou en 1988 à 17 ans il construit un voilier qu’il nomme Galax, selon ses propres plans, avec pour objectif de quitter la Roumanie et de traverser la Mer Noire[2] - [9].

1992

Il obtient une commande de l’État roumain faite par le Premier Ministre, d’un monument commémorant la répression d’une manifestation d’étudiants par le régime communiste en 1958[10]. Le monument se trouve à Bucarest sur la façade de Sala Floreasca.

1996 – 1998. Période art visuel moderne et contemporain

L’artiste expérimente les formats et langages de l’art du XXe siècle telles que l’installation, l’objet, la performance, la vidéo et le son.

  • Affaires d’artiste est une vitrine remplie d’objets quotidiens : vêtements, baskets, chaussettes, cigarettes, poussière... Dim. 18x40x70 cm, Paris, 1996.
  • Boîte magique est une boîte en acier, fermée à l’aide d’un cadenas dont la clé se trouve à l’intérieur. Dim. 22x36x45 cm, Paris, 1996.
  • Deux semaines d’attente est un collage de ses ongles de pied sur papier. Les ongles représentent deux semaines d’attente pendant lesquels l’artiste était en manque d’inspiration. Dim. 50x70 cm, Paris, 1996.
  • Objet à tendance cohabitationnelle est un cadre coupé dont les morceaux était déposés dans un bocal en verre. Les morceaux devaient être emportés par les publics de l’œuvre. Une fois les morceaux emportés l’idée de l’œuvre étaient de réunir tous les possesseurs de ces morceaux afin de reconstituer l’œuvre. Ce travail visait à créer un espace relationnel et social. Dim. diam. 30 cm, Paris, 1997[2].
  • Objet complet est un hybride, à la fois peinture, sculpture et objet. Matériaux : bronze, bois. Dim. 12x50x70 cm, Paris, 1997.

1998 – 2000. Période de transition de l’art visuel vers l’art invisuel

En 1998 Alexandre Gurita abandonne totalement la production d’œuvres d’art en estimant que l’œuvre d’art ne lui permettait plus d’être créatif et sur le fond, artiste. En s’affranchissant de l’œuvre d’art il s’affranchi aussi de l’art visuel lui-même[1]. Il déclare : « L’objet d’art est une manifestation résiduelle de l’être et en ce sens il est devenu sous artistique[11] - [8].». L’objectif de l’artiste était de trouver sa singularité artistique et d’en sortir de la « pratique unique ».

L’association pour la propriété intellectuelle de l’être sur lui-même

L’artiste créé à Paris en octobre 1998, l’Association pour la propriété intellectuelle de l’être sur lui-même qui avait pour objectif de considérer l’être humain comme une œuvre d’art en devenir.

Pour un nouveau champ pédagogique

L’association a notamment organisé en 1999 une conférence-débat pour proposer au sein de l’ENSBA la création d’un nouveau champ pédagogique afin que les étudiants de cette école puissent expérimenter d’autres formes d’art, supports et langages que la production d’objet[1] - [2].

Protecrea certificat, 1999

La vie comme une œuvre d’art

Le 3 mars 1999 l’artiste dépose sa vie comme une œuvre d’art auprès de Protecrea[12], un service d’assurance et de certifications d’œuvres d’art, pour une durée de cinq ans[8] - [13]. L’artiste déclare en 1999 : « Entre l’artiste qui a une idée, l’idée qui génère l’objet et l’objet qui est vu existent des ambiguïtés et des incompréhensions qui incitent au repoussement. Une proposition spéculative comme alternative au vécu n’est plus une solution pour l’art[14].»

Le mariage comme une œuvre d’art

Le mariage comme une oeuvre d'art, 1999

Le 23 juin 1999, Alexandre Gurita présente son mariage réel comme une œuvre d’art et projet de diplôme de fin d’études à l’École nationale supérieure des beaux-arts (ENSBA), ce qui provoque une controverse parmi les jurys, professeurs et la direction de cette institution[8]. Les passages des diplômes étaient inaccessibles aux publics avant son mariage, ils deviennent publics après. Le mariage diplôme a été médiatisé par Thierry Ardisson, Laurent Ruquier, Marc Olivier Fogiel. Élise Lucet ouvre le JT de 20h00 le jour même avec un reportage sur le mariage diplôme. Malgré la controverse l’artiste obtient son diplôme.

Clarisse et Alexandre Gurita à la sortie de la chapelle de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris où a eu lieu la cérémonie de mariage.

Le mariage diplôme a fait l’objet d’un film documentaire réalisé en 2000 qui se trouve à la Bibliothèque nationale de France[2] - [13]. Chutaux Mila Corina déclare dans son ouvrage Esthétique de l’art invisuel[15] « Ainsi, lorsqu’Alexandre Gurita a présenté pour son diplôme son propre mariage avec sa femme, célébré dans l’enceinte de l’école, il ne s’agissait pas d’art conceptuel, de performance ni de happening, mais bien d’art invisuel, puisqu’il n’y avait pas d’œuvre d’art, juste un événement de la vie quotidienne auquel l’artiste attribut le statut d’art[16]. »

Art sans Å“uvre mais art avec public

Art sans oeuvre mais avec public

Le 15 août 1999, l’artiste répare à titre de pratique artistique, un radiateur au domicile de Ricardo Mbarkho dans le but d’améliorer ses conditions de vie. Cette activité a été authentifiée par certificat signé par le bénéficiaire[2].

Pratiquer l’existant, visites guidées du réel

Cette action a consisté dans une invitation à la découverte du réel. Elle a été présentée par Ghislain Mollet-Viéville, agent d’art. Septembre 1999, Paris[17].

Entrée dans la vie  

A travers Ricardo Mbarkho présent sur place, Alexandre Gurita a invité le public qui sortait de l’exposition Carnegie International Exhibition 2000 à « entrer dans la vie ». La même action a été menée à Paris à la Galerie Yvon Lambert. L’artiste souligne que l’art commence en sortant des expositions[13].

Paris/Côte-Ouest

Il s’agit d’une « éco-exposition » organisé par l’artiste avec les artistes Laurent Massena, Thierry Théolier et Ricardo Mbarkho, consistant à participer au nettoyage de plages infestées par la marée noire suite au naufrage du pétrolier Erika. Le Pouliguen (Bretagne), du 15 au 18 janvier 2000.

Autoexposition

Alexandre Gurita et Ricardo Mbarkho exposent du 8 au 20 février 2001 ce qui s’expose de soi. Paris, 2001. Cette action voulait illustrer que tout existe et qu’il n’y a rien d’autre à ajouter.

Depuis 2001

Construire dans l’après l’art l’œuvre d’art, dans l’après l’art visuel lui-même.

Ayant observé qu’il n’était plus possible de faire évoluer l’art en tant qu’artiste individuel comme par le passé, Alexandre Gurita a compris qu’il fallait changer les règles du jeu. Pour être efficace il fallait agir sous couvert d’institution et en intelligence collective. Mais aussi aborder l’art d’une manière radicalement différente de ce qui était fait auparavant. La pratique artistique ne devait plus être limité à des actions artistiques en tant que telles mais englober leur écosystème : leur économie, leur stratégie, leur terminologie, leur dimensions politique, écologique et collaborative[18].

En 2001, l’artiste capte la Biennale de Paris tombée dans le domaine public en 1985 après avoir été abandonnée par l’État. L’idée de sa captation n’était pas de refaire une biennale, une exposition, mais d’engager une stratégie de changement à travers ce qui peut être qualifié de « para-institution »[19]. La « captation institutionnelle » désigne le fait de capter des institutions pour les mettre au service de tout ce qui peut faire évoluer l’art[1] - [20]. La Biennale de Paris est devenue une biennale sans objets d’art, sans exposition, sans spectateurs, sans commissaires d’exposition et sans marché de l’art[21]. Elle est qualifiée par certains comme un « organe stratégique de liberté » au service des artistes qui expérimentent des nouvelles approches de l’art ou qui développent des démarches en dehors des conventions de l’art[22]. Elle redéfini l’art tout en refusant de participer au monde conventionnel de l’art[23] - [24]. Dans un article paru dans le journal Polítis (Chypre) du 24 octobre 2010, Cristina Lambrou qualifie la Biennale de Paris comme un « monde de l’art parallèle, souterrain et hors-la-loi [25]».

Estimant que l’économie et l’enseignement sont les deux facteurs d’influence principaux sur la définition de l’art l’artiste impulse plusieurs projets allant dans ces directions.

Il invente le concept d’« économie transversale » spécifique aux pratiques artistiques invisuelles et développe de projets sur la formulation de modèles économiques alternatifs au marché de l’art tels que le Forum mondial des économies de l’art (FOMEA)[26] - [27].

L’artiste créé l’ENDA, l’École de l’invisuel ou encore la Foire des écoles d’art alternatives (AASF) qui s’est déroulé en 2016 à Pionner Works à New York[28].

Pendant la période Covid (2020 – 2022) et les confinements à répétition, Alexandre Gurita développe la notion de multimodalité, à savoir la capacité de s’adapter à l’environnement, à l’image d’un liquide qui change de forme mais qui conserve intacte sa composition[7].

Citations

  • « L’art est le raccourci entre l’impossible et l’essentiel. »
  • « Nous n’avons aucune preuve sérieuse que l’art est dépendant de l’objet d’art. Pour cette raison, nous pouvons supposer le contraire. » (41)
  • « Penser l’art est dangereux, être pensé par lui s’avère fatal. »
  • « Le marché de l’art converti les artistes en exécutants. »
  • « L’œuvre d’art est une option et non pas une obligation[4]. »
  • « L’artiste ne doit pas être une finalité préméditée[29]. »
  • « Le rôle de l’artiste est de créer beaucoup de problèmes à ses contemporains et énormément à ses successeurs. »

Distinctions

  • Médaille d’or et champion national de modélisme naval à 11 ans, Bucarest, 1980.
  • Parrain du Master 2 - Marché de l’art 2018 de l’Université de la Sorbonne Panthéon en partenariat avec Christie’s. La promotion 2018 de ce master est intitulée Promotion Gurita. Paris, le 24 janvier 2019.

Conférences, expériences, ateliers

  • « L’art est l’entreprise », conférence, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Paris, les 14 et 21 octobre 2006.
  • « La Force de l’art : puissance ou pouvoir ? », débat dans le cadre de la deuxième édition de « La force de l’art », Grand Palais, Paris, le 20 mai 2006.
  • « Le catalogue de la XVe Biennale de Paris », conférence, Institut National d’Histoire de l’Art (INHA), Paris, le 23 mai 2007[32].
  • « L’expérience de la transformation », conférence, GAM, Galaratte, Milan, le 17 février 2007.
  • « Conversation/Rencontre », FIAC 2008, débat avec les VIP de cette édition, organisé par Ghislain Mollet-Vieville, Paris, le 23 octobre 2008.
  • « La Biennale de Paris en théorie et en pratique », conférence, Établissement d’en face, Bruxelles, le 6 septembre 2008[33].
  • « Alternatives », débat dans le cadre de l’exposition « L’argent », organisée par Elisabeth Lebovici et Caroline Bourgeois, Le Plateau, FRAC Ile-de-France, Paris, le 10 juillet 2008.
  • « Quelles alternatives économiques au marché de l’art ? Quels nouveaux formats ces alternatives permettent-elles ? », conférence, Bethanien, Berlin, le 21 mai 2009.
  • « L’invisuel » conférence, Artos Foundation, Nicosie, Chypre, le 21 octobre 2010[34].
  • « La Biennale de Paris, une stratégie au service des pratiques désobéissant au régime normatif de l’art », conférence-débat, 1646, La Haye, Pays-Bas, le 9 avril 2010[35].
  • « La Biennale de Paris, un monde de l’art souterrain et hors-la-loi », conférence, New York University, New York, le 26 septembre 2011.
  • « L’invisuel », conférence, Yale University School of Art, New Haven, le 27 septembre 2011.
  • « Decollection ? », conférence, Queens Museum of Art, New York, le 29 septembre 2011.
  • « Peut-on pratiquer une activité artistique sans être subordonné au marché de l’art ? », conférence, FIAC 2012, Grand Palais, Paris, octobre 2012.
  • « Ici, on frappe la monnaie et les esprits ! », diner-discussions organisé par Ghislain Mollet-Viéville, Monnaie de Paris, Paris, le 11 mai 2012.
  • « La stratégie de l’eau », conférence, Musée d’Art Contemporain de Bucarest, Bucarest, le 29 avril 2012.
  • « Reschooling », diner, School of Visual Art (SVA), New York, le 15 octobre 2014.
  • « Introduction à l’art de nature invisuelle », conférence, Espace Louis Vuitton, Paris, le 20 juin 2014.
  • « L’invisuel », atelier, École des Arts Visuels de l’Académie Libanaise des Beaux-Arts (ALBA) de l’Université de Balamand, Beyrouth, les 20 et 21 mars 2014[36].
  • « Penser l’art VS Être pensé par l’art », conférence et débat, Hôtel Drouot, le 7 février 2014.
  • « L’invisuel », conference, débat « French Theory / The (In-)visuality series », Iheap New York, Apexart, New York, le 15 octobre 2015.
  • « Décollectionner l’art » conférence, forum « Quelle collection d’art pour le futur ? », Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, Paris, le 6 mars 2015[37].
  • « L’impact des pratiques invisuelles sur les sciences socio-politiques », conférence, Université La Sagesse, Beyrouth, Liban, le 23 février 2016.
  • « La captation institutionnelle », conférence, Université du Québec à Montréal (UQAM), en ligne, le 12 mai 2017.
  • « Survivre à l’art », expérience, Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles (ARBA/ESA), Bruxelles, le 18 mai 2017.
  • « The Liquid Organization & Paraeconomics », conférence, symposium Self-Organizing Systems in art, Business and Science, Université de Luxembourg – Belval, Luxembourg, le 19 septembre 2018[38].
  • « Secrets à l’œuvre », conférence, expériences, « La Nuit des idées » organisée par l’Institut Français, Archives Nationales. En partenariat le Collège International de Philosophie (CIPh), Paris, le 31 janvier 2019.
  • « Lancement du perturbationisme », déjeuner-discussion, Nancy, le 1er novembre 2021[39].
  • « Introduction à l’art de nature invisuelle », conférence, Institut Supérieur des Beaux-Arts de Sousse (ISBAS), Sousse, 2023.

Publications

  • XVe Biennale de Paris, Éd. Biennale de Paris, 1200 pages, Diffusion Paris Musées, 2007, Paris[40].
  • Le Journal de Paris, (en collaboration avec David d’Equainville), Éd. NBE, paru en kiosque, 2012, Paris[41].
  • Alternative School Art Fair, 19-20 novembre 2016, Éd. Biennale de Paris, 298 pages, 2016, New York.

Notes et références

  1. Eric Monsinjon, « L’art invisuel, qu’est-ce que c’est ? », sur Revue de Paris, (consulté le )
  2. Barbara Legras, « Il existe des multitudes de pratiques artistiques de nature invisuelle », sur artistikrezo.com, (consulté le )
  3. (en) Corina Mila, « Invisual Art », sur Medium (site web), (consulté le )
  4. Fabien Franco, « Alexandre Gurita dans L'Art à Genève », sur artageneve.com (consulté le )
  5. Sophie Lapalu, « Alexandre Gurita : stratège dans le secteur de l'art », sur sophielapalu.blogspot.com, (consulté le )
  6. (en) Claudia Moscovici, « Shaking Things Up in the Art World: The Biennale de Paris and the Salon des Refusés », sur Fineartebooks's Blog, (consulté le )
  7. Eric Monsinjon, « L’artiste multimodal, Entretien avec Alexandre Gurita », sur Revue de Paris, (consulté le )
  8. Barbé Ségolène, « Mon mariage pour un diplôme », sur L'Express, (consulté le )
  9. (it) Gabriele Di Fronzo, « Le avventure di Alexandre Gurita », sur Rivista Studio, (consulté le )
  10. (ro) Doina Ioanid, « Locuitorul contează mai mult decît locul », sur Observator Cultural, (consulté le )
  11. Marie Julie, « Les ambitions et les limites des dimensions sociologiques de l’art invisuel et son dépassement », sur Revue de Paris, (consulté le )
  12. « Protécréa, défenseur des artistes numériques », sur Les Echos, (consulté le )
  13. Claude Guibert, « Alexandre Gurita : l’art et après.. », sur Chroniques du chapeau noir, (consulté le )
  14. « Gurita Alexandre », sur imagoart.e-monsite.com (consulté le )
  15. Corina Chutaux Mila, Esthétique de l'art invisuel, Paris, Les Éditions du Panthéon, , 200 p. (ISBN 978-2-7547-5604-4)
  16. Kévin Bideaux, « Chutaux Mila Corina (2021), Esthétique de l’art invisuel, Paris, Éditions du Panthéon. », sur revue-interrogations.org, (consulté le )
  17. Ghislain Mollet-Viéville, « Biographie 1999-2001 », sur conceptual-art.net (consulté le )
  18. « Présentation – ENDA – École nationale d'art de Paris », sur École nationale d’art de Paris (consulté le )
  19. « La Biennale de Paris à Beyrouth pour secouer l’art et l’imagination », sur Agenda Culturel, (consulté le )
  20. Eric Monsinjon, « Ghislain Mollet-Viéville, personnage conceptuel », sur Mediapart, (consulté le )
  21. (en) « Art and Social Entrepreneurship / Biennale de Paris in Beirut, 2016 », sur lebtivity.com (consulté le )
  22. « Commetre de l'art », sur PHAKT - Centre Culturel Colombier (consulté le )
  23. « Grace Exhibition Space | Live Performance Art in New York City », sur grace-exhibition-space.com (consulté le )
  24. « Biennale de Paris », sur Biennale de Paris (consulté le )
  25. « Institut ACTE | Labo - Institut ACTE », sur institut-acte.pantheonsorbonne.fr (consulté le )
  26. Ghislain Mollet-Viéville, « Comment l’art peut repenser l’économie », sur Revue de Paris, (consulté le )
  27. « La rémunération des artistes », sur citoyennetevillers.eu, (consulté le )
  28. (en-US) « The Alternative Art School Fair at Pioneer Works », sur Temporary Art Review, (consulté le )
  29. Alexandre Gurita, « Art visuel versus art invisuel », sur Revue de Paris, (consulté le )
  30. Jacques Serrano, « Pour un nouveau statut de l'art », sur Revue de Paris, (consulté le )
  31. « Pour un nouveau statut de l'art », sur fabula.org, (consulté le )
  32. « Inha : Présentation du catalogue de la XVe Biennale de Paris », sur Paris Art, (consulté le )
  33. (en-US) « Gary Bigot, Jean-Baptiste Farkas, Alexandre GURITA, Olivier Stévenart. La Biennale de Paris », sur etablissementdenface.com (consulté le )
  34. « Cyprus : Reinventing the Terminology of Art (Biennale de Paris) », sur cyprusevents.net (consulté le )
  35. (en-US) « La Biennale De Paris – 1646 » (consulté le )
  36. « Atelier à l’École des Arts Visuels de l’Académie Libanaise des Beaux-Arts (ALBA) - Université de Balamand », sur alba.edu.lb, (consulté le )
  37. « Quelle collection d’art pour le futur ? - MaM - Paris.fr », sur mam.paris.fr (consulté le )
  38. (en-GB) « AI and Art – LuxLogAI » (consulté le )
  39. « Avec un collectif de 25 personnes, Gilbert Coqalane lance un nouveau mouvement artistique : le perturbationisme », sur estrepublicain.fr (consulté le )
  40. Biennale de Paris et Biennale de Paris, XV Biennale de Paris : du 1er octobre 2006 au 30 septembre 2008, Biennale de Paris, (ISBN 978-2-900176-00-9, lire en ligne)
  41. Sou-Maëlla Bolmey, « Journal de Paris », Critique d’art. Actualité internationale de la littérature critique sur l’art contemporain,‎ (ISSN 1246-8258, DOI 10.4000/critiquedart.6341, lire en ligne, consulté le )

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