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Akbou

Akbou (Aqbu en kabyle, transcrit en tifinagh: ⎰┇⎱┓, en arabe: Ű§Ù‚ŰšÙˆ), est une commune algĂ©rienne de la wilaya de BĂ©jaĂŻa, en Kabylie, dans la vallĂ©e de la Soummam. Elle portait le nom de Metz pendant la pĂ©riode coloniale.

Akbou
Akbou
SiĂšge de l'APC d'Akbou.
Noms
Nom arabe Ű§Ù‚ŰšÙˆ
Nom amazigh ⎰┇⎱┓
Administration
Pays Drapeau de l'Algérie Algérie
RĂ©gion Petite Kabylie
Wilaya BĂ©jaĂŻa
DaĂŻra Akbou
(chef-lieu)
Président de l'APC
Mandat
M. Mouloud Salhi
2017-2022
Code postal 06001
Code ONS 0625
Indicatif 034
DĂ©mographie
Gentilé Akboucien(ne)
Population 53 282 hab. (2008[1])
DensitĂ© 1 021 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 36° 27â€Č nord, 4° 33â€Č est
Altitude 200 m
Min. 180 m
Max. 400 m
Superficie 52,18 km2
Divers
Budget [2]
Localisation
Localisation de Akbou
Localisation de la commune dans la wilaya de BĂ©jaĂŻa.
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Akbou
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Akbou
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Akbou

    GĂ©ographie

    Localisation

    Akbou / Aqvu

    Akbou est situĂ©e dans la vallĂ©e de la Soummam, en Kabylie. Elle est dĂ©limitĂ©e Ă  l'est par la Soummam, qui la sĂ©pare de la commune d'Amalou et au sud par l'oued Sahel, appelĂ© localement "Asif Ɛebbas", qui la sĂ©pare de la commune d'Aáč­-R'zine.

    Relief, géologie, hydrographie

    SituĂ©e Ă  une altitude moyenne de 280 m, la commune d'Akbou s'Ă©tend sur 52,18 km2 ; comprenant deux zones distinctes :

    • le plateau d'Akbou et de Tifrit oĂč se trouve le pĂ©rimĂštre urbain ;
    • la plaine d'Azaghar oĂč se trouvent les pĂ©riphĂ©ries, notamment les villages de Lazib et de Colonel Amirouche (anciennement : Riquet).

    Akbou se trouve Ă  la confluence de l'Oued Sahel et de l'Oued Bousselam. C'est Ă  partir de ce point de confluence que le cours d'eau prend son nom d'oued Soummam.

    Transports

    La commune est traversée par les routes suivantes :

    • RN 26 : Bejaia-Tazmalt
    • RN 26A : Akbou-Chellata
    • CW 14A

    Elle est reliée au réseau SNTF (ligne de Beni Mansour à Bejaia).

    Urbanisme

    Le chef-lieu, Akbou, est composĂ© de plusieurs zones[3] : le centre urbain, la zone urbaine Ă  dominante d'habitations, la zone urbaine Ă©quipements spĂ©ciaux, la zone dominante d'activitĂ©s, la zone Ă  urbanisation future, la zone d'intĂ©rĂȘt Ă©conomique urbaine de rĂ©serve.

    Lieux-dits, quartiers et hameaux

    En dehors d'Akbou, on y trouve les localités d'Azib Benali Chérif, Tifrit, Taharacht et Azaghar.

    Toponymie

    Le nom d'Akbou est d'origine kabyle, en rapport avec le verbe qbebbi et son dérivé aqabiw, qui signifie « proéminence, tertre, élévation », référence directe au piton dominant la ville, le piton d'Akbou[4].

    Histoire

    Préhistoire

    Bien que la ville d'Akbou soit de crĂ©ation tardive - elle fut fondĂ©e par l'administration coloniale française en 1874 -, un site prĂ©historique remarquable se trouve sur le versant sud-est de l'Adrar Gueldamne : il s'agit des Grottes de Gueldaman, Ă  l'est de la ville. Dominant la vallĂ©e du Debbous de plus de 250 m, une de ces grottes a Ă©tĂ© occupĂ©e durant le NĂ©olithique par des hommes qui façonnĂšrent cĂ©ramique et outils sur os et sur silex. Des fouilles entreprises dans la grotte mirent aux jours des ossements d’animaux pouvant rĂ©sulter de bĂȘtes abattues plus loin dont les carcasses apparemment sans crĂąne ont Ă©tĂ© transportĂ©es jusqu’à la grotte. Il s'agit de Ceratotherium, Loxodonta, Macaca, Hystrix cristata et de quelques tortues et coquillages[5]. Le nombre restreint d’ossements trouvĂ©s Ă  l’état naturel est Ă  mettre en relation avec leur utilisation comme matiĂšre premiĂšre pour la fabrication d’outils en os dĂ©couverts sur place en trĂšs grandes quantitĂ©s[6]. Une datation par le carbone 14 effectuĂ©e sur des ossements de Bos taurus renseigne sur la domestication de cet animal dans le Nord du pays[6].

    Antiquité

    Le vestige le plus remarquable de cette période est le mausolée romain d'Ausium, attribué à la famille numide romanisée de Firmus. Il est situé dans la vallée de la Soummam.

    L'époque de la régence d'Alger

    La vallĂ©e de la Soummam fait alors partie du beylik de Constantine, mais est trĂšs proche du royaume des AÂŁit Abbes (At Ɛebbas), État quasi indĂ©pendant dirigĂ© par la dynastie des Amokrane (Mokrani), dont le centre est, dans les Bibans, la citadelle de la KalĂąa (situĂ©e dans l'actuelle commune d'Ighil Ali).

    L'Ă©poque de la conquĂȘte française

    En 1851, Chérif Boubaghla lance une attaque contre l'Azib que possÚde Sß ben 'Alß Chérßf, marabout de Chelatta, au bas de la vallée. Les Français décident peu aprÚs, la construction d'un bordj, maison forte et maison de commandement pour protéger le marabout et, à travers lui, asseoir leur autorité sur le pays. Sß ben 'Alß Sharßf a alors le commandement, en grande partie nominal, sur les Illoulen u-Sameur, les Aït Aïdel et les Ouzellaguen. Le marabout obtient plus tard, le titre de bachagha de la part des Français, qui sied mieux à son amour-propre.

    L'insurrection de 1871

    Akbou a été le second épicentre de l'insurrection de 1871. Celle-ci, commencée en mars à Bordj Bou Arreridj dans la Medjana, sous la direction du bachagha Mokranß, trouve en mai un puissant relais à Seddouk, sous l'autorité de Cheikh El Haddad, alors le personnage le plus en vue de la confrérie de la Rahmaniya en Algérie. Seddouk faisait alors partie du commandement de Sß Ben 'Alß Chérßf, dont le rÎle dans le déclenchement de l'insurrection reste controversé et jamais mis en évidence avec précision. En tout cas, dÚs les premiÚres attaques des insurgés, il se réfugie dans le bordj.

    La commune mixte d'Akbou

    AprÚs l'échec de l'insurrection, les autorités françaises menÚrent une répression terrible contre les populations insurgées touchant les biens et les personnes. Les terres fertiles de la vallée de la Soummam sont confisquées et dévolues à la colonisation européenne. Le centre de colonisation de Metz est créé pour accueillir des colons dont certains viennent des territoires annexés au début de 1871 par les Allemands (l'Alsace-Lorraine). Les autorités françaises suppriment le Bachaghalik de Chellata et établissent à sa place une commune mixte, regroupant les centres de colonisation nouvellement créés et des localités indigÚnes, regroupées en douars délimités à la suite d'un Sénatus-Consulte de Napoléon III[7].

    La localité d'Akbou est choisie comme chef-lieu de la commune-mixte, qui porte son nom. C'est de là que date l'essor de la ville, qui jusqu'alors n'avait été qu'un bourg de moindre importance. La ville d'Akbou administre désormais la partie haute de la vallée de la Soummam. Les Français privilégiÚrent la plaine fluviale pour y attirer les populations et contrÎler ainsi, au mieux, les montagnes environnantes.

    DĂ©mographie

    Akbou est la deuxiĂšme commune la plus peuplĂ©e de la wilaya de BĂ©jaia aprĂšs BĂ©jaia[8], et Ă©galement la 2e agglomĂ©ration avec 43 000 habitants, selon le recensement gĂ©nĂ©ral de la population et de l'habitat de 2008, la population de la commune d'Akbou est Ă©valuĂ©e Ă  53 282 habitants contre 19 992 en 1977 :

    Évolution dĂ©mographique
    1977 1987 1998 2008
    19 99234 18344 57653 282
    (Source : recensement [9])

    Administration et politique

    En fĂ©vrier 2020, l’ancien maire d’Akbou, Abderrahmane Benseba, maire de 1997 Ă  2017, est condamnĂ© Ă  la prison Ă  perpĂ©tuitĂ© par le tribunal de BĂ©jaĂŻa. Il Ă©tait notamment poursuivi pour « mauvaise gestion des affaires de la commune », « falsification de documents officiels » et « trafic d’influence »[10].

    Économie

    Akbou joue un grand rĂŽle Ă©conomique dans la rĂ©gion de par la densitĂ© de son tissu industriel. Sa rĂ©putation qui a largement dĂ©passĂ© les frontiĂšres nationales, s’est construite autour d’une ZAC de 50 dynamiques entreprises qui s’étend sur prĂšs de 50 ha. En perpĂ©tuelle extension Ă  cadence accĂ©lĂ©rĂ©e, cette Silicon Valley version locale est en voie de s’enrichir d’un terrain de 80 ha qui la fera passer au stade de zone industrielle tout en lui permettant de rĂ©pondre Ă  la trĂšs forte demande d’investisseurs qui ont exprimĂ© le dĂ©sir de s’y installer. Le dynamisme de cette enclave Ă©conomique a fait oublier qu’Akbou dispose dĂ©jĂ  d’une zone industrielle avec de grandes entreprises Ă©tatiques comme Alcovel, Mac soum et Sonaric ou privĂ©es comme Danone Djurdjura[11].

    À cela, il faut ajouter deux gros marchĂ©s. Le premier est un marchĂ© de gros de fruits et lĂ©gumes classĂ© troisiĂšme au niveau national. Le deuxiĂšme est un marchĂ© de vĂ©hicules de dimension plus que respectable et qui affiche une moyenne de 5000 vĂ©hicules chaque semaine.

    Autre atout Ă©conomique, sur le plan de l’hydraulique, Akbou bĂ©nĂ©ficie de l’apport du grand barrage de Tichy-haf. À cet effet, trois grands rĂ©servoirs sont inscrits pour rĂ©pondre aussi bien aux besoins de la population que de l’industrie et de l’agriculture.

    Avec un budget communal annuel de 2 milliards de dinars oĂč la fiscalitĂ© reprĂ©sente plus de 95 % des rentes de la commune, Akbou est une ville trĂšs riche (parmi les 20 communes les plus riches d'AlgĂ©rie).

    Seule ombre Ă  ce tableau idyllique, les seules liaisons routiĂšres utilisables sont les axes N26-N5 pour rejoindre l'Autoroute Est-Ouest (l'Ă©changeur n°25 est Ă  45km - 1h de route) et N26-N12 pour rejoindre BĂ©jaĂŻa (72 km - 1h20 de route). Les liaisons directes vers le sud par la N106 ou vers le nord par la n26A sont des routes de montagnes difficilement accessibles au trafic poids-lourds. SaturĂ©es ou dĂ©gradĂ©es, les pĂ©nĂ©trantes d’Akbou sont toutes dans un Ă©tat lamentable[12].

    Depuis ,la Commune d'Akbou est desservie par l'autoroute de BĂ©jaia la liant Ă  l'autoroute Est/Ouest.

    Vie quotidienne

    Sports

    Jumelages

    Patrimoine

    L'Adrar Gueldaman est situĂ© sur la rive droite de la Soummam Ă  l’Ouest d’Akbou. Il constitue la terminaison occidentale de la chaĂźne tellienne des Babors. Il s’étend sur 7 km et prĂ©sente une crĂȘte dentelĂ©e plus ou moins sinueuse, qui s’élĂšve d’Ouest (alt. 556 m) en Est (alt. 898 m). Dans le prolongement de son extrĂ©mitĂ© occidentale, sur la rive gauche de la Soummam, Ă  hauteur du point de confluence entre l’oued Sahel (Asif Abbas) et l’oued Bou-Sellam, s’observe une petite Ă©minence rocheuse sub-conique, le piton d’Akbou (alt. 431 m). Les versants N-W et S-E de l’Adrar Gueldaman sont situĂ©s respectivement sur les territoires des communes d’Amalou et de Bouhamza (ancien nom : Ighi Aberkane).

    Sur le versant S-E de l’Adrar Gueldaman, Ă  507 m d’altitude, au-dessus du hameau de Tasfart, s'ouvrent plusieurs grottes naturelles. Une d'elles (GLD1 / Ifri Boubdhour) a livrĂ© une documentation archĂ©ologique au dĂ©but du XXe siĂšcle et au cours des rĂ©centes recherches prĂ©historiques entreprises depuis 2010 par le CNRPAH (Centre national de recherches prĂ©historiques anthropologiques et historiques, Alger). En 2010 deux autres grottes prĂ©historiques (GLD2 et GLD3) furent dĂ©couvertes par les chercheurs du CNRPAH. Dans chacune d’elles, des indices d’une occupation humaine prĂ©historique ont Ă©tĂ© recueillis.

    MausolĂ©e romain d’Ausium par S. Gsell.

    Le MausolĂ©e romain d’Ausium, situĂ© sur le piton d'Akbou est un monument funĂ©raire datant vraisemblablement du IIIe siĂšcle apr. J.-C. (cf. rĂ©fĂ©rences bibliographiques : S. Gsell, J- P. Laporte et F. Kherbouche).

    • ChĂąteau de Petra

    On notera l'existence historique du chĂąteau de Petra, implantĂ© au lieu-dit Mlakou[13], Ă  8 km au nord-est d'Akbou. Il fut rasĂ© par le gĂ©nĂ©ral romain ThĂ©odose lors de la guerre contre le prince BerbĂšre Firmus vers la fin du IVe siĂšcle apr. J.-C. (cf. rĂ©fĂ©rence bibliographique : Ammien Marcelin, G. Camps, F. Kherbouche, Y. Moderan). Plusieurs vestiges de cette construction subsistent Ă  ce jour (pierres taillĂ©es, dalles et tuiles en terre cuite, tessons de poteries, etc.). Le GĂ©nĂ©ral ThĂ©odose s'empara de l'oppidum Lanfacteuse, situĂ© probablement sur les hauteurs d'Akbou. On signale l'existence d'un site antique situĂ© non loin du village d'Ighil Oumced, oĂč plusieurs vestiges ont Ă©tĂ© dĂ©terrĂ©s, notamment deux stĂšles funĂ©raires Ă  registres dont une porte des inscriptions latines.

    • MausolĂ©e turc

    Parmi les civilisations ayant laissĂ© une empreinte Ă  Akbou, figure celle des Turcs. À voir le monument Ă©rigĂ©, jadis, au nord-est du centre-ville, Ă  proximitĂ© de la CitĂ© des Pins, on est tentĂ© d'affirmer qu'il s'agissait d'un lieu de culte, vu les ressemblances qu'il prĂ©sente avec certains mausolĂ©es en Turquie ; celui du sultan Mehmed Ier, Ă  Brousse, notamment. En effet, la forme hexagonale du mausolĂ©e, son dĂŽme, ainsi que le style des chambres, des fenĂȘtres sont autant d'Ă©lĂ©ments qui appuient, Ă  plus d'un titre, cette hypothĂšse.

    Personnalités liées à la commune

    • Mohamed Haroun, militant de la cause berbĂ©riste, y est nĂ© en 1949.
    • Abderrahmane FarĂšs, prĂ©sident de l'ExĂ©cutif provisoire, Ă  l'aube de l'indĂ©pendance de l'AlgĂ©rie natif de la commune voisine : Amalou.
    • Djamel Zenati, dĂ©putĂ© du Front des forces socialistes, et militant de la cause berbĂ©riste.
    • Zaher BENKHELLAT, militant pour la dĂ©mocratie et les libertĂ©s.
    • Masnsen BUJENAD, fondateur du mouvement des jeunes Ă©cologistes d'AlgĂ©rie et militant des droits de l'homme.
    • Mhand Afroune, auteur, compositeur et interprĂšte, originaire du village Colonel Amiroche, ex Riquet.

    Notes et références

    1. « Wilaya de Béjaïa : répartition de la population résidente des ménages ordinaires et collectifs, selon la commune de résidence et la dispersion ». Données du recensement général de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
    2. 900 millions de DA (2007)
    3. « DĂ©cret no 84-365 du fixant la composition, la consistance et les limites territoriales des communes », Journal officiel de la RĂ©publique algĂ©rienne dĂ©mocratique et populaire, no 67,‎ , p. 1487 (lire en ligne).
    4. Mohand-Akli Haddadou, Dictionnaire toponymique et historique de l'AlgĂ©rie, Tizi Ouzou, Éditions Achab, (ISBN 9789947972250), p. 149-150.
    5. A. Beaumais et Paul Royer, « Fouilles de l'Adrar Gueldaman. PremiĂšre partie », Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique de France, vol. 23, no 9,‎ , p. 223–227 (ISSN 0037-9514, DOI 10.3406/bspf.1926.5938, lire en ligne, consultĂ© le )
    6. Yasmina Chaid Saoudi, « Contribution Ă  la connaissance des faunes prĂ©historiques d’AlgĂ©rie », ikosim,‎ (lire en ligne)
    7. La création des communes mixtes et des douars est une mesure générale dans l'Algérie coloniale au début de la IIIe République.
    8. (en) the People's Democratic Republic of Algeria - BĂ©jaia (Geohive)
    9. (en) Population de Akbou (World Gazetteer)
    10. L’ancien maire d’Akbou condamnĂ© Ă  la prison Ă  perpĂ©tuitĂ©, sitelibere-algerie.com, 12 fĂ©vrier 2020.
    11. « liberte-algerie.com/actualite/
 »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
    12. Akbou rĂȘve d'un nouveau statut elwatan.com
    13. Patrimoine archéologique de Béjaïa : Le site de Mlakou abandonné, site elwatan.com, 4 mai 2021.

    Bibliographie

    Archives

    Ouvrages

    Antiquité
    • Ammien Marcellin, Histoire romaine, XXIX
    • StĂ©phane Gsell, Les Monuments antiques de l'AlgĂ©rie, t. 2, 1901
    • Yves Moderan, « Firmus », EncyclopĂ©die BerbĂšre, XX, 1998, p. 3134-3136
    • Jean-Pierre La porte et Farid Kherbouche, « MausolĂ©es royaux et princiers d’Afrique du Nord », EncyclopĂ©die BerbĂšre, XXX
    Kabylie
    • Gabriel Camps, « Gildon Â», EncyclopĂ©die BerbĂšre, XIX, 1997, p. 2845-2855
    • Farid Kherbouche, « Mlakou Â», EncyclopĂ©die BerbĂšre, XXX
    • Alain MahĂ©, Histoire de la Grande Kabylie, XIXe – XXe siĂšcles. Anthropologie historique du lien social dans les communautĂ©s villageoises, Alger, Éditions Bouchene, 2001, 650 p.
    ConquĂȘte de l'AlgĂ©rie
    • Charles-AndrĂ© Julien, Histoire de l'AlgĂ©rie contemporaine, Paris, PUF, 1964 (3e Ă©dition, 1986, (ISBN 2130361900), chapitre IX (L'insurrection de 1871)
    • Louis Rinn, Histoire de l’insurrection de 1871 en AlgĂ©rie, Alger, 1891, 672 p.
    • NoĂ«l Robin, Histoire du chĂ©rif Bou Bar'la, Alger, A. Jourdan, 1884, 294 p.
    • NoĂ«l Robin, Notes historiques sur la Grande Kabylie de 1838 Ă  1851, Alger, 1905, 269 p.


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