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Agence nationale de santé publique

L'Agence nationale de santé publique, aussi connue sous le nom de Santé publique France, est un établissement public à caractère administratif français, placé sous la tutelle du ministère chargé de la santé, dont le président du conseil d'administration est nommé par décret du président de la République.

Prévue par la loi de modernisation du système de santé, elle est créée le [1] - [2] - [3]. Elle succède à l’Institut de veille sanitaire (InVS), l’Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes), l’Établissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires (Éprus) et Addictions Drogues Alcool Info Service (Adalis).

Historique

La création de l'Agence nationale de santé publique résulte du rapport de préfiguration remis le à Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, par François Bourdillon, directeur général de l’InVS et de l’Inpes[4]. Ce rapport était lui-même la conséquence de diverses analyses et rapports parlementaires, d’inspection, d’évaluation et d’expertise sur les agences sanitaires existantes qui ont conduit le Parlement à voter, le , la loi portant réforme territoriale, avec le passage aux métropoles et de 22 à 13 régions. La création du nouvel établissement repose sur le regroupement de trois agences sanitaires existantes, toutes relevant de la tutelle principale du ministère de la Santé :

  • L’Institut de veille sanitaire (InVS) : cet Ă©tablissement public administratif crĂ©Ă© en 1998 avait essentiellement pour missions la surveillance et l’observation permanentes de l’état de santĂ© de la population, la veille et la vigilance sanitaires, l’alerte sanitaire et la contribution Ă  la gestion des situations de crise sanitaire.
  • L’Institut national de prĂ©vention et d'Ă©ducation pour la santĂ© (Inpes) : cet Ă©tablissement public administratif, crĂ©Ă© en 2002, avait essentiellement pour missions la mise en Ĺ“uvre, pour le compte de l’État et de ses Ă©tablissements publics, des programmes de santĂ© publique destinĂ©s Ă  Ă©viter l’apparition, le dĂ©veloppement ou l’aggravation de maladies ou incapacitĂ©s ; d’exercer une fonction d’expertise et de conseil en matière de prĂ©vention et de promotion de la santé ; de participer, Ă  la demande du ministère chargĂ© de la santĂ©, Ă  la gestion des situations urgentes ou exceptionnelles ayant des consĂ©quences sanitaires collectives ; d’assurer le dĂ©veloppement de l’éducation pour la santĂ© sur l’ensemble du territoire. Il remplaçait, lors de sa crĂ©ation, le ComitĂ© français d’éducation pour la santĂ© (CFES), association loi de 1901.
  • L’Établissement de prĂ©paration et de rĂ©ponse aux urgences sanitaires (Éprus) : cet Ă©tablissement crĂ©Ă© en 2007 avait comme principales missions la gestion de la rĂ©serve sanitaire et la gestion des stocks pharmaceutiques stratĂ©giques.

L'agence a été créée par la loi de modernisation du système de santé (« loi Santé »), du , et par l’ordonnance du . François Bourdillon précise ses spécificités[5] : l'agence « a été bâtie autour de l’axe populationnel, ce qui la différencie des institutions chargées de la sécurité des produits (ANSM), de l’évaluation des risques (Anses) ou de la qualité des pratiques (HAS). La ligne de force voulue par le ministère de la Santé est l’état de santé de la population. L’ambition est que la France, au même titre que les États-Unis avec les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ou l’Angleterre avec Public Health England, s’appuie sur une grande agence de santé publique capable de connaître, expliquer, préserver, protéger et promouvoir l’état de santé de la population ».

Actions

Missions

Santé publique France assure une observation et une surveillance épidémiologique qui lui sert à connaître et à approfondir sa connaissance de l’état de santé de la population afin de mettre en place les politiques de santé les plus adaptées aux besoins, aux problèmes de santé voire pour faire face aux situations sanitaires exceptionnelles.

Santé publique France réalise, en permanence, une veille sanitaire pour identifier le plus précocement possible les risques sanitaires qui menacent la santé de la population.

Elle participe à la lutte contre les inégalités de santé en mettant en place des stratégies de promotion et de prévention de la santé.

Elle innove en mettant en place des expérimentations sur l’ensemble des territoires[6].

L'ensemble des missions de Santé publique France s’inscrit dans l’axe 1 de la Stratégie nationale de Santé 2018-2022 « mettre en place une politique de promotion de la santé, incluant la prévention, dans tous les milieux »[7].

Programmation des actions de Santé publique France

Le Ministère de la santĂ© fixe pour 5 ans les objectifs de SantĂ© publique France Ă  travers la rĂ©daction d’un contrat d’objectifs et de performance (COP). C’est Agnès Buzyn, ministre des SolidaritĂ©s et de la SantĂ©, qui a signĂ© le 1er COP en 2018.

Six objectifs stratĂ©giques et 22 objectifs opĂ©rationnels ont Ă©tĂ© fixĂ©s dans le cadre du COP pour la pĂ©riode 2018-2022. Ainsi, des objectifs en termes de surveillance Ă©pidĂ©miologique, d’actions de prĂ©vention, de prĂ©paration et de gestion des crises sanitaires, d’expertise des politiques, de pilotage, de dĂ©veloppement de partenariats ont Ă©tĂ© assignĂ©s Ă  SantĂ© publique France.

Pour répondre à ces objectifs et répondre à ses missions, Santé publique France élabore une programmation pluriannuelle qui lui permet de définir les orientations de ses actions. Celles-ci sont validées annuellement par le Conseil d’Administration de Santé publique France.

La programmation 2018-2022 porte sur les axes suivants : DĂ©terminants et milieux, Populations, Grandes pathologies, Territoires et interventions, Infrastructures[7].

Enjeux stratégiques

D’ici à 2022, Santé publique France prévoit également de travailler sur :

  • le changement climatique (ex. maladies vectorielles et vagues de chaleur…) ; en Ă©laborant un programme spĂ©cifique,
  • le renforcement de l’expertise des donnĂ©es probantes qui lui permettent de dĂ©finir ses propres programmes de prĂ©vention ;
  • les milieux de vie et de travail en menant des Ă©tudes sur les effets des polluants sur la santĂ© (ex. pollution atmosphĂ©rique, industrielle, des sols…) ;
  • le maintien de la capacitĂ© Ă  continuer de rĂ©agir en rĂ©alisant des activitĂ©s de veille sanitaire ;
  • le marketing social en santĂ© publique en mettant en Ĺ“uvre des campagnes de prĂ©vention (ex. diffusion par les mĂ©dias de la campagne « le mois sans tabac ») ;
  • La rĂ©gionalisation des actions de SantĂ© publique France Ă  travers ses antennes quinze cellules d'intervention en rĂ©gion « Cire » et ses outils qui lui permettent de disposer de donnĂ©es rĂ©gionales (par exemple : GĂ©odes)[7].

Organisation de Santé publique France

Conseil d'administration

Il est chargĂ© de se prononcer sur les grandes orientations stratĂ©giques de l'agence, sur son programme d’activitĂ© et ses moyens humains et financiers. Il est composĂ© de 32 membres dont 9 membres reprĂ©sentant l'État, 1 reprĂ©sentant des rĂ©gimes obligatoires d'assurance maladie, 4 reprĂ©sentants des partenaires institutionnels de l'agence, 3 professionnels de santĂ©, 4 reprĂ©sentants d'associations, 2 Ă©lus reprĂ©sentant les collectivitĂ©s territoriales, 2 personnalitĂ©s qualifiĂ©es, 3 reprĂ©sentants du personnel de l'agence, 2 dĂ©putĂ©s et 2 sĂ©nateurs, dĂ©signĂ©s par le prĂ©sident de leur assemblĂ©e respective. Le mandat des membres du Conseil est valable 4 ans renouvelable une fois.

Le président du conseil d'administration est nommé par décret du président de la République. Marie-Caroline Bonnet-Galzy est présidente du conseil d'administration de Santé publique France depuis le [8].

Conseil scientifique

ComposĂ© de 27 membres nommĂ©s pour 4 ans, il est chargĂ© de veiller Ă  la qualitĂ© et Ă  la cohĂ©rence de la politique scientifique de l’agence. Le conseil scientifique est notamment impliquĂ© dans la rĂ©daction des politiques nationales et des politiques europĂ©ennes de santĂ© publique. Il conseille l’agence sur ses orientations dans les domaines de la recherche, de l’expertise, de partenariats scientifiques[9].

Comité d'éthique et de déontologie

ComposĂ© de 7 membres (nommĂ©s pour une durĂ©e de 4 ans par dĂ©cision du prĂ©sident du Conseil d'administration), il est chargĂ© de veiller au respect des règles Ă©thiques et dĂ©ontologiques applicables Ă  l'agence, Ă  ses personnels et Ă  ses collaborateurs occasionnels (prĂ©vention des conflits d’intĂ©rĂŞts et indĂ©pendance des agents)[9].

Comité d'orientation et de dialogue

Le comitĂ© d'orientation et de dialogue est composĂ© de 10 Ă  20 membres (nommĂ©s pour une durĂ©e de 4 ans, renouvelable une fois, par dĂ©cision du prĂ©sident du Conseil d'administration) est chargĂ© d’optimiser les actions de SantĂ© publique France ainsi que ses actions de communication notamment lors de crise sanitaire, de prioriser ses actions dans les domaines d’activitĂ© oĂą il intervient, de dĂ©battre sur les problèmes de santĂ© publique[9].

Directions

Santé publique France dispose :

  • d’une direction gĂ©nĂ©rale ;
  • de 10 directions scientifiques transversales ;
  • de 5 directions supports ;
  • d’une direction de soutien Ă  l’activitĂ©[10].

L'Agence a successivement été dirigée par :

  • 2016 - juin 2019 : François Bourdillon (deux mandats, dont le prĂ©cĂ©dent Ă  la tĂŞte de l'InVS)
  • juin - octobre 2019 (par intĂ©rim) : Martial Mettendorff
  • novembre 2019 - octobre 2022 : Geneviève ChĂŞne[11], allĂ©e au terme de son mandat[12].
  • 23 fĂ©vrier 2023 : Caroline Semaille[13].

Budget et moyens

L'effectif de l'Agence est de 625 agents et son budget de près de 200 millions d'euros (2019)[14]. En 2020 le montant de la dotation versĂ©e par l'État est de 150 155 356 €. Une dotation exceptionnelle de 860 000 000 € est accordĂ©e au titre de la prĂ©vention Ă©pidĂ©mique et la constitution de stock stratĂ©giques[15].

Représentants de Santé publique France en région

Pour mettre en œuvre ses missions en région, Santé publique France dispose de 15 cellules régionales[16] qui sont placées sous son autorité.

Ces cellules sont chargées de représenter Santé publique France dans chaque région[17] et assurent une surveillance épidémiologique et une observation de l’état de santé de la population pour le compte de Santé publique France[18].

Elles contribuent Ă  transmettre les alertes sanitaires et assurent la gestion locale des crises sanitaires.

Chaque cellule est rattachée à la direction des régions (Dire) de Santé publique France qui veille au pilotage et à la coordination de l’action de Santé publique France en région[19].

Siège

Le siège de Santé publique France est situé dans trois bâtiments à Saint-Maurice, en lisière du bois de Vincennes :

  • L'ancien château de Vacassy du XIXe siècle, un ancien hĂ´pital pour les blessĂ©s de la Grande Guerre[20] ;
  • le bâtiment VillermĂ© conçu par AIA Architecte en 2012 ;
  • Le bâtiment Simone-Veil rĂ©alisĂ© en bois en 2019 par Atelier du Pont Architecte et Architecte d'intĂ©rieur.

RĂ©serve sanitaire

Créée en 2007[21], la réserve sanitaire a pour objet de compléter, en cas d'événements excédant leurs moyens habituels, ceux mis en œuvre dans le cadre de leurs missions par les services de l’État, des établissements de santé et des autres personnes et organisations, nationales ou internationales, concourant à la sécurité sanitaire publique.

Composée de professionnels de santé volontaires[22], elle est notamment intervenue lors des épidémies de chikungunya[23] ou de la covid-19.

Activités européennes et internationales

Au niveau européen

L'Agence Santé publique France travaille en étroite relation avec les instances de santé publique des autres pays.

Au niveau européen, Santé publique France s’implique dans les activités de plusieurs agences : l'ECDC, l'EFSA, l'EU-OSHA.

  • L'AutoritĂ© europĂ©enne de sĂ©curitĂ© des aliments (AESA) collabore avec SantĂ© publique France dans l’expertise des risques liĂ©s Ă  l’alimentation humaine et animale[24].

Santé publique France collabore à de nombreux projets de la Commission européenne dans les domaines des maladies infectieuses, des maladies chroniques et des traumatismes, du travail, de l’environnement et de la formation. Santé publique France coordonne également des projets dans le domaine de la surveillance, de la veille et de l’alerte sanitaire[26].

Au niveau international

Santé publique France contribue également aux projets du Bureau Europe de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), et aux projets co-financés par l’OMS et la Commission européenne[27].

Santé publique France assure le secrétariat de l’Association internationale des Instituts de santé publique, créée en 2006. L'agence accueille régulièrement les rencontres de cette association dont l’objet principal est d’améliorer le fonctionnement des systèmes de santé nationaux[28].

Santé publique France est également membre de l’Union internationale pour la prévention et l’éducation à la santé (IUPES/IUHPE)[29] qui est chargée de promouvoir la santé et le bien-être au niveau international[30].

Portail documentaire de Santé publique France

Le portail documentaire de Santé publique France recense les productions scientifiques de l’agence : les articles du Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), les données de Géodes, les études des baromètres santé, un registre d’interventions prometteurs, le magazines « La santé en action », ainsi que divers documents de prévention mis en ligne par l’agence[31].

  • GĂ©odes est une plateforme d’indicateurs rĂ©gionaux et nationaux en santĂ© publique. Ces indicateurs portent sur les maladies et les traumatismes ainsi que sur les dĂ©terminants de santĂ©. Cette plateforme permet de visualiser les donnĂ©es sous la forme de cartes, de graphiques, de tableaux[33].

Les baromètres santé sont nés en 1992 à l’initiative du Comité français d'éducation pour la santé (CFES). Les baromètres sont des enquêtes scientifiques menées par Santé publique France qui permettent d’orienter les politiques dans le champ de la santé publique. Ces sondages analysent et offrent une surveillance des comportements de santé de la population : pratique de la vaccination, consommation de tabac, d’alcool, dépistage du cancer, etc.[34].

  • Le registre français d’interventions validĂ©es ou prometteuses est une plateforme crĂ©Ă©e par SantĂ© publique France Ă  la demande de la direction gĂ©nĂ©rale de la SantĂ©. Ce registre met Ă  disposition un catalogue thĂ©matique d’expĂ©rimentations probantes en prĂ©vention santĂ© ainsi que des liens vers d’autres registres. L’objectif est de diffuser les innovations en termes de recherche ou d’intervention sur le terrain[35].
  • La santĂ© en action est une revue trimestriel tĂ©lĂ©chargeable sur le site de SantĂ© publique France abordant des thĂ©matiques en lien avec la promotion, la prĂ©vention et l’éducation pour la santĂ©[34].

Des publications de prévention et de surveillance sont mis en ligne par l’agence ; ce sont des supports de prévention en direction du grand public et des professionnels[36]. L'agence propose également sur le net des points épidémiologiques de surveillance sanitaire en lien avec la santé de la population : par exemple des points épidémiologiques portant sur la grippe, la rougeole, la dengue, etc.[37].

Dispositifs de prévention de Santé publique France

Sites thématiques de prévention

Santé publique France gère des sites thématiques de prévention ; elle pilote et finance également des dispositifs d’aide à distance en santé[38].

Dispositifs d’aide à distance en santé

C’est en 1998 que l’INPES se voit confier sa première ligne de téléphonie « Tabac Info Service ». À partir de 2003, l’INPES pilote et finance un certain nombre de dispositifs de prévention et d'aide à distance en santé.

Dès 2010, l’INPES réfléchit à faire évoluer ces dispositifs d’aide à distance. Cette réflexion aboutit en 2014 à la création du label « Aide en santé » qui assure aux usagers des téléphonies en santé une qualité du service rendu. Pour obtenir ce label, les dispositifs d’aide à distance en santé doivent remplir un certain nombre de critères et d’engagements[39].

Notes et références

  1. Article 166 de la loi no 2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé
  2. Ordonnance no 2016-462 du 14 avril 2016 portant création de l'Agence nationale de santé publique et loi no 2017-228 du 24 février 2017 ratifiant l’ordonnance no 2016-462 du 14 avril 2016 portant création de l’Agence nationale de santé publique et modifiant l’article 166 de la loi no 2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé
  3. Décret no 2016-523 du 27 avril 2016 relatif à la création de l'Agence nationale de santé publique
  4. François Bourdillon, « Rapport de préfiguration. Agence nationale de santé publique », sur solidarités-santé.gouv.fr,
  5. François Bourdillon, « La France se dote d’une agence nationale de santé publique : Santé publique France », sur jle.com, (DOI 10.1684/med.2016.81)
  6. « Santé publique France-Essentiel », sur http://www.santepubliquefrance.fr (consulté le )
  7. THIERRY CARDOSO, Santé publique France : Missions et Organisation, 11 p. (lire en ligne).
  8. Décret du 18 décembre 2017 portant nomination de la présidente du conseil d'administration de l'Agence nationale de santé publique - Mme BONNET-GALZY (Marie-Caroline) JORF no 0296 du 20 décembre 2017 texte no 83 NOR: SSAP1724873D
  9. Santé publique France, Stratégie2022, , 48 p. (lire en ligne)
  10. « Santé publique France - Organisation », sur www.santepubliquefrance.fr (consulté le )
  11. « Geneviève Chêne est nommée directrice générale de Santé publique France », sur www.santepubliquefrance.fr (consulté le )
  12. « La Pr Geneviève Chêne quittera la direction générale de Santé publique France en octobre », sur www.hospimedia.fr (consulté le )
  13. Décret du 22 février 2023 portant nomination de la directrice générale de l'Agence nationale de santé publique - Mme SEMAILLE (Caroline)
  14. « Santé publique France : qui sommes nous ? Chiffres clés », sur santepubliquefrance.fr, >
  15. Arrêté du 20 mars 2020 fixant le montant pour l'exercice 2020 du financement de l'Agence nationale de santé publique.
  16. « Les plans régionaux de veille et sécurité sanitaire », sur www.ars.sante.fr (consulté le )
  17. « Annonce Cire »
  18. « Santé publique France - L'action de Santé publique France en région », sur www.santepubliquefrance.fr (consulté le )
  19. Santé publique France, Cire Pays de la Loire, , 26 p. (lire en ligne)
  20. L'asile Vacassy a Ă©tĂ© fondĂ©, en vertu d'un dĂ©cret du , autorisant le legs fait au profit de l'État par M. Jean-Joseph Vacassy, banquier, aux termes d'un testament en date du . Ce legs, comprenant toute la fortune du testateur, a Ă©tĂ© fait dans le but exclusif d'assurer la fondation d'une maison de secours au profit des victimes d'accidents survenus dans Paris, pour quelque cause que ce soit. Il consistait en un capital reprĂ©sentant un revenu de 77 300 FF. Ce n'est que le que l'État, conformĂ©ment aux clauses du testament, fit l'acquisition d'un terrain de 49 000 m2, attenant aux Ă©tablissements nationaux de Charenton et de Vincennes. Cette acquisition, rĂ©alisĂ©e moyennant le prix de 45 000 FF, fut complĂ©tĂ©e le par l'achat, au prix de 13 000 FF, d'une parcelle de 1 300 m, donnant accès sur l'avenue de Gravelle. M. Trouillet, architecte du Ministère de l'intĂ©rieur, chargĂ© de dresser le plan des travaux, prĂ©senta un devis s'Ă©levant Ă  la somme de 737 000 FF. Le prix total du terrain et des constructions a atteint 745 000 FF. et les frais de mobilier 30 000 FF. L'asile est ouvert depuis le 1er octobre 1889. (État des communes Ă  la fin du XIXe siècle. Saint-Maurice : notice historique et renseignements administratifs, 1903, p. 26 s.)
  21. Loi no 2007-294 du 5 mars 2007 relative à la préparation du système de santé à des menaces sanitaires de grande ampleur
  22. « Réserve sanitaire », sur santepubliquefrance.fr.
  23. « La réserve sanitaire », sur gouvernement.fr/risques.
  24. « Activités européennes / Europe et international / Accueil », sur invs.santepubliquefrance.fr (consulté le ).
  25. « Points focaux nationaux - Santé et sécurité au travail — EU-OSHA », sur osha.europa.eu (consulté le )
  26. « Les projets européens / Activités européennes / Europe et international / Accueil », sur invs.santepubliquefrance.fr (consulté le )
  27. « Environnement et santé / Les projets européens / Activités européennes / Europe et international / Accueil », sur invs.santepubliquefrance.fr (consulté le ).
  28. « Accueil de délégations / Activités internationales / Europe et international / Accueil », sur invs.santepubliquefrance.fr (consulté le ).
  29. « Santé publique France - Programmation pluriannuelle », sur santepubliquefrance.fr (consulté le ).
  30. « Inpes - Actualités 2013 - Retour sur la 21e Conférence mondiale de promotion de la santé », sur inpes.santepubliquefrance.fr (consulté le ).
  31. « Santé publique France - Portails documentaires », sur santepubliquefrance.fr (consulté le ).
  32. « Informations générales / BEH - Bulletin épidémiologique hebdomadaire / Publications et outils / Accueil », sur invs.santepubliquefrance.fr (consulté le ).
  33. « Santé publique France - Santé publique France lance Géodes, un observatoire cartographique dynamique permettant d’accéder aux principaux indicateurs de santé », sur santepubliquefrance.fr (consulté le ).
  34. « INPES - Les Baromètres santé, un observatoire des comportements des Français pour orienter les politiques de santé publique », sur inpes.santepubliquefrance.fr (consulté le ).
  35. « Santé publique France - Interventions probantes ou prometteuses en prévention et promotion de la santé », sur santepubliquefrance.fr (consulté le ).
  36. « Inpes - Catalogue - Recherche », sur inpes.santepubliquefrance.fr (consulté le ).
  37. « Toutes les publications / Publications et outils / Accueil », sur invs.santepubliquefrance.fr (consulté le ).
  38. Ministère des Solidarités et de la Santé et Ministère des Solidarités et de la Santé, « Santé publique France », sur Ministère des Solidarités et de la Santé, (consulté le )
  39. Santé publique France, Label qualité aide en santé, , 9 p. (lire en ligne)

Voir aussi

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