Aïcha Snoussi

Intéressée par le concept de suppression de la division de l'espace entre artiste et visiteur au sein des galeries, elle invite ces derniers à contribuer sur place à ses œuvres[7]. On note par ailleurs la présence de la sexualité et du corps humain d'une façon très marquée dans les œuvres d'Aïcha Snoussi, à travers la combinaison de la science et de la mystique[8] - [9].

Lors de son exposition de 2016 à l'ambassade de la Tunisie à Londres, elle présente un tableau peint en rouge sur les murs de l'ambassade[10]. En 2017, une série de ses illustrations, Le Livre des anomalies, est exposée à la foire d'art contemporain Art Paris[11] - [12] - [13].

Parmi les autres expositions auxquelles elle a participé ou bien organisé, on peut citer :

• Galerie Yahia (Tunis, 2013)[3] ;
• Jazz à Carthage (Tunis, 2008)[14] ;
• Cité internationale des arts (Paris, 2015)[3] ;
• Plateforme Parallèle (Tunis, 2016)[15] ;
• Somerset House (Londres, 2017)[16] ;
• Art Brussels (Bruxelles, 2018)[17] - [18] ;
• Galerie La La Lande (Paris, 2019)[3] - [19] ;
• Comme Nous Brûlons (Paris, 2019)[20].
• B7L9 (La Marsa, 2019)[21] ;
• Investec Cape Town Art Fair (Le Cap, 2020)[22].

L'identité de l'artiste en tant que personne queer est manifeste dans ses créations[23]. En 2019, elle est choisie avec douze autres artistes pour exposer ses œuvres la galerie parisienne La La Lande dans le cadre des célébrations de la Journée mondiale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie[19].