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Émile Bruneau de Laborie

Émile Bruneau de Laborie (nĂ© Émile Louis Aristide Bruneau le Ă  Notre-Dame-de-Sanilhac et mort Ă  Bangui le ) est une personnalitĂ© française du sport, de la chasse aux fauves et de l'exploration africaine.

Émile Bruneau de Laborie
Bruneau de Laborie par Henri Manuel
Biographie
Naissance

ChĂąteau de Prompsault Ă  Notre-Dame-de-Sanilhac en Dordogne (France)
DĂ©cĂšs
Nom de naissance
Emile-Louis-Aristide Bruneau
Pseudonyme
Jean Septime
Nationalité
Activité
Fratrie
Paul Bruneau de Laborie (d)
Autres informations
Sport
Distinction
PrĂ©sident honoraire de la SociĂ©tĂ© d’entraĂźnement Ă  l’Escrime et au pistolet
Membre d’honneur des Armes de France
Membre d’honneur de la SociĂ©tĂ© d’Escrime Ă  l’épĂ©e
Membre d’honneur des Armes de combat
Membre d’honneur de la ‘’le Sabre’’
Président honoraire du Boxing-club de France
Membre du Comité de la Société de Saint-Georges
Membre du ComitĂ© de la SociĂ©tĂ© d’Encouragement Ă  l’escrime
Membre du ComitĂ© des salles d’armes de France
etc.[1]
ƒuvres principales
Les Lois du duel (1906)
Du Cameroun au Caire par le désert de Libye
Chasses en Afrique française : carnets de route (1929)
signature d'Émile Bruneau de Laborie
Signature

NĂ© dans une famille bourgeoise parisienne avec des racines en Dordogne, fĂ©ru d'escrime, Bruneau de Laborie voyage en Afrique aprĂšs avoir Ă©tĂ© recalĂ© de Saint-Cyr pour myopie. Durant la Belle Époque, ses activitĂ©s tournent principalement autour de l'escrime : duettiste reconnu, il fonde la premiĂšre fĂ©dĂ©ration nationale, publie un ouvrage de rĂ©fĂ©rences (Les Lois du duel) et tient la chronique du Figaro Ă  ce sujet. C'est Ă©galement un pionnier de l'aviation et un boxeur rĂ©gulier.

Lors de la PremiĂšre Guerre mondiale, il demande Ă  ĂȘtre envoyĂ© au front malgrĂ© son Ăąge (43 ans), et passe quatre annĂ©es Ă  servir dans l'artillerie, la plupart du temps dans les tranchĂ©es. Dans les annĂ©es 1920, il se consacre principalement Ă  des voyages semi-officiels en Afrique (potentiel Ă©conomique du Tchad, rĂ©glementation cynĂ©gĂ©tique de l'AEF). Sa traversĂ©e du dĂ©sert libyque lui vaut la grande mĂ©daille d'or de la sociĂ©tĂ© de GĂ©ographie en 1924.

Chargé de préparer le pavillon de la chasse de l'exposition coloniale de 1931, il est blessé griÚvement par un lion en Oubangui-Chari et décÚde à Bangui quelques jours plus tard.

Enfance et jeunesse

Famille et enfance

Émile Louis Aristide Bruneau naĂźt dans une famille bourgeoise le au chĂąteau de Prompsault, dans la commune de Notre-Dame-de-Sanilhac[2]. Son pĂšre, Amand Pierre Henri Bruneau, est orfĂšvre et sa mĂšre, Marie Laborie, est femme au foyer[2]. DomiciliĂ©s rue de Montmorency dans le 3e arrondissement de Paris[2], ils avaient quittĂ© la capitale Ă  cause des Ă©vĂ©nements de la Commune.

Deux ans plus tard, les Laborie ont un autre fils, Paul, devenu mĂ©decin et fait chevalier de la LĂ©gion d'honneur pour ses services durant la PremiĂšre Guerre mondiale[1] - [3]. Ce frĂšre cadet est tĂ©moin dans sa jeunesse du caractĂšre intrĂ©pide d’Émile-Louis[4].

Amand Bruneau et Marie Laborie ont ensuite un troisiĂšme fils, Raymond[5]. Le beau-pĂšre de leur mĂšre, l'imprimeur pĂ©rigourdin Paul Dupont, un imprimeur de PĂ©rigueux, qui avait Ă©tĂ© dĂ©putĂ© de Dordogne avant le Second Empire, est sĂ©nateur de la TroisiĂšme RĂ©publique de 1876 Ă  sa mort en 1879, annĂ©e oĂč le pĂšre d'Émile dĂ©cĂšde Ă©galement — Émile est alors ĂągĂ© de huit ans.

À la fin du siĂšcle, Marie Laborie veuve Bruneau et les trois frĂšres Bruneau utilisent le nom « Bruneau de Laborie », et sont rĂ©fĂ©rencĂ©s dans l'Annuaire gĂ©nĂ©ral hĂ©raldique universel[5]. Ce changement n'a cependant pas fait l'objet d'une modification officielle Ă  l'Ă©tat-civil[3].

Projets militaires contrariés et premiÚres explorations

Bruneau Ă©tudie Ă  l’externat de la rue de Madrid puis au lycĂ©e Condorcet[1]. Ayant l'objectif d'entamer une carriĂšre militaire, il prĂ©pare le concours de Saint-Cyr aux lycĂ©es Janson de Sailly et Saint-Louis. Jeune homme solitaire, il affirme dĂšs cette Ă©poque son besoin d’indĂ©pendance, tout en acquĂ©rant une discipline de travail importante[6]. Il ne peut toutefois pas poursuivre dans cette voie pour raison mĂ©dicale : myope, il est recalĂ© aprĂšs avoir passĂ© avec succĂšs les Ă©crits[6].

AprĂšs son Ă©chec aux portes de Saint-Cyr, Bruneau de Laborie entre Ă  l'École libre des sciences politiques. Il n’y reste cependant que peu de temps. Il rĂ©alise alors plusieurs missions d’études privĂ©es. Son premier voyage a lieu en Tripolitaine en 1892. En 1895, il se rend au Zanguebar, qui correspond Ă  l’ancienne appellation de l’Est de l’Afrique et du Mozambique. Il reste lĂ -bas une annĂ©e dans le but, d’aprĂšs lui, de « se distraire Â». Ensuite en 1898, pendant une durĂ©e de deux ans lors de l’épidĂ©mie de fiĂšvre jaune, il se rend en CĂŽte d’Ivoire sur la proposition du colonel Louis-Gustave Binger. À l'issue de cette mission, il reçoit la mĂ©daille coloniale au titre civil avec agrafe « CĂŽte d'Ivoire »[7].

Bruneau de Laborie, personnalité du sport français

Une figure importante de l'escrime française

AprĂšs ces premiers voyages, Bruneau de Laborie s'occupe principalement d'activitĂ©s sportives. Escrimeur depuis ses 15 ans, il appartient au cercle parisien Hoche[6] et tient Ă  la Belle Époque la chronique « Les Armes Â» du Figaro sous le pseudonyme Jean Septime[8] - [9]. Cette activitĂ© lui permet de frĂ©quenter diverses personnalitĂ©s politiques, dont le dĂ©putĂ© centriste AndrĂ© Maginot, nommĂ© sous-secrĂ©taire d'Ă©tat Ă  la guerre en 1913[10].

En 1906, il publie Les Lois du duel, premier ouvrage Ă  compiler « le code du duel moderne Â» selon son prĂ©facier Jean-Joseph Renaud[11]. OnĂ©reux, l'ouvrage est tirĂ© Ă  un petit nombre d'exemplaires, mais est lu dans tous les cercles d'escrime[9]. La mĂȘme annĂ©e, il fonde la FĂ©dĂ©ration des sociĂ©tĂ©s d’escrime et salles d’armes de France afin de structurer l'escrime française[6], ce qui lui vaut une mĂ©daille de la SociĂ©tĂ© d’encouragement Ă  l’escrime et, l’annĂ©e suivante, une distinction de l'AcadĂ©mie des Sports[1]. La revue Les Armes publie en 1911 une rĂ©Ă©dition augmentĂ©e et destinĂ©e Ă  une diffusion plus large des Lois du duel, devenues en cinq annĂ©es la rĂ©fĂ©rence pour les rĂšgles des combats d'escrime[9].

Au dĂ©but des annĂ©es 1920, il est ainsi prĂ©sident d’Honneur de la SociĂ©tĂ© d’entraĂźnement Ă  l’escrime et au pistolet, il appartient Ă©galement aux sociĂ©tĂ©s d'Escrime Ă  l'Ă©pĂ©e, d’encouragement Ă  l’Escrime, des Armes de combat, du Sabre, et des Armes de France[1].

Autres implications sportives

Un vol de Bruneau de Laborie lors de la Grande Semaine d'aviation de Rouen (19-26 Juin 1910)

IntĂ©ressĂ© par tous les types de sport, Bruneau de Laborie est l’un des premiers Français Ă  possĂ©der un brevet d’aviation. AprĂšs qu'il a appris Ă  piloter Ă  l'Ă©cole Henry Farman, l'AĂ©ro-Club de France lui dĂ©cerne le soixante-septiĂšme brevet le [12]. Dans la foulĂ©e, il participe Ă  la Grande Semaine d'aviation de Rouen (19-) puis Ă  celle de la Champagne (3-).

Bruneau de Laborie est enfin un amateur de boxe qui s'implique Ă©galement dans la structuration de ce sport, ce qui lui vaut d'ĂȘtre prĂ©sident honoraire du Boxing-Club de France en 1924[6].

PremiĂšre guerre mondiale

Bruneau de Laborie n'avait pu ĂȘtre officier Ă  cause de sa myopie, et avait effectuĂ© son service militaire dans les services auxiliaires pour les mĂȘmes raison[13]. Lorsque la PremiĂšre Guerre mondiale, il a 43 ans et, comme les autres Français appartenant Ă  la rĂ©serve de l'armĂ©e territoriale, il ne fait pas partie des personnes considĂ©rĂ©es par la mobilisation gĂ©nĂ©rale.

Il est cependant affectĂ© par ordre ministĂ©riel au 2e groupe d'aviation du centre de Saint-Cyr dĂšs le [13]. Peu aprĂšs, il demande Ă  ĂȘtre classĂ© service armĂ© afin de combattre ; aprĂšs validation par la commission de rĂ©forme de Versailles et par le gouverneur militaire de Paris, il est affectĂ© en au 11e rĂ©giment de cuirassiers[13]. En octobre suivant, il est promu brigadier[13]. Durant ces deux premiĂšres annĂ©es, « ce quadragĂ©naire accepte sans rechigner les plus humbles corvĂ©es de quartier[14] Â».

Sur le front belge, ses pieds finissent gelĂ©s ; le gouverneur militaire de Paris le renvoie en Ă  l'arriĂšre, au 17e escadron du train, et il est dĂ©clarĂ© inapte pour un mois[13]. Promu marĂ©chal des logis (le premier rang de sous-officier), il revient au front dĂšs novembre au sein du 81e rĂ©giment d'artillerie lourde Ă  tracteurs[13]. Il continue ensuite Ă  changer frĂ©quemment d'affectation ; lorsque la paix est signĂ©e il est rattachĂ© Ă  la 1re division de cavalerie[13]. Il reçoit la mĂ©daille militaire[14].

Un explorateur et chasseur reconnu

Explorations post-guerre

Itinéraires des trois missions Bruneau de Laborie[15].

En 1920, André Maginot, alors ministre des Pensions, Primes et Allocations de guerre, fait appel à Bruneau de Laborie, qui travaille briÚvement dans son ministÚre[10]. Il reprend cependant rapidement la direction de l'Afrique, à l'occasion d'une mission en Afrique équatoriale française soutenue par la Société de Géographie, dorénavant dirigée par son ami Guillaume Grandidier[16].

Parti de Lagos en 1921, Bruneau de Laborie explore les environs du lac Tchad puis rejoint Alger via le Hoggar. Le but de la mission est d'Ă©valuer le potentiel Ă©conomique Tchad. Il rentre en France en , concluant que « le Tchad peut devenir une rĂ©gion cotonniĂšre de premier ordre Â»[17]. Son voyage suivant est prĂ©vu pour .

Parti de Douala, au Cameroun actuel, l'explorateur rejoint le lac Tchad puis se dirige vers Le Caire via le OuadaĂŻ, Borkou, Koufra et Siwa. Ce voyage fait de lui, selon ses contemporains, le premier EuropĂ©en Ă  relier Borkou Ă  Koufra puis Ă  traverser le dĂ©sert libyque, une rĂ©gion alors contestĂ©e, grĂące Ă  l'autorisation du chef senoussi Mohamed el-Abel de « derniĂšre exploration africaine Â» lui vaut l'annĂ©e suivante la grande mĂ©daille d'or des explorations de la SociĂ©tĂ© de gĂ©ographie[18]. L'histoire Dominique Lejeune, spĂ©cialiste des sociĂ©tĂ©s de gĂ©ographie, pour qui Bruneau de Laborie est « bien plus chasseur qu'explorateur Â», qualifie cette attribution de « mondaine Â»[19]. Dans une lettre Ă©crite le , Bruneau de Laborie demande d'ailleurs Ă  Grandidier de parler de lui comme un « voyageur Â» plutĂŽt qu’un « explorateur Â» dans ses publications de la SociĂ©tĂ© de GĂ©ographie.

Les deux annĂ©es suivantes (de 1924 Ă  1926), Bruneau de Laborie se rend Ă  nouveau au Tchad en passant par Djanet ainsi que Bilma. Il revient au Gabon en 1926 pour se consacrer Ă  la chasse[15]. En 1927, le voyageur se rend en Mauritanie oĂč il ramĂšne « un ensemble unique de documents sur les animaux sauvages Â»[20].

Chasses pour l'exposition coloniale de 1931

Pour son voyage suivant, Bruneau de Laborie doit prĂ©parer l’Exposition coloniale de 1931 Ă  Vincennes, en poursuivant son enquĂȘte sur les gros animaux mais aussi en prenant garde Ă  la bonne application du rĂšglements de chasse. Il devait entre autres prĂ©server les animaux en limitant la chasse excessive. Il est ainsi nommĂ© chef de la mission permanente de l'Inspection gĂ©nĂ©rale de la chasse aux colonies en Afrique Ă©quatoriale française entre le printemps et l’étĂ© 1929[21].

En , il part pour le Congo recueillir des peaux de fauves en vue du Pavillon de la chasse de l’Exposition coloniale. Il y va aussi pour contrĂŽler si les nouvelles conditions d’application de la rĂ©glementation de la chasse sont appliquĂ©es. En parallĂšle, il dĂ©cide d’étudier la possibilitĂ© de la domestication des Ă©lĂ©phants au Congo belge centre d’Api (en). Bruneau de Laborie y apprend quel rĂ©gime alimentaire convient aux Ă©lĂ©phanteaux[22].

DĂ©cĂšs

Le , alors qu'il chasse en quĂȘte de peaux pour l'Exposition dans la rĂ©gion de Doba sur les rives de la PendĂ©, Bruneau de Laborie est blessĂ© Ă  la suite d’une grave morsure de lion. Sa main et son avant bras droit sont broyĂ©s sous la mĂąchoire du lion, mais l’animal gravement blessĂ© ne le tue pas. Bruneau de Laborie se trouve dans une rĂ©gion isolĂ©e, et n'arrive pour se faire soigner Ă  Bangui que le . Il est auscultĂ© par trois mĂ©decins des colonies, dont certains Ă©taient venus en renfort Ă  la demande de l'administration coloniale dans le but de lui sauver la vie.

Son calvaire dure plusieurs jours, la gangrĂšne attaque son bras et il doit subir deux amputations consĂ©cutives. Cependant malgrĂ© les soins qui lui sont prodiguĂ©s pour le sauver, il meurt Ă  l’ñge de 59 ans Ă  l’hĂŽpital de Bangui en Afrique-Équatoriale française dans la nuit du 1er au . Il est inhumĂ© Ă  Bangui. L’exposition coloniale internationale lui rend hommage Ă  travers des dioramas qui rappellent sa vie dans le bĂątiment de la chasse en Afrique[23]

Bruneau de Laborie et la chasse aux grands fauves

Bruneau de Laborie restitue ses explorations dans ses ouvrages, comme son long voyage entre le Cameroun et l’Égypte de 1923-1924 dans Du Cameroun au Caire par le dĂ©sert de Libye, rĂ©compensĂ© par le prix J.-J. Weiss de l'AcadĂ©mie française en 1925[24]. Il consacre en 1929 un autre ouvrage plus prĂ©cisĂ©ment Ă  ses chasses, Chasses en Afrique française : carnets de route. Ainsi, en , alors qu’il se trouve dans la rĂ©gion du Tchad, il tue huit buffles, un lion et une panthĂšre [25]. Plus tard en , toujours au Tchad, ce sont quatre buffles, trois rhinocĂ©ros, cinq Ă©lĂ©phants et trois lions qu’il tue[26]. Lors de ces chasses, les peaux sont gardĂ©es par les chasseurs mais la viande est souvent vendue ou donnĂ©e Ă  la population locale qui aide le chasseur Ă  pister les animaux. De nombreux trophĂ©es occupent son logement parisien.

ParallĂšlement Ă  cela, il est nommĂ© inspecteur de la chasse aux colonies 1929. Membre du Conseil supĂ©rieur des Colonies puis par la suite conseiller technique du ministĂšre des Colonies pour les questions cynĂ©gĂ©tiques, il est chargĂ© de la rĂ©glementation des chasses. Il doit par consĂ©quent faire respecter un certain nombre de rĂšgles et rĂ©diger des rapports de ses observations[4]. Sa mission est alors de faire respecter une sorte de quota de chasse, en limitant notamment une chasse trop intensive, ce qui peut sembler paradoxal au regard de ses propres activitĂ©s. Il est conscient que la chasse doit se limiter pour ne pas Ă©puiser les troupeaux dĂ» Ă  la baisse des naissances et du dĂ©placement vers des terres moins peuplĂ©es par l’Homme[27].

Il souhaite modifier les rĂšglements en proposant des modifications aux diffĂ©rents permis de chasse de trois niveaux (permis de petite chasse, permis sportif de chasse moyenne et permis de grande chasse), ainsi qu'un permis spĂ©cial. Des limites du nombre d’animaux et selon les espĂšces tuĂ©s et des tarifs de droits de chasse sont proposĂ©s. Il propose une rĂ©glementation pour la protection des grands gibiers comme l’élĂ©phant, le rhinocĂ©ros, la girafe, le lion, l’éland de Derby et l’hippopotame contre le braconnage et l’abus du nombre de bĂȘtes tuĂ©es. Les chasseurs contrevenants, qui abattraient un nombre supĂ©rieur d’animaux autorisĂ©s devraient payer une amende. De mĂȘme, des taxes de supplĂ©ment pourraient ĂȘtre apposĂ©es.

Publications

  • Bruneau de Laborie, Les Lois du duel, Paris, Édition de la revue “Les Sports modernes”, (lire en ligne).
  • Bruneau de Laborie, Du Cameroun au Caire par le dĂ©sert de Libye : Chasses au Tchad, Paris, Ernest Flammarion, .
  • Bruneau de Laborie, Chasses en Afrique française : Carnets de route, Paris, SociĂ©tĂ© d'Ă©ditions gĂ©ographiques, maritimes et coloniales, (lire en ligne).

Notes et références

  1. Qui ĂȘtes-vous ? 1924.
  2. « Notre-Dame-de-Sanilhac : Émile Louis Aristide Bruneau », sur Archives dĂ©partementales de la Dordogne, p. 4-5.
  3. « Paul Auguste Jean Bruneau de Laborie », base Léonore, ministÚre français de la Culture.
  4. Hugues 1939, p. 17.
  5. « Bruneau de Laborie », dans Annuaire général héraldique universel, Paris, Institut héraldique, (lire en ligne), p. 407.
  6. Hugues 1939, p. 14.
  7. Hugues 1939, p. 13.
  8. Gustave Voulquin, « Deux Duels cĂ©lĂšbres », La Libre Parole,‎ , p. 2.
  9. « Vient de paraĂźtre », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  10. Hugues 1939, p. 58-59.
  11. Laborie 1906.
  12. « Personnalités du champagne > Bruneau de Laborie », sur maisons-champagne.fr.
  13. « Bruneau , Emile Louis Aristide , Matricule 603 », sur Archives de Paris, p. 1-3.
  14. AndrĂ© de FouquiĂšres, Mon Paris et ses Parisiens, 1973, p. 160.
  15. L'Illustration 1926.
  16. Hugues 1939, p. 59.
  17. Georges Martin, « M. Bruneau de Laborie revient du Hoggar », Le Petit Journal,‎ (lire en ligne).
  18. F. Demoulin, « L'exploration du Sahara », Annales de gĂ©ographie, no 226,‎ , p. 356 (lire en ligne).
  19. Dominique Lejeune, Les Sociétés de géographie en France et l'expansion coloniale au XIXe siÚcle, Paris, Albin Michel, coll. « BibliothÚque Albin Michel Histoire », , p. 201.
  20. Grandidier 1930, p. 1.
  21. Delacroisille 1930, p. 1.
  22. Hugues 1939, p. 193.
  23. Lebovics 2004, p. 371.
  24. « Prix J.-J. Weiss », sur Académie française.
  25. Hugues 1939, p. 133.
  26. Hugues 1939, p. 140.
  27. Hugues 1939, p. 179.

Annexes

Bibliographie

  • « Bruneau de Laborie (Émile-Louis-Bruno) », dans Qui ĂȘtes-vous? : Annuaire des contemporains, Paris, G. Ruffy, (lire en ligne), p. 130.
  • « Les Grands Explorateurs de l’Afrique : D’AlgĂ©rie au Gabon par le Tibesti », dans L'Illustration, Paris, Jacques-Julien Dubochet, , p. 38-39.
  • « Mort de M. Bruneau de Laborie », L'Écho : grand quotidien d'information du Centre Ouest, no 448,‎ , p. 2 (lire en ligne).
  • Pierre d' Hugues, Bruneau de Laborie : homme d'Ă©pĂ©e, explorateur, chasseur de grands fauves, Paris, SociĂ©tĂ© d'Ă©ditions gĂ©ographiques, maritimes et coloniales, .
  • Pierre Delacroisille, « Un grand Français disparait... : L'explorateur Emile Bruneau de Laborie », La Vie limousine, no 67,‎ , p. 1479-1481 (lire en ligne).
  • Guillaume Grandidier, « Bruneau de Laborie », Journal des dĂ©bats politiques et littĂ©raires, no 187,‎ , p. 1 (lire en ligne).
  • Herman Lebovics, « Les zoos de l’exposition coloniale internationale de Paris en 1931 », dans Zoos humains, (lire en ligne), p. 367-373.

Liens externes

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