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Women Who Code

Women Who Code (WWCode) est une organisation internationale à but non lucratif fondée en 2011 à Atlanta qui fournit des services aux femmes poursuivant des carrières dans la technologie et un site d'emploi[1] pour les entreprises à la recherche de professionnelles de la programmation. L'entreprise vise à ouvrir une voie vers le monde de la technologie en évaluant et en aidant les femmes à développer des compétences techniques.

Women Who Code
Histoire
Fondation
Organisation
Membres
290 000
Fondatrice
Directrice
Personnes clés
Joey Rosenberg (Responsable produits)
Samaria Rooks (Responsable des ressources humaines et de l'inclusion)
Kim Bennett (Responsable juridique brevets et marques)
Site web

En plus des formations, des évaluations professionnelles, des rencontres et des bourses, Women Who Code offre du réseautage et du mentorat. En 2021, l'organisation a organisé plus de 14 000 évènements gratuits dans le monde et comptait plus de 290 000 membres représentant plus de 134 pays[2]. En 2022 la directrice générale de Women Who Code est Alaina Percival[3].

Histoire

La place des femmes en informatique constitue un enjeu majeur de l'égalité entre hommes et femmes. Selon une étude de FRG Technology Consulting, on compte seulement une femme sur dix parmi les développeurs[4].

Women Who Code a été créée en 2011 pour remédier à ce problème en fournissant un soutien technologiques aux femmes souhaitant s'investir dans ce domaine[5] - [6]. Elle a été fondée en tant qu'organisation à but non lucratif et approuvé par l'IRS en novembre 2013[7] et est surtout connu pour sa publication hebdomadaire CODE Review, ses groupes d'étude technique gratuits, ses soirées hack, son développement de carrière et le développement du leadership, et des conférences mettant en vedette des experts et des investisseurs influents de l'industrie technologique[8]. Depuis sa création, WWCode a produit des milliers d'événements dans le monde entier et a obtenu le parrainage d'organisations telles que Google, Zendesk, VMware, KPCB, Capital One, Nike, Yelp et bien d'autres. À l'été 2016, Women Who Code rejoint l’accélérateur par Y Combinator[9].

Au Royaume-Uni

Sheree Atcheson est la directrice de l'expansion de Women Who Code au Royaume-Uni depuis 2016. Elle fonde les sections de Belfast, Londres et Bristol[10].

Initiatives clés

Les initiatives de Women Who Code incluent des formations en groupe d'études techniques gratuits pour étudier Ruby, Javascript, iOS, Android, Python, Algorithmes, la mise en réseau avec des experts et des investisseurs technologiques influents. L'association offre aussi des possibilités de développement de carrière et de leadership et pousser leur participation à la communauté technologique, L'association promeut également l'augmentation du nombre de conférencières et de jurys féminins lors de conférences et de hackathons[11].

Références

  1. (en-US) « Jobs », Women Who Code (consulté le )
  2. (en-US) Lydia Dishman, « How Women Who Code is making sure women aren’t pushed out of tech jobs », sur Fast Company, (consulté le )
  3. (en-US) « Women in tech up, but not enough », sur Jamaica Observer (consulté le )
  4. (en) « How Women Who Code is narrowing the developer gender gap », sur ZDNet (consulté le )
  5. (en) « Women Who Code [Registration required to see this LinkedIn page] », LinkedIn.com (consulté le )
  6. (en) « Huawei webinar emphasises the importance of women in tech », sur IT Brief Australia (consulté le )
  7. « Women Who Code, Inc. », Guidestar (consulté le )
  8. (en) Noodle Pros, « Women Who Code: You Are Not Alone », sur Forbes (consulté le )
  9. (en-US) « Y Combinator accepts Women Who Code », sur TechCrunch (consulté le )
  10. (en-US) « The diversity series: Q&A with Sheree Atcheson at Women Who Code », sur Cohaesus, (consulté le )
  11. (en-US) « Women Who Code | About Us », Women Who Code (consulté le )

Annexes

Voir également

Liens externes

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