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Who's Who in France

Le Who's Who in France, plus connu en France sous le nom de Who's Who, est un dictionnaire biographique publié depuis 1953, qui contient des biographies de personnes vivantes « qui comptent » en France. Les informations sont présentées comme systématiquement vérifiées.

Who's Who in France

Historique

Who’s Who in France

La première version britannique du Who's Who remonte à 1848, et l'américaine à 1898[1].

En 1912 et 1924, un ouvrage est publié, intitulé Qui êtes-vous ? Annuaire des contemporains notices biographiques, qui s'inspire du Who's Who anglais[2].

En 1953, Jacques Lafitte achète le nom Who's Who pour son utilisation sur le territoire français[3] (Ă©dition de 1954[1]). Il Ă©dite cette mĂŞme annĂ©e, pour la première fois et Ă  titre d’essai, le Who’s Who in France. Cette Ă©dition se limite au pĂ©rimètre parisien[4] et comporte 5 000 biographies[5] qualifiĂ©es de « nobles » par le quotidien LibĂ©ration[5]. La plupart des biographies de cette première Ă©dition correspondent Ă  des hommes de pouvoir diplĂ´mĂ©s de grandes Ă©coles, peu de femmes (1 %[6].) et de jeunes, avec une moyenne d'âge de 56 ans[5].

Les éditions suivantes se succèdent tous les deux ans et sont rapidement épuisées[1]. L'édition de 1973 est vendue 250 francs. À partir de 1974, Marie-Thérèse Lafitte poursuit l’œuvre de son mari décédé[7]. 1981 voit une importante recomposition du paysage politique avec les élections législatives, affectant la publication[6]. En 1984, l’entreprise est achetée par Antoine Hébrard (1945-2023)[7] petit-fils d' Adrien Hébrard. En 1994, René Bargeton publie le Dictionnaire biographique des préfets en indiquant que le Who’s Who [in France] est l’une des sources auxquelles il a eu recours[8].

Les photographies des intéressés apparaissent dans la 36e édition 2005 éditée en 2004, sous forme de photographies d’identité en noir et blanc.

Dictionnaire biographique des Français disparus

En 2001, Béatrice et Michel Wattel, en collaboration avec l'équipe rédactionnelle du Who's Who in France publient chez le même éditeur le Dictionnaire biographique des Français disparus ayant marqué le XXe siècle[9]. La moyenne d'âge est descendue à 45 ans, comptant un nombre de femmes plus important mais qui reste marginal, avec seulement 10 % des biographies[5]. La seconde édition, celle de 2005, imprimée l'année précédente, a pour titre Qui était qui, XXe siècle[10].

Contenu

Procédure de sélection des personnalités et de vérification

La rédaction du Who’s Who assure établir chaque année une liste de personnalités représentatives de l’actualité politique, économique, scientifique, culturelle ou sportive. Ces personnalités font l’objet d'un examen par un comité de sélection qui juge de l’intérêt des candidatures et de la pérennité des carrières, en affirmant se fonder sur quatre critères : « la notoriété, l’honorabilité, le mérite et le talent [qui] contribuent à l’activité et au rayonnement de la France ». Ce comité est constitué de membres experts bénévoles et anonymes[3]. La sélection peut se faire en analysant la position institutionnelle, la réputation de pouvoir ou en listant les décisions importantes, signalées en grande partie par la lecture de la presse grand-public et par nomenclatures[1]. « Tous les Prix Nobel y étaient avant de recevoir le prix », affirme Antoine Hébrard[11]. Certaines fonctions sont définies comme « indispensables », tels que les préfets[1]. Pour ces fonctions, l'éditeur peut ne pas prendre en compte un éventuel refus de la part de la personnalité, et ces cas ne représentent qu'un dixième des notices[1]. La moitié des noms sont méconnus voire inconnus du grand public[12]. Au rythme d'une demande par semaine, le comité est souvent sollicité, particulièrement par des avocats[5]. La directrice assure que ce ne sont pas les personnalités qui demandent à entrer dans le dictionnaire, mais plutôt le comité qui contacte les intéressés[5]. En effet, seulement 1 % des personnes sont acceptées dans l'annuaire après avoir demandé[1]. Un système de parrainage est aussi présent[1].

Un processus long et précis[3] est effectué en amont de l'ajout. Le candidat reçoit alors un « dossier biographique », questionnaire[1] de quatre pages[13] à compléter[14]. Il porte sur leurs carrière, formation et liens d'amitié ou de parenté[13]. L'étape suivante correspond en la vérification de ce questionnaire, assuré par une quinzaine de personnes du Who's Who lors d'échanges par correspondances[15]. Les dix rédacteurs[3] de la société voient leur travail validé par la personne concernée, qui a ainsi un droit de véto sur les informations anecdotiques qui seront diffusées[13]. Plusieurs fiches ne sont ainsi pas établies, du fait de l'absence de données précises. La fiabilité des éléments biographiques dans ce dictionnaire est donc relative, les notices autodéclaratives étant publiées sous le contrôle des intéressés[16] - [17]. D'où l'importance de ne pas être prisonnier de cette unique source biographique et d'en exploiter plusieurs afin de recouper les informations[18].

Chaque annĂ©e, toujours selon la rĂ©daction du Who’s Who, environ 1 000 personnes entrent et 1 000 sortent du rĂ©pertoire. Un quart seulement des questionnaires reçus donnent lieu Ă  un ajout dans l'Ă©dition suivante[1]. Les sortants sont des personnalitĂ©s dĂ©cĂ©dĂ©es, retraitĂ©es ou condamnĂ©es par la justice[5]. L'inactivitĂ© est un autre critère de sortie, Ă  l'inverse de l'investissement bĂ©nĂ©vole et associatif[11]. Avec ce modèle Ă©ditorial, dix mois sont nĂ©cessaires pour sĂ©lectionner les nouvelles entrĂ©es, corriger et mettre Ă  jour les notices existantes. Les deux derniers mois sont consacrĂ©s Ă  la crĂ©ation de l'ouvrage[13]. La rĂ©daction du Who’s Who assure que les intĂ©ressĂ©s ne paient pas pour entrer dans le dictionnaire. Elle indique que cette gratuitĂ© de l’insertion assure la qualitĂ© et l’objectivitĂ© de la sĂ©lection.

Afin de repérer toute utilisation non autorisée de cette base de données, le Who’s Who affirme comprendre de fausses biographies. Selon sa directrice Éléonore de Dampierre, « il y a en effet des biographies pièges de personnes qui n’existent nulle part, dans aucun annuaire, club ou répertoire, qui nous permettent de repérer des utilisations préjudiciables de notre base » et grâce auxquelles un concurrent a effectivement été confondu et condamné par la justice[13].

Nombre de biographies

L'Ă©dition 2018 comporte 22 100 biographies[6] de personnalitĂ©s françaises et Ă©trangères rĂ©sidant en France[19] rĂ©sumĂ©es chacune en une dizaine de lignes, nombre qui dĂ©pend de l'âge et de la notoriĂ©tĂ©[11]. Les femmes ne reprĂ©sentent que 27 % des personnalitĂ©s prĂ©sentĂ©es[6]. La plus jeune est Gabriella Papadakis (22 ans), Georges-Emmanuel Clancier en est le doyen Ă  103 ans[6] - [20]. Cette Ă©dition est vendue 690 euros, pèse 4,2 kg et comporte 2 396 pages[6]. L'Ă©dition 2018 se voit bousculĂ©e par les nombreux arrivants politiques, en particulier avec 403 nouveaux dĂ©putĂ©s[6]. Le directeur qualifie ce renouvellement important de « pain bĂ©nit »[6]. Il est ainsi possible de comparer les Ă©ditions de ce dictionnaire Ă  l'Ă©volution de la sociĂ©tĂ©[5].

Depuis cette Ă©dition, 12 000 entreprises sont aussi prĂ©sentes avec leur organigrammes, sĂ©lectionnĂ©es pour « leur participation au rayonnement de la France »[6].

Controverses

La majorité des personnalités contactées acceptent de figurer dans l'ouvrage, mais certains refusent, comme Maurice Lévy[21], Arielle Dombasle[22] ou Carla Bruni[23]. Après deux ou trois refus, l'éditeur ne renvoie pas de questionnaire[1]. En 1970, la moitié des personnes contactées finissent par être ajoutées dans l'ouvrage[1].

En , Stéphanie Le Bars indique dans Le Monde que le Who’s Who attribuait à tort[24] à Gilles Bernheim (grand-rabbin de France) le titre d’« agrégé de philosophie »[25] - [26].

Le WW n'est pas infaillible, et peut servir à justifier un emploi fictif : « Au cabinet du maire de Paris, je disposais d’un bureau, d’un secrétariat, d’une ligne téléphonique, d’une carte professionnelle. Le répertoire de la Ville de Paris, ma notice au Who’s Who faisaient clairement état de mes fonctions »[27].

Modèle économique

Il est possible d'acheter un abonnement annuel numĂ©rique ou papier[13], Ă©ditĂ© dans les premières Ă©ditions Ă  2 500 exemplaires[1] puis en augmentation jusque 10 000 exemplaires en 2017[6]. Les lecteurs du site internet ont aussi la possibilitĂ© d'acheter une fiche unique[13]. En 2008, le site internet reprĂ©sentait 20 % du chiffre d'affaires de la sociĂ©tĂ©[11]. 60 % des personnalitĂ©s prĂ©sentes dans le dictionnaire sont les premiers acheteurs d'un volume[5], et un tiers sont des clients rĂ©guliers[3]. Elles ne sont pas obligĂ©es de l'acheter[1], mais celles-ci ont droit Ă  un tarif prĂ©fĂ©rentiel[28], l'Ă©diteur comptant sur la curiositĂ© des nouveaux arrivants[3]. Le ministère des Affaires Ă©trangères est le client le plus important[29]. Les hommes d'affaires reprĂ©sentent 40 % des ventes, les administrations 20 % et l'Ă©tranger 20 %[1].

Le tarif Ă©levĂ© de l'ouvrage (690 â‚¬ pour la dernière Ă©dition, 540 â‚¬ en cas de souscription) se justifie « parce qu'il est gros, parce qu'il est beau et parce que la qualitĂ©, la fiabilitĂ© et la fraĂ®cheur de l’information ont un prix », affirme la directrice, ÉlĂ©onore de Dampierre[13].

La publication est ainsi très différente du Bottin mondain : ce dernier fait figurer des personnes sur cooptation, pour leurs relations sociales, alors que le Who's Who décide de manière indépendante de qui il admet, sur des critères de talent et de mérite. Le Who's Who ne se borne pas aux familles qualifiées par le sociologue Olgierd Lewandowski « de la haute société »[1]. En 1974, 28 % des présents dans le WW sont aussi présents dans le Bottin mondain[1].

Comme de nombreuses autres publications papier, le Who's Who doit faire face à la concurrence des nouveaux médias sur Internet. « Oui, il y a de plus en plus de concurrence, mais cela va de soi avec le développement d’internet » affirme Étienne Prévost, successeur d'Éléonore de Dampierre[30]. Par exemple, le dictionnaire biographique doit se positionner face à l'encyclopédie participative en ligne Wikipédia : « Wikipédia et le Who’s Who, sont complètement différents. [Le dictionnaire établit] ses biographies en collaboration avec la personne concernée », ce qu'il décrit comme un gage de qualité[29]. Enfin, il est aussi possible de le comparer à Wikipédia à partir de son processus de sélection : le comité s'appuie en grande partie sur la lecture des titres de presse grand public[1], ce qui est identique aux critères d'admissibilité de la plateforme[31]. Il est aussi possible de comparer cet ouvrage en tant qu'opposé des réseaux sociaux contemporains, puisque l'admission est fermée et le processus complexe[3]. Ainsi, la marque affirme se différencier de LinkedIn par la sélectivité, la richesse des informations et ses méthodes rigoureuses[3]. Mais Manuela d’Halloy, directrice du dictionnaire, affirme qu'il est difficile pour l'éditeur de vérifier une partie non négligeable des informations notées dans la publication, tels que l'intégralité des emplois de la personne[3]. L'éditeur compte sur les lecteurs pour remonter ces informations erronées[3]. Cette caractéristique rapproche l'encyclopédie participative Wikipédia du dictionnaire, et de ce fait est en contradiction avec l’affirmation d’Étienne Prévost « Le Who’s Who s’impose donc pour certaines utilisations car nous disposons de données vérifiées »[29].

Analyse sociologique

Le sociologue Olgierd Lewandowski a fait une analyse de l'édition de 1968 dans la Revue française de sociologie. Il affirme que ce dictionnaire est un miroir de la classe dirigeante, mais donc pas de la société dans son ensemble. L'agriculture, l'industrie et le commerce, qui constituent 80 % de la population active, ne représente que 40 % des personnalités. Le dictionnaire présente seulement 2 % de femmes, sept personnalités sur dix habitent à Paris, 32 % y sont nés, sont d'origine sociale supérieure, ont fait des études supérieures, et 27 % ont moins de cinquante ans[1].

En 2019, le contenu a évolué, reflétant l'évolution de la société française selon son directeur, avec plus de femmes (22 %), moins d'industriels, banquiers ou propriétaires terriens qui représentaient 90 % des entrées à l'origine, et plus de consultants , de cadres d'entreprises ou de créateurs de start-up représentant la réussite sociale. Plus de 60 % des personnalités présentes habitent à Paris ou Neuilly[32].

Marque

La société Lafitte Hébrard SAS est propriétaire des marques « Who’s Who »[33], « Who’s Who in France »[34] et « Qui est qui »[35] pour la France. Pour le reste du monde, d’autres sociétés détiennent ces droits. Ainsi, l’éditeur américain Marquis Who’s Who (en) édite en anglais de nombreux ouvrages ayant des titres tels que Who’s Who in America. Who’s Who in France est depuis 1983 dirigé par Antoine Hébrard[6]. Il meurt le 13 mars 2023[36].

Éditions

Éditions du « Qui était qui »

  • BĂ©atrice et Michel Wattel (en collaboration avec l’équipe rĂ©dactionnelle du Who’s Who in France), Who’s Who in France : XXe siècle : dictionnaire biographique des Français disparus ayant marquĂ© le XXe siècle, 1re Ă©dition, 2001, Levallois-Perret, Ă©d. Jacques Lafitte, 2040 p., 31 cm (ISBN 2-85784-039-X)
  • BĂ©atrice et Michel Wattel (en collaboration avec l'Ă©quipe rĂ©dactionnelle du Who’s Who in France), Qui Ă©tait qui, XXe siècle : dictionnaire biographique des Français disparus ayant marquĂ© le XXe siècle, 2e Ă©dition 2005, Levallois-Perret Ă©ditions Jacques Lafitte, imprimĂ© en 2004, 1980 pages, 31 cm (ISBN 2-85784-044-6). Note de l'Ă©diteur: « […] 8 000 biographies constituent cette 2e Ă©dition du WHO’S WHO des Disparus du XXe siècle, plus simplement appelĂ© QUI ÉTAIT QUI. […] 1 700 nouvelles biographies se sont ajoutĂ©es aux 6 000 de notre première Ă©dition, parue Ă  l’occasion du IIIe millĂ©naire, et Ă©puisĂ©e Ă  ce jour. […] », Antoine HĂ©brard, page 5.

Dernières éditions du Who’s Who in France

  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France, dans les territoires d’Outre-Mer ou Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 31e Ă©dition 2000 Ă©ditĂ©e en 1999, 1975 p., 31 cm (ISBN 2-85784-037-3) (ISBN mentionnĂ© page 3).
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France, dans les territoires d’Outre-Mer ou Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 32e Ă©dition 2000-2001 Ă©ditĂ©e en 2000, 1999 p., 31 cm (ISBN 2-85784-037-3).
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France, dans les territoires d’Outre-Mer ou Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 33e Ă©dition 2001-2002 Ă©ditĂ©e en 2001, 2061 p., 31 cm (ISBN 2-85784-040-3).
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France, dans les territoires d’Outre-Mer ou Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 35e Ă©dition 2003-2004 Ă©ditĂ©e en 2003, Ă©dition des 50 ans, 2171 pages, 31 cm (ISBN 2-85784-042-X).
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France, dans les territoires d’Outre-Mer ou Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 36e Ă©dition 2004-2005 Ă©ditĂ©e en 2004, 2291 pages, 31 cm (ISBN 2-85784-043-8). La 36e Ă©dition est la première Ă  comporter des photographies d’identitĂ©.
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France, dans les territoires d’Outre-Mer ou Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 37e Ă©dition 2005-2006 Ă©ditĂ©e en 2005, 2351 pages, 31 cm (ISBN 2-85784-045-4).
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 39e Ă©dition pour 2008 Ă©ditĂ©e en 2007, 2447 p., 31 cm (ISBN 978-2-85784-048-0)
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 40e Ă©dition pour 2009 Ă©ditĂ©e en 2008, 2409 p. (ISBN 978-2-85784-049-7)[37].
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 41e Ă©dition pour 2010 Ă©ditĂ©e en 2009, 2415 p. (ISBN 978-2-85784-050-3)[38].
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 42e Ă©dition pour 2011 Ă©ditĂ©e en 2010, 2270 p., 31 cm (ISBN 978-2-85784-051-0)[39] - [40]
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 43e Ă©dition pour 2012 Ă©ditĂ©e en 2011, 2307 p., 31 cm (ISBN 978-2-85784-052-7)[41].
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 44e Ă©dition pour 2013 Ă©ditĂ©e en 2012, 2371 p., 31 cm (ISBN 978-2-85784-053-4)[42] - [43].
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 45e Ă©dition pour 2014 Ă©ditĂ©e en 2013, Ă©dition des 60 ans, 2419 p., 31 cm (ISBN 978-2-85784-055-8)
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 46e Ă©dition pour 2015 Ă©ditĂ©e en 2014, 2435 p., 31 cm (ISBN 978-2-85784-056-5)
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 47e Ă©dition pour 2016 Ă©ditĂ©e en 2015, 2416 p., 31 cm (ISBN 978-2-85784-057-2)[44]
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 48e Ă©dition pour 2017 Ă©ditĂ©e en 2016, 2367 p., 31 cm (ISBN 978-2-85784-058-9)[45].
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 49e Ă©dition pour 2018 Ă©ditĂ©e en 2017, 2395 p., 31 cm (ISBN 978-2-85784-059-6)
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, Levallois-Perret, Ă©ditions Lafitte-HĂ©brard, , 49e Ă©d., 2395 p., 30 Ă— 21,5 cm (ISBN 978-2-85784-059-6 et 2857840594) — Ă©dition 2018.
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, Ă©ditions Lafitte-HĂ©brard, , 50e Ă©d., 2372 p., 30 Ă— 21,5 cm — Ă©dition 2019.
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, Ă©ditions Lafitte-HĂ©brard, , 51e Ă©d., 2324 p., 30 Ă— 22 cm — Ă©dition 2020.
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, Ă©ditions Lafitte-HĂ©brard, , 52e Ă©d., 2228 p., 30 Ă— 22 cm — Ă©dition 2021.
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, Ă©ditions Lafitte-HĂ©brard, , 53e Ă©d., 2324 p., 30 Ă— 22 cm — Ă©dition 2022.
  • Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, Ă©ditions Lafitte-HĂ©brard, , 54e Ă©d., 2324 p., 30 Ă— 22 cm — Ă©dition 2023.


Voir aussi

Bibliographie

  • Olgierd Lewandowski, « DiffĂ©renciation et mĂ©canismes d'intĂ©gration de la classe dirigeante: L'image sociale de l'Ă©lite d'après le Who's Who in France », Revue française de sociologie, Sciences Po University Press, vol. 15, no 1,‎ , p. 43–73 (DOI 10.2307/3320262, lire en ligne, consultĂ© le )
  • Pierre Favre, « Sur une Ă©tude empirique de la classe dirigeante française », Revue française de science politique, vol. 28, no 6,‎ , p. 1093–1110 (DOI 10.3406/rfsp.1978.393817, lire en ligne, consultĂ© le )
  • (en) Barbara E. Kemp et Robert L. Wick, § 70 « Who’s Who in France. Qui est qui en France: dictionnaire biographique », pages 32–33 in Robert L. Wick et Terry Ann Mood (Ă©diteurs), ARBA Guide to Biographical Resources 1986-1997, Libraries Unlimited Inc, 1998, 604 pages, (ISBN 1-56308-453-8).

Liens externes

Notes et références

  1. Olgierd Lewandowski, « Différenciation et mécanismes d'intégration de la classe dirigeante : L'image sociale de l'élite d'après le Who's Who in France », Revue française de sociologie, Sciences Po University Press, vol. 15, no 1,‎ , p. 43–73 (DOI 10.2307/3320262, lire en ligne, consulté le ).
  2. Robert Burnand (dir.), Qui ĂŞtes-vous ? : Annuaire des contemporains, Paris, Maison Ehret, G. Ruffy, successeur, Ă©diteur, , 806 p..
  3. Yann Gourvennec, « Who’s Who in France : réseau social du monde réel », Marketing & Innovation,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. Page 1120 in notice « LAFITTE, Jacques, Jules Raoul » (publicitaire, Ă©diteur, 1903-1974), pages 1119-1120 in BĂ©atrice et Michel Wattel (en collaboration avec l'Ă©quipe rĂ©dactionnelle du Who’s Who in France), Qui Ă©tait qui, XXe siècle : dictionnaire biographique des Français disparus ayant marquĂ© le XXe siècle, 2e Ă©dition 2005, Levallois-Perret Ă©ditions Jacques Lafitte, imprimĂ© en 2004, 1980 pages, 31 cm (ISBN 2-85784-044-6).
  5. Guillaume Rollin, « Le « Quiqui » souffle ses cinquante bougies », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. « « Who's Who ». Bousculé par le renouveau politique », Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  7. « L'excellence française depuis 1953 », sur le site du Who's Who (consulté le ).
  8. RenĂ© Bargeton, Dictionnaire biographique des prĂ©fets, (-), Paris, Archives nationales, 1994, 555 pages, 26 cm, (ISBN 2-86000-232-4), p. 14.
  9. « Notice bibliographique », sur le catalogue général de la BnF (consulté le ).
  10. « Notice bibliographique », sur le catalogue général de la BnF (consulté le ).
  11. Françoise Chirot, « Etre ou pas dans le "Who's Who" », Le Monde,‎ .
  12. Laurence Haloche, « Who's Who - 60 ans de bios non dégradables », Le Figaro Magazine, semaine du , p. 120.
  13. Claire Labat, « Dans les coulisses du Who's Who : Les secrets de fabrication du Who's Who », sur linternaute.com, .
  14. « Homme ou femme d'exception et de talent, intégrez le Who's Who ! », sur le site du Who's Who (consulté le ).
  15. Françoise Chirot, « Etre ou pas dans le "Who's Who" », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. Jean Peneff, La méthode biographique. De l'école de Chicago à l'histoire orale, Armand Colin, , p. 51
  17. Christophe Bouchet, L'Aventure Tapie : enquête sur un citoyen modèle, Le Seuil, , p. 67
  18. William Genieys, Sociologie des Ă©lites, Armand Colin, , p. 22
  19. Antoine Hébrard, « Who's Who in France Nouvelle édition 2018 », sur le site du Who's Who (consulté le ).
  20. C'était précédemment Marcel Frange, jusqu'à sa mort en à 105 ans.
  21. Marc Jézégabel, « Maurice Lévy ou les pudeurs d'un publicitaire », sur le site du quotidien Les Échos, (consulté le ).
  22. Charles de Saint Sauveur, « Le Who’s Who, de A à Z », page 34 in Le Parisien (support papier) no 20871 du vendredi 21 octobre 2011 : « Coquetterie. Certains restent à la porte... à cause de leur âge. Comme Arielle Dombasle, visiblement en désaccord avec le nombre d’années que veut lui attribuer la rédaction. » Cet article du Parisien a été repris partiellement en ligne dans http://legrandmorning.rtl2.fr/2011/10/le-whos-who-de-a-%C3%A0-z.html où l’on retrouve bien l’information relative à Arielle Dombasle : « Certains restent à la porte à cause de leur âge, comme Arielle Dombasle, visiblement en désaccord avec le nombre d'années que veut lui attribuer la rédaction. » ; site consulté le 23 octobre 2011.
  23. « Bernard Thibault au « Who's Who », mais pas Carla Bruni », sur le site du quotidien Le Parisien, (consulté le ).
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  25. Stéphanie Le Bars, « Les justifications du grand rabbin Bernheim n’effacent pas les critiques », page 13, colonnes 5-6 in Le Monde (sur papier) daté du : « [...] Alors que sa notice du » (colonne 5)« Who’s Who affirme son état d’agrégé », elle ajoute : « Le fait non pas de proclamer partout, mais de laisser dire qu’on est agrégé, permet de mettre un pansement sur une blessure très forte. [...] » (colonne 6).
  26. Who’s Who in France : dictionnaire biographique de personnalitĂ©s françaises vivant en France et Ă  l’étranger, et de personnalitĂ©s Ă©trangères rĂ©sidant en France, 44e Ă©dition pour 2013, imprimĂ©e en (voir page 2372), 2371 p., 31 cm, (ISBN 978-2-85784-053-4) ; page 268 : « Bernheim, Gilles, Uriel » : « [...] ÉTUDES ET DIPLĂ”MES Ă©cole Aquiba Ă  Strasbourg, diplĂ´me du SĂ©minaire israĂ©lite de France Ă  Paris, universitĂ© Paris I-PanthĂ©on Sorbonne, agrĂ©gation de philosophie[…] ».
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