Accueil🇫🇷Chercher

VideoFutur

Videofutur (Ă©galement typographiĂ© VIDEOFUTUR), anciennement Ă©crit VidĂ©o Futur jusqu'en 2012, est un fournisseur d'accès Ă  Internet. VidĂ©o futur est crĂ©Ă© au dĂ©but des annĂ©es 1980 en tant que chaĂ®ne de vidĂ©o-club. L'enseigne se dĂ©veloppe Ă  partir des annĂ©es 1990 et compte jusqu'Ă  400 points de vente en 2003.

Videofutur

Vitis

logo de VideoFutur

Création 14 juin 2016
Fondateurs Gilles Darnois
Forme juridique Société par actions simplifiée
Slogan « À vous la fibre »
Siège social Courbevoie
Drapeau de la France France
Direction Mathias Hautefort
Actionnaires Netgem (55 %)
La Caisse des DĂ©pĂ´ts (33 %)
Océinde (12 %)[1]
Activité Activités de télécommunication
Location de vidéocassettes et disques vidéo
Anciennes activités :
Vidéo à la demande

Ape : 6190Z

Produits Activités actuelles :
Fournisseur d'accès à Internet
Vidéo à la demande
Location de vidéocassettes et disques vidéo
Effectif 49 au 31/12/2018 (effectif moyen annuel déclaré)
SIREN 820 928 521
Site web videofutur.fr

Fonds propres 4 863 800 € au 31/12/2018
Chiffre d'affaires 10 472 100 € au 31/12/2018
Résultat net -5 484 600 € au 31/12/2018 (perte)

En raison de la crise du secteur de la vidéo locative apparue au début des années 2000, le groupe CPFK dépose le bilan en . En octobre de cette même année, Vidéo futur est repris par Glowria, filiale du groupe Netgem. Durant l'année 2009, l'enseigne met en place un service de VOD.

En , l'enseigne est renommée Videofutur et certains magasins rejoignent le nouveau concept. L'année suivante, Netgem rachète Videofutur et La Box est commercialisée en septembre de cette même année. En , Videofutur devient un fournisseur d'accès à Internet[2].

La société exploitante porte le nom de Vitis[3] et a pour actionnaires : Netgem, la Caisse des dépôts et Oceinde[4]. 2020, le groupe Netgem met en place son organisation One Netgem, intégrant désormais Vitis-Videofutur, associée à sa nouvelle identité de marque et à sa mission : « s’épanouir dans sa vie numérique »[5].

En février 2023, l'actionnaire majoritaire de Videofutur annonce la cessation d'activité de fournisseur d'accès internet. L'affaire est cédée à Nordnet. Netgem affirme vouloir recentrer son activité principale à la diffusion de programmes via le streaming[6].

Historique

1982-1995 : La genèse

La chaîne de magasins Vidéo Futur est née avec l'ouverture d'un premier vidéo-club à Sartrouville en 1982 par son fondateur Gilles Darnois. Dès 1984, un second magasin est ouvert à Nanterre. À l'occasion de l'ouverture de ce magasin, Gilles Darnois s'est associé à Serge Samson et Guy Garit pour créer GDS vidéo (initiales des trois fondateurs), société de négoce dont l'activité consiste à acheter des cassettes à des éditeurs et à les revendre aux vidéo-clubs[7].

L'activité de location vidéo est certes entrée dans les mœurs des consommateurs, mais elle s'est également banalisée. L'apparition de Canal + dans le paysage audiovisuel a contribué à rendre le consommateur plus exigeant en ce qui concerne le choix, la qualité de service, et la disponibilité des produits. La création de Vidéo futur en tant que chaîne de magasins repose sur la volonté d'offrir au consommateur un modèle de magasin haut de gamme, agencé de manière épurée, disposant d'un large choix, de produits suffisamment nombreux pour être disponibles, et animé par du personnel spécifiquement formé. Ce nouveau concept de magasin est résolument orienté vers une clientèle familiale. La rénovation de leur premier magasin en vidéo-club haut-de-gamme double le chiffre d'affaires, et confirme donc la pertinence de ce positionnement de la chaîne. Les trois premiers magasins sont alors renommés Vidéo futur[7].

La société GDS vidéo exerce principalement le métier de grossiste en vidéocassettes locatives à destination d'une clientèle de vidéo-clubs. De proche en proche un certain nombre de vidéo-clubs clients de la société adoptent l'enseigne Vidéo futur. En 1994, la chaîne Vidéo futur compte une trentaine d'unités. C'est à partir du milieu des années 1990, que le développement du réseau s'accélère et se structure. Le fondateur, Gilles Darnois s'entoure alors de deux jeunes collaborateurs qui joueront un rôle clé : Richard Leblanc (directeur du développement), et Philippe Renault (directeur financier). Dès 1995, la société devient un groupe reposant sur deux pôles principaux : le pôle approvisionnement (GDS vidéo), et le pôle participation (Vidéo futur expansion), détenus par une société mère : CFF (Cie financière du futur). Le modèle de développement original repose sur une participation détenue par le groupe au capital des principales unités. Ce schéma permettra de financer le développement d'implantations stratégiques, et d'assurer la loyauté des franchisés développeurs en doublant le contrat de franchise d'un solide pacte d'actionnaires. La première implantation rattachée à Vidéo futur expansion sera le magasin Vidéo futur de Paris place de Clichy.

1997-2002 : L'essor

Ă€ partir de 1997, de nombreuses sociĂ©tĂ©s — italiennes pour la plupart — lanceront sur le marchĂ© français des automates de location vidĂ©o. La chaĂ®ne VidĂ©o futur compte alors un peu plus de 250 magasins, et les dirigeants font le choix de s'Ă©quiper en automates de marque Cinebank. Ces automates sont conçus et fabriquĂ©s par la sociĂ©tĂ© VSI, et distribuĂ©s en France par la sociĂ©tĂ© Cinemat, crĂ©Ă©e par Cristiano Sereni. Ce partenariat sera fructueux pour les deux parties. VidĂ©o futur commencera l'Ă©quipement de ses magasins en machines Cinebank, siglĂ©es Video futur, Ă  partir de 1997[7]. Parallèlement, le groupe Cinebank ouvre une filiale spĂ©cialisĂ©e dans l'approvisionnement en vidĂ©ocassettes et DVD des automates de son propre rĂ©seau, qui s'approvisionnera auprès de GDS vidĂ©o.

À partir de 1998, le groupe Vidéo futur cherche à ouvrir son capital et à s'adosser à un actionnaire lui apportant la surface financière indispensable à la poursuite de son développement. À l'issue de plus d'un an de discussions avec différents investisseurs, le groupe Banque populaire entre au capital au travers du fonds SPEF développement (qui prendra le nom de Naxicap quelques années plus tard). SPEF/Naxicap accompagnera très efficacement le groupe Vidéo futur au cours de la décennie suivante.

À partir de 1999, la montée en puissance des liens commerciaux entre le groupe Vidéo futur et le groupe Cinebank pose nécessairement la question de leurs liens capitalistiques. Le , le groupe Vidéo futur acquiert 33,4 % du capital du groupe Cinebank. Cette opération sera entourée de la plus grande confidentialité, et repose sur une ingénierie financière complexe. La prise de participation de Vidéo futur dans Cinebank ne sera finalement officialisée que trois ans plus tard, lors de la constitution du groupe CPFK.

En 2000, Vidéo futur est no 1 au TOP 50 de la franchise de Franchise magazine, ce qui sera à nouveau le cas en 2001.

En 2002, la chaĂ®ne reprĂ©sente plus de 400 magasins[7].

2003-2008 : Le groupe CPFK

Au dĂ©but de l'annĂ©e 2003, les enseignes VidĂ©o futur, Cinebank et VidĂ©o pilote, qui comptent respectivement 460 magasins, 1 800 automates et 120 points de vente, fusionnent pour former le groupe VidĂ©ostore rĂ©alisant ainsi près de 46 % du chiffre d'affaires dans le secteur de la vidĂ©o locative. La naissance du nouveau groupe ayant dĂ©butĂ© plusieurs annĂ©es auparavant Ă  la suite des collaborations logistiques et commerciales des trois enseignes prĂ©citĂ©es[8].

La crĂ©ation du groupe VidĂ©ostore prĂ©voit l'ouverture de nouveaux points de vente pour les trois enseignes : VidĂ©o futur pour les magasins de haut de gamme avec un doublement du parc d'ici cinq Ă  sept avec 900 unitĂ©s Ă  terme ; Cinebank vise l'implantation de 200 nouveaux automates par an ; VidĂ©o pilote, qui regroupe les partenaires indĂ©pendants, mise sur l'adhĂ©sion d'une quarantaine de partenaires supplĂ©mentaires par an[8].

Au cours de l'année 2005, Vidéo futur se développe à l'international avec l'ouverture d'un premier point de vente en Suisse. L'enseigne envisage également l'ouverture d'une cinquantaine de magasins et l'implantation d'une centaine de distributeurs automatiques d'ici cinq ans[9].

Cette annĂ©e-lĂ , le Groupe CPFK rĂ©alise 85 millions d'euros de CA consolidĂ© pour 18 millions d'euros d'EBITDA[sigle Ă  expliciter]. Cependant, dès 2004, les actionnaires et les dirigeants ont conscience de la nĂ©cessitĂ© de renouveler le modèle Ă©conomique pour anticiper la concurrence provenant des contenus tĂ©lĂ©chargeables, et du tĂ©lĂ©chargement pirate en particulier. C'est le point de dĂ©part du projet Moovyplay.

Pour anticiper la montée en force de la distribution des contenus médiatiques via les canaux numériques, l'entreprise a traversé nombre de transformations. Lancé en 2005, le projet Movvyplay repose sur la conception par le groupe CPFK d'un baladeur numérique permettant de charger des films directement auprès des boutiques physiques des réseaux.

Ă€ la suite du dĂ©veloppement croissant de la VOD, le groupe CPFK lance un nouveau système de location dĂ©matĂ©rialisĂ© baptisĂ© Moovyplay rĂ©alisĂ© par Archos sous forme de disque dur portable. Celui-ci permet aux clients des magasins VidĂ©o futur, Cinebank et VidĂ©o pilote de tĂ©lĂ©charger les films de leurs choix en magasin sur leur lecteur puis de les visionner chez eux[10]. En test depuis fin 2007 dans vingt-quatre magasins VidĂ©o futur, le service Moovyplay est dĂ©ployĂ© Ă  l'Ă©chelle nationale Ă  partir d'. Le groupe CPFK vise jusqu'Ă  900 points de vente Ă©quipĂ©s d'ici la fin de l'annĂ©e 2008[11].

Le , le groupe CPFK, leader de la location vidéo en France, est placé en redressement judiciaire en raison d'une baisse importante de son chiffre d'affaires liée au téléchargement illégal sur Internet. La crise touchant le secteur de la vidéo locative depuis le milieu des années 2000 a entraîné la fermeture de nombreux points de vente[12].

Le , Glowria, filiale du groupe Netgem, reprend pour deux millions d'euros le rĂ©seau comprenant plus de 500 franchisĂ©s sous l'enseigne VidĂ©o futur et 1 900 automates sous les marques VidĂ©o futur, Cinebank et VidĂ©o pilote. Seul un tiers des actifs du groupe CPFK sont repris par Glowria[13].

2009-2015 : Vidéo à la demande et fournisseur d'accès

En 2009, Vidéo futur lance un service de VOD[14]. Son ergonomie obtient cette année-là le prix du meilleur service VOD lors des MIPCOM 2009[15]. Cette même année, Vidéo futur signe un partenariat avec Deezer pour diffuser sur son service de VOD les radios du service de musique en ligne[16].

Afin de conserver ses clients actuels et aussi en obtenir des nouveaux, Vidéo futur se positionne comme « opérateur de divertissement de proximité » et lance en le service Galaxy[17] dont ce dernier est parrainé par Thierry Lhermitte[18]. Il s'agit une carte prépayée et rechargeable distribuée gratuitement en magasin ou sur le site internet de l'enseigne offrant l'accès à tous les modes de consommation de la vidéo[17]. Celle-ci est utilisable sur les ordinateurs et la télévision permettant l'accès au catalogue VOD disponible sur le site internet de Vidéo futur[19].

En , VidĂ©o futur possède 320 magasins tandis que le service Galaxy est proposĂ© dans une cinquantaine de points de vente volontaires avant son dĂ©ploiement dans l'ensemble des magasins de la chaĂ®ne[18].

En , Vidéo futur est renommé Videofutur et change à cette occasion d'identité visuelle et de slogan. De plus, un nouveau positionnement et de nouvelles offres sont mis en place permettant la location en DVD et en Blu-ray tout en proposant également un service de VOD. Enfin, certains points de vente adoptent le nouveau concept[20].

Le , Netgem annonce une OPA sur Vidéo futur[21] - [22]. Vidéo futur cède lors de cette OPA la totalité de ses éléments d'actif et de passif à la société Netgem, sur la base des comptes de Vidéo futur au [23].

Le la société Video futur est fusionnée[24] - [25].

Le , l'entreprise annonce la sortie de La Box pour la rentrée 2013. Celle-ci propose de la location de DVD et de Blu-ray, de la vidéo à la demande illimitée, un service de VOD ainsi que des chaînes de télévision. La Box, disponible dans les magasins exploités en propre par l'enseigne, s'adresse principalement aux foyers qui ne sont pas éligibles à la télévision par Internet[26].

Au cours de l'année 2015, le dernier point de vente sous enseigne Videofutur ferme ses portes. Cependant, certains magasins n'ayant pas rejoint le concept mis en place en 2012 subsistent encore en 2018 comme celui de Savigny-sur-Orge ou d'Alès[27].

À compter du , Vidéo futur se lance en tant que fournisseur d'accès à Internet avec service SVOD sur plusieurs réseaux FTTH d'initiative publique, en collecte ou en marque blanche de l'opérateur Alsatis[28]. Vidéo futur était déjà présent indirectement sur ce marché en proposant sa box avec les offres de l'opérateur CityPlay, désormais racheté par Wibox[29]. Cela fait également suite à l'entrée sur le marché, en septembre, de Coriolis Télécom en partenariat avec Canal+[30].

En , est lancée la box 4K[31].

Depuis 2016 : opérateur de fibre optique sur les réseaux d'initiative publique. En novembre 2016, Videofutur devient un fournisseur d'accès à Internet sur les réseaux d'initiative publique desservant des zones peu denses et rurales. L'opérateur a pour actionnaires : Netgem, acteur spécialisé dans la fourniture de solutions interactives pour la télévision, la Caisse des dépôts qui finance et accompagne les réseaux d’initiative publique (RIP) dans leur développement et Oceinde, acteur du très haut débit à La Réunion[4]. Videofutur est aujourd'hui disponible commercialement dans une quarantaine de départements. En , Videofutur lance l'application multi-écrans myVideofutur qui permet aux utilisateurs du service de retrouver leurs contenus sur tous les écrans[32].

Identité visuelle

Logos

  • Logo de VidĂ©o Futur jusqu'en 2003.
    Logo de Vidéo Futur jusqu'en 2003.
  • Logo de VidĂ©o Futur de 2003 Ă  2009.
    Logo de Vidéo Futur de 2003 à 2009.
  • Logo de VidĂ©o Futur de 2009 Ă  2012.
    Logo de Vidéo Futur de 2009 à 2012.
  • Logo de Videofutur de 2012 Ă  2018.
    Logo de Videofutur de 2012 Ă  2018.
  • Logo de Videofutur depuis 2018.
    Logo de Videofutur depuis 2018.

Slogans

  • AnnĂ©es 1990 : « L'autre image »
  • Jusqu'en 2002 : « La chaĂ®ne no 1 des vidĂ©os-clubs en France »[33]
  • De 2003 Ă  2009 : « LA chaĂ®ne de vidĂ©oclubs »
  • De 2009 Ă  2012 : « LĂ€, pour vous divertir »
  • De 2012 Ă  2013 : « N'attendez pas que ça passe Ă  la tĂ©lĂ© ! »
  • De 2013 Ă  2015 : « Toute la presse en parle ! »
  • Depuis 2018 : « Ă€ vous la fibre »

Notes et références

  1. « caissedesdepots.fr/netgem-la-c… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  2. « Videofutur lance son offre fibre optique - DegroupNews », DegroupNews,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. « identité + bilans », sur www.societe.com (consulté le )
  4. « Vitis, un nouvel opérateur de fibre optique dans les campagnes », sur La Tribune (consulté le )
  5. https://www.netgem.com/medias/document/other/1439/2020-05-14-pr-chiffre-d-affaires-q1-2020-netgem-fr.pdf
  6. Flavien Marchand, « Cessation d'activité pour l'opérateur internet Vidéofutur », sur MaPetiteBox, (consulté le )
  7. Aude-Claire de Parcevaux, Vidéo Futur : ça n'arrive pas qu'au cinéma, L'Express, 22 novembre 2002.
  8. « Un génat est né dans la location vidéo », sur ac-franchise.com, (consulté le )
  9. « Vidéo Futur cible la Suisse », sur franchise-magazine.com, (consulté le )
  10. « Vidéo Futur et Cinebank testent la vidéo dématérialisée », sur journaldunet.com, (consulté le )
  11. « Des vidéoclubs cherchent la parade au téléchargement sur Internet », sur lesechos.fr, (consulté le )
  12. « Vidéo Futur a déposé le bilan », sur franchise-magazine.com, (consulté le )
  13. « Glowria reprend Vidéo Futur », sur franchise-magazine.com, (consulté le )
  14. « Video Futur lance son service de VOD : Galaxy », sur vod-fr.com, (consulté le ).
  15. Olivier Viaggi, La netbox de Vidéo Futur obtient le prix du meilleur service VOD, Univers Freebox, 16 octobre 2009.
  16. Netgem : Deezer sur la Netbox Video Futur, Trader-finance.fr, 2 juillet 2009.
  17. « VideoFutur lance Galaxy, un service de VOD, de location de DVD et de téléchargement légal », sur lemondenumerique.com, (consulté le )
  18. « La nouvelle offre de Vidéo Futur », sur franchise-magazine.com, (consulté le )
  19. « Netgem relance Vidéo Futur », sur lsa-conso.fr, (consulté le ).
  20. « VideoFutur fait peau neuve et lance une offre d'Avant-Premières », sur cnetfrance.fr, (consulté le )
  21. Videofutur: Netgem va lancer une OPA, BFMTV, 23 janvier 2013.
  22. Netgem lance une offre sur Videofutur, Capital, 23 janvier 2013.
  23. Netgem : modalité de la fusion par absorption de Videofutur, Boursier, 25 juillet 2013.
  24. « identité et fusion », sur www.societe.com (consulté le )
  25. BALO du 28 juin 2013
  26. « Videofutur lance « La Box » : Blu-ray, DVD, VOD, SVOD et TNT sur abonnement », sur clubic.com, (consulté le )
  27. « À l'heure du streaming et du tout-Netflix, qu'est devenue l'enseigne « Vidéo Futur » ? », sur liberation.fr, (consulté le )
  28. Videofutur lance une offre fibre sur les RIP avec SVOD, pour 39,90 euros par mois Next Inpact, 23 septembre 2015
  29. « LA BOX Videofutur » sur le site de CityPlay (archive)
  30. « Fibre Calvados, la commercialisation commence dans le Département », sur Calvados.fr, (consulté le )
  31. « Vitis propose désormais une box 4K LA FIBRE videofutur sur les RIP FttH », DegroupNews,‎ (lire en ligne, consulté le )
  32. http://crea.videofutur.fr/web/vitis/CommuniqueVIDOFUTUR_MULTIECRANS.pdf
  33. Entre 2002 et 2003, aucun slogan n'est utilisé par l'entreprise.

Annexes

Articles connexes

Lien externe

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.