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Tumuli de Champ Châlon

Les tumuli de Champ Châlon sont un ensemble de sept tumuli nĂ©olithiques formant deux nĂ©cropoles distantes d'environ 600 m situĂ©es au nord de la forĂŞt de Benon sur la commune de Benon en Charente-Maritime. Les deux nĂ©cropoles sont dĂ©nommĂ©es Champ Châlon I (cinq tumuli) et Champ Châlon II (deux tumuli). Seule la nĂ©cropole de Champ Châlon I a Ă©tĂ© fouillĂ©e. Les datations au radiocarbone indiquent une utilisation des monuments entre le Ve et le IVe millĂ©naire av. J.-C.

Tumuli de Champ Châlon
Image illustrative de l’article Tumuli de Champ Châlon
Un des cinq tumuli
Présentation
Chronologie Ve millénaire av. J.-C.
IVe millénaire av. J.-C.
Type Tumulus
Période Néolithique moyen II régional
Protection Logo monument historique ClassĂ© MH (1992)
Visite accès libre
Caractéristiques
Matériaux calcaire
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 14′ 01″ nord, 0° 48′ 27″ ouest
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente-Maritime
Commune Benon
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Tumuli de Champ Châlon
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Tumuli de Champ Châlon
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Tumuli de Champ Châlon

Historique

Les tumuli de Champ Châlon furent découverts par Frédéric Bouin en 1979 (Champ Châlon I) et 1982 (Champ Châlon II)[1]. Tous les tumuli de Champ Châlon I (hormis le tumulus E) furent fouillés sous la direction de Roger Joussaume et Robert Cadot entre 1980 et 1986[2]. Les tumuli B et C sont classés au titre des monuments historiques depuis le 6 août 1992[3].

Champ Châlon I

Les tumuli ont Ă©tĂ© baptisĂ©s A, B, C, D et E, d'ouest en est. Ils sont sensiblement alignĂ©s sur une hauteur orientĂ©e nord-ouest/sud-est dominant actuellement une dĂ©pression marĂ©cageuse situĂ©e environ 40 m plus bas qui devait correspondre au NĂ©olithique Ă  une avancĂ©e maritime, le niveau de la mer Ă©tant Ă  l'Ă©poque 5 Ă  6 m plus bas qu'actuellement. MasquĂ©s par le couvert forestier, les tumuli ne furent dĂ©couverts qu'Ă  l'occasion de travaux forestiers qui entraĂ®nèrent la destruction de la plus grande partie du tumulus D. Les tumuli A et B sont distants de 20 m, 105 m sĂ©parent les tumuli B et C et 60 m les tumuli C et E[1]. On peut les classer en deux groupes distincts selon leur architecture.

Le premier groupe, constituĂ© des tumuli A, C et D, correspond Ă  des monuments de forme allongĂ©e, assez Ă©levĂ©s et entourĂ©s d'un fossĂ© sur leurs longs cĂ´tĂ©s. Leur cairn s'apparente Ă  un trapèze allongĂ©, orientĂ© est-ouest, dont la taille est disproportionnĂ©e par rapport aux dolmens qu'ils renferment (tumuli A et C) ou Ă  la chambre funĂ©raire qu'il pourrait avoir accueillie (tumulus D). D'ouest en est, leur rapport longueur/largeur dĂ©croĂ®t rĂ©gulièrement et leur longueur augmente rĂ©gulièrement des deux tiers de la longueur du monument prĂ©cĂ©dent : 15 m pour le tumulus A, 25 m pour le C, 40 m (longueur originelle estimĂ©e) pour le D. La plus grande partie du monument est constituĂ©e d'un cairn constituĂ© par des rangĂ©es d'alvĂ©oles disposĂ©es de part et d'autre d'une arĂŞte axiale. Chaque alvĂ©ole est remplie d'une masse de pierrailles[2].

Le second groupe rassemble des tumuli (B et E), peu élevés et sans fossé périphérique apparent.

Architecture

Lors des fouilles, le monument fut complètement dĂ©construit, fouillĂ© exhaustivement puis reconstruit. C'est un quadrilatère d'environ 15 m de long cĂ´tĂ© nord et 14 m de long cĂ´tĂ© sud sur 7,60 m de large rĂ©sultant de l'adjonction de trois parties. Le cairn aurait pu atteindre m de hauteur dans sa partie ouest au niveau de la chambre funĂ©raire. La partie centrale est un noyau en terre sur lequel a Ă©tĂ© Ă©difiĂ© un système alvĂ©olaire. L'extrĂ©mitĂ© Est fut construite avec des pierres plus grosses et s'apparente Ă  un contrefort. Sur les deux tiers de sa longueur, le cairn est une simple masse rocheuse, vide de toute construction, n'ayant accueilli que les ossements d'un seul homme dans sa partie supĂ©rieure. L'ensemble Ă©tait ceinturĂ© par un mur de parement d'environ m de hauteur[1].

La chambre fut construite en pierres sèches, sans aucun orthostate. De plan carrĂ© (environ m de cĂ´tĂ©) avec des angles arrondis et des parois plus ou moins concaves, elle est prĂ©cĂ©dĂ©e d'un couloir lĂ©gèrement oblique orientĂ© plein nord. Elle Ă©tait recouverte par encorbellement mais cette couverture s'est effondrĂ©e assez rapidement. Le sol n'Ă©tait pas dallĂ©. Plus tardivement, Ă  l'âge du Bronze, une cellule latĂ©rale (moins de 1,50 m de long sur m de large) fut amĂ©nagĂ©e le long du mur de parement cĂ´tĂ© est de la chambre par creusement dans le cairn. Elle devait ĂŞtre recouverte de branches d'arbres surmontĂ©es de quelques pierres. Un petit coffre a Ă©tĂ© reconnu dans l'angle sud-ouest du cairn[1].

Selon Joussaume, la construction du tumulus aurait pu ĂŞtre rĂ©alisĂ©e par une dizaine de personnes en un mois. La partie centrale et le contrefort auraient Ă©tĂ© construits dans un premier temps, la construction de la chambre funĂ©raire couverte intervenant dans un second temps. Les pierres de construction ont Ă©tĂ© prĂ©levĂ©es dans les deux carrières creusĂ©es de part et d'autre du tumulus sur les cĂ´tĂ©s longs, Ă  m de distance cĂ´tĂ© nord et 3,50 m cĂ´tĂ© sud. Ces carrières nord et sud forment deux dĂ©pressions ovalaires de respectivement 15,80 m de long sur 6,70 m de large pour une profondeur de 1 Ă  2 m cĂ´tĂ© nord et 13,3 m de long sur 10,20 m de large pour une profondeur maximale de 1,80 m cĂ´tĂ© sud[1].

Matériel archéologique

La chambre renfermait peu d'ossements humains mais le décompte des dents correspond à celui de huit personnes, trois enfants et cinq adultes. La datation des os indique une utilisation de la chambre entre 3709 et 3540 av. J.-C. L'inhumation a pu se dérouler en deux phases : les corps étaient déposés dans la chambre pour s'y décomposer (des traces de mollusques nécrophages ont été retrouvées sur place), puis les ossements étaient retirés et transportés ailleurs, ceux qui furent retrouvés correspondant alors à la dernière inhumation[1].

Dans la cellule latérale, ce sont les ossements de cinq adultes, un adolescent et un enfant qui ont été découverts. Ils correspondent à des inhumations successives sur une période assez longue. La datation au C14 d'un os a permis de déterminer que l'utilisation de cette cellule fut bien postérieure (entre 1737 et 1519 av. J.-C.) à celle de la chambre funéraire[1].

Le mobilier archéologique accompagnant les dépouilles était constitué d'une lame de hachette en fibrolithe, d'une canine de canidé perforée et d'une grosse perle taillée dans une dent de boviné. Deux poteries fragmentées (dont une coupe à socle décorée) et une armature de flèche en silex blanc ont été découvertes sur le seuil d'entrée de la chambre sous une dalle renversée qui devait correspondre à la porte de fermeture temporaire de la chambre, entre deux inhumations[1]. Ce mobilier funéraire est caractéristique du Néolithique moyen II régional[4]. La cellule latérale ne contenait aucun artefact et le petit coffre n'a livré qu'un tesson de poterie grossière attribuable au Néolithique final ou au Bronze ancien. Aucun matériel archéologique n'a été découvert ni dans le volume central, ni dans les carrières[1].

Tumulus B

Il est situĂ© Ă  environ 20 m Ă  l'est du tumulus A. Le tumulus prend la forme d'un trapèze très allongĂ© (15 m de long pour m de large cĂ´tĂ© est et 6,70 m cĂ´tĂ© ouest). Il renferme deux chambres quadrangulaires Ă  couloir encloses dans leur propre cairn circulaire correspondant Ă  une construction en deux temps. L'ensemble devait atteindre Ă  l'origine une hauteur de 2,50 Ă  3 m. Les fouilles n'ont pas permis de localiser la prĂ©sence d'Ă©ventuelles carrières d'extractions Ă  proximitĂ©, hormis celles du tumulus A[1].

Chambre B1

La chambre est entourĂ©e d'un cairn de 8,60 m de diamètre entourĂ© d'un double parement. L'accès se faisait par un couloir dĂ©saxĂ© ouvrant au sud, long de m environ sur environ 0,80 Ă  1 m de large, donnant Ă  l'ensemble une forme en « q » typique des dolmens angoumoisins. Le couloir est construit en pierres sèches et comporte un dallage sommaire type opus incertum. La hauteur sous plafond du couloir et la nature mĂŞme de ce plafond demeurent inconnus ainsi que la nature du passage du couloir Ă  la chambre (dalle de fermeture ?, absence de fermeture ?). La chambre est de forme rectangulaire (2,60 m de long sur 2,30 m de large). Les cĂ´tĂ©s sont dĂ©limitĂ©s par une alternance de petits orthostates (hauteur maximale m pour 0,60 m de largeur) et de murets en pierres sèches. Le sol est dallĂ© avec des plaquettes en calcaire posĂ©es Ă  mĂŞme le substrat rocheux. La chambre devait ĂŞtre recouverte par encorbellement, les quelques orthostates latĂ©raux n'Ă©tant pas suffisants pour soutenir le poids d'une Ă  plusieurs tables de couverture[1].

L'étude des 131 dents retrouvées dans la chambre indique qu'elle renfermait les dépouilles de sept à huit personnes, dont deux enfants. Les quelques connexions anatomiques constatées permettent d'envisager que les corps furent déposés en entier sur la dallage de la chambre. La datation au radiocarbone d'un os indique une période comprise entre 4336 et 4005 av. J.-C. Le mobilier archéologique retrouvé est peu fourni : deux armatures de flèches tranchantes, un fragment d'aiguille ou d'épingle en os et des tessons de deux coupes à socle avec décor qui furent découverts à l'extérieur de la chambre (dans le couloir et à l'extérieur devant le couloir)[1].

Chambre B2

La chambre B2 correspond Ă  une extension vers l'est du tumulus initial englobant la chambre B1. La chambre est de forme lĂ©gèrement trapĂ©zoĂŻdale (2,70 m de longueur cĂ´tĂ© est et 2,50 m cĂ´tĂ© ouest). De plan et de dimensions similaires Ă  la chambre B1, elle en diffère par l'utilisation exclusive d'orthostates jointifs pour en dĂ©limiter le pĂ©rimètre. Le sol Ă©tait dallĂ© et la chambre Ă©tait recouverte par encorbellement. Le couloir d'accès mesure près de m de long sur 0,90 m de large. Il Ă©tait dĂ©limitĂ© par plusieurs orthostates et Ă©tait fermĂ© cĂ´tĂ© extĂ©rieur par un muret se confondant avec le parement extĂ©rieur. Le passage du couloir Ă  la chambre est marquĂ© par l'existence d'une porte en hublot de 0,80 m de diamètre, taillĂ©e dans deux dalles jointives soigneusement bouchardĂ©es[1].

La datation radiocarbone sur os indique une période comprise entre 3973 et 3787 av. J.-C. Les 102 dents découvertes correspondent à six individus distincts. Deux molaires comportaient une trace d'usure en gorge résultant d'une abrasion régulière avec un brin circulaire d'origine végétale : il a été émis l'hypothèse que leur propriétaire était un vannier ou un cordonnier. Le matériel lithique retrouvé se compose de quatre armatures tranchantes et trois éclats et lames. Le reste du mobilier comprend huit fragments de lamelles en défenses de sanglier (dont deux perforées à la base), trois fragments d'épingles en os et des tessons de poterie provenant à un vase-support cylindrique non décoré[1].

Architecture

De forme trapĂ©zoĂŻdale, l'ensemble mesure environ 25 m de longueur, pour une largeur de 10,60 m Ă  l'est et 9,50 m Ă  l'ouest. Sa structure s'apparente Ă  celle du tumulus A, avec trois parties distinctes : Ă  l'est un petit dolmen, au centre une masse alvĂ©olaire, et pour envelopper le tout, un cairn quadrangulaire Ă  parement[1].

La chambre est de forme ovalaire (m de longueur sur 1,80 m de largeur). Elle Ă©tait dĂ©limitĂ©e par cinq orthostates dont trois sont dĂ©sormais manquants mais reconnus grâce Ă  leur fosse d'implantation, les deux autres ont Ă©tĂ© brisĂ©s sur place, seule leur base demeurant en place. Des vestiges de dallage ont Ă©tĂ© dĂ©couverts au sol. La chambre Ă©tait couverte par encorbellement. Le couloir d'accès, en pierres sèches, de 2,70 m de long sur m de large en moyenne, ouvre Ă  l'est. Son entrĂ©e est marquĂ©e par deux petites dalles verticales. Le couloir Ă©tait dallĂ©. L'ensemble Ă©tait enfermĂ© dans un cairn circulaire Ă  parement d'environ m de diamètre[1].

Le reste du tumulus est une structure alvéolaire disposée autour d'une arête centrale en pierraille ayant l'allure d'un toit à double pente. Les alvéoles furent édifiées par rangs successifs, d'est en ouest, de part et d'autre de cette arête centrale. La construction des alvéoles est assez sommaire, sans aucune préoccupation esthétique : les contours sont délimités par un entassement de dallettes puis l'intérieur de l'alvéole ainsi constituée est comblé avec un cailloutis mêlé de terre. Tous les matériaux utilisés proviennent des carrières d'extraction situées de part et d'autre du monument[1].

Le cairn circulaire de la chambre et la masse alvĂ©olaire furent enfermĂ©s dans un cairn trapĂ©zoĂŻdal dĂ©limitĂ© par un mur de parement soigneusement construit dont la hauteur d'origine a pu atteindre 1 Ă  1,20 m. L'ensemble correspond Ă  une construction Ă  l'architecture mĂ»rement rĂ©flĂ©chie[1].

Mobilier archéologique

Les restes osseux de sept individus, dont trois enfants, ont été retrouvés dans la chambre et un squelette en position fléchie correspondant à un individu âgé de plus de 60 ans a été découvert dans le couloir. La datation au radiocarbone indique une période comprise entre 3957 et 3707 av. J.-C. pour les ossements trouvés dans la chambre et entre 3939 et 3654 av. J.-C. pour ceux du couloir. Le matériel archéologique se limite à un fragment de vase-support à décor de triangles et pointillés[1].

Le reste du tumulus ne comportait aucun vestige archéologique hormis des ossements humains disposés dans des fosses aménagées dans la partie supérieure de la masse tumulaire. La fouille de la carrière sud a livré quelques tessons de poteries, un couteau et un fragment de hache polie en silex et une petite pendeloque en roche verte. Une hache polie en dolérite de type Plussulien, en parfait état, découverte à proximité du mur de parement au nord-est, posée à plat sur le sol et recouverte de pierres, semble correspondre à un dépôt volontaire de type offrande[1].

Tumulus D

Ă€ l'origine, il s'agissait du plus grand des cinq tumuli mais il fut en grande partie dĂ©truit Ă  ses deux extrĂ©mitĂ©s par des engins mĂ©caniques lors de la dĂ©couverte du site. Sa longueur primitive est estimĂ©e Ă  environ 40 m de longueur pour une largeur de m Ă  l'est et m Ă  l'ouest. La partie centrale du tumulus qui demeure (environ 15 m de long) n'a pas Ă©tĂ© fouillĂ©e, seule une tranchĂ©e de sondage y fut pratiquĂ©e. L'Ă©tude de la coupe pratiquĂ©e Ă  l'extrĂ©mitĂ© est par les bulldozers indique que l'architecture interne du tumulus correspond Ă  une structure alvĂ©olaire identique Ă  celle des tumuli A et C. En l'Ă©tat des connaissances, aucune trace d'une chambre ou d'un coffre funĂ©raire n'est attestĂ©e. Seule la prĂ©sence de fossĂ©s (m Ă  4,50 m de large sur 1,50 m de profondeur) tout autour du tumulus a pu ĂŞtre constatĂ©e[1].

Tumulus E

Ce tumulus, situĂ© Ă  l'extrĂ©mitĂ© est du site, n'a pas Ă©tĂ© fouillĂ©[1]. De forme circulaire, son diamètre est d'environ 15 m et sa hauteur atteint 0,70 m. Son aspect gĂ©nĂ©ral extĂ©rieur correspond Ă  celui du tumulus B avant sa fouille[2].

Champ Châlon II

Le groupe de Champ Châlon II est situĂ© Ă  environ 600 m au sud-est des tumuli de Champ Châlon I. Il comporte deux tumuli dĂ©signĂ©s par les lettres A et B, aucun n'a Ă©tĂ© fouillĂ©. Le tumulus A, le plus Ă  l'ouest, est orientĂ© nord-ouest/sud-est. Il mesure 32 m de long sur 11 m de large, pour une hauteur maximale Ă  son extrĂ©mitĂ© ouest de 0,70 m. Sa hauteur dĂ©croĂ®t d'est en ouest. Les longs cĂ´tĂ©s (nord et sud) sont bordĂ©s par un fossĂ©. Le tumulus B est situĂ© Ă  une centaine de mètres au sud-est du prĂ©cĂ©dent. Il est orientĂ© ouest-nord-ouest/est-sud-est. Il mesure 26 m de long sur 13 m de large et sa hauteur maximale, Ă  l'ouest, est de 0,85 m. LĂ  encore, sa hauteur dĂ©croĂ®t d'est en ouest et il est entourĂ© d'un fossĂ© sur les longs cĂ´tĂ©s[5].

Notes et références

Annexes

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • FrĂ©dĂ©ric Bouin, « Les tumulus nĂ©olithiques de la forĂŞt de Benon », Bulletin du Groupe VendĂ©en d'Études PrĂ©historiques, no 27,‎ , p. 16 (ISSN 0753-4736). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • FrĂ©dĂ©ric Bouin, « Sur quelques observations rĂ©alisĂ©es en cours d'Ă©tude des ensembles de tumulus nĂ©olithiques de la forĂŞt de Benon (17) », dans MĂ©galithes du Sud-Ouest - Colloque du 29 fĂ©vrier 1992, t. XXVII, SociĂ©tĂ© d'Antropologie du Sud-Ouest, coll. « Bulletin trimestriel », , 116 p., p. 53-62. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Roger Joussaume, « Benon, Champ-Châlon (Charente-Maritime) », dans AllĂ©es sans retour : allĂ©es couvertes et autres monuments funĂ©raires dans la France du Nord-Ouest, Éditions Errance, , 263 p., illustrĂ©, p. 139-142
  • Roger Joussaume, « Les tumulus de Champ-Châlon Ă  Benon (Charente-Maritime) », Bulletin du Groupe VendĂ©en d'Études PrĂ©historiques, no 42,‎ , p. 96 (ISSN 0753-4736). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Roger Joussaume, Palets et minches de Gargantua : MĂ©galithisme dans le Centre-Ouest de la France, Association des Publications Chauvinoises, , 388 p. (ISBN 979-1090534391), p. 192-212

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