TechnopĂ´le de Nancy-Brabois
Le Technopôle de Nancy-Brabois est un technopole situé sur les communes de Vandœuvre-lès-Nancy et de Villers-lès-Nancy au sud-ouest de Nancy. C'est l'un des premiers technopôles aménagés en France à la fin des années 1970 avec ceux de Sophia Antipolis près de Nice, de Villeneuve-d'Ascq près de Lille et d'Inovallée près de Grenoble.
| TechnopĂ´le de Nancy-Brabois | |||
 Une des entrées du technopôle de Brabois, côté hippodrome de Brabois | |||
| Administration | |||
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| Pays |  France
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| RĂ©gion | Lorraine | ||
| Ville | Vandœuvre-lès-Nancy | ||
| Fonctions urbaines | Entreprises, technopole | ||
| Étapes d’urbanisation | XXe siècle (années 1970) | ||
| GĂ©ographie | |||
| Coordonnées | 48° 39′ 19″ nord, 6° 08′ 02″ est | ||
| Altitude | Min. 395 m Max. 420 m |
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| Transport | |||
| Tramway | ligne 1 | ||
| Localisation | |||
| GĂ©olocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Histoire
L'idée du technopôle voit le jour en 1976-1977[1].
Caractéristiques
Le technopôle s'étend sur 576 hectares[2]. En 2020 il totalise 285 entreprises, 15 000 emplois, 17 000 étudiants et 2 500 chercheurs[3]. Un quart des salariés sont des cadres, et un quart des établissements ont des activités de recherche et développement[4]. En 2013 un peu plus de la moitié des emplois étaient des emplois publics, avec en particulier 4 700 emplois pour le CHU et 840 salariés pour l'Université de Lorraine[5].
Transports
Le parc technologique était jusqu'en [6] desservi par un tramway et par plusieurs lignes de bus du réseau Stan. La mise en service du nouveau tramway desservant la montée de Brabois est annoncée pour 2026[2].
Liste des écoles et universités
- Université de Lorraine
- Faculté de médecine
- École nationale supérieure d'agronomie et des industries alimentaires (ENSAIA)
- École nationale supérieure d'électricité et de mécanique (ENSEM)
- École nationale supérieure de géologie (ENSG)
- Un des bâtiments de la présidence de l'université de Lorraine
- École d'Ingénieurs CESI - Campus Enseignement Supérieur et de Formation Professionnelle[7]
- Laboratoires et instituts :
Entreprises
Les 285 entreprises du technopôle[8] (dont 60 nouvelles implantations depuis 2000) couvrent les domaines informatique, le génie biomédical, l'agrobioindustrie, l'environnement, l'architecture et les télécommunications.
Parmi les entreprises présentes sur le site figurent Alcatel, Compagnie des gaz et pétrole, Primagaz, Gestetner, Matra Nortel Communications, MGEN, Minolta, Pharmagest Interactive, Rhône-Poulenc, Schneider Electric, Télédiffusion de France, etc.
Elles se répartissent de la façon suivante : 55 % en informatique/électronique/télécommunications, 20 % médical et biotechnologies, 15 % recherche et 10 % conseil et transfert de technologies[9]
Notes et références
- Sadoul et Geindre 1990, p. 137.
- « Technopole Henri-Poincaré », sur grandnancy.eu, .
- Lamia Sahi, « Le technopôle : Un mode de coordination et de coopération au service des PME algériennes », dans Karim Kadir (dir.), Marème Niang Ndiaye (dir.) et Anaïs Trousselle (dir.), Les sentiers du développement, de l'art à la manière, Montpellier, Presses universitaires de la Méditerranée, coll. « Territoires en mutation », , 212 p. (ISBN 978-2-36781-258-8, DOI 10.4000/books.pulm.3771), p. 105 [lire en ligne].
- « Le technopôle de Nancy-Brabois », Lecture des paysages lorrains, Université ouverte des Humanités.
- https://www.agencescalen.fr/files/Aduan/Etudes/diag-technopolenancybrabois-Aduan.pdf p. 3
- Julien Bénéteau, « Après plusieurs incidents dans le tram, les usagers se demandent "si ça ne va pas casser" », .
- École d'Ingénieurs CESI - Campus Enseignement Supérieur et de Formation Professionnelle
- (en) « // getexpi // », sur eco-grandnancy.com (consulté le ).
- « Technopôle de Brabois », Atlas de l'agglomération nancéienne, Aduan, Communauté urbaine du Grand Nancy, 2002-2003, p. 70–72.
Voir aussi
Bibliographie
- Paul Sadoul et Lucien Geindre, « Le technopôle de Nancy Brabois », Le Pays lorrain, vol. 71, no 2,‎ , p. 137–140 (lire en ligne).