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Stefan MacGill

Études

De 1969 Ă  1975, Stefan MacGill a Ă©tudiĂ© principalement la gĂ©ographie Ă  l’universitĂ© Victoria de Wellington, Ă  l’universitĂ© de Canterbury et Ă  l’universitĂ© Massey (Ă  distance), toutes situĂ©es en Nouvelle-ZĂ©lande. En 1974, il reçoit un diplĂŽme pour enseigner en Ă©cole primaire[2].

Emploi pour l’espĂ©ranto

En 1976, Stefan MacGill devient volontaire au siĂšge social de l’association mondiale d'espĂ©ranto. De 1977 Ă  1986, il y travaille comme employĂ©, puis directeur de 1980 Ă  1984. Il est rĂ©dacteur puis coordinateur de l’Annuaire de l'Association mondiale d'espĂ©ranto (eo) de 1976 Ă  1986. De plus, il est rĂ©dacteur technique de la revue Kontakto, Ă©ditĂ©e par TEJO, l’organisation mondiale des jeunes espĂ©rantophones.

En 1986, il emmĂ©nage en Hongrie. Jusqu’en 1996, il rĂ©dige la revue Juna Amiko (eo) (« Jeune Ami ») pour la ligue internationale des enseignants d'espĂ©ranto (ILEI) et s’y adonne Ă©galement de 2000 Ă  2013, date Ă  laquelle laisse sa place au slovaque Stano Marček (eo)[2]. Depuis 1989, il Ă©crit professionnellement des aides pour les programmes informatiques. RetraitĂ© depuis 2012, il continue cependant son travail[2].

Postes en Espérantie

Stefan MacGill a co-fondĂ© l’association des jeunes espĂ©rantophones de Nouvelle-ZĂ©lande en 1964 et y participait activement jusqu’en 1972.

En 1977, il devient vice-prĂ©sident, puis de 1979 Ă  1980 le prĂ©sident de TEJO. Son projet principal en 1980 est la mise en place du premier sĂ©minaire pour l’organisation, pour lequel il a reçu une subvention du fonds europĂ©en pour la jeunesse (FEJ). Le sĂ©minaire a eu lieu au centre de FEJ Ă  Strasbourg, auquel ont participĂ© Claude Piron, Claude Gacond (eo) et Stefan MacGill lui-mĂȘme. L’interprĂšte du sĂ©minaire Ă©tait le belge Farjon de la Gatinerie. Depuis lors ont eu lieu plusieurs dizaines de sĂ©minaires ainsi soutenus de plusieurs centaines de milliers d’euros.

De 1989 Ă  1992, MacGill est vice-prĂ©sident de la Ligue internationale des enseignants d’espĂ©ranto (ILEI), puis en devient le prĂ©sident pour les pĂ©riodes 1992-1994 et 2009-2013[2]. En 1989, il travaille Ă  une refonte des examens communs de l’Association mondiale d’espĂ©ranto et ILEI et en est le secrĂ©taire de 1989 Ă  1995. En 1992, il est rĂ©dacteur de la rubrique « Junularo » du magazine Monato[3].

Le , Stefan MacGill est Ă©lu vice-prĂ©sident de l’association mondiale d'espĂ©ranto lors du conseil d’administration du 98e congrĂšs mondial d'espĂ©ranto, qui s’est tenu Ă  Reykjavik. Il est Ă  l’origine des sĂ©minaires AMO (eo) qui ont lieu partout Ă  travers le monde et dont l’objectif est d’aider les espĂ©rantophones les plus actifs Ă  ĂȘtre efficaces dans la prĂ©sentation et l’utilisation de l’espĂ©ranto au sein de l’EspĂ©rantie ou Ă  direction du grand public. Cette activitĂ© lui vaut d’ĂȘtre dĂ©clarĂ© espĂ©rantiste de l'annĂ©e en 2016.

Vie privée

Stefan MacGill a appris l’espĂ©ranto comme langue maternelle par son pĂšre David MacGill, lequel a poussĂ© sa mĂšre Ă  apprendre sa langue. Les enfants de Stefan, Karina (nĂ©e en 1990) et Hajnal (en 1992) sont aussi espĂ©rantophones de naissance. Il s’agit donc d’une famille composĂ©e de quatre gĂ©nĂ©rations d’espĂ©rantophones. La derniĂšre fille de Stefan, Sonja (nĂ©e en 2000), comprend la langue et la parle un peu[2].

Publications

  • Tendaraj tagoj (eo)
  • La laĆ­ta vekhorloĝo
  • Tridek roluloj
  • Streĉ' eĉ, Steĉj-skeĉ'!
  • Pordoj
  • Okulo
  • Nemave edifi (FEL, 2007)

Notes et références

(eo) Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de l’article de WikipĂ©dia en espĂ©ranto intitulĂ© « Stefan MacGill » (voir la liste des auteurs).
  1. (eo) La Juna Vivo, juillet-août 1949, p. 346.
  2. (eo) Internacia Pedagogia Revuo (eo), 2010, cahier 1, p. 6.
  3. Monato, « Enkonduko », Paul Peeraerts, janvier 1992, p. 3

Bibliographie

Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article : document utilisĂ© comme source pour la rĂ©daction de cet article.

  • (eo) Josip Pleadin, Ordeno de Verda Plumo : Leksikono pri Esperantlingvaj Verkistoj, Đurđevac, Grafokom, , 272 p. (ISBN 953-96975-5-7), p. 151
  • (eo) Carlo Minnaja et Giorgio Silfer, Historio de la esperanta literaturo, , 748 p. (ISBN 3-906595-21-8), p. 480
  • (eo) Halina Gorecka et Alexander Korzhenkov, Nia diligenta kolegaro, Sezonoj et association lituanienne d’espĂ©ranto, , 320 p. (ISBN 609-95087-6-7), p. 185-186. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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