Stéphane Piednoir

Professeur agrégé de mathématiques en 1994, il enseigne en classes préparatoires au lycée Henri Bergson à Angers[2].

Au Sénat, il s’investit particulièrement sur les questions relatives aux énergies décarbonées et aux moyens permettant de développer leur usage dans la vie quotidienne. En 2019, il est co-auteur du rapport parlementaire "Les scénarios technologiques permettant d’atteindre l’objectif d’un arrêt de la commercialisation des véhicules thermiques en 2040"[3] qui fait suite à la décision de Nicolas Hulot, alors Ministre de l'écologie, d'abandonner la vente de véhicules gazole et essence à l'horizon 2040[4].

En tant qu'enseignant, Stéphane Piednoir est également engagé sur les sujets qui touchent à l'éducation et l'enseignement.

Stéphane Piednoir, après la levée de son immunité par le Bureau du Sénat, ainsi que son épouse et son beau-père ont été placés en garde à vue le 7 décembre 2020 au Service régional de police judiciaire (SRPJ) d’Angers pour être entendus dans le cadre d’une enquête pour prise illégale d’intérêts[5]. L’enquête porte sur un permis de construire signé par Stéphane Piednoir en juin 2016, alors qu’il était encore maire de Montreuil-Juigné (2014-2018). L’élu avait signé lui-même ce permis concernant une maison neuve dont il était copropriétaire avec son épouse. Le 27 janvier 2017, il signait en outre un modificatif de permis de construire, au profit de la SCI dont son beau-père était le gérant, portant sur le changement de destination en Maison d’assistantes maternelles (MAM) au profit d'une MAM employant sa femme.

Le 7 avril 2021, il appelle au Sénat à "refuser la pratique des prières dans les couloirs de l'Université"[6].