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Shin-Yakushi-ji

Le Shin-Yakushi-ji (æ–°è–Źćž«ćŻș) est un temple bouddhiste de la secte Kegon situĂ© Ă  Nara au Japon. Il a Ă©tĂ© fondĂ© en 747 par l'impĂ©ratrice Kƍmyƍ. À l'origine, c'est un temple grand et complet comme le sont les Shichidƍ garan. Il subit des dommages causĂ©s par des incendies et s'est dĂ©tĂ©riorĂ© durant l'Ă©poque de Heian. Le temple a fait l'objet de travaux de restauration lors de l'Ă©poque de Kamakura. Du VIIIe siĂšcle ne reste que le hon-dƍ (æœŹć ‚). Tous les autres bĂątiments datent de l'Ă©poque de Kamakura.

Shin-Yakushi-ji
Nom originel
æ–°è–Źćž«ćŻș
Localisation
Localité
Takabatakechƍ (d)
Coordonnées
34° 40â€Č 33″ N, 135° 50â€Č 46″ E
Culte
Type
Religion
Ordre religieux
Dédié à
Histoire
Fondateur
Fondation
Patrimonialité
Trésor national (bùtiment principal)
Site web
Carte
Le hon-dƍ du Shin-Yakushi-ji

Le Shin-Yakushi-ji dispose de plusieurs biens culturels. Le hon-dƍ, la principale image de Yakushi Nyorai et onze statues des douze GĂ©nĂ©raux cĂ©lestes ont Ă©tĂ© classĂ©s TrĂ©sor national du Japon par le MinistĂšre de l'Ă©ducation, de la culture, des sports, des sciences et de la technologie[1] - [2].

Nom

Le 新 (shin, atarashi) du nom est habituellement traduit par « nouveau ». Dans le cas de Shin-Yakushi-ji cependant, la signification serait « miraculeux » (霊鹓, arataka na). Yakushi renvoie Ă  l'image principale de Yakushi Nyorai, le Bouddha guĂ©risseur. À part la vĂ©nĂ©ration de Yakushi Nyorai, il n'y a pas de lien avec le cĂ©lĂšbre Yakushi-ji, Ă©galement situĂ© Ă  Nara[2].

Histoire

Selon les archives du Tƍdai-ji, le Shin-Yakushi-ji est fondĂ© en mars 747 sous le nom Kƍyaku-ji (éŠ™è–ŹćŻș) par l'impĂ©ratrice Kƍmyƍ souhaitant la guĂ©rison de son mari, l'empereur Shƍmu, qui souffre d'une maladie des yeux. Elle fait construire un grand kon-dƍ de neuf baies et des statues des Sept Bouddhas de la guĂ©rison (äžƒä»è–Źćž«, shichibutsu yakushi) qui y sont vĂ©nĂ©rĂ©s. Ces statues sont supposĂ©es efficaces contre les mauvais esprits des personnalitĂ©s politiques mortes[3].

Avec le Yakushi Nyorai, les statues des serviteurs Nikkƍ Bosatsu et Gakkƍ Bosatsu et des groupes des douze GĂ©nĂ©raux cĂ©lestes sont vĂ©nĂ©rĂ©s dans le bĂątiment principal ou Kon-dƍ. Des pagodes sont Ă©rigĂ©es Ă  l'est et Ă  l'ouest du kon-dƍ. Dans ces temps reculĂ©s, plus de cent moines Ă©tudient au temple. Il y a des quartiers d'habitation pour eux et bien d'autres bĂątiments. C'est un temple Ă  sept bĂątiments, un shichidƍ garan couvrant prĂšs de 200 000 m2[4].

En 780, 33 ans aprĂšs la fondation, de nombreux bĂątiments sont dĂ©truits par un feu causĂ©e par la foudre. Lorsque le kon-dƍ est dĂ©truit au milieu de l'Ă©poque de Heian, un autre bĂątiment, l'actuel hon-dƍ devient le bĂątiment principal du temple. Cet Ă©difice aurait Ă©tĂ© le rĂ©fectoire (éŁŸć ‚ïœjiki-dƍ)[4]. Les douze GĂ©nĂ©raux cĂ©lestes entourant l'image principale de Yakushi Nyorai sont transfĂ©rĂ©s dans le bĂątiment en provenance du Iwabuchi-dera (ćČ©æ·”ćŻș) en ruines situĂ© non loin de Shin-Yakushi-ji au pied du mont Kasuga.

À l'Ă©poque de Kamakura, les prĂȘtres Jƍkei (èČžæ…¶) (nom posthume: Getatsu Shƍnin) et Myƍe restaurent le temple aprĂšs une pĂ©riode de dĂ©clin gĂ©nĂ©ralisĂ©. C'est Ă  peu prĂšs Ă  cette Ă©poque que sont construits les portes est et sud, le beffroi et le bĂątiment de Jizƍ.

Architecture

Hon-dƍ

Le bĂątiment principal, autrement dit le hon-dƍ (æœŹć ‚) du VIIe siĂšcle, c'est-Ă -dire de l'Ă©poque de Nara, est le plus ancien bĂątiment encore existant Ă  Shin-Yakushi-ji et un des plus anciens Ă©difices en bois au Japon[5]. Il n'a cependant pas Ă©tĂ© conçu comme bĂątiment principal du temple. Le kon-dƍ de l'Ă©poque de la construction diffĂšre de l'actuel bĂątiment principal en taille et par rapport Ă  sa situation dans l'enceinte du temple. Jusqu'au milieu de l'Ă©poque de Heian, les deux structures coexistent[6] et durant l'Ăšre Kengen (1302–1303), le hon-dƍ est entiĂšrement restaurĂ©[5].

Le bĂątiment comprend un grand toit Ă  croupe et Ă  pignon de style « irimoya-zukuri » et des murs peints en blanc. À l'intĂ©rieur, d'Ă©pais piliers placĂ©s sur le sol en terre battue portent le toit. Le plafond ouvert, qui Ă©tait peint en rouge, laisse voir les poutres et les chevrons de revĂȘtement. Il y a un vitrail dans le paroi est du bĂątiment. Le hon-dƍ, classĂ© TrĂ©sor national du Japon, abrite l'image principale de Yakushi Nyorai entourĂ© par un groupe de douze GĂ©nĂ©raux cĂ©lestes[2] - [3].

Porte sud

Porte sud

La porte sud (捗門, nanmon), bien culturel important, est le plus ancien exemple existant de porte Ă  quatre jambes (ć››è„šé–€, shikyakumon). Elle a Ă©tĂ© construite durant l'Ă©poque de Kamakura Ă  la fin du XIIe siĂšcle ou au dĂ©but du XIIIe siĂšcle. Les portes de ce style apparaissent uniquement dans les temples de haut rang ou les palais impĂ©riaux, ce qui indique quel Ă©tait le statut antĂ©rieur de Shin-Yakushi-ji. Les quatre piliers de la porte possĂšdent de trĂšs larges bords chanfreinĂ©s et sont placĂ©s sur une plate-forme de roches non taillĂ©es[2] - [3].

Porte est

Les parties supĂ©rieures des principaux piliers du porte est (東門, tƍmon) sont divisĂ©es en deux, soutenues par des entretoises de solides planches (æżèŸ‡è‚Ą, itakaerumata)[3]. Ces dĂ©tails de construction inhabituels font remonter la date de construction au dĂ©but de l'Ă©poque de Kamakura. La porte est classĂ©e bien culturel important[2].

Jizƍ

Jizƍ Hall

Le bĂątiment de Jizƍ (ćœ°è””ć ‚, jizƍ-dƍ), bien culturel important, tient son nom de l'image de la divinitĂ© Jizƍ qui aurait Ă©tĂ© vĂ©nĂ©rĂ©e dans le bĂątiment. C'est une petite construction 3,05 Ă— 3,05 m du style japonais (ć’Œæ§˜, wayƍ) qui date de l'Ă©poque de Kamakura. Une image de la dĂ©esse de la misĂ©ricorde aux onze visages y est actuellement vĂ©nĂ©rĂ©e[2] - [3].

Shƍrƍ

Construit en 1279, le 鐘愌 (shƍrƍ), classĂ© bien culturel important, est un autre bĂątiment dont la construction remonte Ă  l'Ă©poque de Kamakura. Le bĂątiment comporte une partie infĂ©rieure comparable Ă  une jupe Ă©vasĂ©e, Ă©galement connue sous le nom de style (èąŽè…°, hakamagoshi), devenu populaire Ă  la fin de l'Ă©poque de Heian et ultĂ©rieurement[3].

La cloche, un bien culturel important, serait la cloche suspendue du beffroi (釣鐘栂, tsuriganedƍ) de Gangƍ-ji et date de l'Ă©poque de Nara. Elle est cĂ©lĂšbre par l'histoire d'un ogre racontĂ©e dans le Nihon Ryƍiki[2]. Durant la pĂ©riode Asuka selon cette lĂ©gende, un oni qui vivait dans le beffroi de Gangƍ-ji tourmentait les gens. Le oni, connu sous les noms ć…ƒèˆˆćŻș (Gagoze, Gagoji, Guwagoze) ou oni de Gangƍ-ji (ć…ƒèˆˆćŻșăźéŹŒ, gangƍ-ji no oni), Ă©tait l'esprit d'un infĂąme serviteur du temple. Un jour, un enfant Ă  la force surhumaine qui avait rejoint le temple, dĂ©cide de tuer l'ogre et se tient Ă  l'affĂ»t dans le clocher. À l'aube, le oni apparaĂźt; l'enfant le saisit par les cheveux et le traĂźne autour de lui. À l'aube, le oni a perdu tous ses cheveux et prend la fuite.

L'enfant lui court aprĂšs mais le perd Ă  un carrefour. Plus tard, l'enfant surhumain entre dans la prĂȘtrise et devient le moine Dƍjƍ (é“ć Žæł•ćž«, Dƍjƍ hƍshi). AprĂšs que le beffroi de Gangƍ-ji a Ă©tĂ© incendiĂ©, la cloche se transforme et devient le temple Shin-Yakushi-ji. Les cicatrices sur la cloche sont supposĂ©es ĂȘtre les marques d'ongles du oni. La zone autour de l'intersection oĂč le oni a semĂ© son poursuivant a Ă©tĂ© nommĂ©eäžćŻ©ă‚±èŸ»ç”ș (fushin ga tsujichƍ) et l'endroit oĂč il s'est cachĂ© le mont Kion (éŹŒéš ć±±, kionzan), littĂ©ralement : « montagne de la cachette du oni"" »[2].

Trésors

Yakushi Nyorai

Yakushi Nyorai entouré par les douze généraux divins

Le Yakushi Nyorai assis de 191,5 cm, Ă©poque de Heian, est la principale image de Shin-Yakushi-ji. Il est posĂ© sur une immense plate forme circulaire (dais) (m de diamĂštre, 90 cm de haut) qui remplit presque entiĂšrement le hon-dƍ[7]. Avec six petites images de Bouddha (ćŒ–ä», kebutsu) sur son halo, la statue principale forme un groupe de sept Bouddhas guĂ©risseurs (äžƒä»è–Źćž«, shichibutsu yakushi). Yakushi Nyorai est protĂ©gĂ© par les douze GĂ©nĂ©raux cĂ©lestes agencĂ©s de façon circulaire autour de la face orientĂ©e vers l'extĂ©rieur.

L'image actuelle ne fait probablement pas partie de celles qui avaient Ă©tĂ© installĂ©es dans le hon-dƍ original et ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es avec la technique de la laque creuse sĂšche (脱掻äčŸæŒ†é€ , dakkatsu kanshitsu zukuri). Il existe cependant des thĂ©ories contradictoires relativement Ă  l'origine de la statue actuelle. Elle aurait pu ĂȘtre sculptĂ©e en 793 Ă  l'occasion de la reconstruction du temple aprĂšs un incendie[8]. Elle est en gĂ©nĂ©ral considĂ©rĂ©e comme une Ɠuvre de la fin du VIIIe siĂšcle et un exemple reprĂ©sentatif des sculptures en bois du dĂ©but de l'Ă©poque de Heian. Elle est faite du bois d'un seul cyprĂšs du Japon et ni peinture ni vernis n'ont Ă©tĂ© appliquĂ©s sur le bois Ă  l'exception d'un peu de couleur pour indiquer les caractĂ©ristiques faciales. Des lĂšvres proĂ©minentes, des boucles bien dĂ©finies et un gros nez sont bien marquĂ©s. Les sourcils peints en noir sont Ă©troites et fins. Son bras droit est levĂ© montrant la mudra de l'absence de crainte (abhaya-Mudrā), tandis que son bras gauche repose sur sa jambe avec la paume de sa main tournĂ©e et tenant un pot de mĂ©decine.

Au cours d'une inspection en 1975, huit rouleaux du sƫtra du Lotus du début de l'époque de Heian ont été découverts à l'intérieur du corps de la sculpture. Ils ont été classés trésor national du Japon[2] - [3] - [6].

Douze Généraux célestes

Antera

Le groupe debout Ă  peu prĂšs de grandeur nature des douze GĂ©nĂ©raux cĂ©lestes de l'Ă©poque de Nara (729 Ă  749) est le plus ancien encore existant au Japon. Il est fait d'argile non cuite et colorĂ© Ă  l'origine. La peau est de couleur saumon. Les barbes ont Ă©tĂ© dessinĂ©s Ă  l'encre, les vĂȘtements et des armures peintes de couleurs vives et une feuille d'or appliquĂ©e Ă  certains endroits. Il ne reste pas grand-chose des dĂ©corations d'origine. La statue de Haira a Ă©tĂ© endommagĂ©e lors d'un tremblement de terre Ă  la fin de l'Ă©poque d'Edo d' et remplacĂ©e par une statue en bois en 1931[6]. En tant que divinitĂ©s protectrices de Yakushi, les douze gĂ©nĂ©raux sont placĂ©s dans un cercle autour de l'image principale de Yakushi Nyorai. Onze des douze statues ont Ă©tĂ© classĂ©es « TrĂ©sor national Â». L'image de Haira, qui date du XXe siĂšcle, n'a pas Ă©tĂ© intĂ©grĂ©e dans la nomination. Il y a deux applications diffĂ©rentes de noms aux statues individuelles en place. Dans le paragraphe qui suit, le premier nom est celui utilisĂ© par le temple. Le deuxiĂšme nom, entre parenthĂšses, est celui attribuĂ© dans la nomination au statut de TrĂ©sor national.

Meikira

Les douze statues dans l'ordre inverse des aiguilles d'une montre Ă  partir de l'avant et Ă  droite (sud-est) sont :

  • Bazara (Meikira) : 162,9 cm, avec les cheveux dressĂ©s sur la tĂȘte et la bouche ouverte comme s'il criait. Il tient une Ă©pĂ©e dans sa main droite.
  • Anira (Anira) : 154,2 cm, coiffĂ© d'un casque et tenant une flĂšche Ă  deux mains. Il observe l'encoche de la flĂšche. Dans l'ensemble, il paraĂźt avoir quelque embonpoint par rapport Ă  d'autres statues comme celle de Meikira.
  • Haira (Kubira) : 159,5 cm. La statue d'argile d'origine a Ă©tĂ© endommagĂ©e lors d'un tremblement de terre Ă  la fin de l'Ă©poque d'Edo. La statue actuelle est en bois et remonte Ă  1931. Ce n'est pas un TrĂ©sor national. Haira est reprĂ©sentĂ© coiffĂ© d'un casque, tenant un arc et des flĂšches.
  • Bigyara (Bigyara) : 162,1 cm, brandit un pilon avec trois fourches Ă  chaque extrĂ©mitĂ© (䞉鈷杔, sankosho), un type de vajra, dans son bras droit levĂ©. Sa main gauche repose sur sa taille. On discerne un peu de couleur sur le dos de son armure.
  • Makora (Makora) : 170,1 cm, porte une hache dans sa main droite. Sa main gauche repose sur sa taille. Le hakama tombe au-dessous des genoux, couvrant l'armure de son tibia. La zone autour de son cou est recouverte d'un tissu.
  • Kubira (Shƍtora) : 165,1 cm, a son coude droit levĂ© Ă  hauteur d'Ă©paule et porte une Ă©pĂ©e dans sa main droite. La pointe de l'Ă©pĂ©e est dirigĂ©e vers sa main gauche dont le poing est fermĂ©. Les restes d'une motif floral se trouvent sur le vĂȘtement semblable Ă  une jupe (èŁ™, kun), et le fond d'or sur l'armure prĂ©sente un motif de petites plaques.
  • Shƍtora (Santera) : 167,6 cm, sa main droite avec les doigts Ă©cartĂ©s reposant sur sa taille et une Ă©pĂ©e dans sa main gauche pointĂ©e vers le bas. Ses cheveux dĂ©faits sont nouĂ©s en chignon. Un de ses yeux est bleu foncĂ©, l'autre brun foncĂ©.
  • Shintara (Shintara) : 165,5 cm, tient un joyau sacrĂ© dans sa main droite et un bĂąton dans sa main gauche. Il est debout sur un dais en forme de banc de sable (æŽČ攜ćș§, suhamaza). L'armure du tibia comporte un modĂšle de flamme peinte avec de l'encre sur fond d'or.
  • Santera (Antera) : 161,8 cm, est appuyĂ© sur un trident avec son bras droit. Sa tĂȘte est lĂ©gĂšrement tournĂ©e vers la gauche et sa main gauche repose sur sa taille. Il y a une 獅晛 (shigami) parure d'un lion mordant sur son armure d'Ă©paule. La posture est semblable Ă  celle d'Indara.
  • Meikira (Indara) : 159,5 cm, avec sa main droite posĂ©e sur sa taille et le bras gauche levĂ© haut avec la paume tournĂ©e vers l'extĂ©rieur. Sa jambe gauche est repliĂ©e. Il est debout sur un dais en forme de banc de sable (æŽČ攜ćș§, suhamaza).
  • Antera (Bazara) : 153,6 cm,porte un casque avec de petits panneaux incurvĂ©s sur les cĂŽtĂ©s gauche et droit de la jante. Il porte une tapette Ă  mouche (hossu) dans les deux mains en avant de son Ă©paule gauche. Son expression faciale est paisible.
  • Indara (Haira) : 155,2 cm, porte un casque Ă  deux panneaux incurvĂ©s sur les cĂŽtĂ©s gauche et droit de la jante avec une visiĂšre. Il porte un trident dans sa main droite tandis que la main gauche repose sur sa taille. La posture est semblable Ă  celle de Santera[2] - [6].

Divers

Bazara (Meikira), du groupe des douze Généraux célestes, a été représenté sur un timbre-poste de 500 „. Dans le cadre d'une collaboration entre Shin-Yakushi-ji et le département de Bouddhisme à l'université Minobusan, le groupe entier des douze Généraux célestes a été scanné en trois dimensions en 2001 et 2002[7].

Articles connexes

Notes et références

  1. (ja) Agence pour les Affaires culturelles, « ć›œæŒ‡ćźšæ–‡ćŒ–èČĄ ăƒ‡ăƒŒă‚żăƒ™ăƒŒă‚č (database of National Cultural Properties) »,‎ (consultĂ© le )
  2. (ja) « Shin-Yakushi-ji » (consulté le )
  3. Mary Neighbour Parent (Japanese Architectural and Art Historical Terminology), JAANUS – Japanese Architecture and Art Net Users System, online, (lire en ligne)
  4. (ja) « æ–°è–Źćž«ćŻș », sur eonet.ne.jp (sur Internet Archive).
  5. Garret Chatfield Pier, Temple treasures of Japan, New York, F.F. Sherman, (lire en ligne)
  6. (ja) ä»ćƒ, 1-19-13 Akasaka Minato-ku Tokyo Japan, YAMA-KEI, coll. « ć±±æșȘă‚«ăƒ©ăƒŒćé‘‘ »,‎ , 2e Ă©d. (ISBN 978-4-635-09031-5)
  7. (ja) « ăƒă‚¶ăƒ© (捁äșŒç„žć°†) | CAD CENTER », sur cadcenter.co.jp (sur Internet Archive).
  8. « Five Masterwork Statues of Yakushi Nyorai in Japan »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?), Icon Journal of the National Museum Institute (consultĂ© le )
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