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Satrapie de GĂ©drosie

La satrapie de Gédrosie, région aussi connue sous le nom de Makran, est une province des empires achéménide et macédonien, située dans un désert sablonneux et aride entre l’Iran et le Pakistan actuels.

Satrapie de GĂ©drosie
Description de cette image, également commentée ci-après
La Gédrosie apparaît en rose sur cette carte de la campagne d'Alexandre le Grand.
Informations générales
Statut Satrapie
Capitale

Pura sous l'empire archéménide

Rambacia sous le royaume macédonien
Empire achéménide

GĂ©ographie

Les limites connues de la Gédrosie, en tant que satrapie sous l’empire macédonien, sont les monts Becius au nord[1], appelé de nos jours les monts Chagain[2]; à l'est la vallée de Purali traversée par la rivière Arabis (aujourd’hui connue sous le nom de la rivière de Purali)[3]; la mer d'Oman au sud (mer d'Arabie)[2], que l’on peut retrouver sous la dénomination de mer d’Erythrée[1]; enfin, à l'ouest, le plateau du Balouchistan[4].

La satrapie de Gédrosie est entourée de la satrapie de Carmanie à l’ouest, de la Drangiane au nord-ouest, de l’Arachosie au nord, et à l’est de la satrapie du Sindh[5].

Topographie

Topographie de la partie est de la satrapie de Gédrosie (entourée en rouge). Carte du Pakistan actuel.

La Gédrosie est une zone montagneuse et désertique, située au sud-est de l’Iran et au sud-ouest du Pakistan. Cette zone correspond approximativement au Baloutchistan et Makran actuels, une région partagée entre l’Iran et l’Afghanistan. La Gédrosie peut en outre être assimilée à la satrapie achéménide du Makran.

Trois principaux cours d’eau la traverse : le Dasht, le Tomerus ou Hingol[3] et l’Arabis[1] ou Purali[3]

Climat et végétation

La Gédrosie est caractérisée par un climat aride et une géographie vallonnée due à la présence de plusieurs chaînes de montagnes. Strabon qualifie la région de sablonneuse et aride[6].

La région est particulièrement sèche en hiver[7]. La saison des pluies est en été, remplissant ou entraînant la crue des fleuves et des cours d’eau[7]. Les précipitations ne dépassent pas les 150mm annuels et peuvent être inexistantes pendant plusieurs années consécutives[8].

La vĂ©gĂ©tation connue de la rĂ©gion en tant que satrapie sont les palmiers, l’acanthe, la myrice[6], des arbres que Strabon compare au laurier qui produisent un poison (que les Orites utilisent pour frotter leurs flèches), des plantes Ă©pineuses aux fruits couchĂ©s par terre : 

« Certaine plante rampante, certaine épine, avec des fruits couchés semblables à des concombres, et pleine d'un suc si âcre que quelques gouttes tombant dans l'oeil soit d'un homme, soit d'un animal, suffisaient à le rendre aveugle » - Strabon, livre 15, 2, 7[9].

Cités de Gédrosie

La cĂ´te et ses villages, Ă  l'Ă©poque d'Alexandre III, sont connus grâce au rĂ©cit de l’expĂ©dition de NĂ©arque d’Arrien. Arrien mentionne: Malana (le point de dĂ©part de l’expĂ©dition), Bagisara - Pasira (village), Colta, Calama (village) , Carbis (rivage) et Cysa (ou Cuiza) (village), Mosarna (port), Balomus (rivage) Barna (village), Dendrobosa, Cophanta ou Cophas (port), Ciza, Talmena (port), Canasida (ville), Canate, Traesus (ou Troesi), Dagasira[10] - [11] - [12].  Les villes principales de l’intĂ©rieur de la satrapie sont Rambacia dans « le pays des Orites », et Pourra (Pura). Rambacia est la capitale des Orites, elle est Ă©galement nommĂ©e dans les sources Ora[13]. Elle possède un port Ă  quelques kilomètres de la ville, elle ne se situe donc pas loin de la cĂ´te (Arrien)[14]. Pura est, elle, la capitale des GĂ©drosiens.  Pura est plus Ă  l’est, Ă  la frontière avec la Carmani ; elle Ă©tait une rĂ©sidence royale sous l’empire archĂ©mĂ©nide.

Deux cités sont fondées en 325 lors de la conquête de la satrapie d'Alexandre III par Léonnatos: Alexandrie de Makramène, Alexandrie des Orites dans le Makran[15].

Ethnographie

L’espace correspondant à la satrapie de Gédrosie a été peuplé à partir du Ve millénaire dans la région de Miri Qalat. Ce peuplement est connu grâce aux recherches archéologiques dans le Makran pakistanais effectuées par Roland Besenval[8]. Les peuples connus de cette région à l’époque d’Alexandre III sont les Gédrosiens, les Orites[16] - [17], les Arabites[17] et les Icthyophages[17] (« mangeur de poissons »). Les Arabites vivent dans la partie la plus à l’est de la satrapie, sur l'aval de l’Indus ; les Orites les avoisinent à l’ouest ; les Icthyophages vivent au bord des côtes, au sud de la province ; tandis que les Gédrosiens se situent dans les terres au centre de la satrapie[18].

Plutarque évoque leur régime de vie, qui dû à la géographie aride, serait difficile[19]. Il mentionne deux sources d’alimentation : des moutons et du poisson[19], séchés au soleil[20]. Les Gédrosiens se nourrissent grâce à leur culture des vallées irriguées[15]. À l’approche des côtes, Arrien décrit un type d’habitat présent dans cette zone, des « cabanes, formées de la dépouille de crustacés et de squelettes de poissons », dont Quinte-Curce fait une mention assez similaire « ils construisent leurs cabanes avec des coquillages et d’autres rebuts de la mer »[20]. Il décrit également leur style vestimentaire : des peaux de bêtes[20]. Ces descriptions n'ont pas été généralisées à l'ensemble de la satrapie de Gédrosie.

Histoire

Sous l'empire achéménide

La Gédrosie a été une satrapie de l'empire perse achéménide, avec pour capitale Pura (« la Ville » en sanskrit).

Lors de ses campagnes vers l’est au VIe siècle av. J.-C., Cyrus le Grand (-) aurait occupé la Gédrosie[21], ce qui l’aurait mis en contact avec les Aryens de l’Inde. Il ne semble pas que Cyrus ait fait de la Gédrosie une unité administrative à proprement parler.

La GĂ©drosie semble avoir Ă©tĂ© annexĂ©e en tant que satrapie dite « orientale » par Darius Ier [22](-). La GĂ©drosie Ă©tait une satrapie relativement indĂ©pendante dĂ» Ă  son Ă©loignement gĂ©ographique. NĂ©anmoins, les princes locaux et rajahs, souvent dotĂ©s de puissantes armĂ©es, Ă©taient tenus de fournir des contingents de soldats Ă  l’armĂ©e Perse et de payer un impĂ´t destinĂ© Ă  alimenter le trĂ©sor des rois perses. 

La conquête et la traversée du désert de Gédrosie par Alexandre le Grand

Carte représentant les satrapies du royaume d'Alexandre III

Au printemps , Alexandre se dirige avec son armée vers l’Inde (la plaine de l’Indus et non l’Inde actuelle) et franchit l’Indus. Les souverains locaux lui prêtent allégeance, mais à partir de juillet il doit faire face à la résistance du roi indien Pôrôs dont les éléphants font subir des pertes importantes à l'armée macédonienne lors de la bataille de l'Hydaspe. Alexandre obtient l’allégeance de Pôrôs en échange de sa survie et d'un élargissement du territoire sous sa domination[23].

À la suite de ce succès, Alexandre souhaite continuer la marche vers l’est. Mais son armée exténuée par les campagnes militaires ininterrompues depuis dix ans refuse de traverser le fleuve Hyphase et souhaite retourner en Macédoine. Après trois jours de négociations Alexandre doit céder et l'armée fait demi-tour[24].

L'armĂ©e macĂ©donienne est sĂ©parĂ©e en trois contingents en . Le premier, dirigĂ© par NĂ©arque, embarque sur une flotte d'une centaine de navires pour ouvrir une route maritime entre l'Indus et l'Euphrate. Le deuxième, menĂ© par Cratère, a pour fonction principale de rapatrier les vĂ©tĂ©rans et les Ă©lĂ©phants au cĹ“ur de l'Empire en passant par la Drangiane et de retrouver Alexandre en Carmanie. Le dernier, dirigĂ© par Alexandre, et fort d'entre 12 000 et 30 000 hommes, emprunte le dĂ©sert de GĂ©drosie, rĂ©gion encore inexplorĂ©e par son armĂ©e, afin de rejoindre PersĂ©polis[25].

L’armée dirigée par Alexandre part de la plaine de Las Bela au mois d’octobre 325. Après avoir défait les Oritiens, qui rendent les armes sans combattre, elle rejoint l’axe oriental de la dépression de Kolwa pour rejoindre l’axe de circulation est-ouest et ainsi s’éloigner de la plaine côtière aride. La traversée se poursuit jusqu’à Hoshab, puis l'armée emprunte la vallée du Kesh et du Nihing, avant de redescendre ensuite sur la côte pour arriver à Pasni et ravitailler la flotte. Selon Arrien, Alexandre décide ensuite de suivre la côte pendant une semaine. Ce choix étant peu stratégique, l'on peut conjecturer qu’Alexandre ait souhaité punir l’armée à la suite de sa rébellion sur les bords de l'Hyphase, ou bien même que ce passage de sept jours est une invention au vu du caractère accidenté et aride de la côte, qui ne permet guère le passage d’une armée. Quoi qu’il en soit, Alexandre et son armée rentrent à l’intérieur des terres et suivent la vallée de la Sarbaz, pour enfin arriver à Iranshahr (Pura), après soixante jours et plus de 1000 km de marche[8].

La traversĂ©e de la GĂ©drosie est une Ă©tape difficile et les pertes sont nombreuses. Les estimations chiffrent entre 6 000 et 12 000 le nombre de soldats perdus. Pour Arrien, ce chiffre reste infĂ©rieur aux pertes de Cyrus lors de sa propre traversĂ©e du dĂ©sert, puisqu'il aurait lui perdu les 7/8e de son armĂ©e[25]. Les animaux de trait sont utilisĂ©s comme nourriture et Arrien relate mĂŞme que certains soldats ont eu recours au cannibalisme. De plus, le passage de l'armĂ©e d'Alexandre a probablement eu un impact durable sur l'Ă©quilibre Ă©conomique et Ă©cologique d'une rĂ©gion dĂ©jĂ  vulnĂ©rable. On peut supposer une diminution considĂ©rable des rĂ©serves d'eau et de bĂ©tail[8].

Administration de la satrapie sous le gouvernement d'Alexandre le Grand

Alexandre III soumet une première fois les Orites et les Gédrosiens (qui vont être réunis dans la même satrapie), il donne alors pour mission de repeupler la ville de Rambacia à Hephaestion chargé d’implanter une colonie grecque[16]. Alexandre, y laisse également des vivres sous la garde de Léonnatos. Cependant alors qu’Alexandre s’engage dans le désert du centre de la Gédrosie, les Gédrosiens aident les Orites à se soulever, obligeant Léonnatos à se battre pour ravitailler la flotte[15]. Léonnatos fonde Alexandrie des Orites et Alexandrie de Makramène, dans le Makran[15]

Après avoir conquis la rĂ©gion de GĂ©drosie, Ă  la suite de la reddition des troupes oritiennes et gĂ©drosiennes, après une dĂ©libĂ©ration de groupe, face Ă  l’armĂ©e du roi macĂ©donien[26], Alexandre choisit des satrapes macĂ©doniens pour la gouverner et l’administrer. Le premier satrape est Appolophane[27], avant d’être remplacĂ© par Thoas[25] puis Sibyrtios[25]. En mĂŞme temps que la dĂ©lĂ©gation du gouvernement de la satrapie Ă  Appolophane, Alexandre commande Ă©galement Ă  LĂ©onnatos de rester dans la rĂ©gion commandant tous les Agriens, des archers, avec des chevaux et des « Grecs stipendiaires de toutes armes »[27]. Ces Ă©lĂ©ments sont pour Arrien un moyen de repeupler, d’administrer d’accoutumer le peuple au nouveau gouvernement[27]. Appolophane est destituĂ© pour ne pas avoir exĂ©cutĂ© les ordres d’Alexandre[27], selon Arrien lui-mĂŞme cependant, il serait mort lors d’un soulèvement, des peuples de l’est, entre la rivière Hab et Hingol, les Sauvirans, en 325-324[28]. LĂ©onnatos après avoir subi de lourdes pertes contre eux et avoir fui Rambacia, prend le commandement de son propre chef de la satrapie, remet le pouvoir macĂ©donien en place. Il envoie un rapport Ă  Alexandre qui ne le reçoit que quand il arrive Ă  Pura. Il nomme alors Thoas qui avait participĂ© Ă  l’expĂ©dition dans le dĂ©sert, Arrien l’évoque, comme ayant Ă©tĂ© dĂ©tachĂ© de l’armĂ©e pour aller repĂ©rer les rivages et y faire une prospection des richesses. Thoas meurt de maladie[29], lui succède Sibyrtios, ancien satrape de Carmanie, devenu alors satrape de GĂ©drosie et d’Arachosie[30], le satrape d’Arachosie Ă©tant mort Ă  la suite d'une sĂ©dition[31]. Sibyrtios se voit confirmer comme satrape lors des accords de Babylone en , nĂ©gociĂ©s entre les diadoques (successeurs d'Alexandre) après la mort d'Alexandre la mĂŞme annĂ©e, et de Triparadisos en 321. 

Administration de la satrapie sous les diadoques

A la suite de nouveaux conflits qui Ă©clatent entre les diadoques, une paix est signĂ©e en 311, Sibyrtios garde le titre de satrape d'Arachosie et de GĂ©drosie. Elle rĂ©tablie le statu quo d’avant les conflits. Antigone est de nouveau nommĂ© stratège d’Asie. Son territoire s'Ă©tend donc thĂ©oriquement jusqu'aux satrapies lointaines, dont la GĂ©drosie. SĂ©leucos ne participe pas Ă  cette paix et s’emploie Ă  reconquĂ©rir la Babylonie, tâche, semble-t-il, aisĂ©ment remplie. Par la suite, il se lance cependant dans la conquĂŞte des satrapies « supĂ©rieures » (satrapies iraniennes), territoires appartenant Ă  Antigone. Celui-ci dĂ©cide de se dĂ©barrasser de SĂ©leucos mais Ă©choue. Les sources ne nous permettent pas d’établir la date, le lieu et les conditions prĂ©cises de la dĂ©faite d’Antigone, mais il semblerait qu’il soit vaincu vers 309/308[32]. Certains historiens, comme Edouard Will, Ă©mettent l’hypothèse qu’un traitĂ© fut signĂ© entre les deux diadoques[32] car Ă  la suite de la dĂ©faite d’Antigone, SĂ©leucos se tourne vers l’ouest de l’Asie afin de s'occuper des affaires indiennes, tandis qu’Antigone règle ses affaires occidentales. Les deux ne semblent donc pas craindre une attaque de l'autre.

SĂ©leucos devient maĂ®tre de l’Asie orientale dont fait partie la satrapie de GĂ©drosie. Il se retrouve confrontĂ© Ă  deux problèmes dĂ©jĂ  rencontrĂ©s durant l’Anabase. Il doit en effet gĂ©rer l’administration de ces satrapies lointaines ainsi que leur dĂ©fense, tout en gĂ©rant la cohabitation des « anciens maĂ®tres de l’Iran et des nouveaux »[33]. Il doit notamment faire faire face au roi Chandragupta sur ses frontières orientales (appelĂ© Sandrakottos pour les Grecs[33]). Il est le fondateur de la dynastie indienne des Mauryas. SĂ©leucos se dĂ©tourne cependant de ce conflit car d’autres affaires l’appellent en MĂ©diterranĂ©e. En effet, Cassandre, en conflit avec Antigone, forme une coalition Ă  laquelle se joignent Lysimaque, PtolĂ©mĂ©e Ier et SĂ©leucos, qui met de cĂ´tĂ© les affaires indiennes. Pour ce fait, il abandonne Ă  Chandragupta des territoires. L’exacte superficie des territoires cĂ©dĂ©s n’est pas prĂ©cisĂ©ment connue[33]. Les satrapies de Paropamisades, d'Arachosie et de GĂ©drosie seraient cĂ©dĂ©es. Cependant, selon l’opinion dominante chez les historiens, seules les parties occidentales de ces satrapies sont en rĂ©alitĂ© rĂ©cupĂ©rĂ©es par le roi maurya[33]. Cela correspond donc au Gandhara ainsi qu’aux parties orientales de l’Arachosie et de la GĂ©drosie, c’est-Ă -dire avant tout des rĂ©gions montagneuses et semi-dĂ©sertiques. 

Tableau des satrapes de GĂ©drosie

Satrapes Durée de la fonction Remarques
Apollphane 325-324 Il meurt en tant que satrape en combattant un soulèvement des Sauvirans[28].
Thoas 324 Il meurt de maladie en 324[29].
Sibyrtios 324-303 Il reste à la tête de la satrapie jusqu'à ce que Séleucos cède à Chandragupta Maurya, fondateur de l'Empire maurya, les territoires de Gédrosie.

Annexe

Notes et références

  1. Emile Lefranc, Abrégé de géographie ancienne comparée, Bruxelles, Société nationale pour la propagation des bons livres, (lire en ligne), p. 48
  2. Éditions Larousse, « Encyclopédie Larousse en ligne - Pakistan », sur www.larousse.fr (consulté le )
  3. « Carte "Greek retreat from India" »
  4. Éditions Larousse, « Encyclopédie Larousse en ligne - Iran », sur www.larousse.fr (consulté le )
  5. Edouart Will, Le monde grec et l'orient, Paris, Presses universitaires de France, , p. 298
  6. Strabon, GĂ©ographie de Strabon, Paris, Imprimerie royale, (lire en ligne), p. 261
  7. Strabon traduit par Letronne, GĂ©ographie de Strabon, livre 15, Paris, Imprimerie royale, (lire en ligne), p. 97
  8. Roland Besenval, « Le peuplement de l'ancienne Gédrosie, de la protohistoire à la période islamique : travaux archéologiques récents dans le Makran pakistanais », Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, no 138,‎ , p. 513-535 (lire en ligne)
  9. « Strabon : GéographIe (livre ΧV, bilingue) », sur remacle.org (consulté le )
  10. P. J. F. Gosselin, Recherches sur la géographie systématique et positive des anciens : pour l’histoire de la géograohie ancienne, Paris, Imprimerie impériale, (lire en ligne), p. 143
  11. « Atlas universel d’histoire et géographie/Empire d'Alexandre - Wikisource », sur fr.m.wikisource.org (consulté le )
  12. Vincent William (trad. Jean-Baptiste-Louis-Joseph Billecocq), Voyage de NĂ©arque, des boucles de l'Indus jusqu'Ă  l'Euphrate, Paris, Imprimerie de la RĂ©publique,
    dans cette source les lieux commençant par un « c » prennent un « k »
  13. (en) P. H. L. Eggermont, Alexander's Campaigns in Sind and Baluchistan and the Siege of the Brahmin Town oh Harmatelia, Leuven University Press, (lire en ligne), p. 99
  14. William Mitford, The history of Greece, Volume 8, Londres, (lire en ligne), p. 265-266-267-301
  15. Edouard Will, Le monde Grec et l’Orient, Paris, Presses universitaires de France, , p. 299
  16. Arrien, Anabase, 6.
  17. Ainé Bescherelle, Grand dictionnaire de géographie universelle ancienne et moderne, Paris, (lire en ligne), p. 534
  18. Edouard Will, Le monde Grec et l'Orient, cartes « La conquête des Satrapies supérieurs » et « la conquête de l’inde », Paris, Presses universitaires de France, , p. 280 et 293
  19. Plutarque, Vie d'Alexandre, 66.6
  20. Quinte Curce, 9,10 (lire en ligne)
  21. Alfred Foucher, « Les satrapies orientales de l'empire achéménide », Comptes-rendus des séances de l année - Académie des inscriptions et belles-lettres, vol. 82, no 4,‎ , p. 336–352 (DOI 10.3406/crai.1938.85930, lire en ligne, consulté le )
  22. Annette Flobert, « Expédition d'Alexandre: la fin du rêve (Quinte-Curce, Histoire d'Alexandre, VIII-X) », Vita Latina, vol. 179, no 1,‎ (lire en ligne, consulté le )
  23. Arrien, Anabase, 5, 2-3
  24. Arrien, Anabase, 5, 6
  25. Arrien, Anabase, 6, 7
  26. Arrien, Anabase, 4, 21-5, 22-3
  27. Arrien, Anabase, 6,6
  28. (en) P. H. L. Eggermont, Alexander's Campaigns in Sind and Baluchistan and the Siege of the Brahmin Town of Harmatelia, Leuven University Press, (lire en ligne), p. 101 - 170
  29. (en) P. H. L Eggermont, Alexander's Campaigns in Sind and Baluchistan and the Siege of the Brahmin Town of Harmatelia, Leuven University Press, (lire en ligne), p. 101
  30. Arrien, Anabase, 7, 27
  31. Edouard Will, Le monde grec et l'Orient, t. 2, Presses universitaires de France, , p. 302.
  32. Edouard Will, Histoire politique du monde hellénistique - Tome 1 : De la mort d'Alexandre aux avènements D'Antiochos III et de Philippe V, Faculté des lettres et des Sciences humaines de l'Université de Nancy, , p. 66
  33. Edouard Will, Histoire politique du monde hellénistique - Tome 1 : De la mort d'Alexandre aux avènements D'Antiochos III et de Philippe V, Faculté des lettres et des Sciences humaines de l'Université de Nancy, , p. 263-265

Sources antiques

Bibliographie

  • AinĂ© Bescherelle, Grand dictionnaire de gĂ©ographie universelle ancienne et moderne, Paris 1859
  • (en) P. H. L. Eggermond, Alexander's Campaigns in Sind and Baluchistan and the Siege of the Brahmin Town of Harmatelia, Leuven University Press, 1975
  • Annette Flobert, ExpĂ©diton d'ExpĂ©dition d'Alexandre: la fin du rĂŞve (Quinte-Curce, Histoire d'Alexandre, VIII-X), Vita Latina, vol. 179, no 1, 2008
  • P. J. F. Gosselin, Recherches sur la gĂ©ographie systĂ©matique et positive des anciens pour l'histoire de la gĂ©ographie ancienne, Paris, Imprimerie royale, 1813
  • Emile Lefranc, AbrĂ©gĂ© de gĂ©ographie ancienne comparĂ©e, Bruxelles, SociĂ©tĂ© nationale pour la propagation des bons livres, 1840
  • (en) William Mitford, The history of Greece, Volume 8, Londres, 1838
  • Edouard Will, Le monde Grec et l'Orient, Paris, Presses universitaires de France, 1985
  • Edouard Will, Histoire politique du monde hellĂ©nistique - Tome 1: De la mort d'Alexandre aux avènements d'Antiochos III et de Philipe V, FacultĂ© des lettres et des Sciences humaines de l'UniversitĂ© de Nancy, 1966
  • Vincent William (trad. Jean-Baptiste-Louis-Joseph Billecocq), Voyage de NĂ©arque, des bouches de l'Indus jusqu'Ă  l'Euphrate, Paris, Imprimerie de la RĂ©publique, 1800
  • (en) Willem J. Vogelsang, « Gedrosia », sur Encyclopaedia iranica, (consultĂ© le )

Articles connexes

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